Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Elle
par Florence Ben Sadoun
C'est très drôle à regarder et c'est joliment filmé, ce qui ne gâche rien !
La critique complète est disponible sur le site Elle
Télé 7 Jours
par Viviane Pescheux
Attal livre une comédie (...) drôle et fine.
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
Contrairement à l'original, qui cherchait lors de la longue séquence finale à faire du mauvais Cassavetes, ce remake opte pour une comédie psychologique discrètement infusée de burlesque, portée par la qualité de son interprétation.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Ouest France
par La rédaction
Quelques séquences corsées, avec Charlotte Gainsbourg et Asia Argento notamment, sont censées cultiver le frisson tandis que François Cluzet et Yvan Attal peinent à trouver des couleurs nuancées dans la composition de leur personnage.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Télérama
par Guillemette Odicino
C'est dans les vingt dernières minutes que le suspense prend vraiment toute sa saveur (...) le cinéaste capte alors l'amitié masculine dans toute sa tendresse.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ecran Large
par Sandy Gillet
Sur un canevas ultra léger, Yvan Attal tricote un film assez inoffensif bien que très caricatural. La comédie émerge toutefois mais qu'à de trop rares moments, la faute à une réalisation se vautrant dans un côté branchouille vite indigeste.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Les Fiches du Cinéma
par Chloé Rolland
Attal tente de faire de ce remake d'"Humpday" un projet personnel. Mais il n'affronte pas le sujet du film qui semble l'embarrasser : l'ambiguïté sexuelle dans la relation entre les deux amis.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Bruno Icher
Comme tous les films qui veulent établir une complicité avec le spectateur en lui balançant des clins d'oeils à s'en luxer les paupières, "Do Not Disturb" finit par en devenir antipathique.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Metro
par La rédaction
Mehdi Omaïs et Marilyne Letertre: Faussement provoc, vulgaire et surtout très ennuyeux, le troisième long-métrage de l'acteur-réalisateur est une énorme déception.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Studio Ciné Live
par Emmanuel Cirodde
Voir le site Studio Ciné live
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TF1 News
par Romain Le Vern
"Do Not Disturb" ne court pas après l'efficacité comique, le délire potache, et oublie vite son suspense débile.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
TéléCinéObs
par Nicolas Schaller
Or là où l'original, fauché mais finement écrit, sondait sans en avoir l'air la psyché du mâle trentenaire, Attal déballe ses effets de manche de Cassavetes publicitaire pour enfoncer des portes ouvertes.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Critikat.com
par Fabien Reyre
Attal ne filme que des figures désarticulées qui se voudraient héritières modernes de Truffaut (Jules et Jim revisités), mais évoquent plus la tradition comico-franchouillarde d'un cinéma populaire français exsangue.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Journal du Dimanche
par Danielle Attali
Etait-ce vraiment une bonne idée d'adapter Humpday, comédie américaine bricolée, pour en faire ce film à la limite du ridicule et faussement transgressif?
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Aureliano Tonet
Dans ce cadre rabougri, on prendra la liberté d'entendre le titre comme un avertissement lancé au spectateur : inutile de se déranger.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Romain Blondeau
Toute la délicatesse et l'humour du film original (...) laisse ici place à un drame poussif dont les provocs crâneuses dissimulent mal un certain conformisme.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Paris Match
par La rédaction
(...) le troisième long métrage d'Yvan Attal frôle la débandade tant il ne parvient jamais à rendre crédible son hypothèse de départ.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Philippe Rouyer
Ni la réflexion sur le couple, ni celle sur la virilité et l'identité sexuelle ne vont très loin, d'où une comédie constamment prévisible, aux rebondissements convenus.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Bernard Achour
Il y avait là un sujet et une occasion en or (...) d'où vient alors (...) que le film provoque un tel sentiment d'énervement ?
La critique complète est disponible sur le site Première
Transfuge
par Frédéric Mercier
Entre stratégie d'accumulation et volonté de prendre le temps de mettre en scène les limites de l'artiste et la sexualité hipster, Attal ne peut s'occuper des deux à la fois.
La critique complète est disponible sur le site Transfuge
Elle
C'est très drôle à regarder et c'est joliment filmé, ce qui ne gâche rien !
Télé 7 Jours
Attal livre une comédie (...) drôle et fine.
Cahiers du Cinéma
Contrairement à l'original, qui cherchait lors de la longue séquence finale à faire du mauvais Cassavetes, ce remake opte pour une comédie psychologique discrètement infusée de burlesque, portée par la qualité de son interprétation.
Ouest France
Quelques séquences corsées, avec Charlotte Gainsbourg et Asia Argento notamment, sont censées cultiver le frisson tandis que François Cluzet et Yvan Attal peinent à trouver des couleurs nuancées dans la composition de leur personnage.
Télérama
C'est dans les vingt dernières minutes que le suspense prend vraiment toute sa saveur (...) le cinéaste capte alors l'amitié masculine dans toute sa tendresse.
Ecran Large
Sur un canevas ultra léger, Yvan Attal tricote un film assez inoffensif bien que très caricatural. La comédie émerge toutefois mais qu'à de trop rares moments, la faute à une réalisation se vautrant dans un côté branchouille vite indigeste.
Les Fiches du Cinéma
Attal tente de faire de ce remake d'"Humpday" un projet personnel. Mais il n'affronte pas le sujet du film qui semble l'embarrasser : l'ambiguïté sexuelle dans la relation entre les deux amis.
Libération
Comme tous les films qui veulent établir une complicité avec le spectateur en lui balançant des clins d'oeils à s'en luxer les paupières, "Do Not Disturb" finit par en devenir antipathique.
Metro
Mehdi Omaïs et Marilyne Letertre: Faussement provoc, vulgaire et surtout très ennuyeux, le troisième long-métrage de l'acteur-réalisateur est une énorme déception.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné live
TF1 News
"Do Not Disturb" ne court pas après l'efficacité comique, le délire potache, et oublie vite son suspense débile.
TéléCinéObs
Or là où l'original, fauché mais finement écrit, sondait sans en avoir l'air la psyché du mâle trentenaire, Attal déballe ses effets de manche de Cassavetes publicitaire pour enfoncer des portes ouvertes.
Critikat.com
Attal ne filme que des figures désarticulées qui se voudraient héritières modernes de Truffaut (Jules et Jim revisités), mais évoquent plus la tradition comico-franchouillarde d'un cinéma populaire français exsangue.
Le Journal du Dimanche
Etait-ce vraiment une bonne idée d'adapter Humpday, comédie américaine bricolée, pour en faire ce film à la limite du ridicule et faussement transgressif?
Le Monde
Dans ce cadre rabougri, on prendra la liberté d'entendre le titre comme un avertissement lancé au spectateur : inutile de se déranger.
Les Inrockuptibles
Toute la délicatesse et l'humour du film original (...) laisse ici place à un drame poussif dont les provocs crâneuses dissimulent mal un certain conformisme.
Paris Match
(...) le troisième long métrage d'Yvan Attal frôle la débandade tant il ne parvient jamais à rendre crédible son hypothèse de départ.
Positif
Ni la réflexion sur le couple, ni celle sur la virilité et l'identité sexuelle ne vont très loin, d'où une comédie constamment prévisible, aux rebondissements convenus.
Première
Il y avait là un sujet et une occasion en or (...) d'où vient alors (...) que le film provoque un tel sentiment d'énervement ?
Transfuge
Entre stratégie d'accumulation et volonté de prendre le temps de mettre en scène les limites de l'artiste et la sexualité hipster, Attal ne peut s'occuper des deux à la fois.