Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
34 critiques presse
Bande à part
par Mary Noelle Dana
Le nouveau Tim Burton prouve que certains récits traversent les générations et se réinventent dans la joie.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
20 Minutes
par Caroline Vié
Tim Burton donne une suite savoureuse à son classique de 1988.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Le scénario fragmenté évoque un jeu de cadavre exquis géant, où l’imaginaire de Tim Burton s’exprime sans limite, comme un rêve fébrile.
Filmsactu
par Olivier Portnoi
Si Tim Burton n’a pas retrouvé le génie de ses débuts, Beetlejuice 2 n’en est pas moins un petit miracle tordu et vivifiant. Et ça fait du bien.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
Franceinfo Culture
par Laurence Houot
Une mise en scène tourbillonnante, un casting de luxe, une bande originale qui participe au rythme et à la drôlerie, des décors et des costumes chamarrés… [...] Tim Burton a mis le paquet dans ce "Beetlejuice" au carré, qui ne décevra pas les fans si toutefois leur attente n'excède pas une envie de petite piqûre de rappel nostalgique fortement dosée.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
IGN France
par Aekonimi
Tant suite que soft reboot, Beetlejuice Beetlejuice porte l'amour du réalisateur pour ses acteurs et son univers, ainsi que les maladresses et incohérences dues aux 36 ans d'écart entre les deux films.
La critique complète est disponible sur le site IGN France
LCI
par Delphine De Freitas
Ce film déborde tellement d’idées et de cœur qu’il s’accroche à vous tel Beetlejuice à son amour pour Lydia. Un divertissement efficace qui devrait même trouver ses admirateurs les plus fidèles parmi la nouvelle génération biberonnée à "Mercredi" et "Stranger Things".
La critique complète est disponible sur le site LCI
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Tim Burton renoue avec sa légendaire malice de sale gosse en reconvoquant Beetlejuice, le fantôme fantoche (Michael Keaton). Il réussit la suite de son deuxième long-métrage, film de 1988 devenu culte.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
L’extravagant M. Burton revient d’entre les créateurs hantés, avec une merveille majeure, macabre et sentimentale.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Cette comédie macabre réussit à restituer l'univers de Beetlejuice et à le réinventer grâce à une imagination débridée, pleine de fantaisie, d'onirisme qui flirte avec le surréalisme, de tendresse, de folie, d'outrance, de burlesque.
Le Journal du Geek
par Julie Hay
Tim Burton se la joue nécromancien et fait renaître Beetlejuice après plus de 30 ans. Si cette suite ne sait pas toujours où donner de la tête, multiplie parfois un peu trop les clins d’œil, elle nous en met plein les yeux avec un seul but : montrer qu’elle a du cœur.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Geek
Le Parisien
par Renaud Baronian
Pour le reste, Burton fait merveille à la mise en scène, favorisant les effets spéciaux à l’ancienne, divertit et fait beaucoup rire – il ose même refaire danser Jenna Ortega de façon délirante comme dans la série « Mercredi » - tout en se montrant audacieux et en mettant en avant son amour des personnages abîmés ou fêlés : une suite très réussie.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par La Rédaction
Les amateurs de Brian De Palma et de son mythique Carrie vont tomber de leur chaise en découvrant l'hommage délirant et hilarant que lui rend Burton dans le dernier virage du film. Bref, un feu d'artifice de création tous azimuts.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Mad Movies
par Alexandre Poncet
POUR : Burton retrouve son caractère de sale gosse, ce qui n'est déjà pas si mal.
Ouest France
par Sylvestre Picard
Tim Burton est bel et bien de retour.
Paris Match
par Benjamin Locoge
Avec cette suite sortie de son cerveau délirant Tim Burton ne révolutionne pas le cinéma fantastique. Mais il ne s’interdit rien : gags ubuesques, personnages sans tête, explosions de sang sont génialement au menu.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Frédéric Foubert
C’est Beetlejuice revivifié par Mercredi (les dialogues écrits par les deux showrunners de la série Netflix sont souvent drôles), Tim Burton au sommet de son art auto-référentiel, avec un grand sourire aux lèvres et en tapant du pied – une humeur disco-soul a remplacé Belafonte dans la B.O., et le film ne déçoit pas sur le plan des séquences musicales endiablées, ce qui n’est pas rien.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Cédric Coppola
À partir de cette intrigue, souvent confuse en raison d’une profusion d’aventures secondaires, Tim Burton accouche d’un de ces cabinets de curiosités dont il a le secret, visuellement abouti et marqué par la poésie gothique qui le caractérise depuis ses débuts.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
aVoir-aLire.com
par Arthur Champilou
Avec ce concentré de nostalgie et de Tim Burton pur sucre, le cinéaste américain renoue enfin avec la puissance créatrice pour laquelle nous l’avons tant aimé.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
Faire un sequel, pour Burton, c’est fumer la maquette : en une étrange collision qui le rapproche du David Lynch de Mulholland Drive, son happy end est un emboîtement de ,cauchemars, le crash d’un rêve dans un autre rêve.
Critikat.com
par Jean-Sébastien Massart
La conclusion joyeuse de Beetlejuice Beetlejuice organise un déluge endiablé et roboratif, dont les personnages ressortent revigorés. Nous aussi.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Judith Beauvallet
"Beetlejuice Beetlejuice" est pétri des défauts qui vont avec l’imaginaire foutraque du réalisateur, mais devant son humour au poil et sa créativité débordante, on l’accepte et on applaudit ce retour timide mais indéniable du réalisateur qu’on aimait.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
La Croix
par Stéphane Dreyfus
Le scénario part un peu dans tous les sens, mais cet esprit foutraque contribue à la réussite du film. Les personnages sont cartoonesques en diable, aussi délirants que ceux de Tex Avery. Le grand talent de Tim Burton est de faire émerger de cette pochade une touche de poésie tendre, permettant aux proches d’une même famille de se retrouver, par-delà la vie et la mort.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par É.S.
Trente-six ans plus tard, le principe est le même mais l'intrigue est aussi paresseuse qu'alambiquée. Winona Ryder n'est plus une ado en pleine crise mais la mère de Jena Ortega, étudiante sans relief. Burton préfère toujours les monstres aux humains et confie à sa girlfriend Monica Bellucci un rôle de revenante recousue prête à en découdre avec son ex-mari, Beetlejuice.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Clarisse Fabre
Les mille péripéties du film auraient pu former un opéra de morts vivants, mais le cinéaste a une fâcheuse tendance à bâcler le récit, dénouant les imbroglios dans un rythme effréné qui donne le tournis. De fait, le scénario est plus que rempli (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
D’abord fort timide et performative, cette suite ne trouve son ton, fantasque, que dans sa dernière demi-heure.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
La suite du film culte de 1988 aurait pu n’être qu’une basse opération commerciale mais accouche étonnamment d’un film habité, et même plutôt tordu.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Léo Soesanto
Un retour séduisant, mais en petite forme, où la vie après la mort et son cirque kitsch sont prétextes à une introspection mélancolique.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télé Loisirs
par Alexandra Ayo Barro
Malgré quelques fausses notes dans le scénario, les rebondissements, bien ficelés, assurent un très bon moment de divertissement.
Télérama
par Marie Sauvion
Une comédie macabre menée tambour battant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
CinemaTeaser
par Renan Cros
Un étrange film sans queue ni tête, une bravade de cinéma.
L'Obs
par Fabrice Pliskin
Tout se passe comme si le film, basé sur un mince livret plutôt que sur un scénario, nourrissait la secrète tentation d’être une comédie musicale, sans jamais passer à l’acte.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Visuellement maîtrisé à défaut d’originalité (à l’exception d’une poignée de saynètes), cet opus décousu se cantonne, hélas, à de l’autocitation, sinon de l’autocélébration, de l’univers burtonien.
Mad Movies
par François Cau
CONTRE : Cette impression assez glauque que Tim Burton joue avec son propre cadavre.
Bande à part
Le nouveau Tim Burton prouve que certains récits traversent les générations et se réinventent dans la joie.
20 Minutes
Tim Burton donne une suite savoureuse à son classique de 1988.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Le scénario fragmenté évoque un jeu de cadavre exquis géant, où l’imaginaire de Tim Burton s’exprime sans limite, comme un rêve fébrile.
Filmsactu
Si Tim Burton n’a pas retrouvé le génie de ses débuts, Beetlejuice 2 n’en est pas moins un petit miracle tordu et vivifiant. Et ça fait du bien.
Franceinfo Culture
Une mise en scène tourbillonnante, un casting de luxe, une bande originale qui participe au rythme et à la drôlerie, des décors et des costumes chamarrés… [...] Tim Burton a mis le paquet dans ce "Beetlejuice" au carré, qui ne décevra pas les fans si toutefois leur attente n'excède pas une envie de petite piqûre de rappel nostalgique fortement dosée.
IGN France
Tant suite que soft reboot, Beetlejuice Beetlejuice porte l'amour du réalisateur pour ses acteurs et son univers, ainsi que les maladresses et incohérences dues aux 36 ans d'écart entre les deux films.
LCI
Ce film déborde tellement d’idées et de cœur qu’il s’accroche à vous tel Beetlejuice à son amour pour Lydia. Un divertissement efficace qui devrait même trouver ses admirateurs les plus fidèles parmi la nouvelle génération biberonnée à "Mercredi" et "Stranger Things".
La Voix du Nord
Tim Burton renoue avec sa légendaire malice de sale gosse en reconvoquant Beetlejuice, le fantôme fantoche (Michael Keaton). Il réussit la suite de son deuxième long-métrage, film de 1988 devenu culte.
Le Dauphiné Libéré
L’extravagant M. Burton revient d’entre les créateurs hantés, avec une merveille majeure, macabre et sentimentale.
Le Journal du Dimanche
Cette comédie macabre réussit à restituer l'univers de Beetlejuice et à le réinventer grâce à une imagination débridée, pleine de fantaisie, d'onirisme qui flirte avec le surréalisme, de tendresse, de folie, d'outrance, de burlesque.
Le Journal du Geek
Tim Burton se la joue nécromancien et fait renaître Beetlejuice après plus de 30 ans. Si cette suite ne sait pas toujours où donner de la tête, multiplie parfois un peu trop les clins d’œil, elle nous en met plein les yeux avec un seul but : montrer qu’elle a du cœur.
Le Parisien
Pour le reste, Burton fait merveille à la mise en scène, favorisant les effets spéciaux à l’ancienne, divertit et fait beaucoup rire – il ose même refaire danser Jenna Ortega de façon délirante comme dans la série « Mercredi » - tout en se montrant audacieux et en mettant en avant son amour des personnages abîmés ou fêlés : une suite très réussie.
Le Point
Les amateurs de Brian De Palma et de son mythique Carrie vont tomber de leur chaise en découvrant l'hommage délirant et hilarant que lui rend Burton dans le dernier virage du film. Bref, un feu d'artifice de création tous azimuts.
Mad Movies
POUR : Burton retrouve son caractère de sale gosse, ce qui n'est déjà pas si mal.
Ouest France
Tim Burton est bel et bien de retour.
Paris Match
Avec cette suite sortie de son cerveau délirant Tim Burton ne révolutionne pas le cinéma fantastique. Mais il ne s’interdit rien : gags ubuesques, personnages sans tête, explosions de sang sont génialement au menu.
Première
C’est Beetlejuice revivifié par Mercredi (les dialogues écrits par les deux showrunners de la série Netflix sont souvent drôles), Tim Burton au sommet de son art auto-référentiel, avec un grand sourire aux lèvres et en tapant du pied – une humeur disco-soul a remplacé Belafonte dans la B.O., et le film ne déçoit pas sur le plan des séquences musicales endiablées, ce qui n’est pas rien.
Sud Ouest
À partir de cette intrigue, souvent confuse en raison d’une profusion d’aventures secondaires, Tim Burton accouche d’un de ces cabinets de curiosités dont il a le secret, visuellement abouti et marqué par la poésie gothique qui le caractérise depuis ses débuts.
aVoir-aLire.com
Avec ce concentré de nostalgie et de Tim Burton pur sucre, le cinéaste américain renoue enfin avec la puissance créatrice pour laquelle nous l’avons tant aimé.
Cahiers du Cinéma
Faire un sequel, pour Burton, c’est fumer la maquette : en une étrange collision qui le rapproche du David Lynch de Mulholland Drive, son happy end est un emboîtement de ,cauchemars, le crash d’un rêve dans un autre rêve.
Critikat.com
La conclusion joyeuse de Beetlejuice Beetlejuice organise un déluge endiablé et roboratif, dont les personnages ressortent revigorés. Nous aussi.
Ecran Large
"Beetlejuice Beetlejuice" est pétri des défauts qui vont avec l’imaginaire foutraque du réalisateur, mais devant son humour au poil et sa créativité débordante, on l’accepte et on applaudit ce retour timide mais indéniable du réalisateur qu’on aimait.
La Croix
Le scénario part un peu dans tous les sens, mais cet esprit foutraque contribue à la réussite du film. Les personnages sont cartoonesques en diable, aussi délirants que ceux de Tex Avery. Le grand talent de Tim Burton est de faire émerger de cette pochade une touche de poésie tendre, permettant aux proches d’une même famille de se retrouver, par-delà la vie et la mort.
Le Figaro
Trente-six ans plus tard, le principe est le même mais l'intrigue est aussi paresseuse qu'alambiquée. Winona Ryder n'est plus une ado en pleine crise mais la mère de Jena Ortega, étudiante sans relief. Burton préfère toujours les monstres aux humains et confie à sa girlfriend Monica Bellucci un rôle de revenante recousue prête à en découdre avec son ex-mari, Beetlejuice.
Le Monde
Les mille péripéties du film auraient pu former un opéra de morts vivants, mais le cinéaste a une fâcheuse tendance à bâcler le récit, dénouant les imbroglios dans un rythme effréné qui donne le tournis. De fait, le scénario est plus que rempli (...).
Les Fiches du Cinéma
D’abord fort timide et performative, cette suite ne trouve son ton, fantasque, que dans sa dernière demi-heure.
Les Inrockuptibles
La suite du film culte de 1988 aurait pu n’être qu’une basse opération commerciale mais accouche étonnamment d’un film habité, et même plutôt tordu.
Libération
Un retour séduisant, mais en petite forme, où la vie après la mort et son cirque kitsch sont prétextes à une introspection mélancolique.
Télé Loisirs
Malgré quelques fausses notes dans le scénario, les rebondissements, bien ficelés, assurent un très bon moment de divertissement.
Télérama
Une comédie macabre menée tambour battant.
CinemaTeaser
Un étrange film sans queue ni tête, une bravade de cinéma.
L'Obs
Tout se passe comme si le film, basé sur un mince livret plutôt que sur un scénario, nourrissait la secrète tentation d’être une comédie musicale, sans jamais passer à l’acte.
Télé 7 Jours
Visuellement maîtrisé à défaut d’originalité (à l’exception d’une poignée de saynètes), cet opus décousu se cantonne, hélas, à de l’autocitation, sinon de l’autocélébration, de l’univers burtonien.
Mad Movies
CONTRE : Cette impression assez glauque que Tim Burton joue avec son propre cadavre.