Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
26 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
Dans "Le vent se lève", l’alentour est toujours menaçant, gros de fracas (le séisme, la guerre) qui se matérialisent en visions cauchemardesques, et pourtant dans l’appui des rêves il y a une direction à prendre, dans le « tenter de vivre » il y a la promesse d’y parvenir, c’est-à-dire de réussir sa vie – avec et contre les vents.
Critikat.com
par Vincent Avenel
Attentif aux détails, aux expressions de ses protagonistes, Miyazaki prend le chemin d’un récit proustien, où chaque plan procède de l'intention de construire, avec une précision paisible, un moment d’histoire réelle où situer la vie d’un rêveur.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Au croisement de l’Histoire et de la poésie, "Le Vent se lève" demeure l’un des plus beaux films de son auteur qui, s’il se retire effectivement, manquera au cinéma mondial.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
Le trait n'a rien perdu de son élégance, pour mêler le lyrisme intime délicat aux visions épiques de l'histoire.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
(...) la complexité des sentiments souvent exprimés dans ce film-ci, un véritable chef-d’œuvre, devrait tous nous réconcilier avec ce cinéma, nous convaincre de sa totale modernité et de sa capacité à l’abstraction.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Didier Péron
Miyazaki ne pouvait mettre point final plus beau à sa carrière, où il est à la fois la plaie et le couteau, scellant dans la chair du film la formule énigmatique de sa propre existence.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Isabelle Curtet-Poulner
D'une beauté époustouflante (...). Miyazaki livre une oeuvre magnifique où les aspirations les plus nobles tutoient la barbarie.
Positif
par Bernard Génin
On sait désormais que ce sera son dernier film. Très différent des précédents, il clôt comme un point d'orgue mélancolique une filmographie passionnante.
Première
par Gérard Delorme
Si, comme il l'a annoncé, le maître ne réalise plus de longs-métrages, il a fini là en beauté.
Transfuge
par Frédéric Mercier
Avec ce film rétrospectif et sentimental sur son travail et son pays, Miyazaki rend grâce au souffle du monde traversant toute son œuvre. "Le vent se lève" en est d'ailleurs la plus aérienne manifestation.
La critique complète est disponible sur le site Transfuge
TéléCinéObs
par Guillaume Loison
(...) Un mélo sourd hante chaque image, un souffle langoureux, triste comme du Nerval, creuse le lit du récit. Un film somptueux.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
CinemaTeaser
par Julien Foussereau
Miyazaki tire sa révérence avec un ultime film d’une gravité inouïe. Son portrait romancé de Jiro Horikoshi, dans un monde en plein chaos, bouleverse par son humanité.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Ecran Large
par Christophe Foltzer
Magnifique, dur, émouvant, ce film n’est pas pour les enfants. Les mots manquent tant la maestria de Miyazaki prend à la gorge pendant 2 heures.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Humanité
par Vincent Ostria
Si on trouve encore quelques séquences oniriques assez folles, et si le lyrisme habituel du cinéaste est au rendez-vous – il sourd de chaque séquence aérienne, de chaque plan de nature battu par les éléments –, c’est son dessin animé le plus posé et le moins surnaturel. Délicat et touchant.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par François Forestier
(...) Pour "Le vent se lève", son onzième et dernier film, Miyazaki déverse, en vrac, son bric-à-brac poétique. Sur une trame inattendue (...) voici un film étrange et fascinant où l'auteur reproche, en filigrane, aux militaires japonais d'avoir détourné le rêve d'un homme.
La Croix
par Arnaud Schwartz
Le cinéaste, immense créateur, n’a rien perdu de sa capacité à émerveiller, y compris en donnant vie à d’austères plans industriels.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Affranchi des contraintes de narration, le maître signe un récit à la fois dense et elliptique, crépusculaire et solaire, résolument métaphorique et audacieux.
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
“Le Vent se lève” dévoile la mécanique intime de l'œuvre de Miyazaki en dressant le portrait bouleversant d'un homme habité par ses rêves, mais comme étranger à ses semblables et aux tragédies de son temps.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Paris Match
par Christine Haas
Face à cette période sombre de l’histoire de son pays, le cinéaste enraie les polémiques naissantes en présentant son héros paradoxal comme un idéaliste épris de beauté et aveuglé par son génie. Hanté par la tragédie de la Seconde Guerre mondiale, son film n’est pas une fuite dans l’imaginaire, mais un miroir tendu.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Studio Ciné Live
par Sophie Benamon
Voir le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TF1 News
par Nicolas Schiavi
(...) Ce désespoir distillé en filigrane réserve un souffle romanesque rare grâce à des séquences de toute beauté où le cinéaste s'impose comme l'un des premiers créateurs à savoir épouser les formes du vent.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Télérama
par Cécile Mury
Cette fresque historique ne serait pas si touchante, si belle sans sa dimension humaine et intime. Hayao Miyazaki dessine le quotidien avec la délicatesse d'un miniaturiste.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
par Caroline Vié
Ce mélodrame flamboyant de deux heures surprendra les fans de Totoro car il n’est pas destiné au plus jeune public. Scènes de tremblement de terre impressionnantes et réflexion philosophique sur la création et le deuil risquent de perdre les petits en plein vol.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Toujours aussi enlevé sur le plan formel, clouant au pilori l'absurdité de la guerre, Le vent se lève n'en est pas moins un film qui prête à discussion. Il est possible que l'oeuvre déjoue toute explication, à l'instar de l'ambiguïté troublante de son auteur.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
L’ultime film de Miyazaki préfère les amours qui volent... vers une mort certaine. Mâture, audacieux, mais diable, que c’est long !
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Metro
par Mehdi Omaïs
En misant à fond les hélices sur le caractère ultra contemplatif de son scénario, le maître Miyazaki a tendance à étirer ses séquences, engourdissant quelque peu l’attention du spectateur.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Cahiers du Cinéma
Dans "Le vent se lève", l’alentour est toujours menaçant, gros de fracas (le séisme, la guerre) qui se matérialisent en visions cauchemardesques, et pourtant dans l’appui des rêves il y a une direction à prendre, dans le « tenter de vivre » il y a la promesse d’y parvenir, c’est-à-dire de réussir sa vie – avec et contre les vents.
Critikat.com
Attentif aux détails, aux expressions de ses protagonistes, Miyazaki prend le chemin d’un récit proustien, où chaque plan procède de l'intention de construire, avec une précision paisible, un moment d’histoire réelle où situer la vie d’un rêveur.
Franceinfo Culture
Au croisement de l’Histoire et de la poésie, "Le Vent se lève" demeure l’un des plus beaux films de son auteur qui, s’il se retire effectivement, manquera au cinéma mondial.
Le Figaroscope
Le trait n'a rien perdu de son élégance, pour mêler le lyrisme intime délicat aux visions épiques de l'histoire.
Les Inrockuptibles
(...) la complexité des sentiments souvent exprimés dans ce film-ci, un véritable chef-d’œuvre, devrait tous nous réconcilier avec ce cinéma, nous convaincre de sa totale modernité et de sa capacité à l’abstraction.
Libération
Miyazaki ne pouvait mettre point final plus beau à sa carrière, où il est à la fois la plaie et le couteau, scellant dans la chair du film la formule énigmatique de sa propre existence.
Marianne
D'une beauté époustouflante (...). Miyazaki livre une oeuvre magnifique où les aspirations les plus nobles tutoient la barbarie.
Positif
On sait désormais que ce sera son dernier film. Très différent des précédents, il clôt comme un point d'orgue mélancolique une filmographie passionnante.
Première
Si, comme il l'a annoncé, le maître ne réalise plus de longs-métrages, il a fini là en beauté.
Transfuge
Avec ce film rétrospectif et sentimental sur son travail et son pays, Miyazaki rend grâce au souffle du monde traversant toute son œuvre. "Le vent se lève" en est d'ailleurs la plus aérienne manifestation.
TéléCinéObs
(...) Un mélo sourd hante chaque image, un souffle langoureux, triste comme du Nerval, creuse le lit du récit. Un film somptueux.
CinemaTeaser
Miyazaki tire sa révérence avec un ultime film d’une gravité inouïe. Son portrait romancé de Jiro Horikoshi, dans un monde en plein chaos, bouleverse par son humanité.
Ecran Large
Magnifique, dur, émouvant, ce film n’est pas pour les enfants. Les mots manquent tant la maestria de Miyazaki prend à la gorge pendant 2 heures.
L'Humanité
Si on trouve encore quelques séquences oniriques assez folles, et si le lyrisme habituel du cinéaste est au rendez-vous – il sourd de chaque séquence aérienne, de chaque plan de nature battu par les éléments –, c’est son dessin animé le plus posé et le moins surnaturel. Délicat et touchant.
L'Obs
(...) Pour "Le vent se lève", son onzième et dernier film, Miyazaki déverse, en vrac, son bric-à-brac poétique. Sur une trame inattendue (...) voici un film étrange et fascinant où l'auteur reproche, en filigrane, aux militaires japonais d'avoir détourné le rêve d'un homme.
La Croix
Le cinéaste, immense créateur, n’a rien perdu de sa capacité à émerveiller, y compris en donnant vie à d’austères plans industriels.
Le Journal du Dimanche
Affranchi des contraintes de narration, le maître signe un récit à la fois dense et elliptique, crépusculaire et solaire, résolument métaphorique et audacieux.
Les Fiches du Cinéma
“Le Vent se lève” dévoile la mécanique intime de l'œuvre de Miyazaki en dressant le portrait bouleversant d'un homme habité par ses rêves, mais comme étranger à ses semblables et aux tragédies de son temps.
Paris Match
Face à cette période sombre de l’histoire de son pays, le cinéaste enraie les polémiques naissantes en présentant son héros paradoxal comme un idéaliste épris de beauté et aveuglé par son génie. Hanté par la tragédie de la Seconde Guerre mondiale, son film n’est pas une fuite dans l’imaginaire, mais un miroir tendu.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
TF1 News
(...) Ce désespoir distillé en filigrane réserve un souffle romanesque rare grâce à des séquences de toute beauté où le cinéaste s'impose comme l'un des premiers créateurs à savoir épouser les formes du vent.
Télérama
Cette fresque historique ne serait pas si touchante, si belle sans sa dimension humaine et intime. Hayao Miyazaki dessine le quotidien avec la délicatesse d'un miniaturiste.
20 Minutes
Ce mélodrame flamboyant de deux heures surprendra les fans de Totoro car il n’est pas destiné au plus jeune public. Scènes de tremblement de terre impressionnantes et réflexion philosophique sur la création et le deuil risquent de perdre les petits en plein vol.
Le Monde
Toujours aussi enlevé sur le plan formel, clouant au pilori l'absurdité de la guerre, Le vent se lève n'en est pas moins un film qui prête à discussion. Il est possible que l'oeuvre déjoue toute explication, à l'instar de l'ambiguïté troublante de son auteur.
aVoir-aLire.com
L’ultime film de Miyazaki préfère les amours qui volent... vers une mort certaine. Mâture, audacieux, mais diable, que c’est long !
Metro
En misant à fond les hélices sur le caractère ultra contemplatif de son scénario, le maître Miyazaki a tendance à étirer ses séquences, engourdissant quelque peu l’attention du spectateur.