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Pour son troisième long-métrage, le cinéaste argentin Sebastian Borensztein signe avec "El Chino" une comédie dramatique absolument superbe, où la forme n'a d'ailleurs pas été laissée de côté.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
"El Chino" s'appuie sur une technique d'écriture très sûre, d'une modestie orgueilleuse, à laquelle un acteur de génie (Ricardo Darin) offre de donner sa pleine mesure.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Cette histoire cocasse, sobrement réalisée, dégage du charme. Et comme toujours, Ricardo Darin (le Noiret argentin), mélange de présence brute et de sensibilité à fleur de peau, offre une interprétation emballante.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Si le réalisateur traite, jusqu'à la dernière goutte, tous les lieux communs possibles de son histoire (...), il mène sa comédie avec suffisamment de savoir-faire pour que le tout reste plaisant.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
À partir d'un fait divers authentique (...) Sebastian Borensztein brode une histoire qui ne manque pas de charme. Il joue sur les personnalités de ses deux héros, sur leurs différences. L'effet de surprise passé, le procédé finit par lasser.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le réalisateur utilise une palette de tics et filtres proches de Jean-Pierre Jeunet pour un récit pince-sans-rire sur la nécessaire ouverture à l'autre.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cette comédie sociale suit l'évolution des personnages et adopte un ton doux-amer, jamais très drôle, jamais très dramatique, mais touchant de bout en bout. (...) on adhère gentiment et c'est la vache qui l'emporte.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Passé ce postulat de départ farfelu, le film s'enferme peu à peu dans la monotonie (...). Dommage, car Ricardo Darin, malgré tout, arrive à rendre touchant [son personnage principal].
La critique complète est disponible sur le site Première
Une oeuvre bon enfant, qui tire un peu trop (hypocritement) sur la ficelle de l'émotion et de l'amitié interethnique. À force de retournements gentillets, on tombe dans la fable pataude.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Dans un style passe-partout, ce film, qui pourrait provenir de n'importe quel point du monde tant il relève d'une sorte d'espéranto audiovisuel, donne le sentiment d'avoir déjà été fait un nombre incalculable de fois.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Conte moderne et humaniste navigant entre drame et comédie, "El Chino" repose presque exclusivement sur le génial Ricardo Darín. Un atout qui se révèle aussi être un inconvénient, tant les personnages secondaires sont peu développés.
Une fable béate, relevée par l'interprétation de l'impeccable Ricardo Darin ("Dans ses yeux"), pour amateurs de films " boîtes à bonheurs " à la Jean-Pierre Jeunet.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
20 Minutes
On espère que le sympathique "El Chino" contribuera à asseoir la popularité de Ricardo Darin chez nous.
Excessif
Pour son troisième long-métrage, le cinéaste argentin Sebastian Borensztein signe avec "El Chino" une comédie dramatique absolument superbe, où la forme n'a d'ailleurs pas été laissée de côté.
L'Obs
"El Chino" s'appuie sur une technique d'écriture très sûre, d'une modestie orgueilleuse, à laquelle un acteur de génie (Ricardo Darin) offre de donner sa pleine mesure.
La Croix
"El Chino", une perle d'humour nostalgique et d'absurde réjouissant.
Le Parisien
Cette histoire cocasse, sobrement réalisée, dégage du charme. Et comme toujours, Ricardo Darin (le Noiret argentin), mélange de présence brute et de sensibilité à fleur de peau, offre une interprétation emballante.
Metro
Un face-à-face burlesque.
Critikat.com
La façon dont Sebastián Borensztein travaille sur la sclérose du protagoniste se teinte d'une ambiguïté qui fragilise quelque peu son propos.
Elle
(...) une rencontre incongrue et finalement très touchante à l'autre bout du monde.
L'Express
Si le réalisateur traite, jusqu'à la dernière goutte, tous les lieux communs possibles de son histoire (...), il mène sa comédie avec suffisamment de savoir-faire pour que le tout reste plaisant.
Le Figaroscope
À partir d'un fait divers authentique (...) Sebastian Borensztein brode une histoire qui ne manque pas de charme. Il joue sur les personnalités de ses deux héros, sur leurs différences. L'effet de surprise passé, le procédé finit par lasser.
Le Point
Voir le site du Point.
Libération
Le réalisateur utilise une palette de tics et filtres proches de Jean-Pierre Jeunet pour un récit pince-sans-rire sur la nécessaire ouverture à l'autre.
Positif
Cette comédie sociale suit l'évolution des personnages et adopte un ton doux-amer, jamais très drôle, jamais très dramatique, mais touchant de bout en bout. (...) on adhère gentiment et c'est la vache qui l'emporte.
Première
Passé ce postulat de départ farfelu, le film s'enferme peu à peu dans la monotonie (...). Dommage, car Ricardo Darin, malgré tout, arrive à rendre touchant [son personnage principal].
Télérama
Le misanthrope qui s'ouvre à la vie : le refrain est connu, mais, ici, tout fonctionne, les gags burlesques comme les instants attendrissants.
L'Humanité
Une oeuvre bon enfant, qui tire un peu trop (hypocritement) sur la ficelle de l'émotion et de l'amitié interethnique. À force de retournements gentillets, on tombe dans la fable pataude.
Le Monde
Dans un style passe-partout, ce film, qui pourrait provenir de n'importe quel point du monde tant il relève d'une sorte d'espéranto audiovisuel, donne le sentiment d'avoir déjà été fait un nombre incalculable de fois.
Les Fiches du Cinéma
Conte moderne et humaniste navigant entre drame et comédie, "El Chino" repose presque exclusivement sur le génial Ricardo Darín. Un atout qui se révèle aussi être un inconvénient, tant les personnages secondaires sont peu développés.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
TéléCinéObs
Une fable béate, relevée par l'interprétation de l'impeccable Ricardo Darin ("Dans ses yeux"), pour amateurs de films " boîtes à bonheurs " à la Jean-Pierre Jeunet.