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    Michael Kohlhaas
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    cineccita
    cineccita

    44 abonnés 1 479 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 août 2013
    C'est un peu lent mais l'intrigue retient bien notre attention. Mads Mikkelsen est toujours aussi bon et en plus il parle français. L'ambiance XVI eme siècle est bien reconstituée.
    Jean Francois L
    Jean Francois L

    12 abonnés 600 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 24 août 2013
    trop long, trop sombre, trop bruité, pas assez de dialogue! Heureusement qu'il y a un bon casting et notamment le beau et bon Mads Mikkelsen, avec son beau balayage et sa barbe de 5 jours, toujours nickel. Vu l'époque...,meme si agréable à regarder, c'est peu crédible. La barbarie de cette époque, suivi d'une vengeance, qui au bout des longues minutes de ce film, ne nous amène pas à rentrer dans l'histoire, ni trouver une réelle compréhenssion à ce personnage. Dommage, ca aurait pu etre un bon film guerrier francais...
    annastarnomberon
    annastarnomberon

    130 abonnés 239 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 23 août 2013
    En lisant le résumé du film, on pouvait s'attendre à une épopée romanesque, à un film épique, à l'histoire d'un soulèvement populaire. On pouvait s'attendre à un film dans la lignée des Raisins de la colère ou à un nouveau Robin des bois.
    Mais non. Pour moi il ne s'agit pas d'un film collectif, ce n'est pas l'histoire de la révolte d'une bande menée par un justicier du peuple. À mes yeux, ici c'est plutôt l'histoire d'un homme, de sa lutte intérieure entre amour, orgueil, foi et justice. Et pour qu'un film finalement aussi peu narratif et aussi centré sur l'introspection puisse fonctionner, il fallait un acteur de grande envergure. Le choix a été bon : Mads Mikkelsen semble possédé par son rôle tant il est investi. Il fait partie de ces acteurs qui transcendent leurs personnages, qui leur donnent une substance, qui les font exister en dehors de l'histoire dans laquelle ils évoluent.
    Arnaud des Pallières n'a pas seulement choisi le bon acteur pour son adaptation du roman d'Heinrich von Kleist. Il a aussi choisi un parti pris intéressant : il ne semble pas aveuglé par l'aura du personnage qu'il met en scène. Il nous présente dans ce film l'histoire d'un anti-héros, un héros humain et incertain. Ce qui est troublant et qui fait la force du film, c'est qu'on ne sait pas vraiment quoi penser de cet homme froid, presque impassible, prêt à tout pour que sa vision de la justice soit respectée mais finalement plein de questions sur ses propres actes.
    Si peu de personnages secondaires prennent réellement de l'importance dans ce film très intimiste, il y en a tout de même certains qui viennent ébranler le héros, le heurter. Les remarques du pasteur, qui mettent Kohlhaas face à ses propres contradictions, sont d'autant plus déstabilisantes qu'elles ne se noient pas dans un flot de dialogues. Les personnages sont rares mais subtilement choisis, ils parlent peu, mais ils parlent bien. En fait, dans ce film on se pose plus de questions qu'on n'obtient de réponses. Ce n'est pas un film qui nous impose une vision, on ne nous dit pas « aime le héros », on nous laisse juste la possibilité de nous mettre à sa place, de nous questionner comme il semble être en train de le faire. Grâce à sa présence sincère, intense et troublante, Mikkelsen nous fait comprendre que cette histoire est celle d'un homme qui ne peut plus reculer, qui n'a pas le choix et pour qui les principes et la droiture sont autant un refuge qu'un étendard.
    Finalement, cette vengeance n'est pas sublimée, elle a plutôt l'air triste et douloureuse.

    Bref, ce film dispose d'un véritable climat qui tord les tripes et qui noue le cœur. On ne nous cache pas grand chose, on ne nous épargne rien, et à la fin on nous laisse en plein cinéma, bouleversés par une scène de clôture en face à face avec le regard intense d'un homme qui s'apprête, enfin, à obtenir justice...
    crachou94
    crachou94

    23 abonnés 427 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 août 2013
    Heureusement qu'il y a Mads Mikkelsen, que j'ai adoré dans une royal affair et la chasse et qui sauve ce film. L'histoire est bonne, les paysages magnifiques, mais que c'est lent et trop long.
    theyoguishow
    theyoguishow

    7 abonnés 72 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 23 août 2013
    Je suis allé voir le film à cause de Mads Mikkelsen que je trouve extrêmement charismatique et je dois dire que cette histoire ou la manière de la traiter est très.... ennuyante. J'aime les films lents (j'avais bien aimé la Chasse avec ce même acteur) mais là il ne se passe que très peu de choses, ça blablate beaucoup, les quelques scènes de "guerre" (si on peut appeler ça comme ça) sont austères comme pas possibles (je vois l'opposant, je lui plante mon épée ou ma flèche dans le bide sans qu'il réagisse, je passe au suivant...)... au bout d'une heure j'en suis même venu à soupirer (tellement je m'ennuyais, ce que je ne fais pas d'habitude mais là c'était trop fort) et à avoir envie que ça se finisse vite fait (enfin lentement mais rapidement ! J'me comprends. Et vous comprendrez aussi si vous allez voir ce film !).
    Franchement l'acteur principal aurait été un autre, je me serais tiré avant la fin. Là on espère toujours une belle prestation sur un moment crucial (la toute fin d'ailleurs est assez forte !). Bon je dois néanmoins dire que j'ai eu du mal à comprendre tout ce qu'il racontait à cause de son accent très prononcé mais finalement ce n'est pas crucial. Donc l'étoile et demi que je mets c'est pour Mads et quelques beaux paysages. Le reste c'est de l'ennui mortel
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 23 août 2013
    Passé relativement inaperçu dans un festival de Cannes très riche, le film mérite pourtant le détour malgré une sortie aoutienne qui parie sur la fatigue des blockbusters (Leos Carax et Lars Von Treir avaient déjà tenté le coup).
    Voire même plus qu'un détour puisque, malgré une forme "art et essai" qui pourra le rendre difficile d'accès, Michael Kohlhaas propose beaucoup de choses qu'on ne voit que rarement dans les salles climatisées du cœur de l'été : des images magnifiques, un rythme paisible, une réflexion profonde et un acteur en état de grâce.

    C'est d'injustice qu'on parle, un thème intemporel, mais qui trouve un écho encore plus fort dans ce XVIème siècle ou un éleveur de chevaux est victime de la roublardise d'un jeune seigneur. Le larcin n'est pas si important, et pourtant l'homme mis à terre se révolte. Pour 2 chevaux et un passage à tabac, il va tout sacrifier, lever une armée, pousser à l'insurrection, entraîner sa famille dans ce drame.

    C'est là que l'histoire de cet homme est universelle : où faut-il s'arrêter ? quel est le prix de se battre contre l'injustice ? Ce destin pourrait être transposé n'importe où.
    Une des grandes réussites du film tient à la discrétion de la reconstitution, qui ne cherche jamais à étaler costumes et décors, pour mieux conserver une trajectoire presqu'intemporelle. Et permet aussi d'éviter l'académisme et de se concentrer sur le cœur du film. Une leçon à méditer pour tous ces films en costumes qui ne semblent jurer que par les robes, les armures et les châteaux-forts.

    Malgré cette approche ouverte, le traitement du film reste très "auteur", et il a ses détracteurs, qui guetteront dans ces longs silences la vacuité et le manque de chair. Mais quelle beauté dans les paysages des Cévennes, le vent, la lumière. Quelle intelligence dans l'apparition de Denis Lavant, veut convaincre le héros de rendre les armes. Et surtout quelle présence incroyable d'un Madds Mikelsen transfiguré.
    Rarement aura t-on vu un acteur faire autant corps avec son film, le porter, l'incarner jusqu'à la dernière image.

    Il reste quelques salles. Si votre temps de cerveau disponible est saturé par les explosions et les super-héros moisis, laissez vous tenter.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 23 août 2013
    C'est un film hors norme avec des plans d'une grande finesse, de vrais acteurs, un dénouement inattendu, tout sauf primaire, alors que l'époque, les personnages ont quelque chose de brut. Il y a une scène de bataille comme je n'en ai jamais vu où la bande de Michael Kohlhaas fond sur une escouade de gardes et sème la mort en quelques secondes dans un silence total et où le spectateur est positionné en haut d'une colline comme Napoléon ! Il faudrait voir et revoir cette scène pour en apprécier tous les détails...
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 22 août 2013
    Un film trop austère et mou ne faisant passer que trop peu émotions. Le film ne tient que sur le charismatique Mads, véritable envouteur d'image, et les décors des Cévennes et du Vercors. Le passage de Denis Lavant en pasteur vaut aussi le coup d 'œil.
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 279 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 28 août 2013
    Je crois que je viens de voir le film le plus attristant de cette année. Et si j’utilise ce terme – attristant – c’est parce que j’ai l’impression que ce mec, Arnaud des Pallières, a fait tous les efforts pour rendre son film austère et vide. Alors attention, on peut faire des films magnifiques sur des univers austères, mais là c’est bien la réalisation qui est austère et qui rend toute chose qui aurait pu être magnifique incroyablement atroce à supporter. Le simple premier plan annonce clairement la couleur... Enfin, la couleur... S’il y avait eu de la lumière avec, ça n’aurait pas fait de mal. La photographie est si sombre (a-t-on dit à ces mecs que « photos » en grec, ça voulait dire « lumière » ?) qu’on croirait voir un film tourné avec des vieilles caméras soviétiques des années 1930. A cela s’ensuit tout de suite une scène qui ne laisse aucune ambiguïté possible : champs-contrechamps interminables, musique à base de deux trois sons basiques graves et dissonants et surtout – suspense – des dialogues cultes joués sur le plus merveilleux ton monocorde qui soit ! « Pour passer, faut un permis. – Je n’ai pas de permis. – Tu ne peux pas passer. – Il n’y avait pas de barrière la dernière fois. – C’est un péage ordonné par la princesse. – Je n’ai pas de permis. – Donne un de tes chevaux alors. – Pas possible je dois les vendre. – Alors tu ne passeras pas... A moins que tu donnes un cheval… » ...et j’arrête là parce qu’on y repart un deuxième tour... Ce film est juste une CARICATURE du cinéma d’auteur à la française. Son but n’est pas de transporter, de raconter, de créer. Non. Il s’agit juste d’être obscur et nihiliste, tout ça pour se donner un genre. Ça va des dialogues secs ou ampoulés, aux vieilles situations glauques surfaites, et surtout en passant par une écriture digne d’un théâtre pour dépressifs. Ça ne tente rien, ça ne fait rien, ça gâche tout, Madds Mikkelsen en premier. Et voilà... Franchement, gaspiller un Madds Mikkelsen en le faisant bredouiller quelques mots en français histoire de justifier le truc (...qui n’est d’ailleurs pas justifié... Qu’est-ce que fout un Danois là dans un monde qui à l’époque est xénophobe jusqu'au village voisin ? Mystère...), c’est dire si finalement ce film se l’ait finalement joué par-dessus la jambe...
    alain-92
    alain-92

    311 abonnés 1 078 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 août 2013
    Un beau film en plein mois d'août. La magnifique photographie de Jeanne Lapoirie accompagne celui-ci de bout en bout. Arnaud des Pallières signe une mise en scène sans effets spéciaux, voire à l'économie, toute en finesse et sobriété extrême, sans manquer de hardiesse pour autant. Il en va de même pour les décors et les costumes qui ne définissent pas d'une façon appuyée l'époque à laquelle se déroule l'action. Une vague référence à la Reine de Navarre, sœur du roi de France peut nous rapprocher du XVI ème siècle, même si le scénario nous ramène sur bien des points, hélas, à n'importe quelle époque. Injustice et corruption sont au cœur d'un scénario qui aurait mérité de ne pas passer inaperçu au dernier festival de Cannes. À l'exception du passage "explosif" avec l'excellent Denis Lavant, beaucoup de silences, laissent place aux bruits de la nature, aux galops des chevaux ou aux chocs meurtriers des arquebuses. La violence est omniprésente et la colère comme repliée en elle-même. Pour mieux nous entraîner dans cette aventure, qui nous tient en haleine du début à la fin du film, Arnaud des Pallières s'est entouré d'un casting de choix. Le toujours excellent Bruno Ganz mais également Amira Casar, Sergi López et Roxane Duran dans des rôles dits, secondaires. Mads Mikkelsen incarne Michael Kohlhaas. Tour à tour, amoureux fou de sa femme, incarnée par la belle Delphine Chuillot, il se montrera désemparé et particulièrement émouvant à sa disparition. Père attentif avec la délicieuse Mélusine Mayance dans le rôle de sa fille. Homme intègre et pourtant floué dans son bon droit, guerrier et meneurs d'hommes, il se battra jusqu'au bout, par principe et simplement pour faire valoir ce que de droit. Mads Mikkelsen n'en finit plus de surprendre et d'éblouir par son incroyable talent, une formidable présence, et un charisme tout à fait exceptionnel.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 22 août 2013
    Michael Kholhaas est vraiment un grand film dont je suis sortie il y a quelques jours bouleversée et dont je me souviendrai longtemps. C'est à la fois un film d'aventures, une ode au paysage merveilleux des Cévennes mais également un film qui cherche une réponse à ce qu'est l'Humanité,. On se sent comme le héros dépassé par son combat mais en même temps bouleversé par sa folie meutrière et anéanti par le malheur qu'il sème autour de lui dans sa quête impossible de justice. Mads Mikkelsen incarne ce héros sombre et tragique tout en retenue et en grandeur contenue...Ce film est pour moi l'un des très grands films de l'année.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 22 août 2013
    Surtout ne pas se fier à l'affiche du film qui est vachement trompeuse. Un vrai trompe l’œil pour attirer les gens. Ce film est un ennuie mortel du début à la fin. Contrairement à ce que l'affiche pourrait laisser penser avec l'épée et les flammes, les scènes d'actions, de combat et de guerre sont inexistante ou extrêmement saccadé, incompréhensible. Que de la suggestion. Le moment le plus violent du film c'est quand on entend des truies et cochons hurler très fort durant de longues minutes. Oui c'était violent pour mes oreilles. L’interprétation des acteurs est platonique, monotone, sans envole. Le tout avec une composition visuelle digne des années 50. Seul les paysages ne sont pas entièrement à jeter^^. Je ne recommanderais à personnes de payer 10 Euros pour un film pareil, et encore moins à un jeune couple.... Dans la salle de cinéma dans laquelle j'étais, d'une capacité de plus d'une centaines de places, il y avait tout juste une quinzaines de personne, pratiquement que des quinquagénaires, et même eux avait l'air d'être assommé par la lourdeur de l'histoire.
    C'est d'autant plus dommage que ce film est adapté d'un beau romans. Et il y avait moyen d'en faire une belle fresque épique moyenâgeuse.
    bendelette
    bendelette

    23 abonnés 247 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 21 août 2013
    ennui,des beaux chevaux,de beaux arbres,de belles photos,mais le film est trop lent,le montage raté,les acteurs mal dirigés....quel dommage!le sujet était pourtant mieux qu'intéressant.
    Glouche
    Glouche

    22 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 août 2013
    Si l'affiche fait inévitablement penser au Guerrier Silencieux, on est ici dans une sorte de western féodal avec Mads Mikkelsen en Clint Eastwood huguenot et où les Cévennes remplacent l'Arizona.
    L'acteur est, une fois de plus, remarquable (sans compter qu'il joue en français) et laisse peu de place aux seconds rôles (Bruno Ganz, Denis Lavant, Amira Casar). Certains choix sont étonnants comme le peu charismatique baron dont le héros veut obtenir justice.
    Le film, grâce aussi à la prestation de Mads Mikkelsen, dégage une violence omniprésente, mais très contenue.
    Les images, notamment les superbes paysages, sont magnifiées par la bande son (musique, vent ou bruits d'insectes) ; c'est, à mon avis, ce qui permet d'adhérer au film malgré ses côtés austères.

    A voir impérativement sur un écran de cinéma !
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 21 août 2013
    Comme chacun, je salue la beauté des images, lumières et paysages, ainsi que le jeu éblouissant des acteurs, l'incroyable Mikkelsen en tête, une des plus belles bêtes de cinéma au monde, en activité, comme un Luis Tosar du grand Nord, capable d'apporter une dose d'émotion qu'un De Niro ne nous livre plus depuis longtemps. Le rythme n'est pas américain, mais 100%, français made in France, c'est-à-dire ne singeant pas Hollywood, donc lent, oui. Pour ma part, fan de série B mais aussi habitué à autre chose que du boum boum tapageur et tape à l'oeil, j'ai accroché avec plaisir, emporté par les qualités du film, jusqu'à un moment, pas longtemps avant la fin, où j'ai ressenti un coup de mou. Cette distanciation apparaît à un moment où notre héros se retrouve seul avec lui-même, se préparant à son châtiment ; c'est donc un moment d'intimité où l'on colle moins à son destin, et finalement le coup de mou s'inscrit dans le propos du film, et on se dit que si Mikkelsen n'avait pas fait le boulot émotionnel pur et parfait lors de la fin réussie du film, ça aurait tourné en eau de boudin. Si...Si...Si... Pourquoi "si"? Le charme de l'ensemble l'emporte allègrement sur les réticences que l'on peut rencontrer. De plus, ayant lu le bouquin, simple, court, et efficace, (du Dumas affiné) avant, j'ai suivi les remaniements de l'histoire, avec intérêt, sans connaître tous les développements du scénario qui a su s'élever droit à travers la machine implacable de Kleist, qui tourne pourtant si rondement. Exit l'histoire de la gitane, Des Pallières a pondu un dénouement plus limpide pour le cinéma. De plus il nous offre, en bonus de luxe, une apparition de Denis Lavant, trop rare en tant qu'un des meilleurs acteurs français scandaleusement sous-employé, dans un rôle clef, où il nous offre un "numéro" dont il a le secret. Bref, vu le vide actuel sur les grands écrans, après Elysium, qui sent bon, à l'air bon, et est bon, donnez sa chance à ce Kohlass boudé par quelques esprits chagrins (si parisiens pour beaucoup).
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