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Difficile d'imaginer autant de richesse émotive dans un documentaire quasi anodin qui aligne de simples images des artisans de la radio au travail. En réalité, Philibert s'est introduit dans un des poumons de la France. Cette mystérieuse fourmilière inspire tous les airs du temps et expire dans ses souffles talentueux aussi bien les infos vitales ou anecdotiques que de purs exercices de génie. Il ne s'agit pas d'un documentaire sur la maison de la radio, ni sur Radio France mais d'une fresque subjective sur la vie en France au XXIème siècle. En ce sens, "La Maison de la Radio" s'impose comme une véritable oeuvre d'art.
Un superbe documentaire sur les coulisses de la Maison de la radio. Des rires, de l'émotion, un fourmillement permanent, ... Ce film s'attache à nous montrer avec talent les différentes facettes du travail dans cette grande maison.
Un tableau sur le fourmillement permanent de la maison de la radio. Un montage dynamique avec de l’humour qui nous tient en haleine tout le long du film, mis à part une séquence dédicace musicale sur France bleue (séquence un peu longue). Beaucoup de gros plans, la caméra croise ainsi de nombreux regards chargés d'émotion : c'est délectable.
En tant qu’auditeur de France Culture, je regrette que le film soit essentiellement accès sur France Inter. Je trouve que dans ce film France Culture est réduit à une caricature de son antenne.
En tant qu’auditeur de France Culture, je regrette que le film soit essentiellement accès sur France Inter. Je trouve que dans ce film France Culture est réduit à une caricature de son antenne.
Filmer le son, c'est un défi et c'est réussi. Ce film se regarderait les yeux fermés tant le tapis vocal et musical vient à notre rencontre. Les anglais sont fiers de la BBC.; nous n'avons pas à rougir, Radio France fait parti de notre le service public.
A demain si vous le voulez bien..
A demain si vous le voulez bien..
Christoblog
Comme toujours au Katorza, Nicolas Philibert s'est longuement prêté au jeu des questions réponses, à l'issue de la projection de son film. Doux, précis, attentif, le réalisateur de Etre et avoir et de La ville Louvre, a très bien exliqué sa démarche de documentariste : choisir où poser sa caméra, se fier au hasard qui fait bien les choses, puis passer de très long mois, seul, au montage du film pour passer d'une centaine d'heures de rush à un film de 1h43.
L'objectif de ce .... la suite ici :
L'objectif de ce .... la suite ici :
Film très décevant ! Fidèle auditeur des radios de la maison ronde, j'ai trouvé sympa de faire le lien entre des voix connues et des visages mais çà s'est arrêté là. J'espérais apprendre des choses sur l'organisation de cette grosse machinerie mais rien... Beaucoup d'ennui... Après "Être et avoir" qui m'avait vraiment emballé, je suis tombé de très haut. Conseil d'ami : allez voir un autre film.
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