Avis : Minuscule - La vallée des fourmis perdues - Page 3

Un film d'animation en 3D qui fourmille d'idées. On ne s'ennuie pas. un pur régal pour les enfants mais aussi pour les parents !! N'hésitez pas Fonçer !!

Minuscule comme le scénario, les idées et le plaisir. Passez votre chemin et n'écoutez pas la dythirambe franchouillarde. Fourmiz avait fait beaucoup mieux.

J'ai ri pendant le film tellement c'est mauvais, je ris à nouveau en lisant les critiques sur ce site!
Minuscule est d'un intérêt vraiment minuscule!! Ce n'est pas drôle, c'est d'un ennui mortel, il doit y avoir 10 minutes de film pour 80 minutes de remplissage avec des plans et des paysages répétitifs, longs et inutiles, le scénario est linéaire et plat, les bruitages de la fourmi et de la coccinelle deviennent insupportables à la longue, il n'y a pas une once de réalisme sur la vie des insectes, ceux qui imaginent les fourmis de B. Werber, laissez tomber et ce n'est même pas émouvant tant les personnages sont dénués d'expressions (réduites aux mouvement des yeux). Allez-y pour votre nièce de 4 ans ou n'y allez pas, il y a trop de films à voir en priorité.

WAOUH fantastique !! une bouffée de printemps avant l'heure !! tout y est ! il ne manque rien !!!! les émotions sont aux rendez vous nous avons adoré !! A voir et à revoir sans conteste.

Remarqué par un premier court métrage, Minuscule est par la suite devenue une série à succès désormais portée sur grand écran. Un nouveau pari pour ses créateurs et réalisateurs Thomas Szabo et Hélène Giraud de passer d'un format de 4 à 7 minutes à un véritable long métrage d'une heure trente. L'occasion aussi de s'ouvrir à un plus large public qui découvrira pour la première fois cet univers.

Minuscule, La Vallée Des Fourmis Perdues c'est l'histoire d'une boite de sucre, abandonnée par un couple d'amoureux lors d'un picnic. Un véritable trésor qui va faire la convoitise de toutes les fourmis de la région jusqu'à déclencher une bataille sans précédent. Un conflit dans lequel une pauvre jeune coccinelle blessée et égarée va se trouver mêlée bien malgré elle...

Pour ceux qui ne connaîtraient pas encore Minuscule, l'idée de Thomas Szabo et Hélène Giraud était de filmer la vie quotidienne des insectes de façon documentaire et humoristique. De petits héros du quotidien auxquels ils se sont permis de greffer des yeux tout ronds très cartoon, seule disgression à la réalité. Des histoires sans dialogue ni voix off où l'on entend juste le bruit des ailes et quelques trompettages en guise de langage. Un film qui fait forcement penser au documentaire Microcosmos qui emprunte la poésie de Miyazaki et rappelle aussi le récent Epic dans sa façon de nous présenter ce petit monde invisible.

Pour sa version sur grand écran, le duo n'a quasiment rien changé à sa façon de travailler. L'image est juste passée du 16/9ème au format cinémascope post-converti en 3D. Histoire de meubler un peu plus, les deux réalisateurs ont apporté un soin particulier à la musique du film pour marquer la narration. Le résultat donne un film très réussi avec de nombreuses scènes épiques avec poursuites dans les airs trépidantes et une grande scène de bataille près d'une fourmilière assiégée qui ferait presque penser à la bataille du Gouffre de Helm dans Le Seigneur Des Anneaux.

Ceux qui en revanche connaissent bien la série, reconnaîtront forcement certains emprunts dans ce long métrage. Sans savoir si ce sont les mêmes personnages ou d'autres insectes, on reconnaîtra quelques situations déjà vues comme si le film se voulait une compilation des meilleurs moments de la série. Un des points faibles de cette histoire c'est bien justement qu'aucun de ces insectes ne portent de signes distinctifs qui permettrait de les identifiers. C'est ainsi qu'à la fin du film on se demande si notre ami coccinelle a réussi à retrouver sa famille où bien fondé une autre.

Avec cette version longue de Minuscule, les deux réalisateurs ont certainement réussi l'aboutissement de leur concept. Un long métrage ambitieux et très réussi qui n'aura rien à envier à certaines productions américaines. Un film à découvrir en famille qui séduira sans peine petits et grands.

Non pas de spoiler ici.
Film pour enfant, peut-être. Avec des réserves, voir plus loin.
Le scénario contient de quoi intéresser une quinzaine de minutes, sans la moindre caractérisation des personnages et un nombre limité de séquences. Il faut supporter une heure quinze de trop.
Belles photos statiques de montagne. OK. Plaidoyer pour la nature? Non.
Musique d'une lourdeur et d'une prétention insoutenables.
Donc, ce n'est pas un grands D.A. pour adultes.
Et pour enfants ? Bof. La guerre bien propre, abime les fourmilières et ne tue personne. Par contre tuer quelqu'un qui se moque d vous, c'est acte de héros.
Passez votre chemin.

Bon, d'accord, c'est bien foutu, c'est joli, c'est mignon, c'est trognon. L'idée de ne pas faire parler les petites bestioles est plutôt bienvenue. Mais par contre... l'histoire... maaazette... D'un côté les gentils, de l'autre les méchants, et qu'est-ce qu'ils font les gentils et les méchants, eh bien ils se spoiler: font la gueguerres, pan pan je te tue, boum badaboum je t'envoie une bombe dessus...
Résultat j'ai passé la projo à penser à mon ami Hayao, Miyazaki vous l'aurez reconnu, qui lui s'y prend autrement quand il souhaite imaginer un récit pour les enfants (et pas seulement). Ici le scénario est creux à mourir, désespérant de banalité. Un beau gâchis, comme on dit.

Super dessin animé, les enfants comme les parents ont aimé!

Tous les enfants pleuraient, c'est hypercontenplatif (10 min par levé et couché de soleil) une action et une blague dans tout le film.
Mon conseil aller au toilette quand il a un levé de soleil ( il y en 3 ou 4 dans le film)

Bizarre... Ca commence comme Le Cinquième Elément (des insectes filmés comme des navette spatiales, et quelle idée de mettre des bruits de moteur sur ces petits volatiles ???), ça se poursuit comme Microcosmos (du couple allongé sous un arbre aux petits êtres vivants dans les herbes) et ça continue étrangement comme The Artist... un film sans paroles qui met en scène des insectes communiquant pour ainsi dire par leurs comportements face à des situations très particuières... Un concept d'ailleurs sans aucun intérêt dès lors que les personnages pricncipaux sont tous dotés de réflexes et de comportements éminemment humains ! Pour couronner le tout, j'aurais appelé ça Rectiligne et non Minuscule tant l'intrigue sans ellipses ni vrai moment de halte et d'introspection déroule sur un rythme monocorde sa carcasse d'un point vers un autre, de façon géographique, horizontale avec ce qu'il faut de petits rebondissements sur le trajet... Voilà qui rend l'ensemble bien chiant et pour le coup vraiment taillé pour les petits euh... les minuscules. Pour les moins minuscules, passez votre chemin !

Ce long-métrage d'animation (plutôt pour enfants) conjugue joliment prises de vue réelles (pour les décors) et animation (pour les personnages-insectes, incrustés en images de synthèse). Le fondu est assez bluffant, à l'exception d'une ou deux scènes où le résultat n'est pas très heureux, notamment lors de la chute de la boîte à sucre, de la canette et du poisson dans le torrent. Autre parti pris : l'absence de dialogue, plutôt audacieuse dans un film qui se veut grand public. L'expressivité des petites créatures est assurée par des bruitages très travaillés, drôlement surréalistes, par l'animation des yeux, hypertrophiés, qui représentent l'un des rares traits anthropomorphiques, et par un certain sens du burlesque animalier. C'est réussi. L'intrigue, quant à elle, prend la forme d'un road-movie dont le contexte "sociologique" évoque celui de Microcosmos et dont l'action semble curieusement inspirée des lectures de... Tolkien ou des adaptations ciné de Jackson (avec le sucre qui fait office de "précieux", les fourmis rouges dans le rôle des orques, la fourmilière qui remplace la montagne, une guerre aux accents épiques...). Tout cela est assez amusant, sympathique, rafraîchissant. On peut quand même tempérer légèrement le concert de louanges critiques suscitées par le film. À titre de comparaisons, ces aventures n'atteignent pas l'inventivité débridée et détonante des meilleurs Pixar, ni la poésie des Miyazaki. Elles n'en constituent pas moins un agréable et gentil divertissement.

Ce film est conseillé à partir de 3ans. Je dirais plutôt : pas au-delà. J'ajouterais même que, si vous connaissez une bambin insupportable dans votre entourage, alors amenez-le voir ce film. Il ingurgitera ainsi plus d'une heure de débilité à plein volume.

Le scénario, tout d'abord : une histoire complètement bateau, l'attaque d'une fourmilière par une colonie de fourmis rouge convoitant du sucre.
Cela posé, le film débute par une vue bucolique aux allures d'embouteillage parisien : fermez les yeux, on s'y croirait. Ravissant...
Le premier tiers du film consiste en l'acheminement des morceaux de sucre, ponctués de "Bîîîîîîîzzzzz" frôlant le prout -la voix de la coccinelle- et de coups de sifflet de gendarme -celle de la fourmi. On a les oreilles qui saturent et on reste sidérés par cette conception primaire des dialogues entre des personnages d'animation.
Les relations entre les protagonistes restent à l'état d'esquisse, rien n'est expliqué ni même suggéré, allez savoir pourquoi la coccinelle accompagne les fourmis...Ah, oui, son aile est abimée. D'accord....

La deuxième partie du film consiste en l'attaque de la fourmilière et la riposte des gentilles fourmis noires.
Après une sommaire vue de l'intérieur de la fourmilière, nous est présentée une reine des fourmis qui "chie" ses œufs et communique aussi à coups de sifflet, mais plus fort.
S'ensuit un assaut bidon, une expédition de la coccinelle pour aller chercher une boite d'allumette, au cours de laquelle elle rencontre l'âme sœur, et un retour triomphal des libérateurs au milieu de la débâcle des fourmis rouges.

La bande sonore, hollywoodienne, outrancière, cherche en vain à pallier l'absence d'émotion de ce film et ne le rend que plus insipide.
Les scénaristes prennent également trop de liberté avec les réalités physiques et biologiques ; passe encore qu'une coccinelle soulève une boite d'allumette ou qu'une fourmi porte six morceaux de sucre, mais les coccinelles ne se nourrissent pas de baies et ne vivent pas en famille.
Enfin, les références nostalgiques à la France (la deux-chevaux, le billet Pascal) ainsi qu'à Tolkien (la bataille dans une rivière et l'attaque de la fourmilière) nous donneraient presque l'impression que le cinéma d'animation français est heureux, et fier, de se cantonner à la production d'inepties.

Là où les films d'animations US parviennent à proposer des films réellement tout public, ici ce navet déçoit sur le plan pédagogique et scénaristique. A déconseiller, aux petits comme aux grands.

Je suis allé voir minuscule avec mes enfants, quelle déception. Le film est lent, mais lent et long. J'étais impatient qu'il finisse, alors je vous laisse imaginer mes enfants (4 et 3 ans).
Malgré 2/3 sourires arrachés, franchement pas de quoi aller gaspiller 10€. Passez votre chemin.

Très original, drôle, beau.
Mes enfants ont adoré.
Perso, j'aurais mis 4.5, mais bon, je me suis rangé à l'enthousiasme général!

C'est sacrément bien fait, c'est un pari osé de faire sans paroles, mais ça n'est pas décoiffant et pas assez souvent drôle (cf les rires dans la salle) Décevant et longuet... looooonguet...