Mon compte
    Le Vent se lève
    Note moyenne
    4,1
    7487 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Le Vent se lève ?

    651 critiques spectateurs

    5
    166 critiques
    4
    230 critiques
    3
    127 critiques
    2
    80 critiques
    1
    26 critiques
    0
    22 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Henry Joel M
    Henry Joel M

    27 abonnés 86 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 février 2014
    je vu de tout dernier film de miyazaki c'est chef d'oeuvre.
    histoire de jeune jrio il rêvé du voler mais raison de mauvais vue je son pas si de voler,
    et alors de se faire un dessin à plus tard je suis un ingénieur en aéronautique

    mais arrive bien sur:un catastrophe de tokyo/un rencontre de amis,un patron etc...

    au moins je suis bien bien bien bien bien bien aimé dommage sorte pas en 3D et alors été était super,
    profitez aller voir un film et après effet plus d'autres et oui!!!,
    dommage ce sens dernier film et je suis retraite oublier jamais farte un bon film!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 26 janvier 2014
    BORING...
    C'est vraiment mais alors vraiment ennuyeux à mourir.
    À éviter à tout prix.
    Surtout ne pas emmener vos enfants. Déjà que c'est dur pour les adultes.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 10 février 2014
    Franchement, depuis le Voyage de Chihiro, on ne peut pas dire que ce soit la grande forme pour Miyazaki San. Le vent se lève, se révèle long, ennuyeux, le message est tellement rebattu qu'il en perd de sa subtilité. On est face à un concepteur d'avion, qui certes conçoit un appareil de guerre mais qui est avant tout un rêveur, un artiste un concepteur, tel est le message du film, avec la dénonciation de la guerre. Le dessin est généreux, mais l'histoire assez mal raconté et ennuyante, très peu de phase d'action, trop de scène onirique. Miyazaki se perd et s’épanche trop sur son film. Pas d'humour, pas d'action, on est devant de belles images mais qui ne racontent rien. Bref on se fait un peu chier.
    Franchement si vous voulez voir un beau film d'aviation aller voir Porco Rosso, du même réalisateur, où il était bien plus inspiré.
    Adri P
    Adri P

    10 abonnés 294 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 mai 2015
    on sort totalement du registre fantastique souvent lie à Miyazaki et au studio ghibli pour du plus réaliste style porco rosso à ses debuts. on retrouvera même une pointe du tombeau des lucioles mais dans l'avant guerre
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 26 janvier 2014
    Un film qui est aussi bien une œuvre biographique, auto biographique et un comte onirique, une sorte de bouquet final émotionnel.
    Un film tout simplement beau, synthèse quasi parfaite de toute l’œuvre de Miyazaki et conclusion rêvée pour une carrière bien remplie et un parcours sans faute.
    Préparez les mouchoirs, le morceau du générique de fin à bien failli m'achever.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 27 janvier 2014
    Vraiment déçu par ce dernier Myasaki. Outre le fait que le film est très beau ça je ne peux pas le nier, le film à un scénario trop mince. Tellement mince que j'avais une impression de déjà vu sur plusieurs scènes. Même si la thématique chéri par son réalisateur revétait d'un très bon potentiel, je crains que son charme n'eut que peu d'effet sur moi. Dommage...
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 23 janvier 2014
    "Un Chef-d'oeuvre plein d'émotions et d'histoire ! "
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 2 mars 2014
    j'avais envie de partir bien avant la fin... pas de poésie, dessins pas au niveau. son dernier film ? dommage, ça me laisse un mauvais gout.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 27 janvier 2014
    Vraiment nulle, trop de longueur, pas de substance, je me suis ennuyé du début à la fin, aucun intérêt
    The Quiet Man
    The Quiet Man

    1 abonné 23 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 31 janvier 2014
    Catastrophe.....Le dernier film de Hayao Miyazaki est un désastre . De magnifiques images certes , comme d' habitude , mais le scénario est plat , sans âme , à mille lieues de ses réalisations précédentes .
    Moi qui me faisais une joie de voir sa dernière œuvre j' ai failli m'endormir tellement c'est long et ennuyeux. Seules quelques scènes nous réveillent de notre torpeur de temps à autre ( ses rêves en compagnie de l'ingénieur italien Caproni , le début de l'histoire d' amour ... )
    Bref une sortie raté pour le maitre Miyazaki et c'est bien dommage :(
    moket
    moket

    447 abonnés 4 218 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 14 mars 2015
    Miyazaki livre là son dernier chef d'œuvre et son film le plus adulte dans son propos et pour le public auquel il s'adresse. Avec toute la poésie qui le caractérise, toujours épaulée par l'envoutante musique de Joe Hisaichi, Le néo-retraité se permet même d'évoquer des pages douloureuses de l'histoire du Japon. Le cauchemar se matérialise principalement dans le rêve, les personnages vivant les événements à distance mais les évoquant ouvertement. Au-delà du cauchemar, l'espoir et la promesse d'un avenir meilleur, le héros vivant sa passion et se donnant corps et âme, et une belle (et triste) histoire d'amour. Quelques longueurs certes, mais l'on se laisse aisément gagner par la mélancolie ambiante. Au revoir Monsieur Miyazaki et merci !
    EricDebarnot
    EricDebarnot

    188 abonnés 1 262 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 février 2017
    Bon, je ne voulais pas voir ce "dernier" Miyazaki, que je gardais comme une "poire pour ma soif". Et puis les critiques que j'avais lues me préoccupaient : le premier film "adulte" du Maître, l'abandon du merveilleux typique de ses plus belles œuvres, et puis l'ambigüité derrière la célébration d'un ingénieur génial ayant donné naissance au plus bel instrument de guerre (le fameux "Zero") de l'impérialisme nippon. Et en effet, lorsque l'envie est devenue irrésistible, et alors que se profile l'espoir d'un retour de Miyazaki, "le Vent se Lève" m'a autant enchanté - grâce à sa munificence visuelle, grâce à ses superbes scènes oniriques qui retrouvent l'enchantement hypnotique de ses meilleurs films - que déçu : cette première histoire d'amour montrée par Miyazaki est bien fade, passant clairement au second plan par rapport à la passion de Jirô Horikoshi pour son métier d'ingénieur aéronautique, tandis que l'aveuglement du scientifique (de l'artiste ?), créant le chef d'œuvre de sa vie sans se préoccuper de l'utilisation de ce dernier par un gouvernement fasciste, est quand même assez peu exploré, chose curieuse pour un homme aussi fondamentalement pacifique que Miyazaki. "Le Vent se Lève" souffre également d'une longueur excessive, sans doute imputable à la passion de Miyazaki pour son sujet, que cela soit du fait du parallèle avec sa propre existence de créateur stakhanoviste, ou de l'aspect profondément autobiographique du sujet (on sait que son père était sous-traitant de Mitsubishi aviation). Ceci dit, il reste ici suffisamment de moments magiques, comme la stupéfiante représentation animiste du grand séisme de Kantô de 1923, pour confirmer le génie absolu de Miyazaki.
    maxime ...
    maxime ...

    202 abonnés 2 069 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 9 mai 2020
    Après avoir entamé une rétrospective sur le travail du Studio Ghibli il y'a quelques semaines, il me reste 6 films à voir pour compléter celle-ci. Parmi ceux-là, 5 me sont bien connus. Pompoko, Le Château Ambulant, Le Voyage de Chihiro, Le Château dans le Ciel et Princesse Mononoké ne sont pas en fin de visite pour rien. Leurs redécouverte est depuis le départ bien établis. En ce qui concerne Le Vent se lève, ce film m'ai encore à ce jour inconnu. Le dernier en somme.

    Ce fut un choc ! Pendant deux heures la trajectoire de ce personnage fascine, ses rencontres, ses attentes et son sens morale ne cessent d’être mis en avant. Le parcours en parallèle de l'histoire. Les rêves et tragédies se situent sur cette route, elle n'en est que plus somptueuse.

    La romance entre Jiro et Nahoko est tout aussi déchirante. J'ai d'ailleurs peu de mots ... spoiler: Cette fin fait très mal. Rarement cette émotion m'avais été offerte depuis quelque temps maintenant.


    Je ne cesse à chaque fois de mentionné Joe Hisaishi lorsqu'il s'agit d’écrire une critique sur une oeuvre de Miyazaki. Alors ce n'est pas ici que je vais l'oublier.

    Je termine ce long métrage comme Kayo, remué et saisit par mes sentiments et j'achemine par cette occasion mon écris par les mots de Jiro : " - Merci, Merci "
    pierre72
    pierre72

    126 abonnés 367 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 janvier 2014
    Je suis un peu circonspect par rapport à ce dernier film du maître Hayao Miyazaki. Renonçant à ce qui a fait son succès, c'est à dire ses histoires féériques et fantastiques, il nous propose une oeuvre beaucoup classique, quasiment un biopic en dessin animé. En narrant le parcours de Jori Horikoshi, créateur d'un redoutable avion pour l'armée japonaise lors de la deuxième guerre mondiale, il remise ses monstres délicats, ses univers oniriques pour se confronter à la réalité de la création et à la romance. On peut, si l'on a envie, faire des parallèles avec la vie du réalisateur, y voir une oeuvre aux accents testamentaires qui met en avant le goût profond du cinéaste pour les avions des années 30. C'est une manière de rendre ce film plus intéressant et plus profond. Cependant, je l'avoue, les deux heures six minutes de projection m'ont paru un peu longuettes.
    Bien sûr, visuellement c'est très beau. On retrouve la magnificence des décors, la luxuriance d'une nature rendue encore plus belle par un choix de couleurs digne de grands peintres (classiques), la beauté des ciels aux nuages moutonnants. Cependant, comme je me suis un peu ennuyé, j'ai eu le temps de noter, parfois, une animation des personnages un peu mécaniques ou des plans leur donnant des proportions étranges voire impossibles (la scène de l'avion en papier avec la fragile Naoko, se penchant au balcon). Ce ne sont que vétilles bien entendu, mais ceci me serait passé inaperçu si le scénario avait eu un peu plus de profondeur. L'esprit totalement accaparé par sa passion de l'aviation, le héros semble avancer dans la vie sans regarder autour de lui. Son cheminement technique, même entrecoupé de très jolis rêves aériens, peine un peu à nous subjuguer. Sa myopie l'isole sans doute encore plus du monde environnant, l'empêchant également de réfléchir quant à l'utilisation de ses créations, mécaniques de guerre pour une armée fasciste. On peut y voir également un hommage au travail de groupe et à la créativité mais dans ce contexte, il a beau multiplier les plans plus formidables les uns que les autres sur ces magnifiques avions, la pilule n'est pas passer complètement.
    L'autre gros morceau du film est l'histoire d'amour entre le héros et la sensible Naoko, empreinte d'une jolie poésie autour du vent qui nous offre de splendides scènes avec brise, orage, parapluies et ombrelles. Cependant, on flirte dangereusement avec la romance mièvre et gnangnan (l'une des faiblesses de certains Miyazaki), portant le film vers le mélo larmoyant et occultant, encore une fois, la réalité japonaise de l'époque pour n'en garder qu'une vague toile de fond totalement édulcorée.
    La fin sur le blog
    Edgar B
    Edgar B

    72 abonnés 63 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 1 novembre 2023
    Je viens de finir tous les Miyazaki. Bon là il faut qu'il arrête avec ses interminables scènes de chouines et de "Je t'aime", ça en devient presque pénible à regarder... C'est encore beaucoup trop long. Même si visuellement c'est magnifique, il y a toujours chez Miyazaki ce besoin d'en faire trop dans l'écriture et ici l'histoire de cet ingénieur en aéronautique en est franchement pas très intéressante, en tous cas dans son traitement. Elle pourrait peut être avoir plus de profondeur si certains aspects n'étaient pas occultés, comme la surveillance de Jiro par les services secrets japonais, cette facette est balayée et totalement oubliée en quelques secondes. Toute la partie politique du Japon de ces années 30 est juste suggérée mais jamais développée, non il préfère nous coller encore une histoire d'amour avec cette Nahoko qui est frappée par la tuberculose, totalement téléphonée dès le début de l'animé et d'une lourde mièvrerie... Des passages interminables au 3/4 du film, me plonge dans de profonds soupirs et je décroche. Le rêve avec Giovanni Caproni, on bout du 5éme, c'est bon on a compris et on en peu plus....
    On voudrait remonter certains animés de Miazaki ou alors juste les découper pour en tirer l'essence...
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top