Derniers Avis : Beetlejuice Beetlejuice - Page 6

Meilleur film de Tim Burton depuis Sleepy Hollow (1999).
De la fantaisie, des moments de franche rigolade grâce évidemment à Michael Keaton et son alter ego Beetlejuice, un mélange de créativité et de reprise de beaucoup d'idées précédentes du réalisateur.
Mais quelques baisses de rythme et un défaut d'écriture avec le personnage joué par Jenna Ortega à peine esquissé.
Un film parfait pour une soirée d'Halloween, et d'ailleurs : pourquoi l'avoir sorti avant ?

Je sors de Beetlejuice Beetlejuice, et perso j’ai retrouvé cet univers avec beaucoup de plaisir. La BO d’Elfman marche toujours aussi bien. Les personnages secondaires sont tops, notamment Catherine O’Hara et Willem Dafoe qui régalent tout du long. L’inévitable fan service est au rendez-vous mais c’est suffisamment discret et bien amené pour que ce soit pas trop énervant (la scène de play-back, les têtes réduites, la maquette …). Burton nous sort quelques bonnes idées et sursauts de loufoquerie qu’on lui avait pas vu depuis un moment (notamment une scène de flashback en hommage au giallo, entièrement tournée en italien sous-titré) ça fait du bien. Le scénario tient sur un post it, mais je pense que le film est au courant, et au final c’est pas bien grave vu qu’on est surtout là pour une ambiance. Seule ombre au tableau, le retour du personnage de l’adolescente woke qui déteste sa mère et veut à tout prix se prouver que sa mère la déteste en retour alors que celle-ci fait LITTÉRALEMENT une tentative toutes les 30 secondes pour se rapprocher d’elle. Ce ressort scenaristique m’avait gonflé avec Barbie, et la c’est pire encore, faut vraiment qu’ils trouvent une nouvelle pirouette pour parler du fossé generationnel parce que d’une, ça rend instantanément le personnage antipathique et de deux, ça fait vraiment passer tous les moins de 20 ans pour des petites ******, et c’est assez imbuvable. Bref, allez y 🙂

un film rappellent beaucoup le premier dans la réalisation, très bon film pour les personnes qui on aime le premier

J'ai eu tous les ingrédients que je voulais.
Bien sûr Chez Tim Burton c'est pas des scénarios de fou.
Mais je me suis amusé avec les looks, les à
Cteurs. Et surtout les morts !
Donc un Tim Burton un peu mieux qu'es ses autres films à l'eau de rose depuis quinze ans.
Il y a de l'humour ici.

maquillages et costumes pas meilleurs qu'en 1988, quelle déception, aussi mauvais que le 1er. le casting excellent sauve les meubles ... ça ne vaut pas le prix exorbitant d'un ticket de cinéma en 2024.

Une suite a la hauteur étais elle possible ? ET BIEN OUI ! Tim Burton réussi avec brillot a faire ressusciter notre bio exorciste frappadingue et a garder la pate artistique du premier sans que cela ne fasse too-much. Du début a la fin les rebondissements tiennent en haleine, donnant une histoire intéressante qui ira fouiller le sulfureux passé de beetlejuice, pour les amateurs de la franchise foncez le voir, c'est une vrai réussite pleine de plaisir et de folie !

Pour tout amoureux de Beetlejuice, c’est parfait, il y a tout les ingrédients du premier, personnages, lieux et musiques, tout y est. Étant un fan du premier, j’ai donc pris un malin plaisir à chiner les références du premier. L’humour noir est toujours présent, bien qu’un peu moins libre. Michael Keaton s’éclate toujours mais Winona Ryder moins. Pour la prestation de Mme Burton, c’est un peu léger. Mais bon on été pas là pour elle 😁!

Je viens de le voir, j'ai adoré ! Ayant revu le 1er il y a quelques jours (film que j'avais usé dans mon enfance), j'ai pris un grand plaisir à retrouver les références. Ce film est un hommage à celui des années 80 et bourré de références à notre époque actuelle, tout en gardant le film conducteur gothique. Mention spéciale à la scène "soul train" et la scène finale.... Quel plaisir de retrouver les acteurs d'origine, même si certains manquent à l'appel, et notamment le couple fantôme mythique du 1er. Une comédie gothique réjouissante, avec en plus une BO pleine d'entrain, une Monica Belluci plus troublante que j'amais, et des pointes d'humour et d'absurde en saccade. Enfin un film qui renoue avec le talent des films des années 80, dans cette époque où malheureusement trop de marketing ont tué le cinéma dit populaire !

De belles images et bonne musique, on retrouve complètement l'univers de Beetlejuice avec un Mickaël Keaton en forme ! Une apparition de Sami Slimane, jeune acteur de Athena que j ai reconnu tout de suite, m'a un peu interpellé, mais ça m'a fait plaisir pour lui d'être parmi l'équipe de Tim Burton ! Winona Ryder m'a un peu déçue, par contre la présence de Dafoe et Bellucci mettent un peu de piment. J'ai bien aimé aussi les décors et effets spéciaux old school, fidèles au premier Beetlejuice. Mais malheureusement la trame de l'histoire est pas terrible, des moments longs et nian-nian, c'est pas fou ... bref le premier Beetlejuice reste largement meilleur !

"Beetlejuice 2" reprend les bases du premier, mais sans réussir à se renouveler. Malgré un budget nettement supérieur, il n'apporte pas grand-chose de plus qu'une pâle copie de l'original, avec des gags recyclés et une intrigue sans surprise. Si le premier film avait au moins quelques atouts originaux, celui-ci manque cruellement d'identité. Cependant, la bande-son se démarque, offrant une excellente expérience musicale qui, à défaut d'élever le reste du film, mérite d'être soulignée.

Je suis un "vieux" spectateur du premier "Beetlejuice",que j'avais beaucoup aimé à l'époque et que j'ai récemment revu avec plaisir.

Cette suite, plus de trente ans après, est plus gothique, plus folle, plus drôle que l'originale, avec cette inventivité visuelle qui fait l'originalité de Burton. Il a su tirer partie des progrès survenus dans la création des effets spéciaux. Sur grand écran, c'est un régal.

C'est aussi poétique, puisque le fond de l'histoire traite d'amour, entre (grands)parents et enfants, entre deux adultes, entre deux adolescents.

C'est enfin parfois un peu "mal pensant", Tim Burton ayant ses têtes de Turc, qu'il ne se prive pas de tourner en ridicule dans son histoire.

Si l'on aime ce style de film, on passe un excellent moment, mais, attention, les œuvres de Burton ne sont pas tout public.

J’aime Tim Burton pour son univers onirique mais j avoue que Beetlejuice n a jamais été mon film préféré. 35 ans après (et oui 1988) même sentiment en sortant de la salle de Beetlejuice 2 : rien de nouveau sur la planète. Reste que 50 % des spectateurs potentiels pourront s émerveiller de redécouvrir la roue (de 1988) et son univers graphique (alors assez révolutionnaire).
Du côté acteurs une étoile montante avec Jenna Ortega qui après la série « Mercredi » confirme son talent. J en suis sûr nous reparlerons à l avenir des rôles au cinéma de cette actrice pour d autres réalisateurs de talents.

On retrouve du pur Tim Burton, décalé, absurde, drôle !
Pour enfants (même si gore il y a) comme pour adultes, on passe un moment léger dans un autre monde.

Très bon film qui mélange comédie et peur. Un mélange entre la famille Adams et Charlie et la chocolaterie.

Beetlejuice Beetlejuice n'échappe pas aux critiques attendues des suites commerciales. Le film est souvent drôle et divertissant, mais il n'apporte rien de plus que le premier. Il reproduit son schéma narratif et hystérise ses scènes horrifiques, via un montage plus cuté et un accompagnement musical.

On en ressort avec l'impression d'un Burton rangé des bécanes. D'ordinaire, chez lui, les personnages extravagants se développent dans des décors fixes et fabriqués. Ici, la réalisation est beaucoup plus mobile, chorégraphiée, plus proche du cinéma épileptique d'un Fury Road, par exemple – mais seulement dans les scènes déjantées.

A contrario, les intrigues sentimentales tranchent avec ce rythme endiablé, et ressassent les ressorts familiaux éculés des films qui se sentent obligés de verser dans le pathos relationnel : l'adulescente incomprise, en froid avec sa mère, qui s'évade et fait la rencontre exagérément fortuite d'une personne de son âge.

On reste aussi sur notre faim avec Delores, ex-épouse de Beetlejuice, dont on suit la progression dans des couloirs pendant tout le film pour un final qui tombe en carafe.