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Un visiteur
1,0
Publiée le 20 avril 2013
Très vite il apparaît que Philibert n'a rien à dire ou ne veut rien dire. Son film est un anti-documentaire, un patchwork de séquences découpées en petits morceaux et réassemblées de façon arbitraire. Défilé fatigant de visages filmés en plan rapproché, bribes de dialogues incompréhensibles pour les non-initiés. Les cinq minutes où l'on voit une machine surréaliste produire des sons étranges sont captivantes au milieu d'un océan d'ennui.
Ce n'est pas un docu qui dévoilerait la mécanique de la radio ou l'envers du décor. Comme le dit plus haut un spectateur c'est un poème. Avec de très belles surprises.
Plat plat plat. Quelle déception ! au regard de documentaires précédents sur le sujet une seule originalité : l'ennui ! Fan de France Inter que j'écoute chaque jour, je n'ai rien appris. Les bonnes critiques presse sont étonnantes.
Très déçu par ce film. Je pensais voir les visages des voix qui me sont familières, m'immiser dans les préparations des émissions je suis frustré. Tout d'abord la part belle est donné plutot à France Musique et Fance Culture que je n'écoute peu, beaucoup de longs plans sur les mèmes personnes sur ces 2 radios, on attend, de longs silences, c'est mou....Les moments d'émotions sont rares. En revanche très peu d'instant sur des émissions cultes comme "le jeu des 1000€", les infos, les émissions en direct de midi absentes, ou de fin d'am passées très vite....J'ai failli partir avant la fin!
J avais envie de le voir pour voir ce documentaire sur une journée de radio, c est bien oui on voit plus comment ça se passe mais ça se confirme j aime le son mais je suis loin d être une passionnée .
En recréant une unité temps qui n’existe pas vraiment, Nicolas Philibert essaie de donner du lien à son documentaire. Si certaines séquences sont touchantes, l’ensemble n’est malheureusement qu’une accumulation sans véritable horizon. Et le temps finit par se faire long.
Nicolas Philibert, réalisateur de Etre et avoir, énorme succès critique et public, chose rare pour un documentaire, revient aujourd’hui avec La maison de la radio. Vingt-quatre heures de la vie de la célèbre maison de Radio France. Des journalistes célèbres aux travailleurs de l'ombre, en passant par les cuisines, les techniciens, le garage ou l'orchestre, tous les corps de métiers de la célèbre maison, inaugurée en 1963, sont à peu près représentés. L'ensemble est plutôt intéressant et l'on apprend plein de choses. Mais peut être trop...
C'est un poème, hommage à la voix,et à la ert réussit à donner à voir le son, le temps, l'humain, tout ce qui est impalpable et vibre en chacun de nous. Il filme la folie singulière mieux que quiconque. C'est hilarant et émouvant, c'est un beau film. Alors certes, pas de regard politique, car ce n'est l'angle d'approche choisi par n'est pas "Radio-France", mais la maison de la radio, terme un peu desuet qui donne une idée de ce que cherche le réalisateur. Davantage la "déformation professionnelle" des participants que toute analyse théorique, davantage la dinguerie individuelle, qu'une reflexion up de séquences sont savoureuses, étonnantes ou cocasses, telle celle avec Fredéric Lodéon et son désordre dont il sait tout,- Spoiler : même si sa mère dirait "il faut ranger tout ça.." - ou celle avec , qui parle - Spoiler : de truicider sa grand-mère - ou encore cette femme- chef d'orchestre de l'info,à la recherche de ses cadavres.. Et que dire de cet amoureux des orages, qui cherche à photographier ses "coups de foudre"...
Nicolas Philibert, documentariste du film Etre et Avoir (2002) entre autres, s’attaque donc ici à l’univers radiophonique. Projet qui peut paraitre dangereux au départ… Comment rendre intéressant quelque chose destiné avant tout à être écouté? Et bien le réalisateur s’en tire plutôt bien.
Il choisit de filmer de façon chronologique, une journée à la Maison de la radio, promenant sa caméra dans divers émissions et bureaux de rédaction de France Culture, France Inter, France Bleu et France Info, allant même « sur le terrain » en suivant des preneurs de sons, des interviews à l’extérieur et des journalistes sportifs. Le problème majeur du film est, à l’image de la forme circulaire de la Maison, le sentiment de répétitivité qui s’en dégage parfois. Après tout, on en est souvent à regarder des personnes écouter des sons, lire des fiches, et trier les informations du jour qu’ils vont passer à l’antenne…
Toutefois, la magie du documentaire opère et le film connait quelques fulgurances, images marquantes, touchantes ou drôles parmi cette relative monotonie. Et puis les auditeurs de Radio France prendront plaisir à découvrir quel visage se cache derrière la voix de telle ou telle émission.
Un film pas tout à fait indispensable mais qui reste intéressant également pour découvrir le fonctionnement d’un média encore assez intriguant, mélange de pudeur et d’expression.
Quelle belle surprise que "la Maison de la radio" !! Nicolas Philibert nous plonge entièrement dans l'univers de la radio et plus particulièrement dans celui de Radio France!! Ce documentaire s'entend autant qu'il se regarde. Nous découvrons les moindres détails de la vie d'une radio et de ceux qui la font vivre: de l'homme qui apprend à écrire des brèves au présentateurs vedettes de Radio France, en passant par l'enregistrement des choeurs, des histoires, par les journalistes sportifs suivant le Tour de France, par la rédaction en braille aux preneurs de sons, tout y est. Et le tout ponctué d'une dose d'humour, cela fait un super documentaire !! A découvrir
Documentaire intéressant même pour ceux qui écoutent rarement ces radios. C'est quand même trop long.... Pourquoi l'émission "Le masque et la plume" n'apparaît pas ?
Un documentaire remarquable à bien des égards ; on comprend, en partie, la difficulté à "être un homme de radio". Depuis le stagiaire qui apprend à faire les "brèves", aux journalistes confirmés, sans oublier ceux qui ont un mérite tout particulier puisqu'ils travaillent entièrement en braille. On y voit le temps consacré par la réalisatrice d'une émission littéraire à l'enregistrement d'un passage lu par le présentateur de l'émission à venir. On oublie pas les journalistes sportifs qui suivent le tour de France (je crois) en moto La musique est également invitée grâce à l'enregistrement des choeurs de Radio France (et moi qui croyais que les choristes étaient toujours debout !), sans oublier notre Frédéric Lodéon national enfoui dans sa caverne d'Ali baba (son bureau) empli "ras la geule" de milliers de CD dont il ne jetterait jamais un seul... Il y a aussi les émissions mythique comme "Le jeu des mille euros" qui fut autrefois celui des mille francs ... On y voit également les techniciens, merveilleux preneur de son aux aguets pendant des heures dans la nature, l'intendance avec la préparation des plateaux qui doivent alimenter les différents studios. On ne peut tout dire tant ce documentaire est riche ! Il faut aussi saluer, car c'est capital, l'équipe d'enregistrement, tant pour la partie audio que vidéo : nous avions affaire à des "Pros", cela se voit, cela s'entend.
Un documentaire qui nous plonge dans les coulisses de radio france. Le réalisateur opère un montage intelligent, on est simplement balancé entre différents protagonistes sans transitions, sans fioritures. Des petits clips attachés bout à bout qui permettent de construire son propre puzzle radiophonique. Les personnages sont authentiques, expressifs, passionnés et plein d'humour ( parfois malgré eux).C'est un joli panel de compétence très hétéroclite que la maison de la radio nous offre et nous rapelle par la même occasion qu'il existe des alternatives à la télé poubelle.
Je n'ai rien appris avec ce film. Annoncé comme documentaire.... Je pense que c'est un film de potes, pour les potes, il décrit une microsociete sans nous en donner les clefs. Pas pour nous juste pour les déjà initiés. Une étoile pour le montage et la lumière. C'est tout