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    Michael Kohlhaas
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    2,9
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    266 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 21 août 2013
    Ok, Arnaud des Pallières filme très bien une nature très belle. Excellent filmeur qui nous réserve des moments de grâce : le soleil dans les cheveux des amants, une armée galopant sur une colline à l'aube en plan zénithal, une belle scène de sexe. A tout point de vue l'image de "Kohlaas" est réussie, encore qu'un peu trop appuyée, ce qui peut être agaçant. Mais ce qui me gêne avec cette adaptation du roman éponyme de Kleist, que personne n'a jamais lu d'ailleurs, c'est son côté austère pour ne pas dire protestant (cf "Meaning of life " des Monty Pythons) : lenteur des mouvements, primat désuet de l'Ethique avec un grand E (en gros Kohlhass fait-il bien de se révolter suite à l'assassinat vraiment pas gentil de sa femme ?), rusticité surlignée au stabilo du décor (le bois c'est lourd, le cheval accouche du poulain), etc. Bref, un petit côté: Bela Tarr, en moins bien. Dans "La Cité de Dieu", Saint Augustin légitime la révolte contre le pouvoir politique si celui-ci déroge à l'éthique divine cad au décalogue qui dit que tuer c'est méchant. Ainsi, 1/ Kohlaas a le droit de se révolter aussi con soit-il (dsl Mikkelsen) 2/ Fallait-il en tirer un film, certes chiadé, mais ô combien inutile? Avec "Kohlhaas", des Pallières nous montre en fait qu'il est très sensible et qu'il aime l'art. du coup, il fait de l'art arrogant et pompier. C'est le problème d'une certaine radicalité au cinéma qui s'oblige à en faire des caisses pour exister et laisse peu de place au spectateur, à force de lui montrer à chaque plan qu'il est en train de voir le film de l'année.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 21 août 2013
    Une mauvaise réalisation du beau drame de Kleist, et c'est d'autant plus dommage que le film bénéficiait du talent de Mads Mikkelsen.
    killbill2
    killbill2

    1 abonné 14 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 20 août 2013
    Mars Mikelsen est comme d'habitude absolument génial....mais qu'est ce que l'on s'ennuie... Manifestement, le réalisateur ne s'est soucié que de faire un film pour lui sans vraiment penser aux pauvres spectateurs. À la toute fin du film, on en sort quand même avec une impression mitigée, ce film est étonnant.
    Teuteu8391
    Teuteu8391

    46 abonnés 376 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 juillet 2014
    Michael Kohlhaas interprété par Mads Mikkelsen me semble avoir été un choix très judicieux, il y a de très beaux paysages. Les point négatifs sont pour moi, l'accent trop présent de Mads Mikkelsen, une réalisation trop sombre, un rythme trop lent. Une très belle musique, j'y ai retrouvé un p'tit coté Braveheart.
    A la fin de ce film on peut se poser les questions suivantes: "Jusqu'ou allez pour le respect de ses principes?", "Quel prix à payer pour que justice soit rendus?". C est un bon film.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 20 août 2013
    Michael Kohlhaas…L’histoire est bien, surtout pour ceux que l’injustice peut rendre hystérique comme moi. C’est le sujet du film : Au 16ème siècle, Michael Kohlhaas vend des chevaux et subit une injustice de la part du seigneur du coin : ce dernier épuise deux chevaux laissés en gage contre l’autorisation d’un passage jusqu’en ville. Kohlhaas veut réparation mais n’obtient rien, spoiler: si ce n’est la mort de son épouse.
    Sur ce, il décide de se faire justice lui-même, jusqu’au point de non retour. C’est un roman d’Heinrich Von Kleist, c’est donc allemand, très rigoureux, et surtout très romantique.
    Malheureusement le film est raté à cause d’une mise en scène bancale, réalisée en dépit du bon sens. Premièrement il faudrait écourter le film d’une bonne demi-heure, voire quarante minutes. Certaines scènes sont interminables sans justification aucune, et certains propos sont appuyés à un point qui en devient risible, par exemple la gamine courant dans la forêt spoiler: quand le chariot avec le corps de sa mère rentre à la ferme
    . Deuxièmement, je n’ai pas le souvenir d’avoir vu un film où la musique était aussi mal utilisée, prenant le dessus parfois sur des scènes capitales, et retirant ainsi toute émotion, car trop forte, et pas terrible non plus. Troisièmement un montage réalisé avec des moufles qui rend incompréhensibles certaines scènes, notamment celle de « l’assaut » du château du méchant seigneur, où nous ne savons plus qui sont, ni où sont les assaillants et les assaillis. Je ne vous parle même pas de la scène finale car je risque de devenir hargneux.
    Ce qui est dommage, c’est que ça démarrait bien. Ca fonctionnait jusqu’au moment ou le héros décide de prendre les armes. Ensuite on dirait que Arnaud des Pallières a été remplacé par un autre metteur en scène beaucoup moins qualifié. Pourtant il y avait matière à réaliser un très bon film. Je le répète, en valeur absolue l’histoire est bonne : un mec (têtu comme une mule et c’est rien de le dire) qui se sacrifie par principe, on ne peut se permettre de rater un sujet pareil.
    Sinon il y a un casting d’enfer, Mads Mikkelsen est une fois de plus géant dans son interprétation, mais signalons aussi Denis Lavant, Jacques Nolot, Bruno Ganz que j’ai toujours plaisir à retrouver même dans des très petits rôles, et Sergi Lopez.
    Pour finir sur une seconde touche positive, l’image est magnifique et les paysages splendides. Pour les curieux, je conseillerais davantage de lire ou relire le roman de Von Kleist.
    islander29
    islander29

    829 abonnés 2 324 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 20 août 2013
    Première question, pourquoi prendre un acteur danois, pour jouer un cévenol du 16ème siècle ?
    Si quelqu'un a la réponse ......
    L'accent bien lourd plombe les deux heures du film.....
    Comme si ce n'était pas suffisante, l'action va à deux à l'heure et est dynamitée par une musique assoupissante, soi disant du moyen Age....
    J'ai eu l'impression de suivre une course de formule 1 avec des deux chevaux.....
    Attention, ne parlons pas trop vite, ne bougeons pas trop vite, ne pensons pas trop vite.....
    Le résultat est si soporifique qu'il fait passer "Les landes " avec Marie Gillain pour un thriller monumental.....
    Seul Denis Lavant dans son intervention place un contexte historique et dialectique à cette platitude....
    En fait seule la dernière scène émouvante nous réveille après deux heures de courses de gros bourrins dans les landes sauvages, de tirs à l'arbalète sans cible désignée et avec un "son d'ambiance" pompeux à chaque instant.....
    A tel point que chaque moment de silence exprime le vide de la mise en scène....
    Si vous avez un petit roupillon à faire , n'hésitez pas, le film ne vous réveillera pas.....
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 20 août 2013
    Michael Kohlhaas est l'interprétation contemporaine d'un récit original culte du début du 19ème siècle sur le thème très délicat, et profond, de la justice. Tous les ingrédients étaient à la disposition du réalisateur pour en faire un film fantastique, ainsi que le casting, en plus de ne pas avoir à se préoccuper d'un scénario déjà écrit et très bon.

    Malheureusement, ce dernier sombre dans une réalisation prétentieuse rendant toute action illisible : très obscure pour ne pas dire complètement dans le noir, que des gros plans et très gros plans rendant l’appréhension de l'espace impossible et l'action incompréhensible, le montage arythmique est très agaçant et non justifié.
    A part peut être Mads Mikkelsen, les personnages n'ont véritablement aucune contenance, zéro. Je vois difficilement comment le sentiment d'injustice qui est censé jaillir chez le spectateur peut apparaître tant la distanciation est forte, les personnages peu crédibles et pas attachants pour un sou.

    L'esthétique néanmoins subtile et très épurée ne suffit malheureusement pas du tout à combler ces tares : on a le sentiment d'un soufflet dégonflé, un bon film tué dans l'oeuf, ce film est chiant à souhait, il n'y a même pas une seule baston intéressante pour consoler.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 19 août 2013
    Sélectionné au Festival de Cannes d’une part, et avec Mads Mikkelsen en tête d’affiche d’autre part, Michael Kohlhaas avait déjà de quoi attirer l’attention au cours de ces derniers mois. Après le chef d’œuvre danois A Royal Affair, l’acteur revient pour incarner ici un marchand de chevaux révolté prêt à se faire justice lui-même en vue d’obtenir réparation pour les préjudices qu’il a subis …

    Arnaud des Pallières nous emmène dans l’intimité de ce personnage ô combien charismatique, Michael Kohlhaas, pour qui la rectitude est le maître mot, et dont les injustices et la tristesse le feront se rebeller contre un ordre corrompu par l’illégalité. Le film nous plonge directement en plein cœur de l’action et très vite nous sommes en mesure de déterminer l’allure à laquelle il tournera par la suite. Une fois l’ensemble des déboires survenus à notre protagoniste, l’histoire prend le temps de se développer et elle permet ainsi au spectateur de s’immiscer dans les pensées de Kohlhaas pour mieux faire ressortir les interrogations morales auxquelles il se retrouve peu à peu confronté. Il est important de souligner l’interprétation absolument magnifique de Mads Mikkelsen qui, malgré son physique glacial et souvent qualifié, à tort, d’inexpressif, parvient à effectuer la transition parfaite entre le quotidien d’un homme ordinaire qui devient soudainement mué par un sentiment d’injustice profond.

    Pas besoin de dialogues pour arriver à un tel degré de virtuosité, et c’est bien ce qui fait la force du film : Réussir à captiver sur un rythme lent et souvent silencieux. A la manière de Nicolas Winding Refn, les répliques se font peu nombreuses et l’univers en lui-même s’avère être particulièrement sombre, comme la résultante d’une symbiose entre l’apparence très froide de Kohlhaas et le décor relativement glacial dans lequel il évolue tout au long de son périple ; décor qui n’est pas sans rappeler celui de Valhalla Rising dans lequel Mads Mikkelsen avait déjà joué … La musique quant à elle colle parfaitement aux images, (mention spéciale pour celle jouée au cours de la scène finale), et le rendu final est d’excellente qualité pour un petit film d’auteur sans prétention aucune comme celui-ci.

    Une mise en scène remarquable, des acteurs au sommet de leur art … Michael Kohlhaas se révèle être l’excellente surprise du mois d’Août, une véritable leçon de cinéma de la part du réalisateur, Arnaud des Pallières, qui pourra certes en rebuter plus d’un, mais qui ne nous fera absolument pas douter de sa place au Festival !
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 19 août 2013
    Le refus du réalisateur à toute forme de sensationnalisme, lyrisme, action, a de quoi rebuter, au premier abord. De fait, Michael Kohlhaas n'est pas un film facile. Pourtant, au fur et à mesure que l'histoire se déroule, on découvre un grand nombre de fulgurances, des scènes étonnantes, visuellement inoubliables, ces Cévennes froides et venteuses, cette photographie audacieuse qui respecte la lumière du soleil et des nuages, cette émotion qui naît de la naissance d'un poulain ou d'une petite fille qui court dans une forêt. Mads Mikkelsen est littéralement prodigieux de charisme, à la fois émouvant et dur, rugueux. Toute une panoplie d'acteurs de talent, inconnus ou vedettes, l'entourent. Mentions spéciales à Mélusine Mayance, petite demoiselle qui se durcit tout au long de l'histoire, ainsi qu'à Denis Lavant en prédicateur à la fois sobre et exalté, et Roxane Duran en princesse entièrement vêtue de noir, froide et émouvante, remarquablement sévère et ambiguë. Ce film vous hante longtemps après l'avoir vu. Ce n'est toutefois pas un film pour tous les yeux, il nécessite sans doute une certaine connaissance cinématographique ainsi qu'un esprit ouvert et intuitif.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 20 août 2013
    Le réalisateur s'est efforcé à ne pas faire dans la violence spectaculaire alors que le scénario pouvait tout à fait s'y prêter. On assiste dès lors au combat d'un homme décidé à faire respecter la justice, prêt à tout pour laver son honneur. Dans ce rôle, le magnifique Mads Mikkelsen, d'autant plus remarquable qu'il s'exprime en français. Il y a une force très particulière qui se dégage de cette œuvre. Les paysages, la musique, l'interprétation, tout prend aux tripes.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 19 août 2013
    Film réaliste, agréable à voir, un peu lent, de belles imaeges. J'ai bien aprécié.
    poet75
    poet75

    264 abonnés 703 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 19 août 2013
    Le thème de l'homme qui, étant victime d'exactions et ayant épuisé tous les recours possibles, estime qu'il n'a plus d'autre choix que de s'ériger lui-même en justicier de sa propre cause, ce thème a déjà été abordé bien des fois au cinéma et tout particulièrement dans nombre de westerns. "Michael Kohlhaas" précisément, au fil de plusieurs de ses scènes, a tout à fait l'allure d'un western, avec ses hommes chevauchant leurs montures dans des paysages cévenols qui, par moments, ressemblent à s'y méprendre à certains paysages de l'ouest américain. Avons-nous donc affaire à un thème rebattu et à un film manquant d'originalité? Pas du tout, car même les thèmes ou les sujets les plus ressassés peuvent apparaître comme nouveaux pour peu qu'on sache leur donner une couleur ou un ton inédit. Or ce qui fait, à mon avis, l'originalité de "Michael Kohlhass", c'est que le thème de la justice y est abordé d'une manière très précise en résonnance avec la foi chrétienne et avec des références bibliques. C'est un théologien en effet qui, au coeur même du film, dans ce qui m'a semblé en être la scène la plus significative, rappelle à l'insurgé Michael Kohlhaas les exigences de la foi chrétienne et lui fait en quelque sorte sentir ainsi dans quelle folie il s'est engagé.
    Mais reprenons les faits depuis le début sans bien sûr dévoiler la totalité de l'intrigue et en se gardant de raconter l'issue vertigineuse du récit. Arnaud des Pallières a adapté un roman d'Heinrich von Kleist en le transposant dans les Cévennes du XVIe siècle. Un marchand, Michael Kohlhaas, en route vers une ville pour y vendre des chevaux, se trouve arrêté dans sa course par une barrière. C'est un seigneur local, un baron, qui, au mépris de toutes les règles, a pris la décision d'exiger un péage de quiconque veut passer sur ses terres. Michael Kohlhaas s'insurge mais se voit contraint de laisser en gage deux de ses chevaux jusqu'à ce qu'il revienne et s'acquitte de la somme due. Mais, à son retour, il découvre que ses chevaux ont été terriblement maltraités et que le valet qu'il avait chargé de leurs soins a disparu. On le retrouvera plus tard, blessé, mordu par des chiens qu'on a lâché sur lui. Michael Kohlhaas demande justice, mais il n'obtient rien. Il finit même par envoyer sa femme intercéder pour lui auprès d'une princesse. Mais la violence n'épargne rien ni personne et, en désespoir de cause, Michael Kohlhaas ne voit plus d'autre issue que de prendre les armes, que d'entraîner à sa suite les paysans de la région et que de se venger par la guerre.
    Michael Kohlhaas qui lit la Bible, qui connaît l'Evangile, sait bien qu'il y est exigé le pardon des ennemis, mais son appétit de justice l'emporte sur toute autre considération. A quel prix? Au prix du sang! Est-il permis de se faire justice soi-même et, pour ce faire, d'entraîner avec soi des hommes qui le paieront de leur vie? Le théologien qui interpelle Michael Kohlhaas lors de la scène la plus importante du film lui pose ces questions. Au nom de la justice, Michael Kohlhaas n'a-t-il pas ouvert la porte à mille injustices plus graves encore que celle qu'il a lui-même subie?
    Ce film puissant apparaîtra peut-être à certains un peu trop sage, un peu trop classique, dans sa réalisation. Il y a aussi, ici ou là, l'une ou l'autre scène quelque peu confuse, il faut l'admettre. Mais ces défauts mineurs sont largement compensés par la force de ce récit, par les plans superbes qui émaillent le film d'un bout à l'autre, et aussi et surtout par le jeu des acteurs, à commencer bien sûr par le danois Mads Mikkelsen, impressionnant dans le rôle titre. Mais les autres acteurs et actrices ne sont pas en reste: ainsi la fillette qui joue de le rôle de l'enfant de Michael Kohlhaas; elle apparaît à la fois comme une fille aimante et comme un reproche vivant pour un père qui a emprunté des chemins de désastre!
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 19 août 2013
    Beau film, très belles images, bons acteurs... Pas d'ennui pendant la projection.
    Juste quelques incompréhensions dues à l'écriture du scénario.

    A recommander.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 19 août 2013
    C'est entre ombre et lumière, mais jamais de l'un à l'autre, qu'évoluent les personnages d'Heinrich von Kleist devant la caméra d'Arnaud des Pallières. Un peu facile, comme mise en scène? Peut-être; simple, plus exactement, naturel, s'alliant à l'authenticité qu'a recherché le réalisateur en captant parfois la réalité, le bruit du vent, par exemple, sur certains plans. Epuré, comme ont pu le dire certains.
    A l'image, en tout cas, d'une intrigue qui se raconte en deux lignes, mais dont l'écho résonne à la fois dans notre époque et plus modestement à la sortie du cinéma.
    Tout comme résonnent encore quelques notes de musiques. Elles ne sont pas nombreuses, dans le film, mais entêtantes et dérangeantes, elles habillent et habitent à merveille un scénario qui nous fait la grâce d'être peu bavard mais tellement éloquent. Et ce, grâce aussi à une distribution en tous points parfaite, qui fait quand-même la part belle à un Mads Mikkelsen de très très haut niveau.
    Intense et violent dans le jeu, implacable dans les plans, avec une bande originale qui prend aux tripes, on pardonnera à ce Michael Kohlhaas quelques longueurs, peut-être celles du doute et des interrogations de son protagoniste principal, qui nous offre une dernière scène absolument magistrale.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 18 août 2013
    Un film absolument magnifique. Des dialogues minimaliste, le film est dans l'image. Eblouissant.
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