Mon compte
    El Chino
    Note moyenne
    3,8
    468 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur El Chino ?

    79 critiques spectateurs

    5
    7 critiques
    4
    31 critiques
    3
    29 critiques
    2
    9 critiques
    1
    3 critiques
    0
    0 critique
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    MargauxBa28
    MargauxBa28

    3 abonnés 19 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 juin 2016
    Insolite, déjanté, et très drôle ! C'est tout ce qui résume ce très bon film qui illustre l'amitié d'un cinquantenaire solitaire et grognon qui ne veut pas être dérangé dans sa petite vie tranquille, et un chinois tombé littéralement du ciel. Insolite mais très bien écrit, ce film est aussi très bien jouer.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 20 février 2012
    J'ai mis 3 étoiles pour ne pas descendre le film, en terme de notation, car les autres films à grande production du moment méritent le 2 ou le 1. A mon humble avis c'est un bon petit film à 2 étoiles qu'on voit qu'une fois, qui fait passer un bon moment mais pas de quoi s'extasier, car le duo Chino-argentin pêche parfois par des lenteurs et l'aboutissement est connu d'avance.
    J'ai cru en lisant le synopsis que les 2 personnages allaient être radicalement opposés, il n'en est rien, et cela se voit en terme d'opposition, il y a comme un flottement gênant pour le spectateur qui attend un combat ou une surprise.
    Je reconnais que l'acteur principal est bon avec ses manies de compter les clous, d'être grincheux et au final il n'est pas méchant , il est humain et bon comme le dit l'actrice amoureuse de lui, qui respire la fraîcheur et le dynamisme latin.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 25 février 2012
    Un bon moment et l'occasion d'apprendre un certain nombre de jurons en espagnol !
    Jorik V
    Jorik V

    1 273 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 septembre 2017
    On rentre dans « 7 jours pas plus » comme dans des petits chaussons. On retrouve un Benoit Poelvoorde en français moyen bougon et maniaque, on assiste à la rencontre de deux être que rien ne prédisposait à se croiser mais qui vont s’enrichir humainement l’un et l’autre, il y a de nombreuses touches d’humour dues aux sempiternels clivages culturels, le Nord est filmé de manière grisâtre et triste, une histoire d’amour improbable se noue entre deux personnages, … Bref rien de que du très attendu dans ce long-métrage français d’Hector Cabello Reyes qui réalise ici le remake du film argentin « El Chino ». Un gros succès en son pays où, en lieu et place d’un français et d’un hindou, c’était un argentin et un chinois qui se rencontraient.

    On n’est donc jamais surpris par cette petite comédie mais, dès les premières scènes, le charme opère. On la trouve d’emblée sympathique à défaut d’être originale ou renversante. Et son argument principal, sa pièce maîtresse ou encore son cœur névralgique est sans conteste Benoit Poelvoorde qui est encore une fois éblouissant de drôlerie dans un rôle qui lui va comme un gant, même si on a l’impression qu’il l’a déjà joué maintes fois. Mais, à l’instar d’un Bacri ou d’un Luchini, s’il incarne souvent des rôles semblables, il leur donne tellement de chair et leur apporte tant de petits détails qui les rendent singuliers qu’on ne peut qu’adhérer. De voir ce grand acteur belge qui sait finalement tout jouer s’emparer de son rôle favori et de lui apporter à chaque fois de nouvelles expressions dans la bougonnerie ou la colère est un pur plaisir de spectateur. On ne voit que lui et, contrairement à d’autres films plus anciens, il n’en fait jamais trop ici.

    « 7 jours pas plus » s’avère donc très drôle dans de nombreuses situations et nous détend gentiment durant une petite heure. Puis la machine se grippe un peu vers la fin. Le rire se fait plus rare, le rythme est moins vif et le scénario radote un peu. On n’aime guère non plus la vision faite de la police française très caricaturale comme celle du monde agricole. Et, les bobines passant, on se retrouve finalement face à une gentille comédie qui ne laissera pas forcément de traces dans les mémoires bien qu’elle fasse passe un moment agréable. Du niveau d’un bon téléfilm, on apprécie la façon dont les différences de cultures sont présentées avec humour et acuité tout comme le versant humaniste du long-métrage qui voit deux hommes opposés s’apprivoiser et apprendre l’un de l’autre. Au final, c’est juste sympathique mais c’est déjà pas mal.
    Backpacker
    Backpacker

    79 abonnés 780 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 mars 2014
    Voici un film assez cocasse et délirant, porté comme toujours par l'excellent Ricardo Darin, acteur argentin vedette. On aurait pu espérer un peu plus de profondeur mais on ne s'ennuie pas. Et c'est très drôle.

    A ne pas manquer.
    wesleybodin
    wesleybodin

    1 114 abonnés 3 864 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 juillet 2012
    Histoire émouvante portée par un formidable casting (Ricardo Darin en tête) où le rire et le drame s'accorde parfaitement.
    lugini
    lugini

    18 abonnés 245 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 23 mars 2012
    Magnifique. Film très original et humain. Ricardo Darin toujours excellent. Le jeune garçon chinois est très attachant.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 23 avril 2012
    La vie est absurde. Il suffit de lire les pages cinéma de l'Equipe pour s'en rendre compte.
    Les anges perdent leurs ailes et choient en bordures des aéroports. Maggie la Bouchère tente de fourguer la vache folle qu'elle cuisine en secret mais elle se trompe de date et s'embourbe dans le guano. Du coup les bovins tombent des nues et les Chinois abasourdis vont se retaper en prenant le bon air en Argentine. Sur l'écran d'à côté, Merryl Streep use ses derniers liftings à nous faire croire que la Dame d'Enfer était une lady. C'est fou.
    Tout ceci serait insensé si le hasard, sans lequel Carlos Gardel chanterait encore Toulouse, n'existait réellement.
    Sebastian Borensztein, réalisateur d'El Chino, croit au hasard. Il s'en sert pour accomplir son œuvre avec une perversité diabolique pleine d'humour. Car si l'homme est naturellement bon, force est de reconnaître qu'il ne rit que du malheur des autres.
    El Chino est un de ces anges imparfaits qui ne savent pas marcher sur l'eau et il manque de se noyer dès le début quand Dieu, toujours farceur, coule son canot avant qu'il ne pêche par la chair. Pour lui apprendre, on l'envoie étudier la vie des bêtes en Argentine et il tombe à point nommé dans un pays où il n'y a de bon rosbif que saignant.
    Le missionnaire céleste, discret jusqu'au mutisme, se contente de babiller des borborygmes incompréhensibles non sous-titrés à seul fin d'attirer la pitié. C'est très malin pour un ange. Il force ainsi les protagonistes à dévoiler leur véritable nature, on ne peut plus sombre. Il devient l'enjeu du tango endiablé que danse un couple infernal, au sein duquel l'amour bute contre l'orgueil et les passions inavouables.
    Avant que l'ange n'arrive, tout va bien puisque c'est la guerre. Les hommes rient car leur front s'élargit, les femmes pleurent car les arènes sont vides, et les enfants soupirent devant leur assiette vide car le hachis en est encore à la tranchée. Les soldats abreuvent d'un sang impur des sillons infertiles tandis que leurs compagnes font de même à la lune.
    Puis, la paix s'abat sur le champ d'honneur et chacun trace de son côté son chemin de joies solitaires. Trente ans passent.
    Sous une blouse de quincailler, l'homme, aussi atrabilaire qu'un coq hardi, abrite des œuvres d'art dont il fait le trafic. Il séduit sans le vouloir sa voisine, qui cache difficilement ses activités de spéculatrice laitière sous des lainages informes. Entre les deux amants honteux la tension monte de façon palpable car il est abstinent et elle est infidèle.
    El Chino cherche à rétablir l'amour et la sérénité en les convertissant à l'altermondialisme version mai soixante-neuf.
    Et c'est là le véritable propos du réalisateur, suppôt d'un humanisme pro-chinois plus subversif que les Confessions de Saint-Augustin, et dont la Dame d'Enfer nous aurait débarrassé d'un seul coup d'Exocet, la lèvre supérieure rigide, en ces temps regrettés où le poids de la morale se mesurait encore en livres.
    Borensztein fait partie de cette nouvelle vague de metteurs en scène adeptes de la sobriété heureuse si contraire à l'orthodoxie culturelle du FMI.
    A quoi reconnaît-on ces infâmes suborneurs de la classe moyenne occidentale qui remplit les cinémas et les caisses de la Fox ?
    Tout d'abord, ils prétendent filmer avec peu de moyens ce qui crée du chômage chez les artistes sans talents qui ne peuvent plus faire de figuration, monter des décors ou grimper aux rideaux.
    Ensuite ils usent systématiquement de couleurs fanées, de voitures à la carrosserie mate et de personnages mal coiffés. Cet esthétisme nostalgique des années '60, déjà à l’œuvre dans Le Havre, est un rejet clair des valeurs fondatrices de notre démocratie moderne, dont les lumières fluorescentes et les parures dorées s'étalent sensuellement sur les peaux satinées des femmes-objets irréelles de sexualité débordante offertes dans les pages de Voici.
    Enfin, ces gens-là n'aiment pas les chiens donc ils détestent leurs meilleurs amis. Dans El Chino, pas un cabot si ce n'est un Pékinois filmé par erreur dans l'arrière-cuisine d'un restaurant cantonnais.
    Le cinéaste sinophile est cynophobe. [...] La suite et d'autres critiques absurdes sur http://ad-absurdum.eklablog.net
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 20 mars 2012
    j'ai adoré cette histoire, ce scénario complètement improbable au départ, qui peut croire qu'une vache tombant du ciel, un chinois d'un taxi et tout çà mis bout à bout va bouleverser complètement la vie d'un quincailler qui passait ses journées à compter les vis et les boulons sur son comptoir ??

    histoire drôle, loufoque, mais terriblement émouvante, film à voir absolument en ces moments où la grosse cavalerie déferle à nouveau sur les écrans, jen'avais pas été aussi émue et ravie en sortant de la salle depuis "intouchables" !! les acteurs sont tous excellents, la jolie Mari est pétillante et sensuelle à souhait et on ne comprend pas que Roberto résiste à ses charmes, mais ... ouf il se ravisera à la fin ....
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 12 avril 2012
    Pour ma part, même si la recette est connue et que je regrette l'apport d'élément surréaliste et une ou deux longueurs, ce film est plaisant à regarder. Bref, un film qui a juste ce qu'il faut, des bons acteurs, de l'humour, de l'émotion bref à voir absolument pour passer un excellent moment devant la toile.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 568 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 1 juillet 2021
    Ricardo Darín est toujours génial sauf si tu as trouvé un moyen de contrecarrer tout ce qu'il essaie de faire. Je n'ai jamais rigolé et je ne m'en suis jamais soucié du personnage principal. Je n'étais même pas excité pendant une seconde car ce n'était ni un film sérieux ni un film drôle. El Chino est une tentative boiteuse et je préfère regarder La vache et le prisonnier quitte a regarder un type et une vache dans un film...
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 22 février 2013
    Un film vraie. Même si la situation est absurde, tout est vraie, tout sonne juste, chaque personnage a sa place.
    On y découvre deux culture opposées, avec une barrière de la langue quasi infranchissable, mais surtout on entre tour à tour dans l’incompréhension des deux protagonistes qui chacun sont incapable de comprendre l'autre.
    Une vraie bouffé d'air. Un film à voire. Vous ne le regretterez pas
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 13 novembre 2011
    ( Sarlat 2011 )
    Oui, c'est sympatoche. Mais c'est tout.
    Loin, très loin d'être une oeuvre d'art, il se laisse regarder car plutôt court.
    Certains se seront lassé, d'autres pas.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 27 avril 2015
    "El Chino" met en scène l'histoire, déjà réalisée de nombreuses fois, de deux personnes issues d'un pays différent qui se rencontrent dans de drôles de circonstances. Bien que l'idée ne soit pas très originale, l'interprétation reste remarquable. Roberto, quincailler ronchon et solitaire argentin, rencontre dans son propre pays un chinois victime d'un accident qui peut paraître absurde et en quête de sa famille. Ainsi naît un amitié burlesque et silencieuse entre ces deux protagonistes. Cette rencontre sera aussi, pour Roberto, la clef de la porte qui conduit vers une vie plus sociable. J'ai trouvé ce film très humaniste, il nous prouve que l'homme est capable d'accepter les différences culturelles, bien qu' avec réticence. Cette amitié improbable est aussi une source de blagues cocasses. Il ne s'agit pas d'un film où tout est raconté et qui ne laisse pas beaucoup de places pour la réflexion mais d'un film simple, drôle, touchant et intelligent. "El Chino" critique et ridiculise l'ordre public, les méchants policiers et les maniaques : c'est un autre point qui m'a plu. Ce film a aussi la faculté de nous faire rire sur des faits qui ne sont pas drôles (vache qui tue, souvenirs familiaux détruits) : il joue donc de manière remarquable avec l'humour noir. C'est une représentation de vaches très comique, qui s'avèrent dangereuses dans la première scène et utiles dans la dernière. J'ai donc aimé ce film en raison de son interprétation amusante et originale.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 22 février 2012
    Inspiré d'un fait divers dramatique et complètement surréaliste, le film imagine une rencontre incongrue entre un argentin bourru et un chinois attendrissant, avec ce qu'il faut d'humour léger, de tendresse et d'absurdité. Si le dénouement est sans surprise l'interprétation est excellente. A voir.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top