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Votre avis sur Mad Max 2 ?
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C'est bien Mad Max 2 qui lance l'univers de Mad Max. Cet univers punk crasseux et post apocalyptique est retranscris avec inventivité. Belles prouesses de cascades encore, et des plans magnifiques. Un beau film, qui pour moi est celui qui se rapproche plus de Fury Road en terme de style et de narration. Comme le 1, le scénario est très faiblard mais se fait pardonner par l'action et l'univers qui régalent.
orlandolove
Avec un fil narratif resserré ultra efficace et des scènes d'action encore très spectaculaires aujourd'hui, "Mad Max 2" présage le gigantesque "Fury Road". Le magnétisme de Mel Gibson fait des ravages. Quelques scories (un antagoniste sous exploité notamment), mais rien de méchant.
Vu le 29/04/2019.
2è opus de la série des Mad Max, ce film est sans doute le meilleur de tous (je n'ai pas encore vu le 4 sorti en 2015, je me base juste sur les commentaires généraux du net). Et effectivement, après avoir vu le 1 la veille, le 2 est quand même un bon poil au dessus. Même si on n'a du mal à comprendre le passage du 1 au 2 qui est mal orchestré, je trouve le film assez excellent. On a de l'action, du suspens, des méchants un peu moins crétins que dans le 1 (même si certains tirent toujours leur épingle du jeu), on a aussi beaucoup plus de duels motorisés avec la fameuse Interceptor (qui malheureusement finira cramée)et quelques personnages attachants (Bruce Spence qui joue le pilote de l'autogire, la belle Virginia Hey, et le jeune et attachant Emil Minty dans le rôle de l'enfant sauvage avec son boomerang en acier).
On sent aussi que Mel Gibson joue un personnage plus torturé que le précédent, du fait du meurtre de sa femme et de son fils (alors que sa femme n’est en principe pas morte...), qui a du mal à revenir dans une société hiérarchisée malgré la proposition du chef des civilisés reclus dans la raffinerie Pappagallo (joué par Mike Preston).
On a droit comme dans le 1 à un viol avec cette fois quelques scènes plus dénudées, et le film souffre également de nombreuses incohérences (pourquoi par exemple les méchants s'obstinent-ils à vouloir entrer par l'entrée principale alors que le reste du camp semble beaucoup moins protégé, ou comment l'autogire peut-il encore rouler alors qu'ils s'est crashé du ciel à grande vitesse?) mais on a surtout droit à l'une des plus grandes poursuites motorisées de l'histoire du cinéma, du top niveau... Et puis à la fin un retournement de situation non prévu (du sable dans la citerne au lieu du si précieux pétrole)
Ce film a d'ailleurs inspiré le ldvelh "Le Combattant de l'Autoroute" ainsi que le dessin animé "Ken le Survivant" (au niveau des méchants en tout cas
Et vu le niveau du film suivant, s’arrêter là aurait sans doute été meilleur, c’est rare qu'un 2è opus soit meilleur que le n°1 mais là, le 3 est franchement en trop.
2è opus de la série des Mad Max, ce film est sans doute le meilleur de tous (je n'ai pas encore vu le 4 sorti en 2015, je me base juste sur les commentaires généraux du net). Et effectivement, après avoir vu le 1 la veille, le 2 est quand même un bon poil au dessus. Même si on n'a du mal à comprendre le passage du 1 au 2 qui est mal orchestré, je trouve le film assez excellent. On a de l'action, du suspens, des méchants un peu moins crétins que dans le 1 (même si certains tirent toujours leur épingle du jeu), on a aussi beaucoup plus de duels motorisés avec la fameuse Interceptor (qui malheureusement finira cramée)et quelques personnages attachants (Bruce Spence qui joue le pilote de l'autogire, la belle Virginia Hey, et le jeune et attachant Emil Minty dans le rôle de l'enfant sauvage avec son boomerang en acier).
On sent aussi que Mel Gibson joue un personnage plus torturé que le précédent, du fait du meurtre de sa femme et de son fils (alors que sa femme n’est en principe pas morte...), qui a du mal à revenir dans une société hiérarchisée malgré la proposition du chef des civilisés reclus dans la raffinerie Pappagallo (joué par Mike Preston).
On a droit comme dans le 1 à un viol avec cette fois quelques scènes plus dénudées, et le film souffre également de nombreuses incohérences (pourquoi par exemple les méchants s'obstinent-ils à vouloir entrer par l'entrée principale alors que le reste du camp semble beaucoup moins protégé, ou comment l'autogire peut-il encore rouler alors qu'ils s'est crashé du ciel à grande vitesse?) mais on a surtout droit à l'une des plus grandes poursuites motorisées de l'histoire du cinéma, du top niveau... Et puis à la fin un retournement de situation non prévu (du sable dans la citerne au lieu du si précieux pétrole)
Ce film a d'ailleurs inspiré le ldvelh "Le Combattant de l'Autoroute" ainsi que le dessin animé "Ken le Survivant" (au niveau des méchants en tout cas
Et vu le niveau du film suivant, s’arrêter là aurait sans doute été meilleur, c’est rare qu'un 2è opus soit meilleur que le n°1 mais là, le 3 est franchement en trop.
Mad Max 2 a vraiment trouvé son style, bien plus affirmé et badass que dans le 1, tout ce qui manquait !! On est dans une ambiance rétro futuriste.
Les véhicules sont encore plus fous, les décors plus affirmés, les armes plus ingénieuses. Le gosse est complètement déjanté. Il agit et réagit comme un animal et grogne à la moindre occasion.
Après un coup de mou (l'entrée dans la raffinerie après la phase d'observation), la fin est enfin synonyme d'action avec de beaux combats et des courses-poursuites entre buggy et autres engins motorisés et un camion-citerne. C'est super bien fait pour l'époque !
Les véhicules sont encore plus fous, les décors plus affirmés, les armes plus ingénieuses. Le gosse est complètement déjanté. Il agit et réagit comme un animal et grogne à la moindre occasion.
Après un coup de mou (l'entrée dans la raffinerie après la phase d'observation), la fin est enfin synonyme d'action avec de beaux combats et des courses-poursuites entre buggy et autres engins motorisés et un camion-citerne. C'est super bien fait pour l'époque !
Plus Fast and Furious que le premier épisode, Max passe la deuxième et met la gomme dans cette suite démentielle. A la fois suite et histoire indépendante, le film dispose d'un budget plus important et cela se voit à l'écran avec des scènes plus impressionantes, de grosses explosions et une course poursuite de qualitée. L'introduction est également très bonne et permet de remettre l'histoire dans le contexte ce qui pouvait manquer dans l'épisode précédent. Dans cette suite, plus rien ne rapproche ce monde futuriste à notre monde actuel, cela ouvre plus de possibilité que dans Mad Max 1. Ce second volet rentre dans l'histoire du cinéma et sera souvent copié et rarement égalé.
apres un premeir film avec un petit budget et un george miller encore jeune et immature au niveau de son art, mad max 2, le defi est vraiment tres bon et surpasse nettement le premier de la licence. on sent vraiment la nissance du monde post apocalyptique mad max avec ces personnages foux et cette mise en scene de fou furieux. vraiment tres bon, mel gibson est excellent, et miller prouve qu´il peut etre considerer comme un des grqnds genie du cinema. tres bon 4sur5
Commençant par nous expliquer pourquoi la terre en est venue à cet épuisement des ressources, George Miller nous permet de retrouver Mel Gibson qui vagabonde sur les routes après avoir vu ses proches massacrés. Rapidement il se retrouve au milieu d’un conflit où l’on ne sait plus vraiment qui sont les bons et les méchants mais où chacun essaie tant bien que mal de survivre dans un monde post-apocalyptique dominé par le chaos et dans lequel seul le pétrole compte. L’ambiance est toujours aussi sombre, une atmosphère lourde et oppressante, bien accentuée par des décors désertiques, une chaleur permanente et ce manque d’essence comme ressource la plus vitale. Les images sont violentes, le héros est toujours plus meurtri et charismatique et les seconds rôles sont plus intéressants que dans le premier opus, en plus d’être plus déjantés et lookés à la façon de punk SM. Bref, une suite au moins égale au premier film, voire même supérieure, qui offre au spectateur un spectacle visuel sans temps mort.
Auteur du livre "Guide de Survie du Cinéphile Amateur" (sortie janvier 2019)
Auteur du livre "Guide de Survie du Cinéphile Amateur" (sortie janvier 2019)
Après le très humble premier Mad Max fait avec deux bouts de ficelle, Miller a pu décupler don budget jusqu'à faire du Roadwarrior le film australien le plus cher à son époque. Grâce à ce coup de pouce du succès, le réalisateur a pu faire de ce deuxième opus sa vraie entrée dans son cher univers post-apocalyptique. Il y dépeint la décadence de manière plus précise, au point qu'il en a abandonné le mystère entourant la dévastation du monde. Un peu de clarté ne fait pas de mal.
Il y a malheureusement des choses que l'argent n'arrange pas ; la transparence de Gibson, par exemple. Mais on la peut mettre sur le compte de ses seize lignes de dialogue et de son rôle volontairement mutique. Mais il y a aussi le montage, qui est le procédé principal de prestidigitation du film ; c'est une erreur, à mon sens, car certains plans sont moches, des raccords sont horribles, et la façon dont les scènes sont accélérées a tout à envier à Fury Road, qui fait usage desdites avec beauté. Miller hérite bien là de son habitude à bricoler ses scènes avec pas grand chose, mais le résultat n'est pas présent.
Ce n'est pas non plus le scénario qui transportera l'appréciateur ; l'œuvre s'est délivrée du monde en s'isolant dans l'Australie profonde, mais elle s'enferme tout de même autour des moyens qui ont été mis en place pour elle. Les gentils, les méchants, le QG, les combats ; voilà tout le petit monde de Mad Max 2. Il essaye d'émanciper son personnage de son passé (et il faut admettre que Max est cohérent, qu'il n'y a pas de contraste avec son histoire dans le premier film), mais lui fait commettre une erreur grossière et le fait survivre à deux accidents monumentaux sans admettre un seul instant que c'est tiré par les cheveux.
Le film tire sa valeur du filon qu'il entretient avec dignité et audace. On y trouve déjà les éléments qui feront de Fury Road un bon film, et il ne se lasse pas de ses scènes impressionnantes et techniques. C'est tout un délire de cascadeurs, où parfois même les acteurs donnent du leur pour créer la symbiose entre l'Homme et la machine si caractéristique de la franchise. Et en parlant de cascadeurs, ce qu'on voit à l'écran est loin de s'être fait au prix de quelques bleus. En fait, on voit un homme voler littéralement, et la petite histoire nous apprend que son décollage est le fruit d'un accident qui lui a cassé la jambe. Et c'est la scène qu'on voit dans le film final, sans qu'on puisse s'en douter bien sûr.
On dépasse ici le cadre du « dur labeur » ; ce genre d'entreprise, quand elle est cohérente et axée autour d'une histoire sympathique et exploitant presque tous les moyens à sa disposition, accède forcément à un certain respect tacite, même si ça n'en excuse pas toutes les faiblesses.
septiemeartetdemi.com
Il y a malheureusement des choses que l'argent n'arrange pas ; la transparence de Gibson, par exemple. Mais on la peut mettre sur le compte de ses seize lignes de dialogue et de son rôle volontairement mutique. Mais il y a aussi le montage, qui est le procédé principal de prestidigitation du film ; c'est une erreur, à mon sens, car certains plans sont moches, des raccords sont horribles, et la façon dont les scènes sont accélérées a tout à envier à Fury Road, qui fait usage desdites avec beauté. Miller hérite bien là de son habitude à bricoler ses scènes avec pas grand chose, mais le résultat n'est pas présent.
Ce n'est pas non plus le scénario qui transportera l'appréciateur ; l'œuvre s'est délivrée du monde en s'isolant dans l'Australie profonde, mais elle s'enferme tout de même autour des moyens qui ont été mis en place pour elle. Les gentils, les méchants, le QG, les combats ; voilà tout le petit monde de Mad Max 2. Il essaye d'émanciper son personnage de son passé (et il faut admettre que Max est cohérent, qu'il n'y a pas de contraste avec son histoire dans le premier film), mais lui fait commettre une erreur grossière et le fait survivre à deux accidents monumentaux sans admettre un seul instant que c'est tiré par les cheveux.
Le film tire sa valeur du filon qu'il entretient avec dignité et audace. On y trouve déjà les éléments qui feront de Fury Road un bon film, et il ne se lasse pas de ses scènes impressionnantes et techniques. C'est tout un délire de cascadeurs, où parfois même les acteurs donnent du leur pour créer la symbiose entre l'Homme et la machine si caractéristique de la franchise. Et en parlant de cascadeurs, ce qu'on voit à l'écran est loin de s'être fait au prix de quelques bleus. En fait, on voit un homme voler littéralement, et la petite histoire nous apprend que son décollage est le fruit d'un accident qui lui a cassé la jambe. Et c'est la scène qu'on voit dans le film final, sans qu'on puisse s'en douter bien sûr.
On dépasse ici le cadre du « dur labeur » ; ce genre d'entreprise, quand elle est cohérente et axée autour d'une histoire sympathique et exploitant presque tous les moyens à sa disposition, accède forcément à un certain respect tacite, même si ça n'en excuse pas toutes les faiblesses.
septiemeartetdemi.com
Fêtons le cinéma
C'est l'histoire d'un homme qui a tout perdu et qui agonise dans sa condition, assoiffé de vengeance et désabusé, étranger de passage dans les Enfers terrestres. Ses semblables, trognes épaisses aux griffes acérées, luttent comme lui pour quelques gouttes d'essence assurant mobilité et prospérité. Entre l'individu et la meute, une station de forage, un enfant orphelin et un destin à écrire dans la terre et le sang. Max Max 2 répand une ambiance lourde et poisseuse à la rugosité malsaine ; dans cet univers désertique le danger peut survenir de partout : sous la terre, dans les airs, sur la route semée d'ambuches et peuplée de bolides furieux. En guise de passeport scénaristique, la rencontre et le sauvetage d'un groupe pourchassé par une horde de mercenaires ayant substitué aux idoles traditionnelles leur barbarie autoproclamée. Naissance d'un héros malgré lui, incarnation de la solitude existentielle en lutte avec un monde fou, déréglé par les guerres fratricides constantes ; pour le servir, George Miller déploie une mise en scène âpre et marquante constituée de plans brillamment inspirés et réalisés. La violence est sourde, contenue à l'écran malgré son omniprésence ; la composition musicale de Brian May accentue à merveille cette ambiance apocalyptique. On visionne Mad Max 2 comme la rétrospective d'un cauchemar, d'une hallucination terrifiante pleine de bruit et de fureur. Passage immobile d'un point A à un point A pourtant constitutif d'un mythe, le mythe d'un héros incapable de rentrer chez lui, de retrouver le foyer d'origine réduit en cendres par la folie humaine. Attention chef-d'œuvre.
George Miller rempile avec un budget sans doute dix fois plus grand (environ $1000, donc) pour sa sainte saga cyberpunk à la sauce wallaby. La mode est alors au cynisme et à l’hyper-violence, et le cinéaste sait n’y être pas étranger. Il joue donc sa carte, à fond, et offre ainsi une suite bien plus sympa, même aux yeux du non amateur. L’histoire aurait pu animer n’importe quel volet : toujours en quête de l’essence précieuse, Max croise un clan de beatniks qui la raffinent eux-mêmes, l’aide à chasser des loubards opportunistes, et devient messie (pas le footeux) en sa terre promise. Pour un temps du moins. Car il doit bien y avoir plus accueillant que ce décor aride. Ce sempiternel désert de rocaille, de sable et d’ossements humains, théâtre de burns, de drifts et de lancers de boomerangs, d’explosions de citernes, d’envolées poussiéreuses et de moteurs qui gueulent, de courses de dragsters faits avec les moyens du bord, où les mêmes perso criards et peinturlurés gesticulent pour cacher la misère d’un monde laid, vain, grotesque et sans aucun avenir – le leur. Ici le style s’assume comme jamais encore, posant pour toujours les marques d’un nouveau sous-genre. Le premier opus n’était bien qu’une étape. Ce prolongement montre une maîtrise naissante, un savoir-faire qui enfin s’affirme. Il n’a plus seulement du cœur, il a aussi maintenant du corps. Et le réalisateur montre qu’il n’est pas qu’un feu de paille dans la forêt australe.
un mel gibson plus sombre encore dans ce nouvel opus,des scènes d actions toujours "explosives" et toujours des motos..et du pétrole...ça ressemble au premier mais on oublie vite les ressemblances...
bref un bon film mythique qui n'a rien a envier a quelques nanars d' aujourd’hui...
mel gibson à quelques années de plus que dans le premier,donc on sent la maturité du héros s affirmer
bref un bon film mythique qui n'a rien a envier a quelques nanars d' aujourd’hui...
mel gibson à quelques années de plus que dans le premier,donc on sent la maturité du héros s affirmer
Le meilleur de la saga, un chef-d’œuvre, parce qu’on retrouve l’essence des Mad Max, l’esprit virevoltant, jouissif des courses poursuites expéditives, des barbares punks déjantés, cultissime en entrant dans la légende du cinéma d’action, le scénario catastrophe désertique inspiré.
WAOUH ce film est 10 fois mieux que le premier alors qu'à mes yeux mad max premier du nom été déjà splendide dans sa réalisation, là il faut avouer que georges miller a su réutiliser ce qui a permis de faire naître la Légende avec l'utilisation de la caméra qui est toujours aussi particulière avec une ouverte en plan large sur la route afin de montrer cet effet d'infinité qui est juste splendide aux yeux des spectateurs et qui fonctionne à merveille. La scène de fin est très stylisé et le décor post apocalyptique fonctionne à merveille avec la trame principale où une guerre apparait entre les Hommes pour avoir la main sur l'or noir qui se fait de plus en plus rare suite à une guerre nucléaire. Un film a voir pour les passionés de film d'action et de courses poursuites mais aussi pour les personnes les plus classiques car oui ce film est un monument du cinéma et qui a participé à l'évolution du cinéma. Encore merci G. Miller pour cette démonstration.
Certainement l’apothéose de la franchise, "Mad Max 2" de George Miller est pour moi le film le plus représentatif de l’univers développé par le réalisateur dans ses films. Adoré par des millions de fans et de cinéphiles comme étant le meilleur de tous les "Mad Max", il est vrai qu’on est bien obligé d’admettre que ce deuxième opus est un véritable chef d’œuvre du cinéma qui a marqué son histoire. Dans un futur non défini, les réserves de pétroles sont épuisées et la violence règne sur le monde. Max, un ancien policier Interceptor, erre sur les routes désertiques à la recherche des quelques gouttes d’essence encore restantes sur la planète afin de survivre. C’est alors qu’il va arriver au sein d’un conflit opposant une petite communauté de fuyards qui se sont réfugiés dans une raffinerie avec une citerne pleine d’essence, à une bande d’impitoyables pirates de la route dirigée par le Seigneur Humungus qui revendique l’essence de la raffinerie. Max va alors se porter au secours de la communauté. L'aventure, l'action, les cascades, l'émotion sont au rendez-vous de ce "Mad Max 2" qui est un film culte et qui est définitivement à conseiller. Par ailleurs l'ensemble du casting s'en donne à cœur joie, ce qui rend ce film hautement appréciable
Bon, les Mad Max sont des films d'action pas très subtils... mais cet épisode 2 sort du lot. La raison selon moi: son aspect dépouillé, un décor réduit au minimum (le désert, des piles de pneus), un pitch très simple (deux bandes se battent pour de l'essence), une psychologie des personnages et des dialogues également minimalistes... et pourtant tout tient la route et la mise en scène est dynamique. Ce côté série b totalement assumé lui donne un charme indémodable, celui des chefs d'oeuvre qui ont l'air bricolés avec trois bouts de ficelle, et 30 plus tard ce film n'a pas pris une ride.
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