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Un chef D'oeuvre
Revoir le magistral "Mad Max 2" plus de 25 ans après sa sortie explosive et mémorable permet - entre autres - de vérifier à nouveau la pertinence de l'opinion d'un Tarantino vantant systématiquement la supériorité de l'effet de réalité de la cascade sur le trucage numérique, aussi parfait soit-il : dans ce chef d'oeuvre du film d'action, outre la perfection de la narration, de la mise en scène - constamment juste et inspirée de George Miller -, de l'interprétation d'un Mel Gibson "à fond" (sans ce recul ironique qu'il a vite acquis en rejoignant Hollywood), on jubilera avant tout devant ces tonnes de métal hurlant, écrasant les chairs et broyant les corps avec un réalisme rarement atteint - ou du moins qui ne le sera plus à nouveau tant qu'on préférera la parfaite sécurité de l'ordinateur à l'imperfection du réel. N'oublions pas non plus qu'on a sans doute affaire au seul véritable "film punk" !
Sous ses airs de Nanar Mad Max 2 est vraiment jouissif, car jusqu'au-boutiste, bien plus que le premier volet. On prend un plaisir gras il est vrai à voir ces scènes d'anarchies, de violences gratuites, de testostérones vraisemblablement un peu trop élèvés, d'acteurs aussi peu crédibles à l'image de Mel Gibson, cons comme des chèvres mais musclés quoi. Bref que du mauvais goût mais parfaitement assumé pour un film délire et comme je l'ai dis, jouissif.
Pour moi, c'est Le meilleur Mad MAX de la trilogie. J'ai été super déçu par le premier Opus que l'on disait mythique et qui a longtemps été interdit en France. Quand on a enfin pu le voir, il faisait super daté et a mal vieilli.
Par contre, ici, nous rentrons de plein pied dans cette aventure post-apocalyptique, pleine de violences extrêmes, d'entraide pour une survie qui dépend du pétrole (tiens donc !)et qu'il faut défendre coûte que coûte contre des hordes de Punks dégénérés, sanguinaires et sans pitié. Mel Gibson est excellent dans ce rôle d'anti-héros solitaire, sombre et ambigue. Mad Max II reste la référence ultime du film post-apocalyptique qui donnera lieu à de nombreux plagiats ou qui inspirera plus ou moins de nombreux films italiens, espagnols, philipins et sud-américains.
Par contre, ici, nous rentrons de plein pied dans cette aventure post-apocalyptique, pleine de violences extrêmes, d'entraide pour une survie qui dépend du pétrole (tiens donc !)et qu'il faut défendre coûte que coûte contre des hordes de Punks dégénérés, sanguinaires et sans pitié. Mel Gibson est excellent dans ce rôle d'anti-héros solitaire, sombre et ambigue. Mad Max II reste la référence ultime du film post-apocalyptique qui donnera lieu à de nombreux plagiats ou qui inspirera plus ou moins de nombreux films italiens, espagnols, philipins et sud-américains.
Plus de 20 ans après sa sortie Mad Max 2 est toujours aussi bon et reste un vrai film culte qui peut se vanter d'avoir influencer le cinéma, l'animation et le manga ( qui a parlé d'Hokuto no ken) en popularisant cet univers post-apocalyptique où règne l'anarchie peuplé de punks sadiques et violents. On peut même le comparer à un western avec son héros solitaire et charismatique traversant ses terres arides immortalisé par Mel Gibson mais également avec un siège d'un fort et surtout la cultissime poursuite final rappelant une attaque de diligence qui est remplacé par un camion citerne traqué par une horde de véhicule. Et on ne peut pas parler du deuxième volet des aventures du guerrier de la route sans parler du seigneur Humungus, incarnation du méchant "badass" par excellence.
Je dois dire que cette suite fait oublier le "Mad Max" précédent, tant celui-ci est bien et est plus prenant. Une action impréssionante, on dirait que George Miller nous a caché son véritable talent avec cette suite beaucoup plus distrayante que le premier épisode, cette fois, les méchants sont plus chiants à dégager. Je tiens à féliciter le réalisateur, deplus Mel Gibson est grand cette fois-ci.
CHEF-D'OEUVRE ABSOLU DU GENRE DONT IL EST LE CREATEUR, MAD MAX 2 EST DEVENU INATTAQUABLE. Le génie de George Miller explose avec ce film. Une oeuvre intemporelle délirante, épique et tragique. A regarder en boucle.
Comme on dit souvent, les suites ne valent pas le 1er opus dans une trilogie, quadrilogie... . MM2 ne fait pas exception à la règle, à cause d'une hollywoodisation façon australienne. De ce 2ème épisode, on enlève les beaux paysages désertiques et la fameuse course-poursuite finale, il ne reste rien. Un scénario épais comme un serpent anorexique et des dialogues réduits à leurs plus simples expressions (Ouga! Ouga!). Les keupons font bien rigoler mais ça va 5 minutes. Les personnages, des clichés abominables, sont tous creux, sauf, à un degré moindre, celui de Gibson. La B.O leur fait curieusement écho. D'un point de vue cinématographique comme d'un point de vue écologique (que d'explosions!), c'est un peu le désastre. Seule une grande passion des films des 80's, Australiens ou post-apocalyptiques permet d'apprécier ce navet. Dans les invraisemblances en veux-tu en voilà, les véhicules des méchants explosent, mais pas ceux des gentils. Les méchants ne veulent pas crever tous les pneus des gentils dans les poursuites. Le plus beau restant ce final dans lequel le gentil qui vient de se cracher en ULM (même pas une égratignure!) a eu le temps en même pas 5 minutes de le transformer en buggy. Trop fort le mec. Ah! la magie du cinéma.
Qu'est-ce qu'il ma fait rever ce film... pas pour Mel hein! mais pour cet univers de chaos social.
Une suite convaincante pour un second volet encore culte et qui ne prendra jamais une ride !
Si il a déjà plus d'intéret que le premier par un scénario plus travaillé et un univers post-apocalyptique plus définit, mad max 2 ne mérite toujours pas selon moi la rennomée que l'on connait pour ces films. Je suis vraiment le seul à avoir l'impression que les ennemis du héros se lancent bêtement dans les roues pour mourir ? Une loooooooongue course poursuite qui aurait eu tout à gagner à ne pas durer si longtemps pour laisser plus de place au film...
🎬 RENGER 📼
Dans un futur proche (mais non défini), les réserves mondiales de pétrole sont épuisées, le chaos règne partout sur la planète. Max Rockatansky se retrouve malgré-lui tiraillé entre une bande de pillards et une communauté autonome qui se démène pour préserver leur ressource en pétrole…
George Miller récidive et il aurait eu bien tort de s’en priver, après un tel succès. Deux ans après un premier volet assez sommaire, pour ne pas dire, simpliste (tant dans le fond que dans la forme), il revient pour notre plus grand plaisir et accentue considérablement le côté post-apo qui, il faut bien l’admettre, n’était pas criant de réalisme dans le précédent (le manque de budget n’aidant pas). Cette fois-ci, on passe ici d’un budget de 300 000$ à… 10 fois plus ! 3 millions, autant vous dire que la différence saute aux yeux et que l’on en a clairement pour notre argent.
Mad Max 2 - Le Défi (1981) nous entraîne dans une folle course-poursuite éffrénée (rarement égalée plus de 40 ans plus tard), où les flics sapés comme dans une version homo-érotique ont laissé place à des dégénérés sado-maso (il faut voir la dégaine de Humungus et celle de Wez, avec son ɔul à l’air), près à tout pour quelques gouttes d’or noir. La tôle froissée ne fait plus qu’un avec les corps (harponné, explosé, écrasé, brûlé, … faites votre choix, y a à boire et à manger).
Fait suffisamment rare pour être souligné, cette suite surpasse (de très loin) le film original et deviendra par la même occasion, une oeuvre matricielle pour les innombrables rip-off italiens et philippins.
(critique rédigée en 2011, réactualisée en 2024)
● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●
George Miller récidive et il aurait eu bien tort de s’en priver, après un tel succès. Deux ans après un premier volet assez sommaire, pour ne pas dire, simpliste (tant dans le fond que dans la forme), il revient pour notre plus grand plaisir et accentue considérablement le côté post-apo qui, il faut bien l’admettre, n’était pas criant de réalisme dans le précédent (le manque de budget n’aidant pas). Cette fois-ci, on passe ici d’un budget de 300 000$ à… 10 fois plus ! 3 millions, autant vous dire que la différence saute aux yeux et que l’on en a clairement pour notre argent.
Mad Max 2 - Le Défi (1981) nous entraîne dans une folle course-poursuite éffrénée (rarement égalée plus de 40 ans plus tard), où les flics sapés comme dans une version homo-érotique ont laissé place à des dégénérés sado-maso (il faut voir la dégaine de Humungus et celle de Wez, avec son ɔul à l’air), près à tout pour quelques gouttes d’or noir. La tôle froissée ne fait plus qu’un avec les corps (harponné, explosé, écrasé, brûlé, … faites votre choix, y a à boire et à manger).
Fait suffisamment rare pour être souligné, cette suite surpasse (de très loin) le film original et deviendra par la même occasion, une oeuvre matricielle pour les innombrables rip-off italiens et philippins.
(critique rédigée en 2011, réactualisée en 2024)
● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●
Une suite excellent de notre héros qui après la vengenace erre sans but précis mais avec toujours un côté policier en lui pour aller aider les plus faible. Super moment en perspective.
Ni meilleur, ni moins bon que le 1er. Mad Max 2 gagne en spectacle ce qu'il perd en puissance dramatique.
On retrouve avec plaisir Mel Gibson mais aucun autre personnage n'est assez épais pour susciter la moindre compassion ou le rejet. Ils ne servent que de chair à canon pour Miller qui exploite a fond son budget afin de proposer le plus d'action possible au spectateur.
Et il faut bien avouer que l'éprouvante course-poursuite finale, plus de 20 minutes d'adrénaline non-stop, vaut le détour. Quand j'y repense, c'est d'ailleurs la seule raison de revoir Mad Max 2 aujourd'hui car le reste du film est assez ringard.
On retrouve avec plaisir Mel Gibson mais aucun autre personnage n'est assez épais pour susciter la moindre compassion ou le rejet. Ils ne servent que de chair à canon pour Miller qui exploite a fond son budget afin de proposer le plus d'action possible au spectateur.
Et il faut bien avouer que l'éprouvante course-poursuite finale, plus de 20 minutes d'adrénaline non-stop, vaut le détour. Quand j'y repense, c'est d'ailleurs la seule raison de revoir Mad Max 2 aujourd'hui car le reste du film est assez ringard.
Ma préférence (de peu certes), va à Mad Max deuxième du nom. Son univers post-apocalyptique, son rythme effréné et sa violence constante, en fait un chef d'œuvre incontestable.
Mel Gibson est toujours aussi excellent dans son rôle de Max, mais les personnages secondaires, notamment le personnage de "l'hélicoptère", et les "méchants" jouent à la perfection, ce qui fait de ce film (je me repette) un CHEF D'ŒUVRE !
Mel Gibson est toujours aussi excellent dans son rôle de Max, mais les personnages secondaires, notamment le personnage de "l'hélicoptère", et les "méchants" jouent à la perfection, ce qui fait de ce film (je me repette) un CHEF D'ŒUVRE !
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