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Didier M
5 abonnés
157 critiques
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3,5
Publiée le 22 avril 2015
fan de MARK WHALBERG devant l’éternel ,j'ai pratiquement vu tous ses films donc je ne pouvais passer a coté de celui ci et on peut dire qu'il as changer son fusil d’épaule par rapport a ces derniers films pour moi il incarnes l'american way o life a travers ses films (shooter ,les 4 frères,des larmes et du sang ,transformers 4 etc etc) et la il changes de registre a 360 degrés je ne l'avait plus vu jouer de cette façon depuis the yard et ça remontes a un bail ce film bref un film hors de son domaine de predilection mais quand meme un bon film
Ce film est une belle découverte car il est rare de voir Mark Whalberg (MW) jouer de manière dramatique.
Il incarne un gosse de riche que je qualifierai d'adulescent avec sa coupe de surfer qui fait face a l'ennui dans ces relations professionnel et familial, père inconnu et mère noyé dans la dépression!
Petit cocktail qui fait de lui une âme vagabonde face à une mort attendu et même aimer, c'est son adrénaline!
A coté de lui une brochette de mafieux qui deviennent des thérapeutes de dépendants aux jeux d'argent, les 3 acteurs sont très bon dans leurs rôles, avec un John Goodman en bon psychanalyste, ces interventions dans le film passe de discours moralisateur à des tapes dans le dos! il y a comme des liens père/fils avec ces 3 mafieux!
L'histoire se déroule entre l'université où il exerce son métier de professeur et s’apitoie sur sa carrière d’écrivain raté (MW) les salles de jeux, les hôtels et d'autres endroits de la haute société américaine (lobbying).
Un mélange de genre, film d'action dramatique, un nouveau genre!
PS : A voir si vous voulez pas trop réfléchir pour choisir un film, vous pourriez avoir une bonne surprise ou non.
Bon thriller philosophique. Malgré une baisse de régime en milieu de parcours, la démonstration formelle est assez brillante. Mark Wahlberg devient un acteur/producteur qui compte.
Avec Shakespeare ou Camus en point de référence pour illustrer certaines scènes, les problématiques existentialistes de Dostoïevski présentées ici nécessitent plutôt beaucoup d'investissement intellectuel (et culturel) de la part du spectateur pour se faire apprécier. Si la version avec James Caan dont le présent film est une reprise pouvait encore se lire comme une adaptation moderne du roman, on en est maintenant très loin à force de téléphone arabe. Côté film, la réalisation est terriblement quelconque (mais soignée) et les personnages de mafieux tout comme les jeunes sportifs accros aux textos sont tous tellement intelligents et distanciés que le propos perd vite toute sa crédibilité en contexte. Ce qui décevra sans aucun doute les spectateurs au premier degré. Ceci dit, en se maintenant dans la sphère allégorique les enjeux sont stupéfiants pour un film hollywoodien avec ce genre de budget. Probablement un projet censé faire briller le blason culturel de ceux qui l'ont produit, poussé, y ont participé ou s'en réclament comme spectateurs. Passons. Wahlberg (qui a perdu presque 30 kilos pour le rôle mais ce n'est pas The Machinist non plus.) cherche sans le comprendre vraiment à se purger du bagage existentiel avec lequel il a vécu jusqu'ici (ontologie, fatalité et jusqu'à ses notions éthiques les plus essentielles) mais il l'ignorera jusqu'à l"épilogue. Il va jusqu'à laisser ses proches être physiquement menacés de mort par sa propre descente (volontariste) aux enfers. Cette amoralité assumée est exceptionnelle à Hollywood, remarquons-le. Cette mise en danger qui passe par le jeu compulsif et une monstrueuse accumulation de dettes auprès des pires voyous que l'on puisse rencontrer est la voie qu'il a trouvé pour atteindre le cœur de son existence et en déjouer les rouages autrement implacables tout comme Edward Norton se recherche dans Fight Club, en se mettant tout simplement en danger et en s'impliquant. Finalement il prend un coup de poing (ou deux) dans la gueule et réalise qu'il doit aller jusqu'au bout du projet et jouer sa vie, donc, bien sûr, la pertinence de sa démarche ainsi que ce qu'il vaut en tant qu'être humain sur un seul coup "de dés". Climax s'il en est. Autre point curieux mais qui interroge : Le hasard lui semble de loin préférable à tout gain obtenu grâce au talent (lequel est présenté comme une donnée socialement injuste et donc inacceptable par... Shakespeare qui n'avait rien demandé Nietsche ou Heidegger m'auraient semblé plus indiqués mais bon) spoiler: Contre toute attente de ma part, il triomphe (donc pas de pathos dramatique au final mais quelque chose d'assez subtil à la place) et, contrepartie philosophique, réalise enfin son projet de dénuement total (on le voit presque se défaire de ses vêtements dans un élan christique alors qu'il commence à apprécier sa liberté retrouvée tout comme sa dignité). Le film s'achève sur un plan montrant un terrain à construire, symbole un peu épais mais qui fonctionne ici.
Goodman étant présent, on songe nécessairement à Barton Fink. Le scénario soi-disant sans concession mais qui, pour rester bankable, s'achève sur une happy end ? Hum. The Player de Altman peut être ? Franchement le scénario m'a paru plutôt sympa mais clairement trop élitiste. disons que si vous aimez les lettres modernes, il est certainement fait pour vous. Ceci étant dit, sur un plan purement stratégique je comprends mal les ambitions de la production. Probablement un coup de poker... qui n'a pas porté. A choisir, revoyez plutôt l'original moins spécieux, moins littéraire, moins abscons et nettement plus marquant mais si vous avez un peu de temps, pourquoi pas les deux ?.
Pas mal du tout, c’est une œuvre cinématographique assez bien maitrisée. Ce « The Gambler » ne manque vraiment pas de contenu. C’est déjà très bien filmé il y a une touche esthétique ; une qualité d’image, de la subtilité jusqu’à un peu de poésie quelque fois dans la mis en scène. C’est aussi globalement très bien joué; les dialogues sont fournis avec quelques répliques bien sentis. D’ailleurs Goodman y joue une part non négligeable et symbolique pour la fin. Quant à Wahlberg il porte assez bien son rôle tout le long du film; il y a une dimension psychologique forte dans son personnage assez bien incarné et mis en scène dans toute l'expression supposée et symbolique à l'addiction.
Un film décevant qui ne décolle jamais. Le scénario est simple, on entre trop facilement dans les clichés et la morale du film derrière des dialogues bien trop légers ne nous fait réfléchir que trop peu. Dès lors on se dit que le film peut se reposer sur un bon casting, hélas les personnages du film sont en dessous des acteurs et aucune émotion ou presque nous parvient. La réalisation est pourtant soignée mais hélas il n'y a rien de vraiment bon à retenir de ce film plat à tous les niveaux.
Moment vraiment sympathique : Les dialogues et les personnages sont bien écrits ! Ca fait plaisir. Je m'attendais à voir un énième film d'action, pour passer tranquillement le temps, pendant que ma fille faisait sa sieste... :) En fait, c'est une très belle surprise. Avec un Mark Wahlberg (son personnage) incompréhensible. Ce qui fait que les autres antagonistes ne savent pas non plus comment le gérer. L'intérêt repose principalement sur les interactions entre personnages, et l'ambivalence du "héros", qui est clairement intelligent mais aussi stupide à la fois. Un peu dommage, spoiler: le happy-end, cependant. Je n'ai absolument pas ressenti la bascule, grace à laquelle spoiler: il abandonne sa descente aux enfers. Néanmoins, je vous recommande chaudement ce film !
On regarde pour Mark Wahlberg mais le film est sans grand intérêt, suivre les péripéties d'un addict tête claque aux jeux d'argent, il y a film plus passionnant
franchement très déçu, en voyant gangster et mark walhberg je me dis ça va être cool...et non ça ne bouge pas, il n'y a rien qui nous fait accrocher a l'histoire
Excellent film ! on ne s'ennui pas une seconde, la maniere de jouer de mark dans les tripots crade fait froid dans le dos.... prof de philo et flambeur quel paradoxe !! a la fin on ne sait pas combien il a gagner a las vegas...mais sa sent le pactole !! il a baiser la gueule en beauté a toute ses racailles...qui commence a l'aprecié et a le respecter en plus !!!!
Ayant vu le film avant de savoir que c'était un remake, je suis très surpris. Je doute qu'on ait vraiment eu besoin d'un remake, surtout sur ce genre de film. Sinon, que dire du film.. Le sujet qui tourne autour de l'addiction aux jeux ne m'a pas franchement convaincu. Disons plutôt que je n'aime pas ce thème puisque j'ai dû mal à être ouvert d'esprit sur la maladie de l'addiction aux jeux. Le personnage interprété par Mark Wahlberg dépense des tonnes d'argents mais chercher toujours à recommencer avec toujours plus de mise. C'en est effrayant ! On pourrait donc croire que c'est un simple film ou le personnage principal se trouve être dans une spirale sans fin. Le personnage est très tourmenté. Il remet sa vie en question. Il décide finalement de recommencer à zéro, tout simplement. En fait, on pourrait croire qu'il dilapide son argent pour l'unique raison d'être accro aux jeux, mais il n'y a pas que ça. Recommencer à zéro implique pour lui de faire disparaître tout ce qu'il a. La preuve lorsqu'il coupe tout lien avec sa mère après lui avoir pris une dernière fois de l'argent. Mère a qui il en veut puisqu'il lui reproche le départ de son père. Il décide donc de perdre tout son argent, vend sa voiture, perd sa maison et parvient à rembourser ses dettes pour éviter de se faire tuer. Finalement, il arrive à ses fins et après une longue course, il choisit de recommencer sa vie avec celle dont il est tombé amoureux. Je pense donc qu'après avoir été une maladie, l'addiction aux jeux s'est transformée en une excuse pour tout recommencer à zéro. Voila comment j'ai ressenti ce film.
Ce film est excellent, la scène de l'amphithéâtre est genial, au demeurant il faut un sacré courage pour mettre Albert Camus et Shakespeare dans le scénario d'un film à 25 millions de dollars en 2015. Les discussions autour du talent animé par un professeur en Philosophie nihiliste, fatigué par la vacuité de la vie est superbe. Ce professeur de philosophie intelligent riche et exigeant sait qu'il n'a rien à perdre, sinon une vie d'ennui, alors il parie tout et se met en danger de mort. Belle parabole de la vie. Ça change des mitraillages dans l'emmoglobine et les crissement de pneu ...
Ni un bon film ni un mauvais , je pense qu'il y avait moyen de faire mieux sur le même thème , et aussi moyen de faire mieux sur sa coupe de cheveux. Petite erreur dans le film que seul les amateurs d'auto auront remarqué, le personnage de lamar dit dans l'amphi au prof que sa voiture est une Bmw M1, alors que c'est une Bmw 1M , ce qui n'a absolument rien à voir . Voilà c'est tout. Divertissant mais sans plus .