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Un visiteur
4,5
Publiée le 26 mars 2013
Un thriller brillant qui réussit à captiver et à scotcher au fauteuil sans armes ni effusions de sang (contrairement à Die Hard 5 par exemple) mais plutôt par l'intelligence du propos et la qualité du scénario, même si celui-ci est un peu alambiqué sur la fin. Le couple de cinéma formé par Cécile de France excellente comme souvent et Jean Dujardin (que je n'aime pas trop habituellement mais là, force est de reconnaître qu'il est très bon) fonctionne à merveille et, le choix du réalisateur de mêler une intrigue sentimentale à cette histoire d'espionnage s'avère des plus judicieux.
Magistral et magnifique. Deux acteurs dans du grand art. Réalisation et scènes belles et utiles à cette histoire d'espionnage. A voir et revoir pour le plaisir. Quelques heures aprés l'avoir vu je ne peux oublier ce couple si "vai" et fort face à un monde si sournois et loin de faire dans la dentelle. J'ai trop envie de le revoir.........
Un seul mot à dire : splendide! J'ai tout aimé dans ce film. Un très bon casting, Jean Dujardin est toujours au top ,sa fait plaisir après un film comme les infidèles...Cécile de France est très bien de son rôle(je ne la connaissais pas..). Que dire du film en lui même..Il y a des lenteurs dans ce film c'est indéniable cependant, l'histoire est très prenante et le suspense atteint des sommets!
Top! le film de l'année. De France & Dujardin magnifiques. De vrai acteurs, dont on ne retrouve pas le même jeu au fil de leur carrière, comme tant d'autres plus nombrilistes. Et un scénario, àvec tout dedans. À ne ps manquer.....
Je l'avais vu en avant-première, et je l'ai revu récemment. L'intrigue oscille entre romance et espionnage, suspense et séduction, savamment distillés. Jean Dujardin et Cécile de France forment un couple sensuel au possible et débordant de classe. Un bon film d'espionnage, bien mené, bien ficelé et doté d'une bonne BO.
LE RUBAN BLANC. Charnel, sensuel et érotique...oui c'est un film d'espionnage mais les corps de Dujardin et De France et surtout les frémissements de Cécile mette la chair au coq. Les passionnés dans un monde sans pitié.
Sacré nanar, très décevant, mais heureusement pas (trop) ennuyeux. Histoire tordue (c’est normal) mais invraisemblable, raison d’état contre sentiments nunuches, acteurs ridicules (Tim Roth, Aleksey Gorbunov, même Dujardin), accroches putassières (Monaco, la haute finance, les orgasmes sans sexe, les gros plans sur le poil…), rien ne nous est épargné. En vrac, le mafieu russe aussi impressionnant que le Patibulaire de Mickey, le directeur-adjoint d’un “direktorat” du FSB (Dujardin) en déprime amoureuse, un assassinat dans Monaco aussi facile qu’à Ciudad Juarez, et j’en oublie ! Seuls atouts de Rochant, qui nous avait habitués à moins débile, son héroïne, Cécile de France, dont le jeu et le charme sauvent le rôle farfelu qu’on lui a donné, et un certain rythme dans l’action. Bref, encore un film pour faire du fric sur le dos du vrai cinéma. Ce n’est pas avec ce genre de bouillie qu’on va redresser le cinéma français !
Le retour de Eric Rochant ?!... Depuis l'échec (non mérité) de "Les Patriotes" (1993) le réalisateur a toujours eu du mal à monter des projets valables. Avec ce dernier film Eric Rochant retrouve en quelque sorte ses "patriotes" avec un nouveau film d'espionnage. Une production qui semble avoir les reins solides avec un casting solide ; Jean Dujardin (qui a signé avant le succès de "The artist"), Cécile de France et Tim Roth en guest-star de luxe. Le scénario mixte une intrigue d'espionnage financière assez classique avec une histoire d'amour qui jouera le grain de sable. Le scénario est bien écrit, réussissant l'entrecroisement de la FSB (ex-KGB), la CIA et le groupe de l'oligarque russe tout en restant très compréhensible et prenant. L'histoire d'amour est elle assez classique mais elle est mise en scène de façon particulièrement sensuelle (sans être charnelle). L'autre bon point est que les personnages principaux ne sont pas l'archétype du héros, nous sommes dans un film d'espionnage réaliste avec toutes les failles humaines inhérentes à leur condition de mortel. Par contre on peut avoir du mal à voir en Jean Dujardin l'espion russe, à la fois parce qu'il est le parfait gaulois mais aussi parce que le jeu des langues semblant avoir eu son effet sur le scénario. La fin est un choix judicieux, en déplaise à Télérama qui y voit un happy-end... Si c'est un happy-end je m'en passerai volontier ! En tous cas Eric Rochant réussit de belle manière son retoru au genre, en espérant que ce film sera plus chancuex que "Les Patriotes".
Près de 20 ans après "Les Patriotes",voir Eric Rochant revenir au thriller d'espionnage est forcément une bonne nouvelle,d'autant qu'il s'est adjoint les services d'un couple glamour et tendance pour l'occasion. Jean Dujardin,pour son premier rôle post-Oscar campe un agent russe infiltré à Monaco; alors que Cécile de France joue une tradeuse entreprenante qui n'hésite pas à prendre des risques. L'un comme l'autre ont une mission à accomplir,et leur rapprochement physique,charnel puis sentimental va mettre en péril la réussite de cette affaire internationale. Immanquablement,on pense aux "Enchaînés" de Hitchcock à la vision de mélange d'espionnage et d'amour impossible,sur fond de confrontation moderne Est/Ouest. Dujardin étonne dans ce contre-emploi tout en sobriété. Cécile de France n'a jamais été aussi bien filmé. Leurs ébats,loin d'être gratuits à l'écran,sont au contraire l'assurance que leur destin est désormais lié pour le meilleur et pour le pire. Trahisons,faux-semblants,menaces diffuses,poursuites... tout est là,même si les coutures du récit sont apparentes pour faire de "Möbius" une petite réussite,dans un registre assez peu visité.
film d'espionnage assez complexe, c'est assez difficile de savoir qui est avec qui et pourquoi et contre qui mais l'ensemble est correct avec une magnifique histoire d'amour. comme a son habitude Cécile de France est lumineuse.
Un film d’espionnage passionnant à l’intrigue complexe, doublé d'une vibrante et sensuelle histoire d'amour interprétée par un couple fusionnel Jean Dujardin/Cecile de France.
Est-ce à cause de mon âge ? J'ai trouvé le scénario de cette histoire d'espionnage trop alambiqué et touffu. On se perd dans ce jeu de "qui est qui ?", "qui fait quoi ?" et "à quoi est-ce qu'on joue ?". Ce n'est pas intéressant, c'est sirupeux et il y a des longueurs insupportables. C'est également soporifique. Même la (longue) scène d'orgasme d'Alice (Cécile de France) qui aurait dû me réveiller un peu est à la limite du pénible. Ma seule consolation : les acteurs auront fait un beau séjour gratos à Monaco. Mieux : on les a même payés (et sans doute bien cher !) pour le faire. Braves gens, passez votre chemin : c'est très en deçà de ce qu'on pouvait attendre d'un film qui se veut peut-être intellectuel, mais qui ne l'est pas plus qu'un camembert de farces et attrapes...
Malgré son titre, "Möbius" n'a rien à voir avec le dessinateur français du même nom et dont je n'ai d'ailleurs lu aucun album (je préférais "Boule & Bill"). Non, c'est d'espionnage dont il s'agit ici, un genre auquel Eric Rochant revient une bonne vingtaine d'années après "Les patriotes" qui m'avait laissé plus que perplexe à l'époque. Ce film est nettement plus abordable et palpitant et malgré une fin décevante on est plutôt emballés par cette partie de billard à n bandes où se mêle action, suspense et glamour. James Bond peut donc aller se rhabiller.