Mon compte
    Les Brasiers de la Colère
    Note moyenne
    3,5
    4565 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Les Brasiers de la Colère ?

    444 critiques spectateurs

    5
    14 critiques
    4
    129 critiques
    3
    183 critiques
    2
    92 critiques
    1
    16 critiques
    0
    10 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Avoine M.
    Avoine M.

    59 abonnés 278 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 17 janvier 2014
    S'il accepte que Casey Affleck et ses 60 kg tout mouillés fasse un boxeur de rue crédible et tienne tête à Harrelson sans que celui-ci ne lui éclate de rire au nez, le spectateur suivra d'un oeil un tantinet sceptique cette histoire, mélange mal dosé ( et légèrement prétentieux ) de Blue Collar et de Voyage Au Bout De L'Enfer et conclura que Braises aurait été un vocable plus approprié que Brasiers ( au pluriel, s'il vous plait ) tant il lui faudra souffler sur un scénario informe pour attiser un semblant d'intérêt.
    tixou0
    tixou0

    699 abonnés 1 999 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 16 janvier 2014
    Sous ce titre français calamiteux (comme souvent) - le titre original étant "Out of the Furnace", évidemment plus opportun, au propre, comme au figuré - que trouve-t-on ? La deuxième réalisation de Scott Cooper, après "Crazy Heart" (2010) - là, la performance exceptionnelle de Jeff Bridges (justement récompensé aux Oscars) permettait de passer sur les faiblesses du scénario, et surtout la mise en scène très banale.
    Cooper signe à nouveau un mélo ici, dont la violence est la seule originalité - car l'interprétation, "propre", mais sans plus, ne sauve rien.
    Il était une fois 2 frères, tôt orphelins de mère, et promis comme leur père à l'aciérie de Braddock, la seule activité économique de cette peu riante banlieue de Pittsburgh (PA), d'ailleurs sur le déclin - l'histoire commence en 2008, lors de la première campagne pour la Maison Blanche d'Obama. L'un est "gentil", c'est l'aîné, Russell (Christian Bale), qui gagne sa vie comme soudeur à la fonderie, s'occupe de son père grabataire et paye même les arriérés de son cadet, parieur infortuné, auprès du "book" local, John Petty (William Dafoe). L'autre est une tête brûlée. Rodney (Casey Affleck), "cassé" par 4 enrôlements successifs en Irak, criblé de dettes, spoiler: participe à des combats de boxe clandestins - Petty à nouveau à la manoeuvre. C'est pourtant Russell qui se retrouve en prison - ayant causé la mort accidentelle d'un tout jeune conducteur, alors qu'ivre au volant.

    Cooper met un temps fou à installer ses personnages, multipliant les saynètes, pas toujours nécessaires, comme celles de la romance contrariée de Russell avec Lena (Zoe Saldana), recasée avec le chef de la police locale, Wesley Barnes (Forrest Whitaker), voire lourdement "signifiantes", comme la partie de chasse de Russel et son oncle paternel "Red" (Sam Shepard). Cela prend - j'ai vérifié à ma montre discrètement, entre deux bâillements, quasiment la moitié du film - "Into the Furnace".
    La deuxième partie - "Out of the Furnace", à proprement parler, commence par un déplacement de Rodney et Petty, dans la partie montagneuse du New-Jersey, état limitrophe (à l'Est) de la Pennsylvanie, où survit une communauté de "petits Blancs" d'une extrême sauvagerie, dont le chef, DeGroat, les dépasse encore en la matière (Woody Harrelson - un brin caricatural). spoiler: Il va y rencontrer son destin, lors d'un combat qui sera son dernier, mais pas du tout dans le sens escompté par lui.

    Il reste environ 40 min pour que le drame prospère, et que ses conséquences soient exploitées par le cinéaste : à la fois trop rapide (fil des péripéties) et trop lent (mise en scène mollassonne, sans imagination - encore et toujours). Un "Brasier", pour moi, très dispensable.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 15 octobre 2014
    Dire que j’attendais impatiemment ce film serait un euphémisme ! Le projet semblait terriblement alléchant sur le papier, et promettait un grand moment de cinéma comme je les aime. Un casting prestigieux, une histoire de vengeance, et un Christian Bale torturé, tous les ingrédients étaient réunis pour en faire l’un des rendez-vous incontournables de cette année. La bande-annonce, dévoilée au début de l’automne, n’avait fait que confirmer les attentes de chacun. Mais à l’arrivée, mon sentiment est divisé.

    Le film est plutôt très bon, à condition néanmoins d’aimer le genre psychologique. Les acteurs sont excellents ! Vraiment excellents ! Mentions spéciales à Christian Bale, fidèle à lui-même, qui joue un jeu d’une grande minutie, mais aussi à Casey Affleck, tout simplement parfait et vibrant d’émotions dans le rôle de ce jeune soldat complètement démoli par les horreurs de la guerre. La mise en scène de Scott Cooper est par contre un peu trop classique à mon goût, sans originalité, mais elle n’empêche pas pour autant de se laisser porter par le drame qui se joue devant nos yeux.

    C’est environ après 1h10 de film que l’histoire prend un tournant décevant. Russell veut se venger et on peut aisément le comprendre au vu de tout ce qu’il a déjà vécu. Pendant quelques courtes minutes, la suite des événements s’annonce prometteuse ! On découvre un Russell motivé, et guidé par sa colère. Le spectateur s’attend alors à un vrai bain de sang ! Mais d’un seul coup, la tension retombe sans que l’on ne sache trop pourquoi, et ce qui aurait dû être l’apothéose du film devient complètement sans saveurs. Alors certes, Russell va mener sa « mission » à bien, mais avec une facilité et un détachement qui gâchent totalement la fin du film. Sa vengeance se règle en 5 minutes, sans cris, sans heurts, sans douleurs. Le film se termine donc sur un sentiment frustrant, et passe à côté d’une conclusion qui aurait dû être bien mieux exploitée.

    Voir ma critique entière sur le blog.
    pgioan
    pgioan

    30 abonnés 133 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 18 janvier 2014
    Oh la la mais qu'est-ce que c'est ennuyeux ... Ca se traine du début à la fin, les personnages sont ininterresants au possible, et finalement, on s'en fiche pas mal de tout ça ...L'image est artificielle, les plans tournés comme maintenant beaucoup de films américains à la mode , du faux Cimino, du faux Scorcese , bref , simplement , profond ennui ... Inutile de vous déplacer.
    moonboots
    moonboots

    58 abonnés 1 322 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 décembre 2013
    rien de bien nouveau dans ce film, et surtout la gêne de voir une poignée de superstars millionnaires incarner des personnages du fin fond de l'Amérique...
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 4 janvier 2014
    Christian Bale est un grand acteur...

    Out of The Furnace est le deuxième film de Scott Cooper. D'ailleurs léger HS dans la critique pour dire qu'à aucun moment je nommerai ce film Les Brasiers de la Colère, sauf maintenant, (merci Metropolitan, qui a aussi changé le titre de American Hustle pour American Bluff) car je trouve ce nom simplement dégueulasse, et il n'est pas ici question d'hypocrisie pour faire genre "le tocard bilingue qui se la pète à tout bout de champs", non, non et encore non, ce genre de bouffon se retrouve aussi dans l'interminable débat vf/vostfr, vous savez se sont ceux qui se permettent de dire que vous n'êtes pas cinéphile car vous regardez vos films en vf, raisonnement débile dont le seul but est de vous rabaisser, il n'y a quasiment que des cinéphiles qui vont voir des films en vostfr mais bien des cinéphiles ne regardent pas des films en vostfr, nuance. Enfin bon, la bêtise humaine est un sujet vaste et en parler prendrait beaucoup trop de temps, d'autant plus que ce n'est pas pour cela que vous me lisez.
    Out of the Furnace est vraiment bon, très proche de l'ambiance de The Places Beyond the Pines sorti l'année dernière, si ce n'est qu'elle est beaucoup plus sombre, la scène d'ouverture en est l'exemple parfait, on retrouve le sociopathe Woody Harrelson (assez effrayant) en train de regarder un film en plein air dans une voiture avant de s’énerver et d'exploser la tronche d'un mec. Le film projeté reflète d'ailleurs bien le contexte de cette Amérique perdu dont personne en a rien à foutre, il s'agit de Midnight Meat Train, une bonne m*rde mais surtout un film qui va très loin dans la violence gratuite, et c'est bien ce dont va faire preuve Woody Harrelson, de violence gratuite. Ainsi son personnage est l'allégorie de la haine, envers une société qui ne veut pas d'elle, régnant au sein de ces hautes étendues de forêts et étonnante de commencer son film par une séquence centré sur un personnage secondaire et "méchant" (je déteste ce mot), Ce n'est qu'après l'affichage du titre (sur l'excellente musique de Pearl Jam) que l'on retrouve Russell Baze (Christian Bale), LE protagoniste fort du long-métrage, sa prestation mériterait facilement une nomination aux oscars (on peut toujours rêver...) tant elle est d'une rare justesse, les relations qu'il peut entretenir avec les autres personnages fonctionnent toutes biens, l'alchimie se ressent surtout avec son frère, Rodney Baze (Casey Affleck), meurtri par la guerre, son personnage reste surement le plus fort de tout le film, touchant de bout en bout et surtout perdu après ses missions en Irak, sa réaction lors de sa dernière scène représente cette impression d'égarement voire spoiler: de suicide
    . Le reste du casting (blindé de stars) est lui aussi impressionnant et c'est peut-être le seul atout de Out of the Furnace, comme souvent avec ce type de films (drame avec pour toile de fond l'Amérique profonde), tout repose sur les acteurs, la mise en scène de Scott Cooper est très classique malgré certains plans très soignés et évocateur (évitons les spoils), la seule mauvaise idée serait éventuellement ces flashbacks représentés avec un filtre vieillot (qualité 8mm), c'est certes mieux qu'un filtre vert granulé vomitif (vu notamment dans Savages) mais pourquoi ne pas filmer ça de manière "normal" ?, ça l'aurait ancré dans la situation actuelle et aurait pu donner un aspect universel à ces souvenirs. Mais cela n'entache en rien la puissance émotionnelle du film, bien plus sincère et subtil que la plupart des drames (vous savez ceux qui sortent les violons pour vous faire à tout prix chialer comme une madeleine) et surtout qui nous donne la larme à l’œil à plusieurs reprises.
    Bien plus qu'un film sur une énième vengeance (d'où la bêtise de nommer le film "Les Brasiers de la Colère), Out of the Furnace est un drame familial sur les relations entre frères, sur les traumatismes post-guerres, sur le pardon, sur le remord, sur l'impuissance de la justice, autant de sujets (parfois juste effleurés) passionnants et traités avec subtilités, un film portés par sa galerie d'incroyables acteurs, Bale en tête, et un film dont on ne ressort pas heureux (forcement) mais plutôt songeur et déprimé.

    L'année 2014 commence vraiment bien !
    Tarasboulaba
    Tarasboulaba

    32 abonnés 155 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 15 janvier 2014
    Naze, Naze, Naze. Ennuyeux à mourir. Woody Harelson joue toujours le même déjanté alcoolique, camé et violent, Forest Withaker, le gentil gros black donneur de leçon, plein de retenue et de sagesse.....Qu'est-ce qu'on s'emmerde pendant toute la 1ère heure où il ne se passe quasiment rien à part une suite de scènes barbantes sans lien entre elles...L'avantage, c'est que -en sortant du resto- on peut faire la sieste pour digérer. Et puis ces décors sordides, ces maisons sales, dégueulasses, et bordeliques...Quelle glauquerie ! Encore un film raté qui donne envie de se pendre (ne serait-ce que pour ne plus jamais revoir une merde pareille. A fuir !!!
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 19 janvier 2014
    Malgres un casting de qualité le film est ennuyeux, énormément long a démarrer,film très noir mais ça je l'imaginais... mais ressortit de la salle déçu... après les pubs a la radio et la bande annonce je m'attendais bien a cela ... mais trop trop long la mise en place, et on devine la fin ... la totale....
    Ca reste un film banal ...
    Henrico
    Henrico

    164 abonnés 1 327 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 juillet 2014
    Encore une équipe française de marketing qui se distingue par sa bêtise sans nom. Choisir, pour traduire en français "Out Of The Furnace", un titre associant colère et brasier est un lamentable contresens. Il n’y a pas véritablement d’emportement agressif de la part du héro pour mettre en exergue la colère. Le mot Furnace fait référence au lieu de travail qui apparaît comme un leitmotiv dans le film. En fait une traduction plus fidèle comme « Fuir Le Brasier » aurait permis de comprendre le vrai thème du film : le désir de s’échapper.. Dabord du feu des Hauts Fourneaux, qui semblent être le destin existentiel familial. De s’échapper aussi du feu de la misère qui guette sans cesse. Du feu de l’enfer de la déception amoureuse qui taraude le héro. Et surtout d’échapper au feu de la douleur de perdre un frère. Puis enfin d'échapper aussi au feu du désespoir de voir le meurtrier libre comme l’air. Même avec une distribution prestigieuse et brillante, le film déçoit par la réalisation très technique, mais trop apathique de Scott Cooper. De plus, la psychologie des personnages, surtout celle de Degroat est un peu cliché, et manque de finesse. La fin traitée de manière trop élyptique en dit trop ou pas assez pour que le spectateur puisse en déduire une certitude solide.
    Malevolent Reviews
    Malevolent Reviews

    985 abonnés 3 207 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 14 janvier 2014
    L'année 2014 commence bien pour Christian Bale. Le voici dans un drame extrêmement noir où il campe Russ Baze, l'un des mecs les plus badass vus sur un écran. Les Brasiers de la Colère, co-écrit et réalisé par Scott Cooper (l'auteur de Crazy Heart), raconte plusieurs histoires intégrées en une trame limpide filmée de très près, de manière quasi-documentaire. Une séquence d'intro qui met mal à l'aise, une photographie à la fois sale et éclatante, un décor vieux et rouillé, le film démarre... Russ vit dans une ville pourrie du Nord-Est des États-Unis, travaille dans une usine et passe tranquillement son existence entre sa copine, son jeune frère Rodney (Casey Affleck) traumatisé de l'Irak et ses petites habitudes peinardes. Un soir, après avoir un peu trop bu, il tue un gosse sur la route. Case prison. Il ressort. Sa copine l'a plaqué, son père est mort et Rodney fait des combats de rue pour payer ses dettes. Mais ce dernier s'engage auprès d'un redneck peu fréquentable (Woody Harrelson). Le film a déjà bien commencé et notre regard ne détourne pas le long-métrage qui nous a depuis une heure aimanté l'iris. Des histoires comme celles-ci on en a vu des tas, similaires du moins. Et pourtant c'est concret : on en prend plein la tronche. Christian Bale laisse exploser son charisme comme jamais, dévorant l'écran avec sa simple présence et sa voix fatigué, bouleversant à des moments, effrayant à d'autres. Casey Affleck est ici comme une nouvelle révélation ; qu'on lui donne un Oscar merde ! Woody Harrelson est comme toujours parfait, un connard de première, celui qu'on a pas envie de faire chier. D'autres personnages sont là, comblant ce face-à-face lent, violent, terriblement accrocheur. Les Brasiers de la Colère, c'est une histoire d'amour, une histoire fraternelle, une histoire de vengeance, une histoire de rédemption, une histoire poignante, flamboyante, désenchantée pour un film impressionnant qui fera longtemps parler de lui.
    framboise32
    framboise32

    150 abonnés 1 290 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 janvier 2014
    La réussite de ce film est du aux talents des 3 acteurs principaux, Christian Bale, Casey Affleck et l’excellent Woody Harrelson, vicieux et méchant à souhait. Casey Affleck est brillant. Christian Bale, tout en sensibilité, retient l’attention dès qu’il apparait. Ils sont accompagnés du trop rare Sam Shepard, et de William Defoe petit mafioso du coin.

    Pour le reste, même si la réalisation est impeccable, le film n’apporte aucune surprise. Toutes les classiques sont là , le frère raisonnable, présent et malchanceux, le petit frère revenant de la guerre d’Irak plutôt incontrôlable, le père mourrant, le méchant… et les clichés, le bar miteux, les ouvriers, le ciel gris, les fumées de l’aciérie. L’ambiance est à la noirceur.

    Il faut quand même reconnaître que le début est particulièrement réussi, la scène au cinéma en plein air…. La violence est annoncée et on se dit que la suite va être un régal. Mais bon la suite, c’est un peu les grosses ficelles. L’intrigue n’est pas bien épaisse et cette fin prévisible … même prévisible, la dernière scène est magnifique.

    Sans être raté, Les brasiers de la colère est loin du chef d’oeuvre . Cependant, Il serait dommage de le rater pour la qualité du casting
    Uncertainregard
    Uncertainregard

    113 abonnés 1 285 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 novembre 2014
    Simple histoire de vengeance qui vaut surtout pour son casting avec Woody Harrelson en tête en parfaite pourriture complètement déjantée. Casey Affleck s’en sort plutôt bien aussi en vétéran de l’Irak souffrant du syndrome post traumatique. La mise en scène de Scott Cooper est intéressante et efficace que ce soit le superbe plan en plongée dans l’introduction de ce cinéma en plein air, les scènes combat à mains nues ou le final fort bien découpé. Pas un grand film mais agréable à regarder…
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 16 janvier 2014
    Ici, on est loin de "Wall Street" et de son loup sorti récemment dans les salles... Le film se déroule dans le fin fond de l'Amérique, dans une région sidérurgique sur le déclin (Pennsylvanie ?). Ici, les gens sont pauvres, sinon misérables et n'ont guère de distractions, sinon le bar local, les paris hippiques et les combats à mains nues organisés par John Petty et auxquels participent des gens encore plus paumés, tels que Rodney Bale, un vétéran de quatre missions en Irak, moralement brisé et sans emploi. Son frère Russel, lui, travaille dans l'usine sidérurgique du coin et essaie tant bien que mal de vivre entre son père mourant, son vieil oncle avec qui il chasse parfois et Lisa, sa "fiancée". De fil en aiguille, Rodney rencontrera Woody Harrelson, un psychopathe drogué, organisateur de combats qui finira par l'abattre, ainsi que John Petty, dans une embuscade, évidemment pour une histoire de fric. Russel partira alors à la recherche de Harrelson... Ce film a un déroulement plutôt lent, avec relativement peu d'action, à part les combats (assez violents) et la traque finale qui est assez brève et sans guère de suspense. L'histoire développe surtout le quotidien de ces gens sans grand avenir ni espoir : c'est assez sordide, en net contraste avec une nature environnante vraiment magnifique. Ce n'est pas ennuyeux, mais ce n'est pas palpitant non plus. Sincèrement, d'après le titre (remarquablement mal traduit de l'Anglais "Out Of The Furnace"), je m'attendais à quelque chose d'un peu plus rythmé et relevé... Mais le jeu des acteurs est authentique et crédible, je dirais même (sans jeu de mots) "brut de fonderie". A voir évidemment en VO, les sous-titres étant d'ailleurs parfois les bienvenus...
    Shinny
    Shinny

    41 abonnés 248 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 30 janvier 2014
    Les brasiers ne restent que des brasiers, un peu déçue. Ils auraient du choisir un autre titre, style le chasseur huhu. Des acteurs qui interprètent bien leurs rôles mais une histoire très banale, sans surprise jusqu'à la fin.
    cineccita
    cineccita

    46 abonnés 1 484 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 janvier 2014
    Le scénario est attrayant et la distribution nous offre une pléiade de stars. Dommage que çà manque un peu de rythme, il y a des longueurs.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top