Michael Kohlhaas
Note moyenne
2,9
1474 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
Votre avis sur Michael Kohlhaas ?

268 critiques spectateurs

5
18 critiques
4
59 critiques
3
68 critiques
2
73 critiques
1
31 critiques
0
19 critiques
Trier par :
Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
benoitG80
benoitG80

3 459 abonnés 1 464 critiques Suivre son activité

2,5
Publiée le 17 août 2013
"Michael Kohlhass" n'a pour moi pas remporté l'adhésion que j'espérais au préalable !
Certes, tout repose sur les épaules de Mad Mikkelsen et justement, le problème se pose déjà à ce niveau-là...
L'acteur au charisme connu et reconnu joue comme il se doit, c'est à dire qu'il rentre parfaitement dans la peau de ce riche marchand de chevaux prêt à se venger coûte que coûte du vol de deux de ses chevaux, un homme au visage buriné et presque minéral, ténébreux, taiseux à souhait...
Et curieusement, un peu comme dans "La Chasse" de Thomas Vinterberg, cette composition maîtrisée ne dégage aucune émotion tant la froideur est au rendez-vous et de plus, les paroles prononcées avec cet accent danois sont très souvent inaudibles soit tout de même un défaut de taille !
Bien sûr, on ne reviendra pas sur les magnifiques images où les paysages sont sublimés, où les visages sont illuminés avec art, sans oublier une bande son impressionnante puis terriblement envahissante et même souvent dérangeante !
À tel point que le côté esthétique prend vite le pas sur l'histoire elle-même et sa construction...
Le réalisateur se complait trop souvent en effet à mettre en scène le héros dans ce superbe univers, si bien que le film manque vite de chair, de consistance comme si les personnages étaient subsidiaires tant au niveau de leur présence réelle que du nombre insuffisant de figurants !
En effet, la population oubliée et quelques mouvements de foule auraient apporté une crédibilité à ce récit qui s'étire de plus en plus mollement, il faut bien le dire avec en outre beaucoup de lacunes et donc de confusion dans la lecture du scénario.
Et cela, sans compter les incohérences et erreurs quand on songe à l'époque !
Même si la scène entre l'ecclésiastique et Michael Kohlhass retient l'attention par sa justesse de propos, le message philosophique autour de la justice, du désir de la rendre soi-même et par tous les moyens, intéressant au départ, perd ainsi cruellement de sa force...
Pour devenir finalement juste un prétexte à un film qui reste cependant à voir, mais un film plutôt prétentieux qui manque d'audace et de pertinence !
lara cr28
lara cr28

76 abonnés 123 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 31 août 2013
Un rôle de guerrier qui va à merveille à M. Mikkelsen. C’est une belle épopée personnelle et moderne que mène cet homme rongé par l’injustice. Si la société nous rappelle ses lois et ses devoirs à la fin, le monde est filmé depuis l’œil du héros et il est difficile de s’y soustraire. Les nombreux gros plans permettent de mettre en scène les différentes émotions du personnage qui sont, tout au long du film fort nuancées. Enfin, l’ensemble est soutenu par une musique ressemblant étrangement à un roulement de tambour et suggère une violence lancinante.
lhomme-grenouille
lhomme-grenouille

3 403 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

0,5
Publiée le 28 août 2013
Je crois que je viens de voir le film le plus attristant de cette année. Et si j’utilise ce terme – attristant – c’est parce que j’ai l’impression que ce mec, Arnaud des Pallières, a fait tous les efforts pour rendre son film austère et vide. Alors attention, on peut faire des films magnifiques sur des univers austères, mais là c’est bien la réalisation qui est austère et qui rend toute chose qui aurait pu être magnifique incroyablement atroce à supporter. Le simple premier plan annonce clairement la couleur... Enfin, la couleur... S’il y avait eu de la lumière avec, ça n’aurait pas fait de mal. La photographie est si sombre (a-t-on dit à ces mecs que « photos » en grec, ça voulait dire « lumière » ?) qu’on croirait voir un film tourné avec des vieilles caméras soviétiques des années 1930. A cela s’ensuit tout de suite une scène qui ne laisse aucune ambiguïté possible : champs-contrechamps interminables, musique à base de deux trois sons basiques graves et dissonants et surtout – suspense – des dialogues cultes joués sur le plus merveilleux ton monocorde qui soit ! « Pour passer, faut un permis. – Je n’ai pas de permis. – Tu ne peux pas passer. – Il n’y avait pas de barrière la dernière fois. – C’est un péage ordonné par la princesse. – Je n’ai pas de permis. – Donne un de tes chevaux alors. – Pas possible je dois les vendre. – Alors tu ne passeras pas... A moins que tu donnes un cheval… » ...et j’arrête là parce qu’on y repart un deuxième tour... Ce film est juste une CARICATURE du cinéma d’auteur à la française. Son but n’est pas de transporter, de raconter, de créer. Non. Il s’agit juste d’être obscur et nihiliste, tout ça pour se donner un genre. Ça va des dialogues secs ou ampoulés, aux vieilles situations glauques surfaites, et surtout en passant par une écriture digne d’un théâtre pour dépressifs. Ça ne tente rien, ça ne fait rien, ça gâche tout, Madds Mikkelsen en premier. Et voilà... Franchement, gaspiller un Madds Mikkelsen en le faisant bredouiller quelques mots en français histoire de justifier le truc (...qui n’est d’ailleurs pas justifié... Qu’est-ce que fout un Danois là dans un monde qui à l’époque est xénophobe jusqu'au village voisin ? Mystère...), c’est dire si finalement ce film se l’ait finalement joué par-dessus la jambe...
anonyme
Un visiteur
0,5
Publiée le 20 août 2013
Michael Kohlhaas est l'interprétation contemporaine d'un récit original culte du début du 19ème siècle sur le thème très délicat, et profond, de la justice. Tous les ingrédients étaient à la disposition du réalisateur pour en faire un film fantastique, ainsi que le casting, en plus de ne pas avoir à se préoccuper d'un scénario déjà écrit et très bon.

Malheureusement, ce dernier sombre dans une réalisation prétentieuse rendant toute action illisible : très obscure pour ne pas dire complètement dans le noir, que des gros plans et très gros plans rendant l’appréhension de l'espace impossible et l'action incompréhensible, le montage arythmique est très agaçant et non justifié.
A part peut être Mads Mikkelsen, les personnages n'ont véritablement aucune contenance, zéro. Je vois difficilement comment le sentiment d'injustice qui est censé jaillir chez le spectateur peut apparaître tant la distanciation est forte, les personnages peu crédibles et pas attachants pour un sou.

L'esthétique néanmoins subtile et très épurée ne suffit malheureusement pas du tout à combler ces tares : on a le sentiment d'un soufflet dégonflé, un bon film tué dans l'oeuf, ce film est chiant à souhait, il n'y a même pas une seule baston intéressante pour consoler.
calliphilus
calliphilus

8 abonnés 77 critiques Suivre son activité

2,0
Publiée le 2 septembre 2013
« Avant de faire de la dysharmonie, il faut connaitre l’harmonie » disait Paul Klee. Avant de faire du Tarkovski faut-il encore maitriser la photo, la prise de vue, les cadrages, la bande son, le récit, bref tout ce que le cinéma russe, très académique, enseigne à merveille et qu’un Tarkovski ou un Lounguine ont su transcender sans jamais trahir ces fondamentaux.
Arnaud des Pallières néglige tous ces éléments. Dès les premiers plans, l’ennui vous gagne : photos sombres, montage bâclé, kyrielles de gros plans insipides. Quant au récit – que les Russes savent si bien dérouler avec clarté sans la pesanteur démonstrative des Américains- (lire à ce sujet « l’art de raconter » de Dominique Fernandez) il devient ici incompréhensible. Sans la notice présentant le film, je crois que je n’aurais rien compris au scénario. La prise de son (ou le mixage ?) se révèle de mauvaise qualité : les bruits de fond sont trop amplifiés (passage du pont assourdissant) alors que les voix manquent de netteté.
Concernant les acteurs, Mikkelsen a de la présence mais il aurait fallu le doubler par un acteur à la voix de bronze (puisque feu Alain Cuny pourquoi pas Jean Réno ?) car son accent gène la compréhension du texte. Bruno Ganz et Denis Lavant sont excellents, Delphine Chuillot insipide et Roxane Duran (la princesse) nullissime : aucune présence et diction déplorable. Imaginez Marina Vlady à sa place : souvenez-vous d’elle dans la princesse de Clèves, sa seule présence éblouissait l’écran. Il y en a vraiment assez de ces jeunes actrices françaises contemporaines totalement nulles qui apparaissent dans les castings on ne sait comment alors que notre théâtre amateur regorge de talent. La scène de coucherie des parents surpris par leur fille est inutile. Les plans sont d’une longueur interminable et injustifiée. Seule la musique (Martin Wheeler je crois) intemporelle et originale a retenu mon attention quoiqu’elle ne soit pas toujours utilisée à bon escient. Conclusion : un film ennuyeux et décevant réalisé par un cinéaste qui ne maitrise pas son sujet. Cela dit, ça reste du cinéma par opposition aux frères Dardenne ou à Joachim Lafosse qui eux font tout ce que l’on voudra sauf du cinéma.
elbandito
elbandito

362 abonnés 970 critiques Suivre son activité

2,0
Publiée le 8 octobre 2013
Michael Kohlhaas n’est pas le prometteur western cévenol qu’il aurait pu être. Si l’aspect purement technique est largement réussi, le déroulement des tragiques événements qui poussent le héros à fomenter sa vengeance est peu crédible, le rythme des rares combats et les aventures de la famille Kohlhaas sont filmés dans de longs plans séquences. Enfin, même s’il y avait beaucoup d’étrangers en Cévennes à l’époque, les dialogues souvent inaudibles sonnent faux et aucun des fermiers ou barons locaux ne parle la langue d’Oc. Incroyable manque d’audace ! Reste la performance brillante du grand acteur danois Mads Mikkelsen, simplement magnétique.
septembergirl
septembergirl

616 abonnés 1 069 critiques Suivre son activité

2,0
Publiée le 1 février 2014
Un drame historique français techniquement très mauvais. Outre les nombreuses et maladroites longues scènes et gros plans, la réalisation souffre d’une esthétique trop sombre, d’une narration et de dialogues trop fugaces. De plus, l'important bruitage et l’accent danois trop prononcé du personnage principal rendent la plupart des répliques complètement inaudibles. Seule, l’interprétation charismatique et magistrale de ce marchand de chevaux par Mads Mikkelsen sauve le film ! Une épopée cévenole du 16ème siècle, lente, austère, qui marque surtout par sa gaucherie !
chrischambers86
chrischambers86

14 481 abonnés 12 571 critiques Suivre son activité

2,0
Publiée le 5 octobre 2014
Bien difficile de savoir comment aborder ce cinquième long-mètrage de Arnaud des Pallières, adaptè d'une nouvelle de Heinrich von Kleist, qui bouscule les conventions du film en costumes! En honnête marchand de chevaux allemand, Mads Mikkelsen se pose ici en successeur de grands du 7ème art, au charme envoûtant et au regard d'acier, un personnage particulièrement difficile à cerner! En assumant dans tous les sens du terme cette histoire de vengeance qui se dèroule au XVIe siècle, quelque part dans les Cèvennes, Arnaud des Pallières lui donne une grâce et un impact d'autant plus mystèrieux et mutique qu'il ècrase le mètrage par sa seule prèsence! Sans grande violence, sans gratuitè, il filme avec l'ambiguïtè qui sièe au sujet! Malheureusement, ce film multiplie les pistes, se perd en chemin et n'aboutit nulle part, si ce n'est un retournement final qui pose question! C'est dommage car il y a une superbe photo, une atmosphère austère bien à sa place et quelques passages rèussis qui reposent uniquement sur le souffle du vent! Mais c'est loin d'être suffisant - d'autant que l'interprètation est bien inégale (Mads Mikkelsen très convaincant, Bruno Ganz absent, Sergi Lopez inutile). Ça manque aussi de rythme, de souffle (un comble avec le vent des Cèvennes) de pure tension mais le film aurait alors ètè sans doute fort diffèrent, mais pas nècessairement meilleur! Je sors de ce "Michael Kohlhaas" dèçu, avec l'envie tout de même de redonner une nouvelle chance à cette èpopèe mèdièvale lors d'un èventuel passage tèlè...
No Spoiler
No Spoiler

21 abonnés 58 critiques Suivre son activité

1,0
Publiée le 8 septembre 2013
Voilà un film prétentieux puisqu'il prétend nous intéresser pendant plus de 2 heures avec des gros plans sur la beauté de Mads Mikkelsen impassible et un scénario très pauvre. Les acteurs sont tellement mal dirigés que le réalisateur évite parfois de nous les montrer et se contente de nous les faire entendre. Le tout aurait pu faire un bon premier moyen métrage de 40 minutes.
dimah
dimah

23 abonnés 113 critiques Suivre son activité

1,5
Publiée le 17 août 2013
Beau sujet de Kleist ,mais l'interprétation qui en est faite par le réalisateur est incompréhensible , les dialogues sont minables trop contemporains pour comprendre le propos les prises de vue inintéressantes, sombres , on reconnait à peine les protagonistes Le sujet et le comédien méritaient mieux, la scène finale est assez proche du livre , le romantisme si cher à Kleist est absent , les problèmes éthiques sont mal traités.
conrad7893
conrad7893

315 abonnés 1 679 critiques Suivre son activité

2,0
Publiée le 28 juillet 2014
très déçu par ce film avec un acteur pourtant très bon
film avec très peu de dialogues assez lent, je m'y suis ennuyé.
Dommage
bref apparition de sergi lopez
 Kurosawa
Kurosawa

603 abonnés 1 509 critiques Suivre son activité

1,0
Publiée le 23 juillet 2014
Lent, mal découpé et sans enjeux, "Michael Kolhaas" est aussi doté d'une abstraction qui laisse totalement indifférent. Dire que cette caricature de film d'auteur (programmée pour plaire aux jurys radicaux des festivals) est soporifique est encore un euphémisme. Une perte de temps.
Fred C.
Fred C.

1 abonné 11 critiques Suivre son activité

5,0
Publiée le 21 août 2013
Sobre, beau à regarder et un Mad Mikkelsen toujours aussi impressionnant tant il émane de force, sans jamais écraser les autres acteurs (sa particularité).
anonyme
Un visiteur
5,0
Publiée le 13 août 2013
J'ai eu l'occasion de voir Michael Kohlhaas en avant-première. C'était le film qui m'avait le plus tapé dans l'oeil lors du dernier Festival de Cannes, et que je plaçais comme mon favori pour la Palme d'Or. Il n'a rien obtenu. Etand donné la présence de Denis Lavant et Bruno Ganz, deux de mes acteurs préférés, et de la réputation d'exigence du cinéma d'Arnaud des Paillères, c'était un film pour moi. J'avais peur d'être déçu, mais je ne l'ai pas été.

Librement inspiré du court roman d'Heinrich von Kleist, classique absolu de la littérature allemande, il met en scène une histoire splendide, retranscrite dans la France du XVIème siècle, à cheval entre le monde médiéval et la Renaissance. Michael Kohlhaas subit une injustice, et il refuse de se laisser faire, veut absolument que justice soit faite, quitte à l'exiger par la force. Il entraîne une révolte populaire jusqu'à obtenir réparation.

La première chose qui frappe, c'est la puissance de jeu de Mads Mikkelsen. Il n'a pas eu de prix à Cannes cette année pour ce jeu, pour la simple raison qu'il l'avait déjà eu pour La Chasse de Vinterberg. Mais, ici, il le méritait amplement. Pour la petite histoire, Michael Kohlhaas a été tourné avant La Chasse, même s'il le premier est sorti un an après le second, pour des raisons de production ; c'est donc bien avec le personnage de Kohlhaas que Mikkelsen a atteint le point culminant de ses capacités d'acteur. Mention spéciale pour le fait qu'il a dû apprendre le français pour faire ce film, alors qu'il n'était pas du tout francophone avant. D'ailleurs, la nullissime critique du Figaro ne s'arrête qu'à l'accent du danois, sans comprendre que cet accent est un élément fondamental pour montrer la marginalité de Kohlhaas dans son siècle ; cela appuie sa révolte et son protestantisme, au-milieu d'une société d'ordre catholique. Autre remarque sur l'acteur : son incroyable force dans la scène de l'accouchement de la jument : c'est lui qui met au monde le poulain, et il doit le faire comme s'il faisait cela tous les jours, alors que c'est bien évidemment la première fois, et qu'une seule prise pouvait être faite. Chapeau bas, donc.

L'esthétique d'Arnaud des Pallières se retrouve dans sa façon de filmer la nature et les corps. La première scène, montrant un grand paysage de lande, tournée dans le Vercors, est très caractéristique : le vent, les cigales, les mouches. Puis, les visages filmés de très près, et les dialogues qui ne sont pas compressés, mais mis au même niveau que les éléments naturels. C'est filmé comme dans la vie, de manière dépouillée pour ce côté-ci, ce qui rapproche plutôt d'un cinéaste comme Tarkovski. Même si c'est un film historique, ce n'est pas le côté historique du film qui marque le plus, mais plutôt ce qu'il a d'universel dans son humanité, comme le Andréï Roublev du maître russe.

Par rapport au livre, le réalisateur agrandit grandement le personnage de Lisbeth, la fille de Kohlhaas, interprétée par Mélusine Mayance. Le film se centre donc autour de la relation père-fille qui s'instaure après la mort de la mère. Les scènes ensemble sont d'une très grande intensité, gonflé d'un silence pas du tout pesant, mais qui montre l'incapacité qu'ont les deux personnages d'exprimer ce qu'ils ressentent ; ils ne peuvent dont que le faire sentir, faire sentir leurs intuitions, jusqu'à la rupture finale, qui constitue un échec étant donné que Lisbeth ne peut prononcer qu'un "Tu me fais mal aux mains" déchirant.

La violence est présente dans le film, violence de la société médiévale se "civilisant" mais bientôt en proie aux guerres de religion. Il y a d'abord la scène de la vengeance de Kohlhaas, qui détruit le château du baron ayant causé la mort de sa femme, dans laquelle le marchand tue un homme à mains nues d'un coup sec, et qui m'a fait craindre un simple film de vengeance, à l'américaine ; mais heureusement le film est ensuite très rapidement reparti de l'avant. Et puis il y a la scène de la pendaison, filmé avec une grande lenteur et une grande précision, si bien qu'elle reste humaine ; elle est coupée par l'apparition de Luther, joué par Denis Lavant ; c'était sympathique de le revoir, même s'il est loin du niveau qu'il atteint d'habitude avec Leos Carax, notamment dans Holy Motors, qu'il tournait au même moment.

Le film sort demain. J'irai sans doute le revoir. Pour moi, il est pour l'instant le film de l'année, celui qui sort de l'ordinaire, qui touche à des problématiques esthétiques fascinantes, tout comme Holy Motors l'année dernière. Je vous le conseille chaudement.
dominique P.
dominique P.

857 abonnés 2 027 critiques Suivre son activité

5,0
Publiée le 15 août 2013
Epoustouflant ! Pour moi c'est un véritable chef d'oeuvre à tous points de vue : histoire, jeu des acteurs, décors, action, émotion etc...
J'ai été prise émotionnellement par ce film.
Les meilleurs films de tous les temps