AlloCiné
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Votre avis sur Main dans la main ?
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Mais quel film débile! Une histoire qui échoue lamentablement. Des acteurs dans des rôles peu avantageux (le ministre, la secrétaire, l'amie, la soeur,...). Et en tête de ce cortège: Valérie Lemercier et Jérémie Elkaïm. Mais qu'est-ce que c'est que ce film??? J'ai peine à croire aux critiques élogieuses.
J'adore l'univers de Donzelli, la musique, les acteurs.
Super Valérie LEMARCIER.
Mais je peux comprendre que tout le monde n'accroche pas.
Super Valérie LEMARCIER.
Mais je peux comprendre que tout le monde n'accroche pas.
Tout est prévisible, et rien de très innovant. J'ai trouvé que le couple à l'affiche n'a pas l'alchimie à laquelle je m'attendais.
Très joli film, simple et efficace. Il s'en dégage beaucoup de poésie, un film élégant d'une incroyable douceur !
gimliamideselfes
Mais quelle daube ! Mon dieu ! Franchement je me disais : "rhhoo ça ne peut pas être si mauvais, les deux films précédents de Donzelli étaient plus que sympas, surtout la guerre est déclarée". Ouais mais là non quoi. C'est lonnnng et ça ne dure qu'une heure vingt et pourtant c'est un supplice à regarder.
Il y a de bonnes idées, ok, j'aime bien les séquences à la caméra super 8, ce genre de trucs, sauf que ça ne sauve pas le film, au contraire, ça tranche encore plus avec la merde qu'est le reste et dénote complètement et rend le truc encore plus vide et informe que ça ne l'est déjà.
Déjà on a la mauvaise idée du truc, faire de Donzelli et Elkaïm des frangins, putain on les a vu marié dans le film précédent, dur d'y croire !
Bon c'est encore une fois autobiographique sur la relation de Donzelli avec son frère, mais en fait je m'en fous totalement là, parce que ça ne fonctionne pas. C'est plat, convenu, déjà vu.
On se tape le même parcours que dans tous les films du genre : rencontre, séparation, retrouvailles et vu le concept tu te doutes bien dès la bande annonce qu'ils vont réussir à se séparer, sinon il n'y a pas de fin, mais qu'ils vont quand même choisir de rester ensemble, quelle audace !
Et puis le concept c'est n'importe quoi, ils font ce qu'ils veulent comme ça les arrange, ça n'a pas de sens, du coup il ne sert à rien le concept, c'est très incohérent. Quitte à avoir ce genre de concept autant l'assumer jusqu'au bout.
Du coup c'est un truc gentillet, très creux, très vide, très convenu, parsemé de bonnes idées qui tombent à plat, on tente de faire croire à de la mélancolie avec le voix et tout, mais ça ne fonctionne pas parce qu'on s'en fout, c'est pas triste, c'est pas drôle, c'est juste qu'on s'en fout.
Alors bon c'est un truc à jeter et je me fais du souci pour Donzelli... Je l'aimais bien... Mais là... Réussir à faire ça...
Il y a de bonnes idées, ok, j'aime bien les séquences à la caméra super 8, ce genre de trucs, sauf que ça ne sauve pas le film, au contraire, ça tranche encore plus avec la merde qu'est le reste et dénote complètement et rend le truc encore plus vide et informe que ça ne l'est déjà.
Déjà on a la mauvaise idée du truc, faire de Donzelli et Elkaïm des frangins, putain on les a vu marié dans le film précédent, dur d'y croire !
Bon c'est encore une fois autobiographique sur la relation de Donzelli avec son frère, mais en fait je m'en fous totalement là, parce que ça ne fonctionne pas. C'est plat, convenu, déjà vu.
On se tape le même parcours que dans tous les films du genre : rencontre, séparation, retrouvailles et vu le concept tu te doutes bien dès la bande annonce qu'ils vont réussir à se séparer, sinon il n'y a pas de fin, mais qu'ils vont quand même choisir de rester ensemble, quelle audace !
Et puis le concept c'est n'importe quoi, ils font ce qu'ils veulent comme ça les arrange, ça n'a pas de sens, du coup il ne sert à rien le concept, c'est très incohérent. Quitte à avoir ce genre de concept autant l'assumer jusqu'au bout.
Du coup c'est un truc gentillet, très creux, très vide, très convenu, parsemé de bonnes idées qui tombent à plat, on tente de faire croire à de la mélancolie avec le voix et tout, mais ça ne fonctionne pas parce qu'on s'en fout, c'est pas triste, c'est pas drôle, c'est juste qu'on s'en fout.
Alors bon c'est un truc à jeter et je me fais du souci pour Donzelli... Je l'aimais bien... Mais là... Réussir à faire ça...
Un film complètement barré, avec une idée de départ complètement absurde.
Mais bon, après ce postulat, le départ n'est pas si mauvais, et quelques gags arrachent des sourires, voir des petits rires.
Mais après, là, ça se gâte, le film n'a plus vraiment d'intérêt et s'enlise dans cette pseudo romance.
Les acteurs ne sont pas mauvais, mais que les réalisateurs qui font des films barrés arrêtent de penser qu'ils n'ont pas besoin de scénario.
Mais bon, après ce postulat, le départ n'est pas si mauvais, et quelques gags arrachent des sourires, voir des petits rires.
Mais après, là, ça se gâte, le film n'a plus vraiment d'intérêt et s'enlise dans cette pseudo romance.
Les acteurs ne sont pas mauvais, mais que les réalisateurs qui font des films barrés arrêtent de penser qu'ils n'ont pas besoin de scénario.
Un bon film même si je n'aime pas tellement la façon de narration. Sinon le scénario est pas mal. Au finale ce film est plutôt bien.
S’il n’atteint pas les sommets d’émotions de « La guerre est déclarée », ce troisième film de Valérie Donzelli surprend par son originalité à la fois burlesque et poétique. Rendant un vibrant hommage à la Nouvelle Vague par l’utilisation d’images floues, de dialogues monocordes récités en voix off et de musiques décalées, la réalisatrice nous livre sa vision du coup de foudre amoureux. Malgré l’énergie revigorante qui en émane et la performance des inséparables Valérie Lemercier et Jérémie Elkaïm, tous deux épatants, le film tourne rapidement à vide car l’exercice de style atteint ses propres limites, les séquences s’enchaînent encore et encore, puis finalement le propos devient redondant, tombe à plat, et le spectateur trouve le temps long malgré la très durée courte du film. On peut être totalement hermétique, voire réfractaire, au cinéma de Valérie Donzelli, comme on peut l'être à celui de Bertrand Blier ou de François Truffaut, mais il n’empêche que sa griffe audacieuse garde une place bien à part dans le cinéma français et qu’elle nous offre, cerise sur le gâteau, une exploration de fond en comble de l’Opéra Garnier de Paris, fait rarissime au cinéma.
Ce qui me gène le plus avec Main dans la mai, ce n'est pas tant le prétexte minimaliste (qui aurait fait le bonheur d'un anecdotique court-métrage), que cette sale impression de voir l'univers du duo Donzelli / Elkaim se recroqueviller sur lui-même au lieu d'éclore au monde.. Ils se font plaisir, ils font leur numéro sans un regard pour le spectateur, pour tous les autres... L'idée (absurde) qui tient lieu d'intrigue ne dit finalement pas autre chose et explique pourquoi on se sent rapidement extérieur à ce qui se passe à l'intérieur d'un film hermétique, étanche, autiste malgré (encore une fois) de bonnes idées.
La mise en scène sucrée,frivole et pleine de vitalité de Valérie Donzelli collait mieux au drame qu'à la fantaisie et à la romance.
"La guerre est déclarée" brillait par le contraste qui existait entre son sujet (dramatique) et sa réalisation (pleine de vie).
Pour "Main dans la main", la même magie n'opère malheureusement pas.
Las acteurs sont pourtant épatants. Elkaim confère à son personnage un charme discret et maladroit. Valérie Lemercier est sobre et convaincante (peut-être le meilleur rôle de sa carrière) , chose qui ne lui était pas arrivée depuis longtemps au cinéma.
Dommage alors, malgré ces quelques très bons points, que ce film parfois drôle et gracieux reste la plupart du temps bancal et qu'il n'arrive pas à faire le lien entre son fond et sa forme.
"La guerre est déclarée" brillait par le contraste qui existait entre son sujet (dramatique) et sa réalisation (pleine de vie).
Pour "Main dans la main", la même magie n'opère malheureusement pas.
Las acteurs sont pourtant épatants. Elkaim confère à son personnage un charme discret et maladroit. Valérie Lemercier est sobre et convaincante (peut-être le meilleur rôle de sa carrière) , chose qui ne lui était pas arrivée depuis longtemps au cinéma.
Dommage alors, malgré ces quelques très bons points, que ce film parfois drôle et gracieux reste la plupart du temps bancal et qu'il n'arrive pas à faire le lien entre son fond et sa forme.
Je n'avais déjà pas trop compris le buzz autour de "La guerre est déclarée",le précédent film de Valérie Donzelli toujours accompagnée de son ex et ami Jérémie Elkaim. Cette "Main dans la main" ne me fera pas changer d'avis. Donzelli déroule toujours un univers à la fois féerique,pêchu et vaguement spirituel en revendiquant ouvertement son admiration pour Truffaut(la voix-off omniprésente,les chassés-croisés amoureux). Son pitch laisse craindre un exercice de style sans trop de chair. C'est le cas. Un miroitier rencontre la directrice d'un opéra parisien,et ne peut plus s'en séparer au sens littéral du terme! Une cohabitation forcée qui les confronte à leur solitude,mais la réflexion ne dépasse pas le stade du gag visuel. L'alchimie entre Valérie Lemercier,toujours aussi osée, et Jérémie Elkaim,qui récite son texte de façon théâtrale,ne passe pas. Le ton fantaisiste employé semble forcé,et servant plus les goûts de la réalisatrice,que la cohérence de son long-métrage. On se sent exclus,ce qui est rédhibitoire.
SI l'idée de départ est originale, le film, après quelques scènes rigolotes qui nous laissent espérer de passer un bon moment tourne à une tentative de drame à portée philosophique sans queue ni tête qui se veut triste mais est sans le moindre intérêt. Un ennui mortel !
Très original avec de vrais moments de tendresse. Quelques ratés certes, mais l'ensemble est vraiment une réussite avec un Jérémy Elkaïm très touchant...
sympathique, frais, et reel. L amour absolu, celui d etre inseparable de l autre, besoin de sa presence, de faire les choses ensemble, de se toucher, de se connaitre, Film tres appreciable sur les sentiments avec un duo d acteur charmants . j ai bien aimé tout simplement.
Pas emballant mais pas non plus nul, "Main dans la main" à le mérite de nous faire découvrir l'univers de Donzelli, très personnel. Malheureusement, n'est pas Michel Gondry qui veux, et quand l'univers n'accroche pas, ça donne quelques chose d'étrange et sans vrai personnalité… Heureusement, Lemercier et Elkaïm sont comme à leur habitude talentueux.
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