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Jean Francois L
14 abonnés
600 critiques
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2,0
Publiée le 20 décembre 2012
Film gentillet qui peut etre vu à la télé... Le couple Balasko- Jugnot correspond bien à ce qu'on attend d'eux. La "grande gueule révoltée" de Balasko nous laisse passer un message...Celui de l' immigration en France. C'est ce qui rend le film touchant mais qui ne laissera pas un grand souvenir.
Voila un film que je qualifierais plus de gentillet que de frais......Nul besoin de réfléchir, tout est simple.......Déception quand même par rapport à la distribution, Josiane Balasko, Gérard Jugnot qui dans un registre à moitié affectif nous sert des dialogues et des instants que l'on peut qualifier de globalement moyens....il y a des bons sentiments en effet, mais surtout, des instants de calme cinéma, qui imposent que l'on se laisse un peu aller, contaminer par l'atmosphère douce du film......peu de personnages, peu d'action, c'est un joli ronron qui peut effectivement délasser.....Un film pour bon public....
Un Film . Et en ces temps de crise et de grande morosité c'est déjà pas mal ! Et puis un quarté impeccable composé de Cornillac, Balasko, Jugnot et Richard ! Une fraîcheur comme on aimerait en voir plus souvent . Un très bon moment empli de bons sentiments .
Que dire de cette comédie familiale sinon qu'elle est très convenue et n'apporte pas grand chose. Josiane Balasko surjoue en permanence et Clovis Cornillac, très bon acteur au demeurant, semble s'ennuyer ferme. Cette comédie campagnarde au discours politico-social bien pensant permettra aux sympathisants du front de gauche de passer un moment pas désagréable dans une ambiance bucolique. Les autres seront agacés par un discours égalitaire bien naïf et iront rapidement voir ailleurs.
Un casting de haute volée sauve ce film qui, sans être inintéressant, est horriblement peu rythmé. Le scénar est archi convenu et l'histoire un peu mièvre est trop dégoulinante de bons sentiments. Malgré la gouaille de Balasko, Jugnot et Pierre Richard, on nage trop en Bisounours Land pour être captivé.
Ce film est contrasté avec quatre acteurs qui nous emmènent dans des situations engagées, compliquées, tendres, poétiques et grotesques tout à la fois. Oui c'est un film engagé qui ne mâche pas ses mots cependant le caractère outrancier de Balasko amène à penser qu'elle a de sérieux problèmes mentaux, ce que je crois ne pas être l'idée du film ou alors c'est ça, mais les différentes facettes qu'elle montre dans le film ne sont pas cohérentes : hystérique, envahissante, invivable, névrosée et tendre, aimante, compatissante ; c'est trop et l'effet est grotesque. Jugnot lui est un peu effacé forcement il subit et délire un peu comme un bon français paillard avec son copain Pierre Richard. Cornillac lui est malheureux, en crise de conscience il joue un personnage central pourtant assez calme, attachant et compréhensif. D'un côté un film feel-bad de mécontents et malheureux et de l'autre côté, le "mes héros" on suppose que c'est le petit noir qui va dire cela, des humains plus qu'humains avec leurs soucis du quotidien. Car on nous montre au milieu d'une pagaille faussement bourgeoise ou pas peu importe ici, à cause de la grande maison, un gros coeur humain. Et si le tout est intéressant et agréable par certains côtés, ce n'est pas bien cohérent et laisse un goût amer avec une fin alambiquée.
Un film bien sympathique même s'il manque une scène finale pour mieux conclure.Le sujet n'est pas nouveau en soi: un vieux couple qui se chipote sous le regard de leur fils qui fait une pause dans ses propres difficultés...mais le charme opère et ce vieux couple finit par devenir attendrissant et nous donne une merveilleuse leçon d'amour: c'est ça aussi le cinéma! le film est porté par un trio d'acteurs qui nous font fort bien vivre l'instant présent: josiane Balasko, Gérard Jugnot et Clovis Cornillac sont excellent...sans oublier dans un second rôle fort succulent le talentueux Pierre Richard parfois trop vite oublié ces dernières années.
Tout petit film qui trouve une certaine valeur à travers la prestation de Balasko qui en profite pour mettre en avant son esprit soixantehuitard attardé et politique. Très...Très...léger
Même si ces acteurs font maintenant partie du patrimoine français, on peut se demander s'il n'est pas temps, comme le demande la commission européenne, de réformer le système de subventions du cinéma:
Balasko militant pour les sans-papiers comme à la télé, et Jugnot avec une barbe se promenant dans la forêt, comme dans Merlin, un bon téléfilm.
On retrouve la recette du bon vieux classique Tatie Danielle dans Mes héros, où le couple de vieux grincheux Balasko/Jugnot n'arrête pas de se tirer la tronche tout en balançant bien des répliques grinçantes devant un fils (Cornillac) pris entre deux feux dans une histoire quelque peu humaniste. Un humour sous acide pour des parents comme il en existe tant et un public qui se bidonne, un soupçon d'émotion: un bon moment à passer en famille.
Un couple presque devenu un mythe classique...depuis les bronzés. J B en mère et épouse bien rebelle et sans langue de bois...et G J en vieux mari et père très champêtre et nostalgique. Un parfum de famille Française bien typé. C C campe un jeune entrepreneur en quête de renouveau et le salut il le trouve dans ce retour aux sources...du bien pensant,mélancolique mais souvent sans surprise.
Film divertissant simple et fluide: du bon cinéma Français sans fausse note sur un sujet volontairement engagé. Manque un peu de rebondissement mais bon c'est vrai que j'adore l'action et parfois ce film en manque...