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Jmartine
169 abonnés
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3,5
Publiée le 21 novembre 2013
Gentil film au charme rétro...les décors, l'environnement....un petit coté "On achève bien les chevaux"...Cela ne prend pas la tête...encore que le cliquetis des machines finit par être agaçant et une fin au championnat de France m'aurait suffit...un peu de nostalgie au début de ma vie professionnelle les dactylos faisaient encore ces concours de vitesse qui leur donnaient droit à des primes de technicité...mais c'est une époque que les moins de ....ans ne peuvent pas connaitre.
Comédie romantique à première vue banale, mais qui est porté par un duo d'acteurs savoureux. Le film est efficace surtout dans sa première partie, il perd ensuite de son intérêt. Le final est, en effet, sans aucune surprise. La mise en scène, sans temps morts, est plaisante. Il fallait oser faire un film sur un concours de dactylo dans les années 50.
J'avais prévu de le voire à sa sortie ciné, donc finalement pas de regrets. Le film fait les yeux doux à Deborah François , ici jeunette en avance dans l'espace temps de la pensée féministo-féminine. La belge Deborah François que j'avais découvert au ciné (et m'avait impressionné) dans "La Tourneuse de Pages" (2006), elle y était subtilement cruelle ...Ici pourtant dans ce "Populaire" son registre est tout autre, en fille alternant entre le docile et l'effrontée (pour l'époque) mais habitée des meilleures intentions...
Le gros hic dans ce film plaisant est un problème assez personnelle que j'ai avec les commentaires en Voix off...ce procédé m'horripile trop souvent... Pourquoi nous décrire bêtement des choses que l'on voit déjà à l'écran ? C'est un peu nous prendre pour des myopes. Il y a parfois dans certains films (des exceptions) ou la voix-off apporte un plus parce qu'elle ne commente pas basiquement une situation, mais qu'elle le fait avec un point du vue plus original/imaginatif... A bout de souffle de Godard fait partie des ses exceptions... Ah et puis dans la Populasse il y a Duris & Bedos fils pour ses gentes demoiselles... Dans les 60s elles voulaient surtout devenir secrétaires et les 70s hôtesses de l'air, et ici sur l'affiche, les feuilles volantes sont peut être un avant goût d'une évolution en gestation... Ce film est un gros cocorico gaulois à la face de l'omerique amerique ,oh il n" y a pas de mal à ça mais ça sent quand même un peu la blague belge... et puis la toute fin est un peu neuneu et attendue
Je n'ai qu'une chose à dire, ALLER VOIR CE FILM. Drôle et émouvant c'est le premier film d'un jeune réalisateur, qui laisse entre voir une carrière prometteuse. Un imaginaire riche, et un travail précis et sans défaut.
Pour son premier film, Régis Roinsard nous présente une comédie romantique enlevée et réjouissante, drôle et attendrissante. Il y a quelques longueurs au début, mais l'histoire devient palpitante quand les compétitions commencent. Roinsard réussit à bien filmer des compétitions de vitesse dactylographiques, c'est quand même un exploit. Les acteurs sont parfaits, Romain Duris un peu timide au début, mais Déborah François tout à fait au point. Quelques répliques valent le détour et nous font éclater de rire. On passe une bonne soirée.
Polulaire, enfin, c'est un film un redondant car le sujet reste bancale. Il y a un bel effort pour reproduire l'ambiance d'après-guerre. Sur fond d'histoire d'amour, le film se laisse regarder;
Scenario un peu trop prévisible et redondant surtout sur sa 2eme heure mais le charme et la fraicheur du couple Duris/Francois opère immédiatement.Bardé de quelques répliques et situations cocasses ,leurs aventures au cœur des années 50 nous font découvrir un "sport" dont on ne soupçonnait même pas l'existence : l’épreuve de vitesse dactylographique !!!
Film gentil dont on connait la fin après 5 minutes de passées. Mais on se laisse flotter par pur plaisir jusqu'au dénouement final. Le plaisir résident dans cette plongée en 1959 dans cette France désuète mais o combien attachante.
Ce premier film de Roinsard est chic, rétro et glamour. Populaire c'est une comédie romantique autour d'un sport aussi insolite que la vitesse dactylographique dans la France en pleine reconstruction de l'après-guerre. Romain Duris, c'est la classe et le charisme assuré. Déborah François, c'est une fausse naïveté et une maladresse renversante. Le format est néanmoins un peu long et laisse place à quelques longueurs et la reconstitution historique quoi que réussie, est sans risque car peu de plans extérieurs apparaissent. On regrettera également les trop courtes apparitions d'une Miou Miou devenue trop rare.
Pour son premier long métrage, Régis Roinsard a écrit un scénario qui n'a rien de vraiment neuf et qui s'inspire manifestement des comédies américaines des années 50 et 60, celles de Billy Wilder et de George Cukor. On doit reconnaître toutefois qu'il en a tiré une comédie plutôt agréable, bien interprétée par Romain Duris, Deborah François et Bérénice Bejo; et les autres; on regrettera parfois un certain manque de rythme et quelques longueurs ; on fera remarquer au réalisateur que la région PACA n'a vu le jour qu'en 1970 et n'existait donc pas en 1959 ! Voir critique complète sur www.critique-film.fr
Cette comédie, parfaitement mis en scène par Regis Roinsard, est un résultat encourageant et déjà prometteur pour la prière réalisation de ce cinéaste. Il nous offre une belle reconstitution de l'époque des années 50. Le scénario original nous propose une ambiance sympathique, du rythme, de l'humour et les belles prestations d'acteurs du couple formé par Déborah François très naturelle et superbement efficace de simplicité, et un excellent Romain Duris. Remarque technique sur l'énorme surévaluation des performances de dactylographie qui nous montre dans ce film un record du monde en 1959 de plus de 500 mots frappés en une minute. Avec l'évolution technologique une frappe rapide atteint de nos jours 80 mots minute ! et un sténotypiste aguerri dépasse 200 mots saisis/Minutes (qu'il faudra certes retranscrire en lettres et mots).
On passe plutôt un bon moment avec cet étonnant premier film, sympathique à beaucoup d'égards. On connaissait déjà Romain Duris en célibataire pathologique, on le découvre ici en entraineur déjanté. Populaire confirme le talent de Déborah François en secrétaire de compétition et nous permet d'apercevoir Bérénice Béjo dans un rôle de belle amoureuse. La reconstitution vintage de la province normande au lendemain de la Libération est plaisante mais ne dépasse que rarement le laborieux et à du mal à atteindre l'esthétique du rêve où ce conte de fées digne de "reine d'un jour" ou de "Nous deux" aurait pu nous transporter, à la manière des vieilles comédies américaines. Pourquoi ne pas être allé jusqu'à la comédie musicale par exemple? Le sujet s'y prêtait.