Derniers Avis : Beetlejuice Beetlejuice - Page 5

Juste WOW, je n'ai pas vu le temps passé y a tellement de chose qui s'enchaine qu'on a pas le temps de s'ennuyer. C'est du grand Tim Burton comme il sait le faire.
Un casting juste comme il faut et un énorme chapeau à Monica Bellucci qui est sensationnelle dedans. Je le conseil vraiment pour passer un excellent moment.

Pas le meilleur film de Tim Burton pour ma part mais on passe un bon moment et le casting est de grande qualité. Quand on va voir un film de Tim Burton on est jamais déçu.

Suite du film de 1988, Beetlejuice Beetlejuice peine à se hisser au niveau de l'œuvre originale. Car ce qui fonctionne le mieux dans le film, ce sont les idées reprises du premier volet. Ainsi, bien que la réalisation soit réussie, et les effets pratiques très réjouissants, ce Beetlejuice 2 ne propose pas grand chose de neuf. Le film n'en demeure pas moins divertissant, notamment pour les spectateurs qui auraient loupé l'œuvre de 88.

Tim Burton revient sur la scène internationale avec son dernier film Beetlejuice Beetlejuice. C'est exactement le même scénario qu'il y a trente ans, avec évidemment quelques différences. Pourtant, cela fonctionne et on se plait à découvrir les mises en scènes de Burton. Ce n'est pas finalement l'histoire, qui intéresse le spectateur ici selon moi. Mais plutôt cette liberté qu'entreprend Burton pour diffuser son art qu'il ne semblait plus réellement exercer depuis quelques années. En effet, on a l'impression de revenir aux sources et cela est très satisfaisant.

J'aurais mis 2,5/5 , mais la note est trop haute .. Il faut contrebalancer .. Grosse déception, Le problème de Tim Burton, il donne des idées, mais les scenario ne sont pas de lui .. et ici le scenario est nulle ... du coup, ca manque aussi d'idées original. Beaucoup de repompé du premier opus, quelque bonne idées, mais ca arrive après une heure d'un telefilm soporifique ...

Aussi jouissif que mal foutu ! Vivant, qu'intelligent, et oui... Nous sommes tous des morts en perdition

Difficile de donner tort aux critiques que j'ai lu ci est là quand on regarde le film au premier degrée, mais c'est tout aussi difficile de pas prendre un pied intersidéral devant un tel bordel assumé. Oui il revient presque... 40ans plus tard... La suite d'un de mes films culte de par son inventivité, sa folie, son grotesque, le tout au service d'un univers aussi déjanté que cohérent. Pour moi, c'est le meilleur Burton, celui qui par tout a commencé, mais aussi malheureusement, celui qu'il ne re-fera jamais plus.


Alors près de 4 décennie plus tard et alors que le cinéma s'enfonce dans une nostalgie sans fin à l'image de tout ce qui touche de près ou de loin notre civilisation, de ces jours heureux ou tout était plus simple, voilà que revient d'entre les morts une suite à l'un de mes films préférés. C'était mieux avant ? Ben oui, la fête des morts savait à l'époque nous entraîner comme personne, jouer avec les faux semblant d'une société américaine décadente ou tout ce monétise, même l'apparition de fantôme.


Que sont devenu nos âmes ? La réponse est dans beetlejuice beetlejuice !! L'exutoire absolue de Burton signe un retour plus que bienfaiteur et salvateur, enfin un peu de folie dans ce monde du politiquement correct qui n'a de politiquement correct que le nom. Bienvenue dans META Beetlejuice, car il vous fixera des yeux tout le temps ce film.


Avons nous perdu nos âmes ? Si le positionnement écologique du film est clairement incarné par certains personnages accrochés au réel, le monde des morts lui hante tous les personnages trop sensibles et pour une bonne raison, oui les sensibles sont faibles face aux manipulateurs, nous sommes presque tous devenu des fantômes, des morts vivants, pour faire de l'argent, pour réussir, pour s’intégrer dans ce monde nous jouons tous un rôle à l'image de Mr Dafoe ou de Lidia qui n'est plus que l'ombre d'elle même... Oui les fantômes de l'innocence, incarné par Alec Baldwin et Geena Davis ont bien disparu, ne laissant place qu'à un enchaînement de crapule au point que Beetlejuice ne nous repousse même plus et nous parle brisant sans cesse le 4éme mur.


Sous ces airs de joyeux bordel qu'il exécute avec brio et un vrai plaisir anarchiste coupable dès plus salvateur cherche à nous réveiller ! (Hé, le monde est sur le point de crever pendant que tu es devant ton smartphone à glorifier ta petite personne), il est grand temps de redevenir nous même et de ce débarrasser de nos démons, oui vous savez tous ces manipulateurs qui nous hante et nous détruise de l'intérieur (tout les personnages vivent cette manipulation, y compris beetlejuice lui même, qui vois son ex revenir d'entre les morts pour... Manger son âme !)


Non les propos de Burton on bien mûrit, même si le tout est parfois moins solide, moins bien exécuté, moins bien écrit, ce n'est que pour nous faire ressentir plus tard, le malaise, celui qui nous fait dire qu'on c'est éclaté et règle ici tout ces comptes, avec disney et même lui même en ce projetant dans le petit ami de Jenna Ortega... Non décidément le film en a profité pour bien brouiller les cartes. Autrefois, il était facile de voir les gentils et les méchants mais ce n'était déjà qu'une illusion que beetlejuice 1er du nom nous rappelai avec brio quand on passait dans le monde des morts et avec sa fin aussi heureuse qu'illusoire, ce nouveau volet quand à lui nous crache véritablement à la tronche ! Il n'y aura plus de happy end par notre faute à tous... Il n'y jamais eu de séparation entre le monde des morts et des vivants, c'était déjà la conclusion du premier film. Mais ici c'est parfaitement exécuté ici avec ce fameux bébé, oui d'autres vampires, d'autres manipulateurs, d'autres monstres nous attendent, nous sommes déjà en enfer à cause de notre propre bêtise... Alors mieux vaut en rire et... Agir nom de dieu !!


Brillant, à bien des égards. Mais comme d'habitude, la majorité des gens n'y verront qu'une farce avant de retomber dans leur pire travers... Un jugement sur blabla cinéma, tout ceci n'est que du cinéma après tout... Mais oui... Bien sûr, évidemment... Mais paradoxalement l'espoir n'a jamais était aussi grand, tellement de jeune sont éveillés aujourd'hui, l'espoir de voir et d'accepter que nous sommes tous des monstres. Mais si nous sommes tous des monstres, qui sont les pires ? Faite attention à ce détail à votre 2éme vision ? Et oui, particulièrement ce qui vivent et nous font croire encore que nous sommes dans un comte de Disney.


Merci Tim, oui cette fois, tu es revenu d'entre les morts pour dire quelque chose de bien et rien que pour ça, je te dis bravo ! Et sait-on jamais... Encore ?

Burtonien! Pour son 20ème long métrage, le grand Tim Burton réalise une suite à son "Beetlejuice", devenu culte au fil des années. Je ne suis pas forcément un adepte de la patte Burton, c'est d'ailleurs la première fois que je vois un de ces films sur grand écran. J'y suis allé sans aucune attente et en ayant découvert le film de 1988 juste avant. Et j'ai au final trouvé ce "Beetlejuice Beetlejuice" amusant et divertissant.

Nous sommes facilement plongés dans l'imaginaire de Burton et on se laisse séduire par cette comédie fantastique décalée, mais aussi sombre, et qui apporte de la fraîcheur dans le paysage du cinéma grand public américain. Pour cette suite, ça me parait intéressant de souligner que nous sommes dans le même ton, le même esprit et dans la même utilisation des effets spéciaux que l'original sorti 36 ans plus tôt. J'ai trouvé ça assez osé et vraiment cool. En fait, on sent que Burton et son équipe ont mis de la bonne volonté dans ce film et qu'ils ne sont pas laissé embarquer à l'aveugle par cette mode de faire renaître des vieilles franchises. C'est également bien rythmé, parfois drôle (même si je ne suis pas la cible pour la plupart des gags). Et encore une fois, on se dit que le premier opus ne semble pas si loin tant l'esthétique visuelle à l'ancienne et le fait de revoir les mêmes costumes, la même maquette de la ville ou la même fameuse maison hantée fonctionnent. Côté bande son, Burton retrouve son partenaire habituel Danny Elfman qui est encore à ce jour l'un des plus grands compositeurs de musiques de films.

Au casting, tous s'y sont donné à coeur joie. On retrouve 3 acteurs du premier (Keaton, Ryder et O'Hara) qui sont tous très bons et hauts en couleurs encore une fois (voire en étant encore plus déjanté que dans "Beetlejuice"). De plus, on peut compter sur la présence enrichissante de 3 nouvelles têtes, loin d'être méconnues eux aussi dans le monde du cinéma: l'étoile montante Jenna Ortega, la magnifique Monica Bellucci et le formidable Willem Dafoe. Notons que les personnages sont donc nombreux et il faut reconnaître que certains ne servent pas à grand chose, ne font pas avancer le scénario, tout de même.

Bref, je recommande ce "Beetlejuice 2" à ceux ayant apprécié le premier et bien sûr pour les clients du cinéma burtonien. De mon côté, j'ai en effet passé un agréable moment. Maintenant, c'était sympa à voir une fois et c'est loin d'être un film que je retiendrai cette année. Avec un succès au box-office plutôt bon et surprenant, est-ce qu'on aura droit à un "Beetlejuice Beetlejuice Beetlejuice" quand Burton aura 100 ans avec une Ortega maman?

Je n’ai pas vu le premier beetlejuice, mais je peux déjà dire que je n’ai pas passé un bon moment.
D’accord c’est du Tim Burton un peu loufoque, un peu foufou, mais je ne comprends pas à qui ce film est destiné.

Étant une jeune adulte, je n’ai pas aimé le scénario creux et vide, l’esthétique bâclée, les effets spéciaux des années 40 et le jeu d’acteur de certain.
Pour autant, je ne vois pas un enfant adhérer à ce film avec certaines blagues grivoises ?
Bref bof

Je ne m'attendais pas à aimer ce film car je n'ai pas vu les films précédents de Tim Burton.
Je me suis amusée du début à la fin. j'ai trouvé les trouvailles originales, les différents personnages réussis et la musique enlevée ! Mention spéciale pour le SOUL TRAIN !

"Beetlejuice Beetlejuice" de Tim Burton est une suite savoureuse à son classique de 1988. En effet ,le réalisateur livre aux spectateurs une histoire tourbillonnante, drôle, horrifique et jamais ennuyante. J'ai beaucoup aimé l'univers macabre du film, avec un casting de luxe, une bande sonore sympathique, bref j'ai passé un bon moment devant ce film en cette période morose.

Un retour inattendu et en grande forme ! Ce second volet aussi déjanté que le premier respecte magnifiquement l’univers original tout en le développant dans tous les sens. C’est explosif, drôle, les plus jeunes n’auront pas toutes les références (Soul train...) mais ils pourront apprécier le spectacle et y trouveront leur compte avec l’histoire des ados. Revoir le premier épisode avant de plonger dans celui-ci est aussi conseillé.

Beetlejuice Beetlejuice est une comédie loufoque et morbide qui explore le lien entre la vie et la mort avec un humour toujours empreint d'autodérision. L'univers déjanté du premier film est préservé avec fidélité, et le réalisateur Tim Burton a habilement exploité les avancées du septième art pour magnifier son œuvre et lui insuffler une nouvelle énergie.
Winona Ryder revient dans son rôle iconique avec une aisance remarquable, comme si elle l’avait quitté la veille. Toujours aussi brillante dans ces rôles excentriques, elle montre que son talent reste intact. À ses côtés, Jenna Ortega, révélation de la série Mercredi, incarne sa fille avec une justesse prometteuse, laissant entrevoir une carrière aussi brillante que celle de son aînée. Quant à Michael Keaton, il campe à nouveau Beetlejuice avec une intemporalité qui force l’admiration, maîtrisant à la perfection ce personnage maléfique et burlesque, une réinterprétation contemporaine de Charon, guidant les âmes à travers les eaux sombres du Styx.
Tim Burton, fidèle à son style unique, parvient à aborder la mort sous un angle comique, en la présentant au spectateur comme un passage vers un univers beaucoup moins effrayant qu’il n’y paraît. Ce film ravive avec brio la nostalgie des années 80, notamment grâce à une bande-son entraînante, tout en se renouvelant à travers une belle synergie entre les jeunes et les anciennes générations.

Vous pouvez retrouver l'intégralité de mes critiques de films sur les pages Facebook Cin&series Timeless et Instagram @cineseriestimeless.

Génial !! Courrez-y. L'image est sublime, ls acteurs magnifiques, une redecouverte de beetlejuice - bravo!!!

𝐁𝐄𝐄𝐓𝐋𝐄𝐉𝐔𝐈𝐂𝐄 𝐁𝐄𝐄𝐓𝐋𝐄𝐉𝐔𝐈𝐂𝐄

« Je suis Tim Burton, j'ai mon Final Cut, je m'auto-réfère si je veux, j'innove si je veux, je fais ce que je veux, je vous emmerde, et qui m'aime me suive, les autres, tant pis, pas grave ! »

J'ai la prétentieuse impression qu'ainsi m'aurait répondu le cinéaste si je l'avais interrogé en sortant de la salle après Beetlejuice Beetlejuice.

La suite de.. Bettelejuice.
Beetlejuice, revu récemment, déçu devant le franc coup de vieux, la faiblesse du scénario... mais toujours admiratif de ses moments de bravoures (l'envoûtement Banana dans la cuisine, la perf' de Michael Keaton).

En faire un « 2 » 35 ans après ? Mouais...

Hormis deux purs chefs-d'oeuvres (Edward aux main d'argent et Batman 2, le Défi) je n'ai à titre personnel jamais surcoté ou sur-admiré Burton, au cours de mon parcours cinéphile.
De l'inventivité, de l'audace, du génie, assurément, mais à mon goût un petit manque d'un petit quelque chose, d'un souffle de « fond », d'un « propos »... sans parler des ratés voir des nanars (sa calamiteuse « Planète des singes »...)

De ces faits, bien que je m'interdise tout préjugé avant de voir un film, je confesse y être allé (avec mes filles) sans trop d'illusion, voire dubitatif.

Résultat ? Paf. Claque.
D'abord, parce que c'est visuellement du vrai grand cinéma, dans la lignée esthétique du premier, mais en plus chiadé, plus poussé (plans "débullés", costumes, montage arythmique), alternance d'effets spéciaux modernes et « à l'ancienne », je pense au retour du serpent des sables.

Surtout... le film est hilarant. Quel plaisir !!!

Burton n'a pas hésité à dilater de savoureux dialogues, au grand dam de certains spectateurs, ou même fans, qui on vu là des des longueurs. Pas moi.

J'ai aussi lu quelques personnes râler devant l'horrifique de certaines scènes, s'offusquer que le film ne soit pas interdit aux enfant. Ça peut s'entendre, car c'est en effet parfois corsé pour un "premier-degrétiste" ou un minot qui se situerait hors des références, du trip et des codes « horrificomiques » du cinéaste.

Pas de spoil, Beetlejuice Beetlejuice est à voir à entendre, et à découvrir, plus que redécouvrir, à l'écran.
Beetlejuice étant fantôme, son maquillage masque le vieillissement de Michael Keaton, à la gestuelle toujours phénoménale. Catherine O'Hara et Winona Rider sont assumées dans leur âge (bien qu'un poil lissée concernant cette dernière, qui fait moins que ses 52 ans théoriques).
La petite Jena Ortega (je n'ai pas vu « Mercredi) est très convaincante. Quant aux petits mais drolatiques rôles de Willem Dafoe et Dany de Vito, ils salent (ou sucrent) un peu plus le plat.

Bref, c'est à mon goût savoureux.
Le scénario réserve de belles surprises, comme la mort dans la mort via la personnage « agrafée » de la nouvelle chérie de Tim, ou encore à travers un twist adolescent bien senti. Mais chut...

Le film nous offre aussi, j'allais dire (et le dis !) "comme on l'attendait", 2 à 3 moments musicaux probablement appelés à se « cultifier » : une danse sur le quai de gare de l'au-delà, une reprise de Bryan Adams par Beetlejuice, et un envoûtement collectif lors de noces inattendues.

Il y'aurait bien de quoi dire , mais je m'en tiens là, même si le risque de vous "priver le plaisir" à trop écrire est quasi nul, étant donné que ledit plaisir est ici 100% cinématographique.
Le film est bien plus jouissif par ses parties que par son tout. Comme le premier, mais avec un « tout » bien meilleur .

Pour conclure dois-je m'adonner au clichetonneux « contrat rempli » ? Pas certain, car à mon avis Burton se fiche des « contrats » comme de sa première chemise.

«Plaisir hautement pris et assuré », bien que très cliché aussi mais tant pis, me convient mieux.

En attendant peut-être une suite et fin des (mes)aventures de Beetlejuice, dont il faut après tout prononcer (ou pas!) TROIS fois le nom.

Je préférerai toujours le 1.
Mais il est bien fait, beaucoup plus glauque que le premier.
Le personnage de De Vito est génial.
J'aime moins Lydia, je la trouve cruche, le personnage à perdu en qualité mais Winona est toujours une bonne actrice.

Il y a des scènes qui me choquent, qui n'étaient pas nécessaires.
Des personnages inutiles et lourdingues.
Je m'attendais à plus de battle avec Bellucci.

Pas mal mais ça aurait pu être mieux.

Mais c'est bien fait.