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La réalisation est bonne et les enchaînements sont fluides sans temps mort, pas mal de subtilités entre les scènes . Par contre c'est un film de bobos de gauche pour les bobos de gauche : du fric en veux-tu en voilà sous couvert de grands sentiments. Et une histoire à relents incestueux entre la fille,, le père et le meilleur ami. Zabou est lumineuse. Ana Girardot est de 5 ans trop âgée pour le rôle et ça se voit.
Vu en DVD dernièrement. Les critiques que j'avais lues évoquaient l'univers de Claude Sautet.
On ne s'ennuie pas, il n'y a pas de temps morts, et le casting est une réussite.
Lanvin reprend son rôle de personnage un peu bourru et grande gueule, mais doté d'un grand cœur, qu'il trimballe dans beaucoup de ses films. On pense un peu à Jean Gabin ou Lino Ventura.
J'avais vu "Tout Schuss" (2015) des mêmes réalisateurs, et franchement, ce n'était vraiment pas une réussite !
On ne s'ennuie pas, il n'y a pas de temps morts, et le casting est une réussite.
Lanvin reprend son rôle de personnage un peu bourru et grande gueule, mais doté d'un grand cœur, qu'il trimballe dans beaucoup de ses films. On pense un peu à Jean Gabin ou Lino Ventura.
J'avais vu "Tout Schuss" (2015) des mêmes réalisateurs, et franchement, ce n'était vraiment pas une réussite !
J aime bien gerard Lanvin en general. Mais une daube reste une daube.
Des gauchos cinquantenaires qui picollent des bouteilles à 2500 balles et qui aiment bien la chaire fraiche de 20 ans.
Pas d histoire, pas d intrigues, des vies fades et monotones aussi seches que le minou de leur grand mere.
Long, soporifique, lourdingue, aucun rebondissement.
Faut être lobotomisé pour pouvoir tenir jusqu'au bout . Pour bobo gôcho caviard.
Bref, un bon nanar français.
Des gauchos cinquantenaires qui picollent des bouteilles à 2500 balles et qui aiment bien la chaire fraiche de 20 ans.
Pas d histoire, pas d intrigues, des vies fades et monotones aussi seches que le minou de leur grand mere.
Long, soporifique, lourdingue, aucun rebondissement.
Faut être lobotomisé pour pouvoir tenir jusqu'au bout . Pour bobo gôcho caviard.
Bref, un bon nanar français.
Ce film n'est pas un chef d'oeuvre mais il se laisse regarder. Je ne l'ai pas trop sévèrement jugé car il y a pire. J'ai particulièrement aimé le jeu de Jean Hugues Anglade, qui je trouve a beaucoup de charisme.
Belle comédie sur le thème de l'amitié, sa fidélité (ou pas), sa franchise, ses faux-semblants, ses non-dits, ses choses inavouables même si on dit tout à ses amis, ses habitudes même celles qu'on supporte sans rien dire. Gérard Lanvin est vraiment bon, crédible en restaurateur, sensible en papa protecteur (un peu trop), pénible à faire peur avec ses principes. Quelques citations m'ont beaucoup plu, comme des perles bien servies par une belle équipe : "C'est mon meilleur ami, ça fait trente ans que je lui mens", "Il m'aura toujours plus honorée avec sa plume qu'avec sa queue", "Noël sans ma fille, c'est comme l'île de Ré sans la mer", "C'est dur de vivre avec moi ? C'est pas facile de vivre sans toi non plus". A voir, surtout avec des amis de trente ans et plus !
Drôle et chaleureux, "Amitiés sincères" est une comédie qui s'amuse de ces petits mensonges entre amis et s'appuie sur un casting qui fonctionne.
Un très beau film, plein d'émotions, d'humour, de bonne humeur. On sent que le tournage a dû se passer dans une ambiance semblable aux très belles scènes d'amitiés sincères de ce film.
Cela a été un très agréable moment partagé entre amis. L'échange avec le réalisateur, qui a suivi la projection, a lui aussi été très agréable et sympathique.
Un film à voir et à revoir seul ou entre amis.
Cela a été un très agréable moment partagé entre amis. L'échange avec le réalisateur, qui a suivi la projection, a lui aussi été très agréable et sympathique.
Un film à voir et à revoir seul ou entre amis.
Une histoire d’amitié sympathique portée par des acteurs qui le sont tout autant malgré un contexte bobo qui peut en agacer plus d’un. L’argent n’est en effet pas un souci dans cet environnement où le luxe et les grands crus font parties du quotidien. Passé cet aspect, le scénario est crédible mais conventionnel, ponctué de moments d’ennuis. Reste un trio accrocheur et non dénué d’intérêt qui essaie de nous faire vibrer sans vraiment y parvenir. Les thèmes du mensonge et de la dissimulation sont bien présents mais pas suffisamment développés et on a le sentiment d’une œuvre un peu inachevée.
Un très fort caractère ne permet pas à ses proches d'exprimer ce qu'ils sont vraiment... excellent rôle pour Lanvin, excellent film français sur l'amitié puissante et les non-dits douloureux. Un très beau moment qui m'a tenu de bout en bout... un film profond, savoureux, malgré une fin un peu trop idéale à mon goût.
C'est un joli petit film qui raconte des petites histoires de la vie mêlant des conflits de générations à des histoires d'adultes. Trois potes se retrouvent à manger régulièrement chez l'un, du très bon vin et de la bonne chair au menu. Il y a Lanvin, le plus enjoué et explosif, type méditerranéen, Yordanoff le posé et littéraire et Anglade, l'écrivain bohème. A cela vient s'ajouter la très belle A. Girardot, la fille de Lanvin qui tombe amoureux d'Anglade.
C'est une belle comédie dramatique sans plus. On passe un bon moment tout de même.
C'est une belle comédie dramatique sans plus. On passe un bon moment tout de même.
Malgré un rythme irrégulier, ce film au goût doux-amer qui questionne l'amitié et les faux-semblants fait mouche par sa subtile interprétation et sa sobriété.
un film d une grande simplicité mais qui affiche un caractère bien trempé qui dissèque avec brio l amitié dans tous les sens. mené par un trio d enfer et notamment Gerard lanvin qui a un personnage à sa mesure plein de vie épicurien geulard fier et donneur de leçon papa formidable et ami fidèle !! qui va devoir faire face à un terrible épreuve de la part de sa fille et de son meilleur ami! voilà l intrigue et le film tourne autour de cela sans une grande originalité mais très plaisant !! un joli film français bien mis en scéne.
C'est un film ècrit à la manière de "Un èlèphant ça trompe ènormèment ou "Vincent, François, Paul et les autres", deux classiques du cinèma français qui nous parlaient un peu de nous tous et dans lesquelles les personnages ètaient formidablement bien dessinès! Sauf que cette histoire d'amitiè fonctionne ici sur la vibration heureuse, positive et finalement sans ambition! Elle promettait pourtant cette affiche sur le papier! Hèlas, c'ètait trop demander aux rèalisateurs Stephan Archinard et François Prévôt-Leygonie de tenir le cap pendant 1h40 à coup de Pètrus 77 ou de Cheval Blanc 76! Des vins stars constituant l'èlite de ces « amitiès sincères » où Gèrard Lanvin incarne un personnage assez caricatural qui parle beaucoup et fort, mais qui n'ècoute pas! Noël sans sa fille, c'est comme l'île de Rè sans la mer! Jean-Hugues Anglade, lui, campe un ècrivain (comme dans "37°2") sans envergure et Wladimir Yordanoff, un bibliothècaire homosexuel! il y a aussi Ana Girardot (dans un rôle de maîtresse, d'amante et de femme indèpendante), Hemingway et les icebergs! Bref, pour un premier long, nous sommes loin d'Yves Robert et Claude Sautet! C'est dommage avec un tel casting...
c'est la reprise d'"un moment d'égarement" qui date de 1977 avec une pincée du "cœur des hommes" mais la mayonnaise ne prend pas vraiment. C'est lent, pas drôle, à croire qu'il y avait encore de la pellicule à utiliser.
Une histoire d’amitié moins bien que « Le Cœur des hommes » mais qui tient la route. Quelques scènes très sympathiques, de bons dialogues et un bon jeu d’acteurs y compris Zabou Breitman qu’on voit moins que le trio d’acteurs principaux mais qui est parfaite dans son rôle, tout comme Ana Girardot que je découvrais ici.
Le trait est un peu trop forcé pour le personnage principal campé par Gérard Lanvin : on a souvent l’impression qu’il n’est pas propriétaire de restaurant mais parrain de la mafia, tant il fait peur à tous ceux qui le côtoient et qui n’osent donc pas lui dire la vérité.
Au contraire des autres films français sortis au Cinéma à la même période de l’année et critiqués précédemment, je reverrai volontiers celui-ci dans quelques années.
Le trait est un peu trop forcé pour le personnage principal campé par Gérard Lanvin : on a souvent l’impression qu’il n’est pas propriétaire de restaurant mais parrain de la mafia, tant il fait peur à tous ceux qui le côtoient et qui n’osent donc pas lui dire la vérité.
Au contraire des autres films français sortis au Cinéma à la même période de l’année et critiqués précédemment, je reverrai volontiers celui-ci dans quelques années.
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