Franchement génial, enfin un film français à la hauteur, les acteurs dont Mr Lanvin juste excellents, scénario crédible. j'ai adoré et passé un super bon moment ! un film à voir entre amis !
Lanvin fait du Lanvin, il ne sait faire que ça d'ailleurs, mais là, il le fait plutôt bien. Le film est distrayant et on passe un bon moment, même s'il y a quelques longueurs. A voir pour une petite soirée ciné tranquille.
Des problèmes d'insomnies... pas de problèmes ! "Amitiés sincères" est là ! Film ennuyant , peut être qu'avec 30 minutes de moins (en enlevant tout les passages longs qui peuplent ce film) il pourrait devenir légèrement intéressant car quelques passages sont plutôt biens réussis . Un conseil : N'aller pas voir ce film.
Bon jeu d’acteur, bonne situation de départ qui aurait pu donner une bonne comédie douce-amère mais le film n’arrive jamais à décoller. Le personnage principal joué par Gérard Lanvin devient de plus en plus agaçant au fur et à mesure que le film avance, il devient antipathique et du coup le film devient moins plaisant. Gros point faible également, on est devant un film de potes et je n’ai pas ressentie plus d’alchimie que ça entre les trois acteurs. Pour moi, le film se montre trop gentil et même si il est loin d’être mauvais il s'avère assez fade sur la longueur.
Histoire démontrant que l'amitié peut résister à toutes les péripéties de la vie. Un bon moment de détente. Vous vous reconnaîtrez forcément dans l'un des personnages.
Stephan Archinard invente une nouvelle classification cinématographique, entre comédie dramatique franchouillarde et film de qualité française (ne pas y voir un compliment) il vous présente le filme tarte par excellence... Bavard, sur joué, gnan gnan et plat... On s'était dit avec "Les petits mouchoirs" jamais ce genre d'amis, là on se dit... (et un peu aussi devant le lifting raté de Zabou Breitman) Circulez y'a rien à voir !
Une nouvelle et (très) gentille comédie "à la française" : "on" a pas de problème d'argent, que des problèmes de cœur et d'ego, "on" a une bande de copains, "on" est homme politique, écrivain (forcément) et cuisinier de pas n'importe quel restaurant, "on" habite en plein quartier "bobo", "on" passe ses vacances à l'île de Ré (pas dans n'importe quelle maison), la "fifille" fait normale sup (rien de plus "normal"), et on lui trouve un gentil appartement de 60 m² lorsqu'elle en a envie, "on" se tape pour de simples saucissonades entre amis des Yquem, Pétrus, et autres Bâtard-Montrachet j'en passe et des meilleurs. Bien sûr aucun d'eux ne semble travailler vraiment et la vie s'écoule ainsi entre bobos pétés de tunes mais bien sûr sans en avoir l'air.... L'un des vieux copains est homosexuel qui n'a pas fait son coming-out et l'autre se trouve être un vieux pervers sur le retour qui, tu comprends, n'a pas bien évidemment pu résister aux avances de la fifille qui veut jouer d'égal à égal avec son père envahissant... Avec tout ça, on passe gentiment faire sa promo chez Drucker le dimanche en expliquant qu'il y a une belle morale d'amitié à la clé, et que l'amitié, j'te l'jure sur la tête de ma mère, c'est ce qu'y'a d'plus beau dans la vie. On en pleurerait presque.
L'histoire de 3 vieux zèbres et d’une jeune gazelle qui va semer la zizanie.
Quel dommage que la première moitié du film soit si démonstrative et lente sinon ennuyeuse. Car quand les répliques commencent à être mieux écrites sinon drôles et que la bluette commence à tout casser (je parle de l’harmonie ambiante, pas de la petite démonstration très discrète des deux protagonistes) le film nous sort de la torpeur hivernale. Les vues qui meublent (voitures dans les champs, séjours à l’île de Ré) sont tout sauf intéressantes, et heureusement que la voix off de Lanvin ou de sa fille fait le lien car l’histoire serait bien mince. On peut aussi noter que la petite Girardot (le portrait craché de son père, hélas car elle a aussi le côté visage masculin pas très avenant) n’a pas un rôle très conséquent, qui aurait permis de se sortir des séances aux 3 potes pas toujours passionnantes.
On se console avec la montée en puissance et en complexité de l’intrigue à partir des élections où tout le monde y met du sien, surtout le dialoguiste. Même si l’on voit les quiproquos à 5 kilomètres, ça a le mérite d’être amusant. Par contre, quel dommage que la grande scène du robinet soit si peu travaillée, Lanvin aurait pu faire un truc immense vue la situation et son caractère, mais rien, pas même un sourcillement de cils, et ça n’est vraiment pas vraisemblable.
Il reste une bonne photo d’acteur, une musique discrète et correcte, un Lanvin bien fatigué mais parfaitement dans le rôle, un Langlade étonnant bien qu’encore plus fatigué, et des seconds rôles supportables. Même si la petite est tout de même sacrifiée alors que sa psychologie aurait mérité un examen plus approfondi.
Beaucoup d’originalités dans un film trop conventionnel et pas très inspiré, on reste en France quoi…