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    T2 Trainspotting
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    Votre avis sur T2 Trainspotting ?

    222 critiques spectateurs

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    Danny N.
    Danny N.

    101 abonnés 296 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 mars 2017
    je suis Ewan macGregor et archive tout sur lui depuis 1998, j'avais vu à la tv TRAINSPOTTING et au risque de choquer, je n'avais pas du tout accroché.
    Bien sûr, c'est un incontournable dans sa filmo, je possède le DVD, les 2 CD de la BO fabuleuse et entêtante, des cartes-postales des personnages et visuels de l'affiche et peut-être même le roman mais cette histoire de junkie avec le crane rasé et boucles d'oreilles, c'est pas ce que j'attends de mon style de cinéma plutôt américain à grand effets spéciaux.... mon film culte de mcGregor à moi c'est MOULIN ROUGE où il avait trouvé le rôle de sa vie le plus complet !
    J'étais fan aussi de Jonny Lee Miller dans le début des années 2 000 après le film DRACULA 2001 qui m'avait passionné mais ça m'est passé avec le temps... il porte des faux cheveux dans le film car dans la vie il les a pratiquement tous perdu...

    la sortie en France de cette suite est une catastrophe et n'était pas du tout attendue ;
    peu de médias en ont parlé la semaine de la sortie et seulement 2 salles à Lyon ont pris le film uniquement en VO imposée ! Les salles UGC où je vais chaque semaine, l'ont refusé car pas assez grand public ! Je n'ai pu aller voir le film que son second mercredi et il était déjà retiré d'un des cinés et n'a plus que 3 séances par jour dans le ciné où j'ai été ! nous étions 2 dans la salle...
    j'étais arrivé à l'avance dans le cinéma et j'ai trouvé le moyen de manquer le début du film! après 35mn de bandes annonces de dessins-animés et pubs interminables et salle entièrement vide, j'ai fini par ressortir avec un doute et je m'étais trompé ! c'était la 10 et j'étais dans la 9 juste à côté l'une de l'autre !!!!

    même si la durée de 2H est très exagérée, j'ai nettement préféré cette suite à l'original moins axée sur la drogue, surtout l'évolution et jeu de mcGregor qui explique avoir raté sa vie à 46ans de se retrouver seul sans femme ni enfant et son boulot menacé qui va sauter... ce film dépeint assez bien les angoisses et le désarroi des quarantenaires qui ont tout raté dans leur vie
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 8 mars 2017
    Par dépit, à cause d'une salle en panne, qui ne pouvait projeter le film que je voulais voir, au vu de la correspondance d'heure, je suis allé voir ce film.
    Complètement déjantés, scénario, acteurs, maquillage...
    Bref, je suis ressorti au bout d'une demi-heure, et, heureusement que j'ai une carte Pass, sinon, j'aurai fait la tête de dépenser 8€ ou plus pour le voir.....
    Très moment de cinéma.
    Romain J.
    Romain J.

    64 abonnés 224 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 mars 2017
    T2 ne marquera pas autant que le premier volet. Néanmoins, sa force nostalgique et la profondeur de ses personnages l'amènent à atteindre de belles hauteurs émotionnelles. Avec, en prime, une bande-son dantesque !

    Critique complète ici.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 8 mars 2017
    Je suis vraiment tres déçu de cette suite ! Etant une grande fan du premier, j'etais hyper contente de savoir qu'une deuxieme partie a été créer avec les mêmes acteurs. Finalement mon euphorie est vite retomber pendant la scéance.
    Il y avais pourtant tout les ingredients réunis pour faire une excellente suite mais j'ai trouver le scenario vraiment limite et bacler.
    traversay1
    traversay1

    3 552 abonnés 4 842 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 mars 2017
    Dumas avait bien fait Vingt ans après. C'est le droit de Danny Boyle de revenir sur les lieux de son crime au bon goût, dans la bonne ville d'Edimbourg, avec ses mousquetaires dopés à l'adrénaline et à la rage, et toujours infantiles. On a beau ne pas aimer les suites en général, celle de Trainspotting rend curieux, au moins ceux qui ont pris l'original en pleine face, sous les auspices de 1996, exactement. D'abord, il y a cet accent écossais, toujours aussi invraisemblable, et les rues de la vieille ville d'Edimbourg, photogéniques à en mourir. Et nos potes, donc, éternels losers, plus ou moins en désintoxiqués de toute substance illicite, mais le moins a son importance. T2 Trainspotting ne possède pas de scénario, enfin à peine l'ébauche d'un. En revanche, il a un rythme, une gueule d'atmosphère et une mise en scène qui hésite entre le tape à l'oeil et l'expressionnisme, c'est selon. Et une B.O infernale qui compile les Clash, Blondie, Wolf Alice et Frankie goes to vous savez où. Le film peut sembler vidé de sa substance provocatrice de l'époque mais il distille en contrepartie une bonne dose de nostalgie (Ah les images dingues du premier Trainspotting !) et une tristesse sourde qui passe par l'anéantissement des rêves et conduit droit au caveau. Pas gaie, cette affaire, mais contrebalancée par une énergie quasi constante alimentée par des interprètes qui se la jouent au premier degré à commencer par Ewan McGregor et surtout l'immense Robert Carlyle. Maintenant, on n'ose penser à un T3 en 2037, mis à part un film de spectres, on ne voit pas trop à quoi le projet pourrait ressembler.
    Gregory M
    Gregory M

    12 abonnés 187 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 mars 2017
    bon film bien symhatique, n'est pas déstiné a tout publique !!! pas besoin d'avoir vu le 1er pour suivre le film car beaucoup de flash back sont proposé, le scénario n'est pas fou mais ce n'était pas le but principal même si il y a moins de scene choque et mythique la réalisation est au top un danny boyle parfait et avoir les même acteurs est un atout !!! a voir pour tout les fan du 1er !!!!!
    Jonathan J.
    Jonathan J.

    39 abonnés 189 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 mars 2017
    Pas exceptionnel mais sympa, entre le film hommage et le film bilan, même sur la réalisation de Danny Boyle qui ressemble aussi bien à ses derniers films (plus colorés, plus rythmés), qu'au premier (assez grisâtre).
    Plus qu'un simple hommage, le réalisateur en profite pour faire un point sur les évolutions de la société en 20 ans, mais aussi du passage de deux décennies sur ces personnages, une sorte de mid-life crisis.
    PsychoHead
    PsychoHead

    52 abonnés 219 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 mars 2017
    Quel bonheur de revoir la bande de Renton de retour au ciné, surtout du même niveau que le premier pour moi, en gros juste culte.
    Une réal parfaite, une bande son énorme, des acteurs au top de leur formes, des images sublimes.
    Chaque personnage est toujours aussi attachant, même si leurs actes sont pas des plus bienveillants.
    Les images sont vraiment sublimes, les jeux de lumières parfaits. Pas mal de clin d'œil au premier film aussi, qui fait toujours plaisir.
    Bref cultissime.
    Nico F
    Nico F

    206 abonnés 704 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 mars 2017
    Une vraie bonne suite. Le kiff. Super de retrouver la bande .... c'est hyper réussi et l'esprit trainspotting est bien là.
    Flaw 70
    Flaw 70

    259 abonnés 422 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 7 mars 2017
    Si Danny Boyle est ce qu'il est aujourd'hui c'est en parti grâce à Trainspotting, son deuxième film. Sorti en 1996, celui-ci connu un succès auprès des critiques et des spectateurs au point d'en devenir une oeuvre culte qui a parvenu à marquer toute une génération. Basé sur le roman du même nom d'Irvine Welsh, il s'est imposé comme un film énervé et libertaire avec une vision particulièrement trouble et savoureusement satirique de la société contemporaine et d'une génération en quête d'elle-même. Même si il peut apparaître visuellement démodé de nos jours, il est encore thématiquement d'actualité. Alors pourquoi en faire une suite 20 ans après quand tout à déjà été dit, risquant même de dénaturer la fin délibérément ouverte du premier ? La réponse ici n'est pas d'adapter le deuxième roman de Welsh sur ces personnages, intitulé Porno, mais de faire une oeuvre testamentaire de 5 hommes vieillissants et qui tentent de rester dans la course.

    T2 Trainspotting prend tout son sens au delà de sa simple histoire, car plus que les retrouvailles de ces quatre personnages qui ont marqué notre adolescence, c'est avant tout les retrouvailles de cinq artistes qui viennent rattraper le temps perdu. Cette suite gagne en épaisseur dans son propos méta, qui vient directement mettre au centre de son récit l'embrouille qui à éclaté entre le réalisateur et son acteur fétiche, Ewan McGregor. Après l'avoir évincé de The Beach en 2000, les deux ne se sont pas parlé pendant plus de 15 ans et trouve ici l'occasion de se pardonner et d'aller de l'avant. Plus que Mark, le personnage, qui retourne chez lui, c'est l'acteur qui retourne dans l'univers de Boyle. On ne peut s'empêcher de voir le parallèle entre la relation de Mark et Simon, son meilleur ami, et celle de l'acteur et du réalisateur qui en font clairement un événement cathartique. Et revoir ces deux-là retravailler ensemble à quelque chose d'indéniablement euphorisant, surtout qu'ils sont tout deux au sommet de leur forme. Ewan McGregor retrouve le personnage qui l'a fait connaitre avec aisance tandis qu'il lui insuffle un charisme nouveau. Les années ont plutôt été généreuses avec le casting qui n'a jamais paru aussi convaincant, le temps les as marqués et cela donne une profondeur et une gravité aux acteurs qui sied à merveille avec le propos du film. Robert Carlyle s'en sort d'ailleurs à merveille, son personnage étant celui qui connait l'évolution la plus significative du film. Il offre une complexité et une telle dualité à Begbie qui parvient à le rendre aussi attachant qu'émouvant malgré ses aspects les plus détestables.

    Tout comme les personnages, on assiste à des acteurs qui viennent faire le point sur leur vie, tous n'ayant pas connu le succès. Le film trouve un double niveau de lecture habile qui donne à l'oeuvre une honnêteté et une sincérité qui se montre émouvante. Car si le film fait souvent référence à son prédécesseur et qu'il laisse faussement croire n'être qu'une réunion de vieux potes venus amuser la galerie sans avoir grand chose à dire, ce n'est pas pour offrir un pur objet nostalgique à admirer mais bien pour offrir une réflexion sur l'essence même de la nostalgie. Parlant de transmission, de regret et de stagnation, le film est un testament de ce qu'était le premier film. Il apparaît comme la réponse désabusée de ce dernier, où le monde n'a changé qu'en façade. Les addictions sont toujours les mêmes peut importe si elles se manifestent différemment, on reste dans une société consumériste qui évolue mais ne change pas tout comme les gens qui la peuple. Ici le rythme est différent, moins énervé et plus posé, le message est moins moqueur et plus désespéré et l'oeuvre est souvent traversé d'une infinie tristesse. On a plus affaire à des jeunes hommes mais des hommes en fin de vie qui pour autant cherche toujours leur place dans celle-ci.

    Le film parvient à n'en laisser aucun de côté et offre à tout ses personnages un parcours satisfaisant. Que ce soit Bedgie qui prend conscience de sa nature, son affrontement avec Mark est d'ailleurs bouleversant émotionnellement, où les deux hommes ne peuvent se pardonner le mal qui à été fait malgré l'amitié bien réel qui les lient. Mais il y a aussi Spud, probablement le plus touchant du film, qui cherche à surmonter son addiction et développe une relation malheureusement sous exploitée mais très intéressante avec Veronika. Personnage féminin principal, elle représente aussi la jeunesse au sein de ses hommes vieillissants et elle arrive aisément à y sortir son épingle du jeu. Dans sa façon d'inspirer Spud mais aussi d’interagir avec le groupe, le film y trouve une belle manière de montrer l'héritage du premier film avec un passage de flambeau toute en pudeur. Même si il cède par moments à certaines facilités et qu'il offre des passages plus attendus, T2 Trainspotting reste admirable dans sa manière de ré-exploiter ses personnages parvenant à offrir une oeuvre riche et diablement intelligente qui marque par sa profonde sincérité.

    Il est en plus réalisé d'une main de maître par Danny Boyle qui à clairement fait du chemin depuis le premier film. Beaucoup plus dans la recherche esthétique, il travaille beaucoup plus le traitement des couleurs et de la lumière pour densifier ses images. Il projette souvent du texte ou des images tirés du précédent film sur ces scènes, comme une ombre qui plane constamment sur les personnages, le poids d'un passé dont on ne peut se séparer. Les ombres étant d'ailleurs très travaillées dans ce film, ayant une vraie valeur symbolique En ça, la photographie de Anthony Dod Mantle est formidablement léchée et sert à merveille la mise en scène enivrante de Danny Boyle. Le réalisateur distille en moyenne une idée innovante et inventive par scènes. Plans de caméras audacieux et totalement fou, incrustations bien pensées, citations habiles du premier film, etc. Rien n'est laissé au hasard et surtout rien ne se répète dans ce qui est un spectacle visuel constant où comme dans le premier film, Boyle joue avec le décor pour briser les barrières de la réalité. A l'image d'un plan de fin totalement fou et qui reste de mémoire comme une des plus belle et virtuose façon de clôturer un film vue depuis quelques années.

    T2 Trainspotting est la conséquence parfaite à ce qu'avait été le premier Trainspotting. Une continuation logique qui rend hommage à l'esprit de l'original sans pour autant le singer. On a même affaire à deux films très différents car celui-ci porte vraiment le poids des années, au delà même de ses personnages. Plus qu'une réunion de potes attendue, c'est une oeuvre testamentaire et cathartique pour le réalisateur et ses comédiens qui font le point sur une vie qu'ils n'avaient probablement pas anticipé comme cela. La réponse à un film qui contre toute attente est devenu culte et qui a marqué son temps. Mais le temps est une chose qui nous dépasse, qui nous broie et T2 Trainspotting en fait son cœur. Car avec une honnêteté bouleversante il nous parle du temps qui passe là où le poids du passé reste et danse avec grâce dans l'ombre de son propre culte.
    Alexandre B
    Alexandre B

    29 abonnés 90 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 7 mars 2017
    L'affiche n'aurait pas été trainspotting, j'aurais sans doute été moins sévère...Alors oui on a plaisir a retrouver les 4 "potes" et le décor d'Edimburgh, la patte Boyle sur quelques plans, la BO, mais ça ne fait pas un film, juste une bande annonce...!
    Scénario pas crédible pour un sous, sujets (nostalgie entre autres) non traités...Une suite de flashbacks et de scènes ajoutées les unes aux autres.
    T2 donne juste envie de revoir le premier pour vite oublier le second !
    Les enfants oubliés et shootés de Thatcher méritaient tellement mieux, et les sujets potentiels étaient tellement nombreux... Brexit, ultra libéralisme et j'en passe.
    DÉÇU !
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 7 mars 2017
    NOSTALGIE voilà ce qui me vient à l'esprit quand je je pense à trainspotting 2. Bon, il ne détrône pas le premier film mais globalement j'ai passé un bon moment devant "T2", on retrouve notre bande "d'ancien toxico" 20 ans plus tard.J'ai beaucoup appréciée les flash back nous ramenant au premier opus, ce throwback nous montre avec nostalgie que l'époque a changé mais pas autant que ça pour sick boy,mark,francis et daniel.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 7 mars 2017
    Ah que c'était mauvais !!
    J'ai tellement aimé le premier, il m'a beaucoup marqué, il a marqué beaucoup de monde, et j'ai du mal à comprendre comment on peut aimer le premier et apprécier cette suite facile et oubliable !!
    Trop trop de clins d’œil, trop de lumières flashy, de néons, de visuel pour combler le vide scénaristique !
    Si on veut voir un bon film du genre on matte Snatch, Arnaque crimes et botanique, Slevin etc etc..
    C'est raté, c'est mauvais, et jusqu'à la musique c'est pas bon !
    Je vais rester sur le premier, sur le concert d'iggy pop vu l'été dernier et vite oublier ce film inutile.
    Yves G.
    Yves G.

    1 454 abonnés 3 479 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 mars 2017
    Vingt ans après, les jeunes héros de « Trainspotting » ont bien vieilli. Mark (Ewan McGregor), qui avait trompé la confiance de ses amis, a vécu aux Pays-bas mais a la nostalgie de Édimbourg. Begbie (Robert Carlyle) purge en prison une peine de longue durée. Spud (Ewen Brumner) n’a jamais réussi à décrocher de la drogue. Simon (Jonny Lee Miller) continue d’organiser des arnaques à la petite semaine.

    A sa sortie en 1996, « Trainspotting » avait viré au phénomène de société. Sa description à la fois trash et comique d’une bande de jeunes Écossais accro à la drogue avait touché une corde sensible dans le Royaume-Uni post-thatchérien. Après « Petits meurtres entre amis », Danny Boyle y gagnait ses galons de réalisateur confirmé – couronné quelques années plus tard par un Oscar pour « Slumdog millionaire ».

    Réaliser une suite était un projet alléchant qui a mis vingt ans à voir le jour. C’est le lot hélas de tous les propriétaires de droits qui savent que l’aura nostalgique de leur premier succès leur garantit une audience captive. La saga « Le Parrain » l’aura montré pour le meilleur ; « Les Bronzés » pour le pire – dix millions de gogos (dont je fus) sont allés voir son troisième volet.

    Les Inrockuptibles, Télérama, Le Monde et Libération tirent à boulets rouges sur T2. Isabelle Régnier évoque une « suite inepte ». Jeremy Roston raille le « sempiternel mauvais goût » de Danny Boyle. Serge Kaganski dénonce « une carrosserie rutilante ultra « tunée » avec pas grand-chose sous le capot ».

    J’aurai la main moins lourde. Certes T2 n’est pas un immémorable chef d’œuvre. T2 est une suite qui essaie d’être compréhensible à ceux qui n’ont pas vu ou qui ont oublié T1 – je me classe dans la seconde catégorie. Sans doute n’a-t-il pas la fougue provocatrice de son prédécesseur (il est d’ailleurs tous publics alors que « Trainspotting » était interdit aux moins de seize ans). Mais il n’en reste pas moins une distraction agréable dynamisée par l’euphorisante énergie du montage de Danny Boyle.
    Nyns
    Nyns

    214 abonnés 749 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 14 mars 2017
    La suite du Trainspotting film culte des années 90 n'est clairement pas sur le même crédo, et ne peut pas atteindre la grandeur du premier pour des raisons toutes simples. Cela dit, rien que le fait de réunir la bande d’acteurs et de les voir jouer à l'identique leur personnage avec passion fait comme un pincement au coeur, le plaisir est communicatif,les 20 ans se sont écoulés en une fraction de seconde. Malheureusement pas grand chose ne fonctionne à part ça, T2 Trainspotting est un film impossible à prendre à part (déjà qu'en ayant vu le un c'est pas ça…), tant l'histoire est une succession de prétextes et de faire valoir donner une suite aux mésaventures des paumés (qui entre temps sont plus ou moins rentré dans le droit chemin). On sent l'envie de Danny Boyle de faire renaître les passions passées, d'ailleurs avec cette entrée en matière très rock on y était… Le problème est là, les petits écossais ont vieillis, et leur folie aussi… Certaine scènes sentent le sale forcé, donc ça passe à côté. Dommage car d'autres (celle du bar de conservateurs louches pour n'en citer qu'une), apportent un rythme et une insouciance caractéristique. Pas plus que ça malheureusement. Les tenants et aboutissants sont très décevant. Beaucoup trop d’attentes si longtemps après le premier succès de Danny qui ne pouvaient naturellement pas aboutir. Dommage.
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