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    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 20 mars 2013
    Un récit passionnant qui éclaire habilement cette page de la vie politique Chilienne. L’excellent travail sur l’image permet de confondre les images d’archive et les séquences fictives ce qui apporte un incroyable réalisme au film. "Gael García Bernal" est tout simplement sublime dans ce rôle de publicitaire chilien. C’est un film captivant, complexe et souvent drôle. A voir...
    Louis L.
    Louis L.

    6 abonnés 1 critique Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 mars 2013
    Acteurs excellents (même si Gael Garcia Bernal fait toujours du Gael Garcia Bernal avec la même tête de cocker battu). Le scénario est excellent même si on connait la fin avant même le début du film. Dommage que la prise de vue vienne gâcher l'ensemble ; un film, ce n'est pas un reportage. Près de deux heures avec la caméra sur l'épaule, c'est dur pour le spectateur. Surtout quand, au gré d'un déplacement de caméra, on se prend le soleil en face et tous les acteurs en contre jour ; les couleurs sont délavées (peut-être pour ressembler à un film de l'époque ?). Dommage, vraiment, ça aurait pu être un chef d'oeuvre. Ca aurait pu, mais non.
    missfanfan
    missfanfan

    93 abonnés 851 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 mars 2013
    C'est pas mal mais un peu long j'ai décroché par moment, la dictature fait toujours aussi peur
    Gaël Garcia Bernal est toujours excellent
    willyzacc
    willyzacc

    79 abonnés 1 544 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 mars 2013
    Un film qui manie l'humour et la reconstitution historique à perfection. Il faut un peu de temps pour se faire à l'idée que tout sera tourné de cette façon, avec une image sale et surexposée mais après c'est un plaisir de ce plonger dans cette époque qui marque un tournant pour le Chili. Gael Garcia Bernal y est génial, comme d'habitude, il enchaîne les bons projets. Bonne petite surprise.
    nikolazh
    nikolazh

    63 abonnés 1 060 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 mars 2013
    Une histoire excellente et des acteurs impeccables, au service d'un réalisateur qui massacre son film avec un découpage elliptique de certaines scenes tandis que les dialogues continuent (comme je sens que ma phrase n'est pas claire, en gros y'a un dialogue en continue mais qui se passe dans différents endroits à différents moments, ce qui procure une impression constante de faux raccord) et surtout une esthétique ridicule " hey les gars, si on faisait un film qui ressemble aux vieilles VHS des années 70? c'est top comme idée non ?" Non, ce n'est pas top. C'est de la merde. On a du mal du coup d'entrer dans l'histoire, cette esthétique trop présente gâchant l'immersion au lieu de la renforcer. Sans compter 20 bonnes minutes en trop, le film tournant souvent en rond au lieu d'avancer. Agréable au niveau de l'histoire donc, souvent amusant, mais franchement à la limite du regardable et à coté de la plaque niveau visuel.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 12 mars 2013
    C'est très simple, pendant la séance je n'ai pas vu le temps passer, ni les gens autour de moi d'ailleurs ! Le réalisateur distille habilement tension et humour dans son film qui nous raconte le happy-end de cette triste période chilienne. Un grand oui à No !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 12 mars 2013
    Un film formidable ! Merci à Pablo Larrain de finir cette trilogie avec un peu plus de couleurs et d'espoir que les précédents épisode ! C'est mon préféré des trois. A voir !
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 12 mars 2013
    Pablo Larraín représente ingénieusement l'ambiance pesante et étouffante qui règne au Chili, grâce aux couleurs, aux plans et aux décors (beaucoup de lieux clos, sans paysages et horizons). L'idée de filmer son long métrage avec un vieux caméscope rend compte des couleurs ternes de cette atmosphère. Gael García Bernal porte le rôle du publicitaire chilien créatif à merveille. Le film est touchant, rythmé, drôle et P. Larraín mêle la réalité et la fiction avec finesse. Tous les ingrédients sont présents pour un résultat plutôt très réussi.
    you P.
    you P.

    1 critique Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 12 mars 2013
    Excellent filme, à voir impérativement pour comprendre un peu mieux les luttes en Amérique latine. L'acteur est superbe !!!! Grande carrière !!! On va beaucoup le revoir !!!
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 12 mars 2013
    Le sujet est intéressant, le héros est sympathique, mais le traitement de l'image (censé faire "années 80") rend l'ensemble indigeste et interminable...d'autant qu'on connaît le dénouement.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 11 mars 2013
    Un film tourné avec des images d'archives s'intégrant parfaitement dans le déroulement du film. Le film est tourné à la manière d'un documentaire. Il s'agit d'une excellente incursion sur la fin de la dictature Pinochet.
    Thierry M
    Thierry M

    166 abonnés 2 435 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 mars 2013
    Histoire d'une enorme intensité , je regrette certains passages si peu interressant.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 11 mars 2013
    Tout en imcluant de nombreuses images d'archives, le film No retrace la campagne télévisée du non lors du référendum organisé par le dictateur Pinochet sous la pression internationale. C'est l'occasion pour le spectateur outre de découvrir ce moment, de se voir également offrir une étude très intelligente sur la communication politique et son approche marketing. Certains pourront être agacés par le grain de l'image dans les séquences fictives qui rappelle celui des images d'archives en y voyant un effet inutile voire un risque de créer une confusion entre fiction et réalité dans l'esprit du spectateur. Cependant, ce dernier est certainement suffisamment intelligent et observateur pour faire la distinction entre les deux et cet effet a le mérite d'éviter toute rupture visuelle qui aurait immanquablement un impact sur la continuité et la fluidité du récit. Le film est à cet égard très bien construit et le casting est irréprochable.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 11 mars 2013
    Comment aurais-je pu penser me retrouver face un film doté d’autant d’ingéniosité cinématographique mêlant le documentaire et la fiction à l’aide d’un procédé très simple : Filmer de la même manière que l’époque !
    Quelle initiation au cœur de la politique et d’une élection au combien controversée et coupée du monde !
    Le montage alternant tournage et image d’archive constituant une véritable immersion au sein de l’opposition au gouvernement et porté par un beau charisme qui n’est autre que ” Gael García Bernal ” livrant une performance attachante et singulière.
    Entre simplicité et gravité, ce film dévoile une sensibilité chilienne méconnu du monde Occidental.
    Après, réalité des faits ou non je la laisse aux historiens ! Moi je suis allé voir un film.

    A contre écho du titre,
    Aller voir ce film ?
    Je dis OUI absolument !

    Antoine Bensa.
    Patrick Braganti
    Patrick Braganti

    94 abonnés 425 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 11 mars 2013
    Le réalisateur de Santiago 73, post mortem propose une forme singulière qui mêle adroitement les images d’archives et ses propres plans dans un format 4 :3 en utilisant des caméras à tube, courantes dans les années 80, pour obtenir cette image saturée et surexposée, au grain dense et sale. Cela donne une esthétique terriblement datée, au-delà même de l’époque en question, mais qui contribue néanmoins à la cohérence du projet. Les vingt-cinq ans qui nous séparent à présent de 1988 paraissent une éternité, l’informatique et la technologie y sont balbutiantes et l’Internet n’est encore que confidentiel. On imagine sans peine ce que serait l’influence aujourd’hui des réseaux sociaux dans une telle période. L’intérêt de No est à chercher dans le personnage indécis et infantile de René Saavedra (pour lequel l’acteur Gael Garcia Bernal livre sa meilleure composition) qui n’est pas un homme de conviction, si ce n’est celle de son métier de publicitaire. Ainsi les clips de campagne qu’il réalise ne font-ils pas état des exactions du régime, mais prophétisent la joie et l’optimisme qui suivront la chute du dictateur. En ce sens, René Saavedra, se déplaçant sur son skate en oscillant et fluctuant comme s’il naviguait à vue au gré des courants favorables, est bel et bien un enfant du système néolibéral institué par Pinochet, qu’il parvient à utiliser à son avantage tout en profitant également de la lente démocratisation des médias. Il faut se rappeler que le déroulement du référendum est observé de près par la communauté internationale.

    René Saavedra qui au départ s’occupe de cette campagne insolite de la même manière qu’il ferait la promotion de micro-ondes s’en saisit aussi pour faire passer ses idées novatrices sur la communication avant de commencer à comprendre qu’il peut aussi changer les choses par lui-même. Celui qui élève seul son petit garçon (sa maman, une fervente militante, l’a quitté), joue au train miniature et s’alarme que sa voiture puisse être endommagée lors des répressions policières gagne en maturité, même si la victoire finale du non ne semble ni l’atteindre ni l’affecter. Les derniers plans du film alimentent avec force cette impression.
    Alors que nous sommes à un moment décisif de l’histoire chilienne, le film se singularise par sa modestie et son refus de faire de ces instants une fresque romanesque et lyrique. No se présente donc comme la parfaite antithèse de Argo en tournant le dos à la propagande démagogique et au manichéisme simpliste. C’est un film emballant et jouissif, complexe et souvent drôle, faisant l’apologie des utopies, du collectif et de l’action, qui confirme l’intelligence de cinéma de Pablo Larrain. Passionnant et brillant.
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