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Populaire est un film léger, un peu fou, amusant, rétro. Le rétro par ailleurs, semble avoir le vent en poupe et Régis Roinsard l’a bien compris. Clin d’œil aux comédies d’antan, du style New-York Miami de Capra (en moins puissant tout de même), on assiste à l’histoire d’amour ultra simple d’un maître (Romain Duris) pour sa charmante élève (Déborah François). C’est rétro, c’est simple dans le style, et ça touche au but. Car si le film n’a rien de profond, son objectif est de divertir le spectateur. Mission réussie sans fausse note. Mention spéciales à deux actrices qui sont à mon top français du palmarès « trop mignonne pour être vraie », la présence de Déborah François et, combo, de Mélanie Bernier, a concentré toute mon attention… Un petit film simple frais et divertissant.
[2014-02-02 - BD]
Prenant jusqu'au bout, notamment la finale, voici une romance légère, sans prétention, et qui fonctionne.
Prenant jusqu'au bout, notamment la finale, voici une romance légère, sans prétention, et qui fonctionne.
Une plongée drôle est réussie au cœur de la France de la fin des années 50. Le film est drôle, Romain Duris et Déborah François forment un duo attachant et nous offrent une jolie comédie à voir en famille.
gabdias
Une comédie pas banale qui oscille agréablement entre romance, comédie kitsch, nostalgie des années 50. Le sujet traité n'est pas banal la dactylographie et même si le côté fleure bleue prime notamment à la fin, on adhère à 100% au duo Duris / François et à cette agréable sucrerie française.
Une petite comédie romantique française simple sans grande innovation ni surprise. C'est plaisant a regarder mais sans plus.
Les deux acteurs arrivent à s'approprier une époque, qui semble déjà révolue, au regard des technologies actuelles. Le duo fonctionne très bien et, plus que le scénario, leur histoire commune guidera le film d'un bout à l'autre assez finement.
Axer son histoire pour son tout premier long métrage sur la participation d'une secrétaire et de son patron à un concours de dactylographie, Régis Roinsard mériterait presque une médaille pour récompenser son audacieuse folie. Mais avec son gros budget pour un si étonnant pari (15 millions), il a décidé de mettre les petits plats dans les grands.
En plus de s'entourer d'un casting de qualité (Duris, Béjot, François ...), Roinsard s'attache les services de l'oscarisé Schiffman, directeur de la photographie pour "The Artist". Autant dire que le travail de l'image, combiné aux efforts pour être au plus près de ce qu'étaient les années 50, rend le film particulièrement agréable. Les protagonistes incarnent à merveille des personnages hauts en couleurs, et leur amour naissant impressionne par sa capacité à nier sans cesse l'évidence.
Bien évidemment, si l'histoire autour est rondement bien menée, dur d'oublier que l'argument central reste plutôt faible, la dactylographie apparaissant de plus en plus comme un simple prétexte, et la compétition n'existe plus vraiment. Certains passages tombent un peu dans le mielleux, alors que l'intérêt est justement dans le négationnisme et l'adversité. Une bonne première pour un réalisateur qui ose
En plus de s'entourer d'un casting de qualité (Duris, Béjot, François ...), Roinsard s'attache les services de l'oscarisé Schiffman, directeur de la photographie pour "The Artist". Autant dire que le travail de l'image, combiné aux efforts pour être au plus près de ce qu'étaient les années 50, rend le film particulièrement agréable. Les protagonistes incarnent à merveille des personnages hauts en couleurs, et leur amour naissant impressionne par sa capacité à nier sans cesse l'évidence.
Bien évidemment, si l'histoire autour est rondement bien menée, dur d'oublier que l'argument central reste plutôt faible, la dactylographie apparaissant de plus en plus comme un simple prétexte, et la compétition n'existe plus vraiment. Certains passages tombent un peu dans le mielleux, alors que l'intérêt est justement dans le négationnisme et l'adversité. Une bonne première pour un réalisateur qui ose
Populaire est un film français qui arrive à se détacher des autres. Il traite un sujet assez original, mélangé avec une belle histoire d'amour, malgré pas mal de longueurs. Romain Duris est excellent et la jeune (et belle) Déborah François aussi. Pas mal pour un premier film.
Deborah François et Romain Duris ne sont pas Audrey Hepburn et Cary Grant, en qui on les a déguisés, mais ils se débrouillent plutôt bien. L'idée est originale et la reconstitution retro fort sympathique, bande son comprise. Mais un vrai scenario ménageant rebondissements et quiproquos fait cruellement défaut. L'histoire est linéaire, convenue et, à côté de quelques scènes de bravoure comme les "duels" de dactylos, certaines scènes sont franchement inutiles et ratées. La scène d'amour aurait par exemple gagné à être filmée comme dans les films de l'époque, les Hitchcock notamment, où la caméra tourne autour du couple, et non comme dans un porno soft. On aurait aimé aussi un esprit un peu plus corrosif voire subversif pour peindre cette époque et son misogynisme.
"Populaire" est un film très original et parfaitement traité. Un ensemble vraiment rafraîchissant dans la fin des années 50 représentées de manière très réaliste. L'idée était culottée mais le pari est relevé. Les acteurs sont excellents (Le couple Romain Duris / Déborah François). La réalisation est propre,la musique aussi. Une comédie vintage et romantique bien ficelé . A voir
Kurosawa
Avec "Populaire", Régis Roinsard dépoussière quelque peu la comédie romantique. Il s'appuye notamment sur un duo charmant et à l'alchimie naturelle, avec un Romain Duris toujours aussi bon et une Déborah François absolument délicieuse. Cette dernière convainc le spectateur par la fraicheur qu'elle amène, à travers un personnage maladroit et faussement innocent. Un autre point positif est à souligner, car il demeure très important pour ce genre si particulier: l'écriture. On savoure, en effet, des dialogues simples et élégants, mis aussi à la disposition de seconds rôles réjouissants, tels Eddy Mitchell, Miou-Miou ou encore Bérénice Béjo. Quelques baisses de rythme peuvent tout de même être regrettées, mais n'altèrent en rien l'esprit sympathique d'un film qui peut enfin être apprécié pour ses décors de qualité. En bref, un engouement populaire entièrement justifié.
Même si l'histoire est complètement téléphoné, beau film qui est une romance et en aucun cas une comédie ( franchement rien de drôle).
Bel univers d'un autre temps (pourtant pas si vieux), bon jeu d'acteur (une petite préférence pour Déborah François) et une réalisation efficace.
Dur de ne pas laisser couler une petite larme.
Bel univers d'un autre temps (pourtant pas si vieux), bon jeu d'acteur (une petite préférence pour Déborah François) et une réalisation efficace.
Dur de ne pas laisser couler une petite larme.
Les passages de romance sont énormément frais, pétillants, portés par l'interprétation de l'actrice principale enfantine et mignonne comme tout, classiques et modernes a la fois qui font toute la magie du long métrage! Cependant les moments de compétitions, au début passionnant, sonnent de plus en plus agaçants et inutiles plus le film avance! Et on a plus l'impression qu'ils sont la en bouche trou plus qu'autre chose, scènes de remplissages inévitables mais décevantes! Le happy end est forcément la! Le côté kitch est assez réussit et ajoute une touche de démarcation a "Populaire" que les autres comédies françaises n'ont pas! Frais et sympathique le film n'est cependant pas révolutionnaire!
Film bien interprété avec une histoire attachante, on ne s'ennuie pas. Rien d'exceptionnel mais c'est ce que j'appelle un agréable divertissement.
Gentil film au charme rétro...les décors, l'environnement....un petit coté "On achève bien les chevaux"...Cela ne prend pas la tête...encore que le cliquetis des machines finit par être agaçant et une fin au championnat de France m'aurait suffit...un peu de nostalgie au début de ma vie professionnelle les dactylos faisaient encore ces concours de vitesse qui leur donnaient droit à des primes de technicité...mais c'est une époque que les moins de ....ans ne peuvent pas connaitre.
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