Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
Elle
par Khadija Moussou
Ne manquez surtout pas " A perdre la raison ", drame signé Joachim Lafosse qui tente de faire comprendre la détresse d'une mère, par une mise en scène d'une sobriété bouleversante, menée par l'impressionnante Emilie Dequenne.
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Joachim Lafosse vise juste et fait fort. (...) Les acteurs sont extraordinaires, (...). Le scénario du film est implacable, la mise en scène est imparable.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
L'un des films les plus forts, les plus intelligents et émouvants qu'il nous ait été donné de voir sur un écran depuis longtemps.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
La forme, c'est le fond, et peu de films l'illustrent aussi bien que celui-ci par la rigueur de sa mise en scène, l'extrême justesse de la longueur de chaque plan et la richesse du travail de cadre.
La critique complète est disponible sur le site Positif
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Une fiction virtuose dans sa manière de tisser jusqu'au vertige, sans manichéisme psychologique ni facilité d'écriture, la spirale tragique du double tranchant des sentiments amoureux, de l'emprise et la soumission affective ainsi que du poids délétère des dettes morales ou matérielles.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Jacques Morice
Pourquoi et comment une cellule familiale en vient à se désintégrer ? C'est la grande obsession du cinéma de Joachim Lafosse (...) qui franchit un cap avec ce film, impressionnant de tension sourde, de malaise refoulé.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Estelle Bayon
[Il ne filme pas] la monstruosité, mais la [met] en récit en se demandant ce que peut la fiction face à ce que l'on occulte trop vite sous l'étiquette de l'impensable.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
par Arnaud Schwartz
"À perdre la raison", dont les premières images disent l'ampleur tragique, est de ces films qui marquent pour longtemps. Inspiré d'un fait divers réel, le nouveau long métrage de Joachim Lafosse est à ce jour l'oeuvre la plus abyssale et la mieux maîtrisée de ce cinéaste belge de 37 ans.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Avec sa mise en scène pudique et ultra-serrée sur les visages, Joaquim Lafoosse ne nous laisse jamais reprendre notre respiration, et le sentiment d'oppression va croissant jusqu'à l'impensable.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
La puissance d'évocation du film, qui fait de la douceur une arme plus destructrice que la violence, est indéniable. Les acteurs y sont impressionnants d'intensité dans la retenue, la mise en scène, en caméra portée et cadrages serrés, soutenue par une musique baroque qui court droit à la mort, est oppressante à souhait.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Hubert Lizé
Bouleversante, transfigurée physiquement, Emilie Dequenne réalise une performance impressionnante. Le réalisateur traite toutefois le sujet avec sensibilité, sans pathos excessif.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Ondine Millot
Dans "A perdre la raison", personne n'est jugé, et tout se passe à la lumière. La mise en scène est limpide, sans jeu d'ombre ni de suspense, les trois acteurs principaux - Emilie Dequenne, Tahar Rahim et Niels Arestrup - époustouflants.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Danièle Heymann
Joachim Lafosse ne nous demande pas de comprendre ni de juger. Une fois encore, de son scalpel très sûr il nous a entraînés hors de nos limites.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Ouest France
par La rédaction
Un trio majeur dans un drame dont on se demande bien pourquoi il n'a pas eu les honneurs de la compétition au dernier Festival de Cannes.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Première
par Bernard Achour
De la première à la dernière image, [le film] mérite une visibilité et une reconnaissance maximales. (...) Entre constat, cri de haine face aux dérives de "l'esprit de famille" (...) et exercice de tension psychologique chauffé à blanc, le choc est terrible.
La critique complète est disponible sur le site Première
Charlie Hebdo
par Jean-Baptiste Thoret
En choisissant de débuter son film par la fin (...) Joachim Lafosse se tend un piège à double tranchant. A partit de là, tout dépend de quel côté de la lame on regarde.
La critique complète est disponible sur le site Charlie Hebdo
Ecran Large
par Simon Riaux
Les trous béants du scénario troublent dangereusement le propos du film, et amoindrissent la réussite de la mise en scène et des comédiens, exemplaires.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
Le nouveau film de Joachim Lafosse impressionne par la maîtrise de son récit. Laquelle est aussi sa limite, tant elle peine à s'équilibrer avec la perte de contrôle de son personnage principal.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Cahiers du Cinéma
par Cyril Béghin
Lafosse reproduit l'erreur qui effritait déjà lentement élève libre : sa corde raide morale n'est tendue que par la passivité invraisemblable du personnage, relayée par le naturalisme d'une mise en scène qui se refuse à inventer des excès à cette passivité.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
L'Humanité
par Vincent Ostria
Ce mélo roublard n'arrive pas à rendre palpable la progression du malheur.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Chronic'art.com
par Yal Sadat
On n'a strictement rien dit, et mis le doigt nulle part, quand on se contente de se ranger derrière un personnage pour décortiquer un acte monstrueux (à ce compte-là, tous les faits divers sont interchangeables, tout devient possible : pourquoi pas un remake compatissant de La Chute ? De Hannibal ? Du Grinch ?).
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Télérama
par Louis Guichard
(...) ce film pénible n'est, à l'arrivée, qu'un dispositif sadique, une machine à faire – et à regarder – souffrir.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Elle
Ne manquez surtout pas " A perdre la raison ", drame signé Joachim Lafosse qui tente de faire comprendre la détresse d'une mère, par une mise en scène d'une sobriété bouleversante, menée par l'impressionnante Emilie Dequenne.
L'Obs
Joachim Lafosse vise juste et fait fort. (...) Les acteurs sont extraordinaires, (...). Le scénario du film est implacable, la mise en scène est imparable.
Les Inrockuptibles
L'un des films les plus forts, les plus intelligents et émouvants qu'il nous ait été donné de voir sur un écran depuis longtemps.
Positif
La forme, c'est le fond, et peu de films l'illustrent aussi bien que celui-ci par la rigueur de sa mise en scène, l'extrême justesse de la longueur de chaque plan et la richesse du travail de cadre.
TéléCinéObs
Une fiction virtuose dans sa manière de tisser jusqu'au vertige, sans manichéisme psychologique ni facilité d'écriture, la spirale tragique du double tranchant des sentiments amoureux, de l'emprise et la soumission affective ainsi que du poids délétère des dettes morales ou matérielles.
Télérama
Pourquoi et comment une cellule familiale en vient à se désintégrer ? C'est la grande obsession du cinéma de Joachim Lafosse (...) qui franchit un cap avec ce film, impressionnant de tension sourde, de malaise refoulé.
Critikat.com
[Il ne filme pas] la monstruosité, mais la [met] en récit en se demandant ce que peut la fiction face à ce que l'on occulte trop vite sous l'étiquette de l'impensable.
La Croix
"À perdre la raison", dont les premières images disent l'ampleur tragique, est de ces films qui marquent pour longtemps. Inspiré d'un fait divers réel, le nouveau long métrage de Joachim Lafosse est à ce jour l'oeuvre la plus abyssale et la mieux maîtrisée de ce cinéaste belge de 37 ans.
Le Journal du Dimanche
Avec sa mise en scène pudique et ultra-serrée sur les visages, Joaquim Lafoosse ne nous laisse jamais reprendre notre respiration, et le sentiment d'oppression va croissant jusqu'à l'impensable.
Le Monde
La puissance d'évocation du film, qui fait de la douceur une arme plus destructrice que la violence, est indéniable. Les acteurs y sont impressionnants d'intensité dans la retenue, la mise en scène, en caméra portée et cadrages serrés, soutenue par une musique baroque qui court droit à la mort, est oppressante à souhait.
Le Parisien
Bouleversante, transfigurée physiquement, Emilie Dequenne réalise une performance impressionnante. Le réalisateur traite toutefois le sujet avec sensibilité, sans pathos excessif.
Libération
Dans "A perdre la raison", personne n'est jugé, et tout se passe à la lumière. La mise en scène est limpide, sans jeu d'ombre ni de suspense, les trois acteurs principaux - Emilie Dequenne, Tahar Rahim et Niels Arestrup - époustouflants.
Marianne
Joachim Lafosse ne nous demande pas de comprendre ni de juger. Une fois encore, de son scalpel très sûr il nous a entraînés hors de nos limites.
Ouest France
Un trio majeur dans un drame dont on se demande bien pourquoi il n'a pas eu les honneurs de la compétition au dernier Festival de Cannes.
Première
De la première à la dernière image, [le film] mérite une visibilité et une reconnaissance maximales. (...) Entre constat, cri de haine face aux dérives de "l'esprit de famille" (...) et exercice de tension psychologique chauffé à blanc, le choc est terrible.
Charlie Hebdo
En choisissant de débuter son film par la fin (...) Joachim Lafosse se tend un piège à double tranchant. A partit de là, tout dépend de quel côté de la lame on regarde.
Ecran Large
Les trous béants du scénario troublent dangereusement le propos du film, et amoindrissent la réussite de la mise en scène et des comédiens, exemplaires.
Les Fiches du Cinéma
Le nouveau film de Joachim Lafosse impressionne par la maîtrise de son récit. Laquelle est aussi sa limite, tant elle peine à s'équilibrer avec la perte de contrôle de son personnage principal.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Cahiers du Cinéma
Lafosse reproduit l'erreur qui effritait déjà lentement élève libre : sa corde raide morale n'est tendue que par la passivité invraisemblable du personnage, relayée par le naturalisme d'une mise en scène qui se refuse à inventer des excès à cette passivité.
L'Humanité
Ce mélo roublard n'arrive pas à rendre palpable la progression du malheur.
Chronic'art.com
On n'a strictement rien dit, et mis le doigt nulle part, quand on se contente de se ranger derrière un personnage pour décortiquer un acte monstrueux (à ce compte-là, tous les faits divers sont interchangeables, tout devient possible : pourquoi pas un remake compatissant de La Chute ? De Hannibal ? Du Grinch ?).
Télérama
(...) ce film pénible n'est, à l'arrivée, qu'un dispositif sadique, une machine à faire – et à regarder – souffrir.