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    La Maison de la radio
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    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 28 août 2013
    J'aurais aimé être sans réserve. Mais pourquoi si peu d'explications?
    Le concept de Microcosmos a ses limites, je suis fatiguée de le voir appliqué systématiquement.
    Héléna0510
    Héléna0510

    10 abonnés 119 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 juin 2013
    24 dans les coulisses de la fourmilière de Radio France
    Pour ceux qui n’écoutent jamais la radio, ce film ne présente pas un intérêt exceptionnel
    Pour les autres et en particulier les inconditionnels de France inter, France info et autre France culture, ils se plairont à découvrir qui se cache derrière leurs émissions cultes (le jeu des 1000 euros, la téléphone sonne, les concerts etc.) et comment les journalistes choisissent les informations présentées dans les flahs info
    Un documentaire savamment mis en musique par le réalisateur d’Etre et avoir
    Septième Sens
    Septième Sens

    79 abonnés 762 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 juin 2013
    Dans une société où l'image est reine, on oublie parfois que le son a un rôle tout aussi important à jouer. Et s'il y a bien quelqu'un qui ne le néglige pas, c'est Nicolas Philibert, l'un des meilleurs documentaristes français de sa génération. En artiste courageux, il fait le pari risqué de nous faire passer une journée entière dans les locaux de Radio France.

    Rare sont ceux qui filment comme ce cinéaste. Sa mise en scène, à priori simple et dénuée de toutes fioritures, est plus complexe qu'elle n'y paraît. Philibert utilise une caméra non-participative, comme si celle-ci faisait partie intégrante du décor. Il arrive de cette manière à ne jamais perturber les sujets qu'il filme, de sorte que l'on observe l'être humain réfléchir, hésiter et vivre, tout simplement. Ce réalisateur est l'un des seuls à créer ce genre de sensation, simple mais ô combien difficile à obtenir, qu'on retrouve également dans le magnifique Être et avoir.

    Si six mois de tournage auront été nécessaires à la construction du film, La maison de la radio est présenté comme une journée passée dans ces bâtiments, commençant à l'aurore et finissant à l'aube. À l'image de la relation que nous avons vis à vis de la radio, nous assistons à des bouts de scènes pris sur le vif où il n'y a ni début ni fin. Et pour que le public se sente concerné sans jamais s'ennuyer, le documentariste essaye de rendre son oeuvre la plus variée et composite possible. De sorte que l'on peut passer du serveur apportant les jus d'orange, à l'aveugle se préparant avant son passage à l'antenne (captivant).

    Il est vrai que certains moments sont plus intéressants que d'autres, mais des pensées théoriques pertinentes émanent de ce récit. Comme au cinéma, le son est trafiqué et manipulé pour avoir un résultat cohérent. Nous assistons à un bel hommage à la radio, un média qui perdure encore et toujours malgré les mauvaises langues. Le pari est réussi pour Philibert puisqu'une envie apparaît en sortant de la salle : celle d'allumer son poste.
    Yves G.
    Yves G.

    1 408 abonnés 3 428 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 mai 2013
    Après "Etre et avoir" Nicolas Philibert filme "Ecouter et regarder".
    On avait quitté le documentariste dans une classe communale en Auvergne et on le retrouve, dix ans plus tard, dans le 16ème arrondissement de Paris, filmant ce que l'on entend presque tous les jours sans le voir sur France Inter, France Info, France Culture, France bleue, etc.
    "Etre et avoir" avait connu un succès phénoménal (1.8 millions d'entrées) parce qu'il captait un monde en voie de disparition : une école rurale, un maître comme on n'en fait plus depuis Marcel Pagnol. Une aura merveilleuse écornée hélas par les droits d'auteur réclamés par l'instituteur au réalisateur (Georges Lopez a finalement été débouté tant par la Cour de cassation que par la Cour européenne des droits de l'homme).
    "La maison de la radio" ne connaîtra pas le même succès car il ne fait pas résonner une corde sociologique aussi sensible.
    Il n'y est pas question de ruralité, d'éducation ou de monde en voie de disparition. Mais, dans les deux documentaires, Nicolas Philibert s'attache à des artisans : d'un côté un instituteur tout entier dévoué à la tâche de transmettre, de l'autre des journalistes et des techniciens obsédés par leur mission de re-transmettre.
    "La maison de la radio" se présente comme une série de petites saynètes kaléidoscopiques captant les mille et un petits métiers de la maison ronde de l'avenue Kennedy. On voit ce que l'on ne voit jamais et pourtant que l'on entend si souvent : la clochette du jeu des 1000 francs (oups ! des 1000 euros), la présentatrice de la météo marine, les débats du Téléphone sonne.
    Le son - c'est bien la moindre des choses - est merveilleusement traité.
    On imagine que Philibert a tourné des centaines d'heures. Celles qu'il a retenues sont les plus attachantes. Le problème est qu'elles ne sont pas toujours les plus instructives.
    On passe de très agréables moments, émouvants, drôles, parfois même burlesques. Mais, comme "Etre et avoir" qui donnait une image d'Epinal de l'Education nationale, "la maison de la radio" ne nous apprend pas grand'chose sur le fonctionnement du service public radiophonique.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 17 mai 2013
    Un film intéressant pour voir les à côtés de la production radiophonique mais le parti pris de superficialité est pénible. J'aurais aimé en savoir plus sur la réalisation des émissions, sur la définition des politiques éditoriales plutôt que le 'zapping' permanent et le focus sur les activités du 'bocal" et sa recherche de faits divers futiles.
    orlandolove
    orlandolove

    126 abonnés 1 722 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 mai 2013
    Plutôt que d'expliquer le fonctionnement de Radio France, Philibert préfère saisir des séquences d'émissions, de petits instantanés radiophoniques. Le documentaire qui en découle est parfois drôle et réserve quelques surprises aux habitués des ondes publiques. Cependant on peine à trouver un intérêt constant dans cette démarche.
    schemaman
    schemaman

    17 abonnés 276 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 mai 2013
    Montrer la passion du son, l'extrême professionnalisme de ces amoureux de l'oreille qui forment Radio France. Pas n'importe quelle radio : la "Maison de la Radio". Sans équivalent. Qualité des contenus, variété dans la création artistique. La Maison de la radio est une ruche incessante. C'est de toute évidence l'intérêt de ce film. Pour le reste, on reste un peu sur notre fin : les images filment ces professionnels mais ne creusent pas beaucoup. Trop de chose à dire peut-être ou simple volonté de ne rien dire ?
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 4 mai 2013
    Du documentaire recyclé avec des mauvaises habitudes de Philibert, film sans prémisse qui essaie de réoccuper des petites choses par-ci par-là
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 28 avril 2013
    Les scènes sont de beaux moments de vie et le son est bien le héros de ce film. Mais qu'est ce que c'est ennuyeux... J'ai regarde au moins 5 ou 6 fois ma montre...
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 23 avril 2013
    (...) La Maison de la Radio est présentée comme un empire de la voix, de la musique, du bruitage. Un empire de ce son, isolé, qui doit savoir caresser nos oreilles mais aussi les passionner : le film a ainsi un aspect didactique, et on observe les efforts mis en place, tant dans le choix des mots que dans celui de l’intonation de la voix, pour capter l’attention de l’auditeur. Mais la plus grande ambition du film est peut-être davantage de tenter de saisir cette chose insaisissable et invisible qu’est le temps. (...)
    Malheureusement, cette longue ballade perd un peu le spectateur en route. Dans ce labyrinthe de voix et de musique, on sourit régulièrement. Seulement, la passion qui anime certainement tous ces gens qu’on voit défiler, manque cruellement au film. Un peu comme l’auditeur coincé dans un embouteillage qui zapperait de canal en canal, on a l’impression de passer d’un programme à un autre avec une forme d’arbitraire. L’inégalité des saynètes finit alors par lasser, les quelques moments de grâce ne suffisant pas à sauver réellement le film. (...

    Ma critique complète sur mon blog !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 22 avril 2013
    Ce documentaire est très bien fait. Même si l'on ne connait pas tout le monde, on reconnait certaines personnes par leur voix (normal à la radio).
    C'est un documentaire que je recommande.
    hpb
    hpb

    8 abonnés 273 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 avril 2013
    Pas vraiment un film, ni non plus un documentaire ... cela s'approche plus du reportage.
    Pour qui aime la radio (et surtout France Inter) ce sera un excellent moment (c'est mon cas).
    Pour les autres ce sera peut être une belle découverte, plus probablement assez long et ennuyeux.
    Seul regret : pas un instant sur certaines émissions mythiques (le masque et la plume par exemple).
    Marc  Régis
    Marc Régis

    35 abonnés 244 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 21 avril 2013
    Quelques beaux plans de Paris, et on s'engouffre dans la maison de la radio, puis il ne se passe plus rien. C'est un docu de fainéant. Aucun sens critique. On ne fat que "enregistrer" ce qui se passe, et encore... uniquement la façade. Il s'agit de Radio France???
    Seemleo
    Seemleo

    58 abonnés 888 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 22 avril 2013
    L'image à la radio, c'est l'illustration de la création du son, de la musique, du bruit, de l'élocution et de l'émotion. A l'écran défilent dans le désordre, le talent, le professionnalisme, l'engagement, l'humour, la diversité, la fragilité, l'éphémère ou le chef d'oeuvre. La radio, se déshabille, dévoile son art et la manière dont elle transmet la lumière à travers les ondes. Un documentaire sur la radio semble une évidence. L'environnement est si riche qu'on en redemande.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 20 avril 2013
    Bon, le sujet m'intéresse à la base. Il y a de bons moments, beaucoup d'humanité dans ce documentaire. Par contre, il y a aussi des longueurs, ça manque un peu de rythme. A voir vraiment si on aime la radio et le son (en général) comme moi.
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