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    El Chino
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    3,8
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    79 critiques spectateurs

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    marseyopolis
    marseyopolis

    18 abonnés 259 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 25 novembre 2012
    Un bonheur… Une histoire jouée magnifiquement, et tellement drole. Tout en retenue.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 25 octobre 2012
    Un grand film composé de petits détails qui le rendent amusant, touchant, intelligent. Le personnage principal, campé à la perfection par un Ricardo Garin au top de sa forme, est un quincaillier grincheux qui possède un certain nombre de tics : ils compte le nombre de vis dans les boîtes pour vérifier qu'il correspond à celui inscris, il attend que son réveil marque 23h pour éteindre la lumière et dormir, et surtout il collectionne les histoires insolites dans les journaux. Tous ces détails, ainsi que ses différentes habitudes de vie et la manière qu'il a d'interagir avec ses clients ou ses amis nous dressent un portrait impressionniste, par petites touches, de cet homme complexe, blessé, seul. El Chino n'est pas une simple comédie, ce film parle d'amour, de la vie, du hasard, de l'absurde, de la guerre, des convictions, de l'amitié, des a priori, etc. C'est un film très riche, que l'on découvre progressivement, comme chacun des personnages. Après Dans ses yeux, Carancho et maintenant El Chino, je ne comprends pas que Ricardo Darin ne soit pas inondé par les propositions de films de toutes nationalités... Bientôt, peut-être ! En attendant, découvrez-le dans ce beau film.

    Source : Plog Magazine, les critiques des ours
    http://lescritiquesdesours.blogspot.fr/2012/02/el-chino.html
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 2 mars 2013
    Comédie argentine légère et drôle, un bon moment passé excellemment servi par le grand Ricardo Darin!!
    landofshit0
    landofshit0

    274 abonnés 1 745 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 novembre 2012
    la rencontre des deux personnages,l'un homme bourru et l'autre chinois perdu en argentine ne parlant pas un mot d'espagnol.Les petites touches humoristiques viennent ponctuer cette petite histoire sympathique mais qui reste tout de même un peu longuette et sans véritable contenu.
    Myene
    Myene

    18 abonnés 373 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 août 2013
    Ricardo Darin met tout son talent au service d'une histoire improbable mais qui nous touche comme chaque fois ou un coeur blessé s'ouvre à nouveau à l"altérité.
    wesleybodin
    wesleybodin

    1 109 abonnés 3 864 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 juillet 2012
    Histoire émouvante portée par un formidable casting (Ricardo Darin en tête) où le rire et le drame s'accorde parfaitement.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 22 février 2013
    Un film vraie. Même si la situation est absurde, tout est vraie, tout sonne juste, chaque personnage a sa place.
    On y découvre deux culture opposées, avec une barrière de la langue quasi infranchissable, mais surtout on entre tour à tour dans l’incompréhension des deux protagonistes qui chacun sont incapable de comprendre l'autre.
    Une vraie bouffé d'air. Un film à voire. Vous ne le regretterez pas
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 21 mai 2012
    Ricardo Darin revient une nouvelle fois face à la caméra après les succès notoires de "Les neuf reines" et "Dans ses yeux". Cette fois ci, c'est Sebastian Borensztein (réalisateur de "Sin memoria" et de "la suerta esta echada") qui le met en lumière dans une réalisation sobre mais tellement efficace. Pas besoin d'artifice pour conter cette fable humaine d'un chinois qui débarque en Argentine sans un sou et ne connaissant pas un mot d'espagnol. Il va être accueilli par Roberto, petit commerçant bougon et coincé dans sa monotonie et dans sa solitude. Ce grain de sable dans les rouages bien huilés de la vie de l'argentin va le forcer à se dévoiler et à sortir de son ennui dans lequel il se plait tant révélant alors un homme au grand coeur derrière sa carcasse. Heureusement, Borensztein ne tombe pas dans les pièges que son scénario lui tend en ne montrant pas son personnage principal effectuer de grandes actions d'homme au bon coeur recueillant un réfugié. Il s'efforce plutôt de garder une ligne de conduite sobre et simple dans laquelle il incorpore quelques éléments d'humour et d'absurde qui dévoilent son personnage sans tomber dans le grandiloquent. Les plans sont lents mais parfaitement maîtrisés et les couleurs ainsi que les situations ne sont pas sans rappeler un certain Jeunet : faîtes rencontrer Roberto et Amélie Poulain et vous obtiendrez un couple qui se comprendrait à la perfection. 
    Non sans quelques défauts, Un cuento Chino (titre original du film signifiant "à dormir debout") se regarde avec un plaisir malicieux et le thème du recueil d'un immigrant, même s'il est relégué au second plan, est traité de manière complètement différente de ce que l'on a l'habitude de voir ces dernières années.

    Pierre E.
    CBTR : http://comebackfrommovietoreality.blogspot.fr/2012/05/critique-el-chino-sebastian-borensztein.html

    Synopsis :
    L'histoire insolite d'un Argentin et d'un Chinois unis par une vache tombée du ciel ! Jun débarque mystérieusement en Argentine. Perdu et ne parlent pas un mot d'espagnol, il tombe littéralement sur Roberto, quincailler maniaque et célibataire grincheux, qui le recueille malgré lui. Ce grain de sable dans la vie très réglée de Roberto va peu à peu le conduire, de situations absurdes en drôles de coïncidences, à changer imperceptiblement...
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 8 mai 2012
    une comédie fraîche, sincère, et superbement interprétée. Un seul regret:que le film ne soit pas plus distribué en France. Ricardo Darín est impressionnant d'authenticité, et les deux autres acteurs amènent beaucoup d'humanité au service d'un scénario simple mais efficace. A voir!
    annereporter94
    annereporter94

    49 abonnés 1 006 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 3 mai 2012
    Un de ces films qui passe comme un ovni sur les écrans français. Très peu de spectateurs ont eu la chance de le voir et pourtant, c'est un film remarquable, sensible, émouvant et absurde. Car la vie est souvent absurde comme le montre le héros de ce film en découpant dans les journaux toutes les histoires abracadabrantes que l'on peut évoquer ici ou là. Donc, un film à voir et à apprécier à sa juste valeur...
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 27 avril 2012
    Comment un chinois romantique et un argentin cynique séparés par des milliers de kilomètres peuvent être amenés à se rencontrer ? C'est toute la magie d'El Chino, qui nous emporte dans une histoire aussi improbable que touchante, en faisant évoluer un duo d'acteurs qui fonctionne grâce à sa simplicité, et qui nous attendri tout en nous faisant rire.

    D'un côté il y a Roberto, quincailler renfrogné, solitaire de la première heure, qui mène une vie structurée minute après minute et qui oscille entre manie chronique et cynisme incessant. Il ne rentre en contact avec le monde extérieur qu'à travers sa petite boutique, occupé à renseigner des clients qu'il déteste et à compter et recompter ses achats et ses ventes. Mais dès que le rideau tombe, que le panneau est retourné sur "Cerrado" il disparaît de la société, vivant comme un ermite dans une maison vide et sombre. Pourtant il y a cette femme, Mari, plutôt charmante et désireuse de le connaître d'avantage, qui essaie en vain de pénétrer cette porte close. Roberto n'y prête pas attention, s'appliquant à classer dans ses dossiers toutes les morts les plus incroyables qu'il peut lire dans les journaux, coutume principale de sa vie étrange.

    Jun quant à lui a tout perdu, venu en Argentine pour retrouver une famille oubliée il se transforme rapidement en vagabond : Incapable de parler espagnol, empreint de maladresse, cette terre argentine à l'opposée de sa Chine natale lui fait l'effet d'un autre monde. C'est en rencontrant Roberto, plus ou moins par hasard, que le destin de ses deux hommes va changer. L'argentin a beau être solitaire et cynique, il n'en reste pas moins un être humain au grand cœur. Incapable de laisser ce chinois errer dans les rues, il va l'héberger, à ses risques et périls.

    Le film prend donc une tournure humoristique inhérente au choc des cultures : Entre Roberto qui créer un calendrier de départ de manière brutale et Jun qui fait la poule en guise de carte du menu, leurs rapports sont véritablement hilarants. Néanmoins, pour un duo qui ne s'adresse pas la parole de manière directe, il y a cette relation étrange qui se noue. Une relation presque fraternelle, entre attention et rejet, entre amour et haine. Une complicité qui va ouvrir la voie à un renouveau pour les deux personnages. Roberto, malgré lui, va se mettre à vivre différemment et les quelques péripéties qui vont accompagner cet hébergement vont lui permettre d'y voir plus clair. En fin de compte, El Chino dévoile l'histoire de deux hommes meurtris, qui gardent leurs peines pour eux, chacun à leur manière, et qui vont essayer de comprendre le sens de ses peines, et tenter de les mettre derrière eux.

    Les séquences s'enchaînent de manière très sobre, entre humour et tragédie, la réalisation accompagnant cette sobriété, certes quelque fois peu inspirée, mais si à l'aise pour représenter ce cadre intimiste. Les acteurs sont justes, ils dirigent les scènes à eux seuls, avec leurs regards, leurs expressions, et leurs gestes, qui transpirent de naturel. Une véritable interrogation personnelle sur un fond original, drôle et souple, qui rappelle à quel point le cinéma peut être simple et beau.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 23 avril 2012
    La vie est absurde. Il suffit de lire les pages cinéma de l'Equipe pour s'en rendre compte.
    Les anges perdent leurs ailes et choient en bordures des aéroports. Maggie la Bouchère tente de fourguer la vache folle qu'elle cuisine en secret mais elle se trompe de date et s'embourbe dans le guano. Du coup les bovins tombent des nues et les Chinois abasourdis vont se retaper en prenant le bon air en Argentine. Sur l'écran d'à côté, Merryl Streep use ses derniers liftings à nous faire croire que la Dame d'Enfer était une lady. C'est fou.
    Tout ceci serait insensé si le hasard, sans lequel Carlos Gardel chanterait encore Toulouse, n'existait réellement.
    Sebastian Borensztein, réalisateur d'El Chino, croit au hasard. Il s'en sert pour accomplir son œuvre avec une perversité diabolique pleine d'humour. Car si l'homme est naturellement bon, force est de reconnaître qu'il ne rit que du malheur des autres.
    El Chino est un de ces anges imparfaits qui ne savent pas marcher sur l'eau et il manque de se noyer dès le début quand Dieu, toujours farceur, coule son canot avant qu'il ne pêche par la chair. Pour lui apprendre, on l'envoie étudier la vie des bêtes en Argentine et il tombe à point nommé dans un pays où il n'y a de bon rosbif que saignant.
    Le missionnaire céleste, discret jusqu'au mutisme, se contente de babiller des borborygmes incompréhensibles non sous-titrés à seul fin d'attirer la pitié. C'est très malin pour un ange. Il force ainsi les protagonistes à dévoiler leur véritable nature, on ne peut plus sombre. Il devient l'enjeu du tango endiablé que danse un couple infernal, au sein duquel l'amour bute contre l'orgueil et les passions inavouables.
    Avant que l'ange n'arrive, tout va bien puisque c'est la guerre. Les hommes rient car leur front s'élargit, les femmes pleurent car les arènes sont vides, et les enfants soupirent devant leur assiette vide car le hachis en est encore à la tranchée. Les soldats abreuvent d'un sang impur des sillons infertiles tandis que leurs compagnes font de même à la lune.
    Puis, la paix s'abat sur le champ d'honneur et chacun trace de son côté son chemin de joies solitaires. Trente ans passent.
    Sous une blouse de quincailler, l'homme, aussi atrabilaire qu'un coq hardi, abrite des œuvres d'art dont il fait le trafic. Il séduit sans le vouloir sa voisine, qui cache difficilement ses activités de spéculatrice laitière sous des lainages informes. Entre les deux amants honteux la tension monte de façon palpable car il est abstinent et elle est infidèle.
    El Chino cherche à rétablir l'amour et la sérénité en les convertissant à l'altermondialisme version mai soixante-neuf.
    Et c'est là le véritable propos du réalisateur, suppôt d'un humanisme pro-chinois plus subversif que les Confessions de Saint-Augustin, et dont la Dame d'Enfer nous aurait débarrassé d'un seul coup d'Exocet, la lèvre supérieure rigide, en ces temps regrettés où le poids de la morale se mesurait encore en livres.
    Borensztein fait partie de cette nouvelle vague de metteurs en scène adeptes de la sobriété heureuse si contraire à l'orthodoxie culturelle du FMI.
    A quoi reconnaît-on ces infâmes suborneurs de la classe moyenne occidentale qui remplit les cinémas et les caisses de la Fox ?
    Tout d'abord, ils prétendent filmer avec peu de moyens ce qui crée du chômage chez les artistes sans talents qui ne peuvent plus faire de figuration, monter des décors ou grimper aux rideaux.
    Ensuite ils usent systématiquement de couleurs fanées, de voitures à la carrosserie mate et de personnages mal coiffés. Cet esthétisme nostalgique des années '60, déjà à l’œuvre dans Le Havre, est un rejet clair des valeurs fondatrices de notre démocratie moderne, dont les lumières fluorescentes et les parures dorées s'étalent sensuellement sur les peaux satinées des femmes-objets irréelles de sexualité débordante offertes dans les pages de Voici.
    Enfin, ces gens-là n'aiment pas les chiens donc ils détestent leurs meilleurs amis. Dans El Chino, pas un cabot si ce n'est un Pékinois filmé par erreur dans l'arrière-cuisine d'un restaurant cantonnais.
    Le cinéaste sinophile est cynophobe. [...] La suite et d'autres critiques absurdes sur http://ad-absurdum.eklablog.net
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 5 mai 2012
    Toujours une joie de découvrir le Gaucho Ricardo Darin à l'écran, hélas il s'agit d'un film trop souvent plat pour "kiffer". Quelques scènes sympas et la découverte d'une communauté atypique donnent un petit intéret à ce film.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 26 mars 2012
    Trop dispersé... difficile de s'intéresser à cette histoire sans queue ni tête. J'ai trouvé le temps horriblement long, j'étais content que ça s'arrête. Finalement, à quoi sert ce film ? Peu convaincant.
    lugini
    lugini

    18 abonnés 245 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 23 mars 2012
    Magnifique. Film très original et humain. Ricardo Darin toujours excellent. Le jeune garçon chinois est très attachant.
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