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    scrabble
    scrabble

    34 abonnés 467 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 16 mars 2013
    c'est mort et long les acteurs jouent plus que platement. je m'attendais à mieux mais je le classe dans la catégorie "navet"
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 16 mars 2013
    Intéressant parce qu'il revient sur un pan d'Histoire pas très bien connu dans nos contrées (l'élection qui a fait chuter Pinochet), mais également par le sujet (comment faire campagne pour une élection controversée dans une dictature, en utilisant des moyens de communication modernes), No a beaucoup de qualités mais également quelques défauts : quelques longueurs, une thèse un peu rabachée tout au long du film (de l'utilité de la publicité en politique), des personnages à la psychologie relativement simple finalement. Le tout fait un film honnête.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 27 mai 2013
    Ça fait toujours réfléchir des films comme ça, les campagnes sous dictature pour un référendum, les dictateurs sont toujours trop sur d eux . On se croirait en 88, a voir .
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 16 mars 2013
    Le sujet est intéressant mais mal mène, je me suis fait chier.., la qualité est nulle...
    On se croirait ds les années 70, une rétro c est sympa mais tout le film c'est pénible...
    cylon86
    cylon86

    2 503 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 mars 2013
    Revenant une fois de plus sur l'histoire du Chili, Pablo Larrain signe ici un film intéressant qui retrace la création et le déroulement de la campagne de publicité en faveur du "non" au référendum organisé par Pinochet. Le parti pris esthétique est fort : en tournant avec des caméras d'époque, le réalisateur donne à son film une image vraiment dégueulasse mais qui se révèle être un choix juste au fur et à mesure que le film avance. Si le scénario traîne d'ailleurs en longueurs, il bénéficie d'images d'archive vraiment passionnantes et sait montrer certains aspects de la campagne qui maintiennent notre intérêt. Et Gael Garcia Bernal, en chef de campagne qui mise tout sur la joie du Chili, est vraiment un choix à la hauteur du sujet.
    benbise
    benbise

    3 abonnés 18 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 15 mars 2013
    Oui No est un film fait d'une main de maître ! Pablo Larrain signe une reconstitution parfaite : on arrive a peine à différencier les images d'archives des images tournéees, et le montage sobre et vif ne laisse pas le temps à l'ennuie. Le film est simplement fait, pas de fioritures, on ne cherche pas l'émotion à tout prix.. Et pourtant il est difficile de ne pas tomber dans le pathos et l'exagération lorsqu'on traite d'une histoire vrai fascinante, Ben Afleck en est le témoin...
    leaci
    leaci

    1 abonné 38 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 21 juin 2013
    Parfaitement réalisé, ce film est vraiment très intéressant et nous apprend pleins de choses sur la mise en place de ce référendum et la lutte de l'opposition pour que le No l'emporte. Gaël Garcia joue encore une fois formidablement!
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 15 mars 2013
    Déroutant de par un postulat de départ pas facile (image dans un style très proche des images d'archive des années 80), le film montre vite toute la cohérence de ce choix. Tout d'abord, il mêle avec habilité les images d'archive et de fiction et ensuite cet aspect documentaire devient vite nécessaire. Gael García Bernal est parfait dans un rôle qu'il maîtrise de bout en bout.

    Au coeur de la campagne pour le référendum comme si on y était.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 14 mars 2013
    Gentillet. Franchement ca ne casse pas des briques. Réalisation à l'arrache, c'est moche, pas de musique, pas de narration prenante, avec un petit crescendo pour faire monter le suspense... La camapgne n'est pas géniale. Bernal est sympa comme d'hab ouais, mais bon. Mouep, ca se regarde mais bon, on se ferait presque ch...
    Très moyen.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 14 mars 2013
    Le premier exploit de ce film est de réussir une reconstitution historique parfaite : les spots publicitaires d'époque pour le No (et le Si aussi d'ailleurs) s'intègrent sans aucun décalage avec la fiction : combien de films parviennent t ils à ce résultat bluffant ?
    Le second est de rendre passionnante une très subtile histoire politique, même pour des spectateurs , comme moi, qui avait très vaguement entendu parler de ce référendum. A comparer au pédagogisme pesant du film de Spielberg "Lincoln".(par ailleurs lui aussi d'une grande subtilité)
    Le troisième est d'éviter tout manichéisme et de laisser chaque spectateur juger comme il l'entend de la stratégie des communicants qui,peut être, mais c'est une interprétation, font de la démocratie un produit comme un autre.
    Enfin, le "héros" est un personnage d'une richesse et d'une ambiguïté qui démontre un talent d'écriture peu commun, et porté par un acteur excellent.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 14 mars 2013
    Santiago du Chili, 1988. Après quinze ans de dictature, le général Pinochet croit pouvoir s’en remettre au peuple pour se faire réélire. Par référendum, celui-ci devra répondre « stop » ou « encore » !
    Dans une grande agence de publicité dirigée par un proche du pouvoir, il y a un jeune et brillant publiciste qui va mettre tout son talent au service du « No ! » Sa campagne audacieuse n’hésite pas à bousculer l’intelligentsia. Et à s’écarter de la déprime ambiante.
    Plutôt que de dénoncer encore et encore les souffrances infligées par le régime au peuple de gauche, René s’efforce de délivrer un message de joie et d’optimisme pour le futur. C’est sa façon de faire chanter les lendemains du « No ! »
    L’angle est original et la méthode permet aussi au réalisateur de brosser un nouvel état des lieux du Chili de Pinochet, ou les images d’archives viennent au soutien d’un constat plutôt sombre. Pari gagné pour Pablo Larrain et l’impeccable Bernal, pari perdu pour Pinochet...
    Piwi47
    Piwi47

    42 abonnés 246 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 14 mars 2013
    Les films politiques ont décidément la côte depuis quelque temps au cinéma. Décliné dans tous les genres possibles et inimaginables – du documentaire sur Obama à la comédie potache « Moi, député » avec Will Ferrell & Zach Galifianakis, en passant par le thriller « Les Marches du Pouvoir », voire le thriller d’action « Argo », la politique impressionne, interroge l’opinion publique et poursuit donc son bonhomme de chemin au cinéma avec la sortie de « No », un drame chilo-mexicano-américain co-produit et réalisé par Pablo Larrain. Adapté d’un scénario de Pedro Peirano, lui-même transposé d’après la pièce d’Antonio Skarmeta, « No » fut nommé à l’Oscar du meilleur film en langue étrangère lors de la dernière cérémonie en date.

    Pour obtenir une certaine cohérence dans la narration entre ses propres images, et celles d’archives, Pablo Larrain choisit de filmer avec des caméras d’époque, et particulièrement la caméra à tube Ikegami 1983, avec son image carrée, ses couleurs dénaturées et ses visages filmés en plans serrés.

    Si l’illusion d’homogénéité fonctionne plutôt bien sur le spectateur, en créant ce style « docu », nous sommes dubitatifs quant à cette solution de facilité et l’intérêt d’avoir fait de « No » une œuvre de fiction. « No » est certes un drame historique et social fort, mais pourquoi ne pas avoir carrément inclus les slogans arrivistes, les spots publicitaires propagandistes, le message anti-totalitarisme dans un documentaire (calibré Arte) plus global, dont la percussion et la force auraient frappé davantage ?

    Le procédé de mise en scène rend certes compte du pouvoir des images et plus largement des médias, mais la campagne électorale n’étant pas un sujet très bandant cinématographiquement parlant, on en arrive à regarder sa montre toutes les quinze minutes et prier pour que l’hymne redondant scandé par tous « Chili, la joie approche » s’arrête une bonne fois pour toutes.

    Rendons hommage tout de même à l’incroyable travail réalisé sur les décors & costumes du long métrage, qui offrent grâce au réalisme du passé.

    De même, le talent de Pablo Larrain pour distiller habilement tension psychologique (le calendrier du référendum, les intimidations et menaces proférées par les détracteurs du mouvement du NO) et sympathiques moments de détente (l’humour à travers les formats publicitaires de 15 minutes).

    Côté casting, saluons la remarquable et salutaire prestation de Gael Garcia Bernal, révélé dans « Amours chiennes » d’Alejandro Gonzalez Inarritu, puis dans « Y tu mama tambien » d’Alfonso Cuaron et « Carnets de voyage » de Walter Salles. Le jeune acteur se construit au fil des âges une filmographie éclectique et étincelante, à saveur internationale. Gael Garcia Bernal est entouré dans « No » de comédiens au cordeau, à l’image d’Alfredo Castro, acteur fétiche du metteur en scène.

    Bilan : Après « Tony Manero » en 2008 et « Santiago 73, Post Mortem » en 2010, Pablo Larrain poursuit son cinéma vérité en livrant le troisième volet de sa trilogie descriptive des combats versus le régime Pinochet. Dommage de ne pas avoir mis en boîte celui-ci sous la forme d'un documentaire.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 13 mars 2013
    Film sympa dans l ensemble malgré un démarrage assez lent, Gael Garcia bernal un poil décevant. Mais le sujet est très bien traite, pas d excès.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 23 décembre 2013
    phé-NO-ménal ! Pablo Larraìn s'attaque à un sujet très dur : la dictature de Pinochet en 1988... Traiter de ce thème à l'écran se révèle être une véritable épreuve, mais c'est avec brio que le réalisateur parvient à faire un grand film : artistique, beau, drôle... Tous les sentiments du spectateur sont convoqués dans ce long métrage, et tous fonctionnent : le scénario, ficelé à la pointe de la perfection fait de No un petit bijou du septième art : tantôt tragique, le film se retourne de par certaines situation presque burlesques, qui font apparaître un arc-en-ciel dans le sombre destin du Chili. Mais la véritable réussite de ce film ne réside pas dans ce qui est traité, mais dans le comment il est traité. Pour rendre son film le plus vivant possible, Larraìn monte son film comme un documentaire : d'une part, il utilise l'image d'archive (à plus d'un tiers du film) et d'autre part, il filme à l'épaule à la caméra d'époque, afin de ne créer aucune césure entre ces images d'archive, et les plans fictionnels... Et le plus étonnant est que le réalisateur parvient à monter un histoire, exploitant les moindres facettes de chacun des personnages et de chacune des situations. Pablo Larraìn expose donc ici un film d'une grandeur inégalable, bouleversant tant sur un plan émotionnel qu'artistique... Et si l'on vous demande "Et toi, No, tu iras le voir ?", optez pour le oui !
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 13 mars 2013
    Pablo Larraín clôture sa trilogie sur la dictature chilienne en décrivant les coulisses de l'incroyable campagne publicitaire qui permit de vaincre Pinochet. Un film classe, joyeux et atypique par sa mise en scène volontairement datée.

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