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Arlette et les mécanos
72 abonnés
560 critiques
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3,5
Publiée le 28 juin 2013
Très joli road-movie qui me réconcilie avec Darroussin qui depuis un certain temps m'agaçait un peu. C'est assez étonnant de le voir dans ce film, seul français parmi des acteurs suédois. . Ici, les sentiments sont très finement dévoilés avec un brin d'humour par endroits aucune morale, aucun message. Attachant. Je me souviendrai de ce film.
Ouais, pas mal, sans plus! Des rues vides, tristes, des maisons sombres, austères, des gens qui semblent écouter le mouvement des aiguilles de l'horloge, des routes désespérantes, comme si on allait nulle part...... La Suède, filmée comme çà ,donne envie de se pendre !!! Jean-Pierre Darroussin accumule les bévues et nanars en tous genres !! Pourtant c'est un bon acteur, mais il faut croire qu'en France, plus personne n'a de vrai beau rôle à offrir.....! C'est une jolie histoire, mais sans vrai rebondissement, çà se regarde sans être vraiment passionné par le sort de ce petit monde tranquille qui vaque sans nervosité....!spoiler: Pourtant le sujet est dramatique, et peut-être que les seuls moments d"humanité" de ce film sont la rencontre avec le père adoptif et le coup de téléphone après la vue du corps du fils!!
C'est sympa, parce que c'est un road-movie, on se balade dans ce film comme on regarde par la vitre lorsqu'on voyage en train....! Chose incroyable, BMW a inventé la voiture auto-nettoyante !!! Si, si.... J ' vous jure !!!! Même après 600 km elle brille comme un sou neuf.... C'est beau le progrès.....!
On prend les mêmes et on recommence ! En effet, après le sympathique "Les Grandes personnes", Anne Novion récidive avec les mêmes acteurs dans "Rendez-vous à Kiruna". Dans leur globalité ces 2 films sont assez proches l'un de l'autre. On se laisse aisément bercer par une histoire, sans prétention, avec un Jean-Pierre Darroussin toujours aussi touchant. Dans "Rendez-vous à Kiruna", le road trip proposé s'assimile à une longue route vers une prise de conscience personnelle, une prise de conscience qui n'aurait pas été possible sans l'apport du jeune compagnon de route justement interprété par Anastasios Soulis.
Un jeu de Jean-Pierre Darroussin très austère, auquel s'ajoute un rythme très étiré. Ce road-movie à travers la Suède peine à exploiter son réel intérêt. La thématique de la paternité ou de l'abandon est intéressante, mais le développement est ici extrêmement minimal. Anna Novion ne pousse ni la réflexion ni l'émotion explicitement, avec une mise en scène très sobre, très authentique et donc un peu ennuyeuse. La réalisation reste donc brute de décoffrage.
Si la relation entre Ernest et Magnus, deux personnages que tout oppose, se construit d'une manière très bancale, n'arrivant pas vraiment à combler les trous du scénario, j'ai davantage apprécié la conclusion plus ouverte sur "cette parenthèse" que s'offre le personnage principal, sans jugement moral.
Un rendez-vous qui manque globalement de caractère, malgré un ton dramatique plutôt bien mené.
Malgré une note moyenne, le deuxième long métrage d’Anna Novion est loin d’être mauvais. On retrouve le genre de film où il est nécessaire de rentrer dedans pour pouvoir l’apprécier à sa juste valeur, et malheureusement je suis partiellement resté à la surface. Outre cela, on assiste à un road-movie assez touchant et drôle (merci Darroussin) qui joue sur le thème de la paternité et sa face émotionnelle.
Excellent road movie qui permet de mieux connaitre la SUEDE. Les acteurs sont excelllents notamment JP DAROUSSIN dont le rôle lui convien t tout à fait, mais aussi au jeune MAGNUS (Anastasios ?) . Merci.
Un road movie pas très bien maîtrisé - la réalisatrice ne parvenant jamais à mettre en scène avec efficacité les paysages - et qui aurait gagné à être interprété par un autre que Darroussin, pas du tout convainquant dans ce rôle d'architecte paumé. Heureusement le jeune acteur Anastasios Soulis tire vers le haut ce récit qui manque d'épaisseur et de finesse, et quelques scènes réussies aident à faire passer le temps. Pas désagréable mais plutôt ennuyeux.
Un très joli film sur l'errance de trou personnages au milieu de paysages magnifiques. Ce film travers les continents intérieurs de ces personnages, tous abîmés dans leur paternité. Une belle surprise. Un film apaisant et tendre.
Pas un instant d'émotion, 97 minutes qui semblent durer 200 ... seule la fin du film nous sauve de l'insidieuse léthargie qui nous prend à son écoute. Darroussin, architecte atrabilaire, toujours pendu à son portable, bougon, éclopé du sentiment et pas vraiment sympathique, connait dans les dernières images une certaine rédemption assez peu crédible, mais qui justifie qu'on soit restés là à bailler en attendant la suite. L'idée du film aurait pu, je le pense, donner quelque chose de très intense, même si le point de départ est assez peu crédible : pourquoi un homme qui n'a jamais vu son fils (et ne semble même pas l'avoir reconnu à sa naissance) irait-il identifier son cadavre au fin fond des îles Lofoten ? Comme cet homme a peur en avion (heureusement qu'on nous l'explique au début car on se demanderait bien pourquoi il saute dans sa voiture pour rallier le bout du monde !), cela nous vaut un long et laborieux voyage sur autoroutes et routes aux paysages sans grande saveur, pimenté que quelques scènes supposées nous garder éveillés. Le problème est que toutes sont gratuites, convenues et éminemment prévisibles, comme est terriblement prévisible la moindre des images supposées cocasses. C'est fade, académique, et souvent à la limite de la caricature. Désolée pour ce manque d'enthousiasme, mais je me suis considérablement ennuyée, j'ai passé mon temps à prévoir la scène suivante, malheureusement toujours téléphonée et je n'ai pas eu un pincement au cœur, alors que le sujet se voulait émouvant. On nous dit que la cinéaste confie avoir été inspirée par les peintures d'Edward Hopper pour la ville nordique que traverse Ernest Toussaint, Darroussin dans le film. Il y a sans doute quelque chose dans cette esthétique qui me laisse de marbre, car je n'ai vraiment pas accroché !
Un "road movie" avec Jean-Pierre Darroussin, scénario des plus ténus, mais avec une réalisation sobre et un jeu parfait des acteurs (tous des inconnus pour moi, à part la tête d'affiche). Je regrette quand même sa lenteur excessive, mais je ne me suis pas du tout ennuyé. J'ai également adoré les paysages suédois que je connais un peu pour avoir vécu là-bas. Un petit film sans prétention, mais attachant.