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    Comme un lion
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    3,0
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    76 critiques spectateurs

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    JoRod
    JoRod

    58 abonnés 335 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 8 mars 2013
    Seconde réalisation pour Samuel Collardey qui dresse le portrait de ce jeune africain venant tenté sa chance en France pour devenir footballeur professionnel. L’aspect réaliste du film est assez intéressant. La dure réalité du football et de l’immigration est mise au premier plan. Le film tombe cependant souvent dans la facilité même un peu dans la naïveté. C’est malheureusement souvent le cas quand une œuvre traite du football. Aussi vite vu, aussi vite oublié.
    zztchio
    zztchio

    26 abonnés 200 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 11 novembre 2013
    un film sur l'immigration par le Football assez proche d'une réalité des années 2000... après le scénario est pauvre et l'issue prévisible
    Yves G.
    Yves G.

    1 464 abonnés 3 489 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 26 février 2013
    Il faut dire la réalité du foot, ce mirage-aux-alouettes qui fait rêver des milliers voire des millions d'Africains qui s'imaginent déjà avant-centre au Barça ou libero à Manchester.
    Le film de Samuel Collardey démarre bien, qui montre la cruauté de ce business en décrivant le parcours du jeune Mitri, Sénégalais dupé par un recruteur véreux, parqué dans un appartement miteux sur le périphérique, sur le point de sombrer dans la clandestinité. Le film n'est jamais meilleur que dans cette première partie, véritable descente aux enfers aux limites du documentaire.
    En se déplaçant à Montbeliard, il renoue hélas avec les étapes attendues de la fiction sociale qui chemine paresseusement vers le happy end final. Le jeune footballeur trouve sur sa route des bonnes âmes qui vont lui tendre la main et un nouveau père dans la personne d'un ancien joueur du FC Sochaux, miné par l'alcool, devenu entraîneur.
    La dernière scène pourrait servir de générique à "Goal 2". C'est tout dire ....
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 27 juin 2016
    Comme un lion est un film utopiste. Le début est très convaincant et réaliste, il existe de nombreux faux agents sportifs qui sont là pour soutirer de l'argent aux famille en promettant la lune : devenir une star du ballon rond. Ensuite l'arrivée à la douane française est une dénonciation voulue de ces hommes abusants de leur autorité pour empêcher des gens de circuler librement. Le reste n'est que fantasme, comment un gamin abandonné peu obtenir une licence sportive, jouer des matchs de football dans une équipe où personne ne l'aime et ensuite pouvoir espérer devenir professionnel ? Faut arrêter la fumette, sans parler de la réalisation désastreuse et du manque de talent des acteurs. Passez votre chemin.
    Ti Nou
    Ti Nou

    497 abonnés 3 499 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 juillet 2024
    Entre rêve, espoir et désillusion, "Comme un lion" narre le parcours d’un jeune joueur de foot sénégalais qui débarque en France avec ses rêves de gloire mais qui va se retrouver confronter à la réalité du déracinement.
    AdrianoStudio
    AdrianoStudio

    271 abonnés 16 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 janvier 2013
    Un bien joli conte porté par un regard sensible. Si le film a un parfum de poésie, les univers et les personnages exposés n'en sont pas moins criants de vérité.
    Marc Barbé est épatant. A voir absolument !
    Adrien Costello.
    BeatJunky
    BeatJunky

    151 abonnés 1 930 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 avril 2017
    Super film, très réaliste qui décrit parfaitement cette face cachée du monde du football. Inspirée du parcours chaotique de plusieurs joueurs africains Samuel Collardey nous raconte celui de Mytri jeune sénégalais qui débarque en France pensant avoir une route toute tracée grâce à son recruteur qui finalement le lâchera comme une vieille chaussette le laissant se débrouiller seul.... On rentre vite et facilement dans l'histoire touchante de ce ptit gars attachant qui découvre la triste réalité des choses dans ce pays qu'il imaginait comme la terre promise et qui se transforme finalement en un véritable cauchemar! Le film nous fait comprendre comment beaucoup de ses jeunes se retrouvent coincés dans un pays inconnu où l'entraide, la solidarité sont loin d'être des vertus systématiques et comment ils s'en sortent ...ou pas ! Le film est très réaliste et crédible grâce à son acteur principal biensûr mais aussi grâce à la mise en scène impeccable de Collardey qui réussit faire passer beaucoup d'émotion et d'espoir dans cette histoire captivante de bout en bout. Bien meilleur, plus intéressant, plus crédible et surtout plus émouvant que "les rayures du zèbre" qui traitait du même phénomène, le film n'a pourtant pas trop fait parler de lui .... Dommage car il l'aurait bien mérité.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 6 février 2013
    Moi qui déteste le foot et tout ce qui gravite autour... Si on m'avait dit que j'irais un jour voir un film sur le foot, et finalement le trouver pas trop mal (le film, pas le foot, on ne se refait pas à mon âge !)... je ne l'aurais sans doute pas cru. Un monde de passionnés, mais aussi un miroir aux alouettes dans lequel va se jeter Mitri, jeune Sénégalais de 16 ans qui n'a qu'une idée en tête : devenir footballeur professionnel. Parce qu'il a de la chance (et du talent aussi), il y parviendra, mais pour cela, sa grand-mère devra s'endetter (elle en mourra d'ailleurs, de chagrin ou de honte ?). Le déroulement du film ne m'a guère réconcilié avec ce monde pourri par l'argent, l'ambition démesurée, la duplicité, les combines et les rivalités. Un gros reproche : pour le personnage principal, j'aurais préféré quelqu'un de plus charismatique. Là, c'est raté : Mitri ne fait ni pitié, ni envie et il est même plutôt antipathique. Pour le reste, rien à dire, ça se laisse regarder sans déplaisir, mais pas non plus avec grand plaisir...
    Laurent C.
    Laurent C.

    256 abonnés 1 133 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 janvier 2013
    Tourné comme un reportage mêlant personnages véritables (comme le juge) et fiction, le film transporte avec brio le spectateur dans la complexité des parcours migratoires. À voir avec urgence juste pour comprendre les enjeux modernes de la migration et le déterminisme à vivre d'un adolescent.
    Hastur64
    Hastur64

    224 abonnés 2 289 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 décembre 2013
    Dans « Comme un lion » Samuel Collardey traite du sujet presque tabou de ces jeunes africains à qui des pseudo-recruteurs font miroiter un destin à la Didier Drogba et contre rémunération les font venir en France pour de soi-disant essais et qui se retrouvent en fait sans papiers dans des pays européens qui ressemblent peu à l’Eldorado qu’ils imaginaient dans leurs pays d’origine. Le réalisateur en fait un drame sobre, même si un peu naïf parfois, et pointe bien les écueils et le miroir aux alouettes que constitue ce rêve de devenir footballeur. Les acteurs mélanges de professionnels et d’amateur forment un casting convaincant dont Mitri Attal, qui avec un naturel bluffant campe ce jeune en quête de son rêve et qui parfois avec beaucoup d’égoïsme s’accroche pour le réaliser. Le film permet en outre de montrer à l’écran les énormes sacrifices consentis par les familles de ces jeunes et l’énorme poids qui repose sur leurs épaules quant aux attentes parfois déraisonnables auxquelles ils doivent répondre. Un film sobre qui évite pas mal de clichés, même s’il se termine par un happy-end, fondé sur une intrigue assez inédite et un casting solide. À voir sans hésitation.
    Max Rss
    Max Rss

    199 abonnés 1 767 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 23 mars 2019
    J'aime vraiment le football, à tel point que je l'ai pratiqué. Seulement, il faut bien avouer que le monde de ce sport est pourri jusqu'à l'os et qu'il s'y passe des saletés incroyables. Par exemple, nombreux sont les clubs de football professionnels à faire venir par dizaines de petits gars d'Afrique pour les intégrer dans les centres de formation. Au final, les meilleurs sont gardés (logique), et ceux qui n'ont pas été retenus se font jeter dehors, sans assistance et se retrouve donc seuls, le nez dans le cambouis. J'espère qu'un jour il y aura un mec avec une paire suffisamment bien accrochée et qui osera taper du poing sur la table pour mettre fin à ces pratiques. Mais bon, il ne faut pas rêver, les mecs se succédant à la tête des ligues ou des fédérations ne sont que des politiques souhaitant faire leur beurre... Au fond de moi, j'espérais voir dans « Comme un lion », une dénonciation de ces pratiques dégueulasses, mais non bien sûr, nous sommes à une époque où l'on peut dire des choses à condition de les enrober de trois couches de sucre glace, histoire d'être certain de blesser personne. Résultat, le film déroule sans accroc, mais avec beaucoup de prudence le parcours de ce jeune africain souhaitant devenir footballeur professionnel. Alors oui, c'est dur pour lui, il faut s'entraîner encore et encore, il faut tirer la langue, mais la récompense est là. C'est beau. Alors que là, l'occasion était parfaite pour pointer du doigt les pratiques dénoncées ci-dessus. Au final, s'il n'est désagréable, «Comme un lion » est un film gentillet qui répond très bien au consignes dictées par le grand Maître appelé aussi politiquement correct...
    Parkko
    Parkko

    160 abonnés 2 020 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 février 2013
    Attention, des spoilers sont présents dans ma critique. Je n'en attendais pas grand chose, mais j'ai été agréablement surpris. C'est finalement plutôt pas mal. Le film se scinde un peu en deux parties, la première s'intéresse plutôt aux rêves de Mitri Diop, de son "recrutement" en Afrique jusqu'à son arrivée en France, avec les désillusions que le film nous montre. Cette première partie est vraiment la plus intéressante, il y a une brutalité assez bien retranscrite par la mise en scène qui écrase littéralement un personnage complètement perdu. Le film n'est pas pour autant misérabiliste. La seconde est plus sur la façon dont Mitri va s'en sortir, cette seconde partie est quand même moins intéressante. Pour deux raisons, à mon avis. C'est que le film perd de son âpreté première pour tomber dans certains passages un peu naïfs, et qu'également Samuel Collardey décide d'inclure dans son récit l'histoire d'un ancien joueur de football professionnel qui aurait été renvoyé de son club pour des conneries. Le personnage est malheureusement pas très intéressant et ses interactions avec Mitri plutôt convenues (comme d'une certaine façon toute la seconde partie). Bref, un film assez inégal mais pas mauvais pour autant.
    JCOSCAR
    JCOSCAR

    117 abonnés 1 100 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 janvier 2013
    Comme un lion est un film documentaire. L'histoire de ce jeune garçon qui rêve d'être footballeur comme beaucoup de jeunes africains... la détermination et l'audace feront tout malgré la trahison et la cruauté de la vie. Un beau message !
    Chaîne 42
    Chaîne 42

    141 abonnés 3 074 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 juillet 2023
    Inspiré d'une histoire vraie mais pas mal de choses sont moyennement crédibles car un peu trop démonstratives ou trop peu démonstratives. Le côté africain est intéressant mais trop calculé de même les mésaventures en France du jeune homme. Mon impression est que l'on n'a pas raconté une vraie histoire mais fait un amalgame plus ou moins édulcoré, trop intentionnel de situations réalistes. Il y a cependant de la cohérence dans les rôles et un déroulé compréhensible.
    Cluny
    Cluny

    74 abonnés 593 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 janvier 2013
    Chaque équipe nationale africaine a son surnom : les Lions Indomptables du Cameroun, les Blacks Stars du Ghana, les Super Eagles du Nigeria, les Eléphants de la Côte d'Ivoire ; celui de l'équipe du Sénégal est les Lions, auquel on rajoute parfois "de la Teranga", afin de les distinguer des Camerounais. L'actuelle situation piteuse de ces Lions, non-qualifiés à la Coupe du Monde et à la CAN depuis plusieurs éditions, est évoquée dans le film, alors que Mitry est encore dans son village à partager ses rêves de gloire avec ses copains, et que, grand seigneur, il promet de revenir de temps en temps du Barca ou de Manchester United où il jouera pour permettre au Sénégal de retrouver son niveau de 2002. "Comme un Lion" joue donc de ce double sens : il va falloir à Mitry le courage d'un fauve pour survivre dans la jungle française, et ce sont ses qualités de futur Lion de la Teranga qui vont lui permettre d'y parvenir.

    L'histoire d'un gamin africain qui s'envole vers la France pour y connaître la gloire sur les pelouses de la Ligue 1, ça a déjà été traité au cinéma : dans "Le Ballon d'Or" de Cheik Doukouré en 1993, inspiré de la vie de Salif Keita. Mais le film de Collardey débute vraiment là où s'arrêtait celui de Doukouré : à l'arrivée à Paris. Et si le taxi qui conduisait Bandian vers Saint-Etienne représentait une ellipse vers le destin glorieux qui l'attendait, la voiture de l'agent véreux qui passe devant le Stade de France illuminé un soir de match annonce le début du cauchemar pour Mitry. Car en 18 ans, le football et ses rapports à l'argent a évolué : l'arrêt Bosman a fait voler en éclat les frontières, et si à l'époque de Keita il n'y avait que deux étrangers par club, aujourd'hui chaque équipe européenne a dans son effectif une dizaine de joueurs africains. Sur cette nouvelle filière sont venus se greffer de nombreux profiteurs, et pour Mitry l'enjeu est bien plus que la réalisation d'un rêve de gamin, mais bien la nécessité de rembourser rapidement les 5 millions de Francs CFA (soit 7 600 euros) empruntés par sa grand-mère.

    Samuel Collardey a dit de son premier film, "L'Apprenti", qu'il était "un documentaire avec des airs de fiction" et que "Comme un Lion" était "une fiction avec des airs de documentaire". Cette fusion des deux genres est plus réussie dans le prologue africain, avec notamment la scène de la tontine, où l'assemblée des femmes accède à la demande de la grand-mère de Mitry de bénéficier de leur mise de fond, et dans l'arrivée à Paris, où un vrai policier joue un des agents de la P.A.F. et où Jean-Pierre Rosenczweig tient le rôle du juge pour enfant qui explique sa situation à Mitry. La dimension fictionnelle est beaucoup moins convaincante dans la deuxième partie, celle qui se passe pourtant sur les terres franc-comtoise du réalisateur, la faute à des personnages trop stéréotypés (l'entraîneur marqué par son destin qui s'identifie au gamin perdu, et qui lui explique la vie comme Tony Micelli le faisait à Sam dans "Madame est servie", ou le blond qui rejette l'étranger venu lui piquer son statut de vedette avant de découvrir la fraternité du passeur décisif) et à des situations artificielles (l'immersion dans un mariage de beaufs filmé à la Pialat, trois roulettes et deux passements de jambes qui suffisent à engager Mitry au centre de formation du FC Sochaux...).

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