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Partant de la fin de la civilisation par le manque de pétrole et par l'idée que "l'homme commence à se nourrir de l'homme", Mad Max prend un nouveau tournant. Totalement devenu inhumain, Rockatanski est une bête féroce traversant les déserts sans but autre que d'alimenter son interceptor. Une anticipation encore pire que le premier opus, une violence incroyable pour l'époque et un Gibson qui brille de mille feux alors qu'il ne dit pratiquement pas un mot. Une grande suite, mais qui pourrait, et c'est fort, être un film sans avoir eu d'opus précédent. Percutant et innovant, ce que l'on attends d'un grand film.
C’est dans ce deuxième épisode qu’apparaît l’ambiance qui restera caractéristique de la saga, à savoir un futur post-apocalyptique surtout composé d’étendues désertiques. Le scénario est relativement simple. Max arpente solitairement cet univers et va venir en aide malgré lui à un groupe de personnes faisant face à des punks convoitant leur pétrole.
Le rythme est soutenu. Les scènes s’enchaînent sans temps mort. Plus particulièrement, malgré le fait que cet opus ait été produit en 1981, les séquences d’action restent intenses et vont contribuer à caractériser la saga. Les adversaires de Max, toujours d’un style caricatural, s’intègrent bien à cet univers tout comme les autres personnages. Mel Gibson est toujours très bon dans le rôle principal. Ce film est une référence du genre.
Le rythme est soutenu. Les scènes s’enchaînent sans temps mort. Plus particulièrement, malgré le fait que cet opus ait été produit en 1981, les séquences d’action restent intenses et vont contribuer à caractériser la saga. Les adversaires de Max, toujours d’un style caricatural, s’intègrent bien à cet univers tout comme les autres personnages. Mel Gibson est toujours très bon dans le rôle principal. Ce film est une référence du genre.
Deux ans après le succès-surprise de son premier long-métrage, Mad Max, le réalisateur australien George Miller continue l'aventure pour une suite supérieure au premier volet. Miller va en effet plus loin avec son personnage, plus loin dans son idée de monde post-apocalyptique, accentuant la désolation autant que la violence. Avec plus de moyens, il réussit à surpasser son film à petit budget pour en faire ici un véritable spectacle de cinéma, plus intense, plus recherché et - encore une fois - plus violent... Si le premier film était déjà assez éprouvant dans certaines séquences, notamment à la toute fin, nous avons droit désormais à des scènes très explicites, allant de doigts tranchés à des corps brûlés vifs en passant par des viols et des meurtres en tous genres... Quant à notre héros, il est maintenant beaucoup plus posé mais aussi plus impitoyable, les évènements du précédent opus ainsi que son environnement désolé ne lui apportant guère ni le sourire ni la sympathie. Il va d'ailleurs faire de nouvelles rencontres, à savoir une bande de rebelles luttant contre un terrible destructeur de vie, sans oublier le délirant Gyro Captain et le petit Feral Kid. Max a donc vraiment évolué, et Mel Gibson, qui rempile dans le rôle-titre, livre une excellente prestation. L'action est quant à elle toujours au rendez-vous avec des courses-poursuites également nettement plus impressionnantes, notamment la première scène du film ainsi que le final, qui restent foncièrement mémorables. En somme, une excellente séquelle et un film gravé dans les mémoires.
J'ai retrouvé dans Mad Max 2 ce que j'avais cherché dans le premier film : le désert, les hordes de méchants et un guerrier solitaire. Mel Gibson a prit quelques années depuis le premier Mad Max et il a vraiment gagné en charisme, j'ai beaucoup apprécié sa prestation. Après je ne peux pas m'empêcher de penser que ce film a aussi mal vieillit. Les scènes d'action font un peu cheap et le scénario est un peu limité. A évidemment voir quand même juste pour le personnage et les scènes badass.
Deux ans après le choc "Mad Max", George Miller retourne sur les routes avec un budget environ 10 fois plus élevé pour tourner une suite : "Mad Max 2 : le Défi". Le premier opus avait été gravement touché par la censure lors de sa sortie à cause de scènes jugées trop violentes. Pour ce deuxième film, le cinéaste Australien diminue la violence mais augmente le rythme de son récit ainsi que la qualité de ses scènes d'action. Ces dernières sont uniquement des scènes de courses poursuites en plein désert et elles sont plutôt bien filmées. Le réalisateur de "Happy Feet" s'en sort très bien de ce côté là, même si on remarque parfois que certaines sont montrées en accélérées pour donner une plus grande impression de vitesse, alors que d'autres ont clairement été tournées à vitesse réduite. Le temps à fait son œuvre et le film n'y peut pas grand chose. En revanche, ce qui aurait pu être amélioré, c'est le scénario qui est somme toute assez léger. Néanmoins, le personnage principal toujours joué par le jeune "Mel Gibson" de l'époque est assez charismatique et cela, l'acteur américain le rend bien. Dommage que les adversaires qu'il affronte ne soient pas autant imposants bien que leur folie ressorte allègrement. Cette folie est d'ailleurs accompagnée par la BO du film qui fait bien ressortir le côté désespéré du récit. "Mad Max 2" est donc une suite meilleure que le film précédent mais qui ne parvient pas encore au niveau de très bon film.
Un excellent film de science-fiction. George Miller réalise une bonne suite. Mel Gibson incarne de nouveau ce combattant dans un futur désertique.
Revoir le magistral "Mad Max 2" plus de 25 ans après sa sortie explosive et mémorable permet - entre autres - de vérifier à nouveau la pertinence de l'opinion d'un Tarantino vantant systématiquement la supériorité de l'effet de réalité de la cascade sur le trucage numérique, aussi parfait soit-il : dans ce chef d'oeuvre du film d'action, outre la perfection de la narration, de la mise en scène - constamment juste et inspirée de George Miller -, de l'interprétation d'un Mel Gibson "à fond" (sans ce recul ironique qu'il a vite acquis en rejoignant Hollywood), on jubilera avant tout devant ces tonnes de métal hurlant, écrasant les chairs et broyant les corps avec un réalisme rarement atteint - ou du moins qui ne le sera plus à nouveau tant qu'on préférera la parfaite sécurité de l'ordinateur à l'imperfection du réel. N'oublions pas non plus qu'on a sans doute affaire au seul véritable "film punk" !
J'ai vu le premier "Mad Max" il y a pas mal d'années maintenant et il m'avait assez ennuyé mis à part sa scène de poursuite servant d'introduction qui était juste magnifique. "Mad Max 2" débute aussi par une scène de poursuite hallucinante elle même introduit par une voix off qui explique le contexte du monde de "Mad Max". Une fois les bases posés, on a affaire à une sorte de western spaghetti, Mel Gibson étant Clint Eastwood dans la trilogie des dollars de Sergio Leone, les deux parlent peu, vivent seul et n'ont pas d'autres but dans la vie que de gagner de l'argent ou de l'essence dans le cas de "Mad Max 2" l'argent semble avoir disparu et l'essence semble être la seule monnaie de ce monde punk post apocalyptique. Peut être que cela nous attend dans la vraie vie.
Bref, tout ça pour dire que "Mad Max 2" à inventer un genre à lui tout seul, le genre punk post apocalyptique, ou les personnages sont fringués avec ce qu'ils trouvent, sont armés avec ce qu'ils trouvent, fabriquent des maisons, des forts, des véhicules avec ce qu'ils trouvent et ça fait toujours classe, sauf sur les méchants ou je n'ai pu m'empêcher de rire sur leur look "les fesses à l'air" sado- maso "en slip cuir et masque de Jason". Non seulement"Mad Max 2" a inventé un genre mais il ne cesse d'inspirer des oeuvres contempraines que ce soit dans le cinéma ou les jeux video et ça c'est très fort. Mais "Mad Max 2" c'est surtout un film ou a des putains de scènes d'actions et donc un putain de divertissement des années 80. Pour sur qu'il m'a donné envie de donner une seconde chance au premier "Mad Max".
Bref, tout ça pour dire que "Mad Max 2" à inventer un genre à lui tout seul, le genre punk post apocalyptique, ou les personnages sont fringués avec ce qu'ils trouvent, sont armés avec ce qu'ils trouvent, fabriquent des maisons, des forts, des véhicules avec ce qu'ils trouvent et ça fait toujours classe, sauf sur les méchants ou je n'ai pu m'empêcher de rire sur leur look "les fesses à l'air" sado- maso "en slip cuir et masque de Jason". Non seulement"Mad Max 2" a inventé un genre mais il ne cesse d'inspirer des oeuvres contempraines que ce soit dans le cinéma ou les jeux video et ça c'est très fort. Mais "Mad Max 2" c'est surtout un film ou a des putains de scènes d'actions et donc un putain de divertissement des années 80. Pour sur qu'il m'a donné envie de donner une seconde chance au premier "Mad Max".
Retranché dans une raffinerie de fortune, une paisible communauté tente de protéger ses précieuses réserves de pétrole face aux hordes de pillards attirés par l’appât du gain. Plus spectaculaire et épique que le premier volet, cette suite s’avère être une bonne surprise. L’ambiance « western apocalyptique » est assez unique et les courses poursuites parfaitement maitrisées. Au final, ce film aura eu une nette influence sur plusieurs autres œuvres post-apocalyptiques que se soit dans les jeux-vidéos (l’excellente série Fallout) ou dans les mangas (Ken le Survivant).
Moins bon que le premier et le troisième ce volet vaut surtout pour les cascades automobiles et les combats. L'histoire est trop faible et certaines invraisemblances techniques , que je ne citerai pas pour éviter de spoiler, mais qui sont flagrantes pendant le visionnage du film gâchent le plaisir de suivre sont déroulement. Dommage !
plus commercial que le premier opus, mais un film d'action brutal et bien rythmé, une réalisation efficace et visuellement pas désagréable, mel gibson y est impeccable...l'un des meilleurs films d'action des années 1980, sans aucun doute.
A sa sortie en 1979 (un peu plus tard chez nous, censure oblige), le premier "Mad Max" avait fait sensation un peu partout (sauf aux USA, où il fut même doublé), mettant enfin l'Australie sur le devant de la scène. Trois ans plus tard, George Miller lui donne une suite, mais pas n'importe laquelle, le bonhomme explosant le concept de sequel et multipliant les effets du premier par mille. Le futur proche très campagnard du film original cède ainsi la place à de la pure science-fiction complètement barrée, à l'imagerie punk et sadomaso jouissive, créant carrément un sous-genre à lui tout seul: le post-apo, et influancant l'air de rien la mode à venir des 80's. Continuant d'explorer la figure du héros, il fait de Mel Gibson (ici dans son plus grand rôle) une sorte de messie qui s'ignore, vagabond mutique et meurtri qui va petit à petit retrouver un certain sens à la vie après avoir abandonné tout humanisme. Offrant des séquences d'action absolument ébourriffantes ( et encore inégalées à ce jour) jusqu'à une poursuite finale dantesque, George Miller finissait avec ce film westernien en diable et iconique d'installer son anti-héros torturé au panthéon des personnages mythiques du septième art.
Par rapport au premier, je trouve qu'on a une vraie vision du post-apocalyptique du réalisateur et plus dynamique. Scénario un peu plus poussé que le précédent. Mel Gibson est toujours excellent dans son rôle et le reste du casting est assez satisfaisant. On retrouve avec plaisir une terre australienne méconnaissable et avec de sacrés bolides ambulants. De quoi mettre une ambiance très particulière. Un peu plus de scènes d'actions que le précédent et surtout plus spectaculaire. Des décors et des costumes convenables. Un second film bien supérieur que le premier.
Chef d'oeuvre absolu de Georges Miller, Mad Max 2 est un des films les plus cultes de l'histoire du cinéma. Il n'y a aucun point noir, ce film est une merveille !
Mad Max 2 est un film d'action post-apocalyptique australien de 1981 réalisé par George Miller. Le film est le deuxième volet de la série Mad Max avec Mel Gibson dans le rôle de Max Rockatansky. Mel Gibson reste le seul acteur de renommée mondiale de tout ce film. Il fait un travail formidable dans le rôle de Max l'un de ses meilleurs et plus intéressants personnages de cette histoire. Le développement de Max est une autre composante intrigante et sert le film en lui donnant un côté humain par la lente transformation de Max de solitaire à sauveur. Mais ce n'est pas tout Gibson crée également un grand héros d'action. Il n'y a pas un seul moment dans le film où nous ne sommes pas en train d'encourager Max à écraser Humungus et sa bande. Bruce Spence dans le rôle du pilote de gyro est correct dans son rôle et offre les quelques moments humoristiques du film. Il a aussi beaucoup de scènes et beaucoup de choses à faire dans ce film. Comme piloter ce chasseur aider Max à le sauver se battre contre les voyous de Humungus. Emil Minty dans le rôle de l'enfant sauvage est génial. Virginia Hey dans le rôle de la femme guerrière est magnifique dans ce film. J'ai vraiment adoré la façon dont elle a agi envers Max qui n'est pas digne de confiance quand il avait besoin de gagner sa confiance. J'adore le chien de Max il est tellement mieux que l'autre chien dans le premier film. On pouvait même voir une personnalité dans ce chien. La franchise Mad Max aurait du s’arrêter après ce deuxième volet cela aurait était mieux pour le public fan de cette franchise...
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