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Votre avis sur La Grande Muraille ?
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Beaucoup de légendes semblent entourer la Grande Muraille de Chine. C'est sûr l'une d'elle que s'inspire La Grande muraille. Zhang Yimou en profite pour réaliser un film de guerre fantastique où l'Homme affronte des monstres. Clairement, le cinéaste chinois s'est fait plaisir. l'action y est démesurée, improbable mais tout cela ne semble pas avoir d'importance. Ce qui compte réellement est d'en mettre plein la vue au spectateur. Matt Damon est très bon dans ce film pareil pour pedro Pascal. La grande muraille reste un film de divertissement rien d'autre.
Mais que vient faire Matt Damon dans un tel film ??? Je ne comprends pas... Ce film est digne des pires films de Nicolas Cage ou Steven Seagal... une grande daube monumentale avec un scénario ridicule, des effets spéciaux d'un autre temps, une mise en scène incroyablement pauvre... sérieusement c'est une honte de voir ce si grand monument qu'est la Grande Muraille de Chine si mal exploité.
Bref : Une Grande Muraille pour un Petit Film.
Bref : Une Grande Muraille pour un Petit Film.
Pas besoin d'écrire de roman, le film est bof, rien de ouf, les effets spéciaux sont moyens et ce même pour 2016, les acteurs ne sont pas au plus haut de leur forme, on croit à peine à leurs histoires alors les relations entre eux vous vous doutez bien qu'il n'y en a pas du tout. Les scènes d'actions sont toutefois intéressantes avec de nombreux ralentits rendant le tout assez dynamique grâce notamment aux scènes de saut à l'élastique qui sont très agréable par leur originalité. Bref un film sans plus, oubliable avec un scénario presque inexistant où tout est prévisible mais la musique est assez bonne, tout comme les costumes.
On est loin de la magnificence et du raffinement de Hero et House of the Flying Daggers... mis à part de l'action chorégraphiée et beaucoup de couleurs dans les costumes, on ne retrouve en rien la patte de Zhang Yimou. Une méga-production qui pourtant a l'air bien cheap: dialogues nuls de chez nuls, tentatives d'humour encore plus ratées que chez Marvel, personnages transparents, jeu d'acteur très moyen (même chez Matt Damon, c'est dire), et puis une histoire qui n'a aucun sens, pas aidée par un montage à la hache qui laisse entrevoir un gros bordel lors de la post-production. Seules quelques séquences d'action valent le coup d'oeil, mais elles sont tout de même absolument ridicules, sans aucune tension ni impact, leur seul attrait étant de découvrir l'arsenal d'armes et de techniques de combat inventées par les scénaristes, qui dans ce domaine ont visiblement eu BEAUCOUP d'idées. Un gros film d'action de combat contre des monstres, aussitôt vu aussitôt oublié. On est à des années lumière de la fresque épique que certains espéraient (moi inclus) au vu de noms comme Edward Zwick et Zhang Yimou.
LA GRANDE MURAILLE (2016). Deux mercenaires occidentaux ( Matt Damon, Pedro Pascal ) seront à la recherche d'une poudre noire au pouvoir dévastateur. Après une course poursuite, ils se retrouveront face à une grande muraille. Emprisonnés, ils intègreront les armées secrètes qui défendront l'empire chinois agressé par des monstres sanguinaires. Plus gros budget de l'histoire du cinéma chinois, ce film ne se voudra pas être un documentaire sur 17 siècle consacré à cet édifice, mais parcourra une légende selon laquelle des créatures mythologiques tenteront tous les 60 ans d'investir la Chine en s'attaquant à la grande muraille, protection de l'empire. L'organisation de ce gigantesque mur sera d'un réalisme médiéval rigoureux, les combats déploieront une grande créativité dans des effets spéciaux très réussis. "La grande muraille" mettra en avant de sublimes décors et ainsi que des costumes extrêmement bien conçus. Matt Damon et Pedro Pascal, un duo charismatique à la hauteur de mes attentes. Spectaculaire, ce film sera un très bon divertissement.
RealPrime
Démarrant très rapidement, ce film mêlant histoire et fantastique s'avère très prenant. Il me rappel énormément la saga "Hobbit" sur les instant de mise en scène des combats. Visuellement, pouvait très largement faire, surtout quand on sait qui à produit çà. Une bonne histoire mais qui parfois aurait pue être un peu plus recherchée. Les jeux sont très bon et surtout, décors comme costumes sont parfaits. L'ensemble des séquences dans la capitale sont géniales et hyper colorées. Un super clicher autour de l'empereur à cause de sa très belle jeunesse mais qui s’avère très réel. J'aurais surtout adoré tous le mécanisme et l'artillerie de ce monument dont l'histoire fut très secrète. Un bon à voir comme tant d'autre, avec plaisir.
Un film à grand spectacle, sans grande prétentions où Matt Damon assure son premier rôle. Cette collaboration sino-américaine qui devient récurrente ne donne pas toujours de bons résultats...mais là, le pari semble réussi avec notamment de très effets spéciaux et des décors réussis.
Très académique. Pas d'une grande originalité mais efficace en action et aventure. Certaines scènes sont assez spectaculaires mais le scénario aurait mérité plus d'épaisseur et une intrigue beaucoup moins téléphonée.
En fait ce n'est pas si mal, ça reste la tranche des films asiatiques plutôt bien foutus
Seul le coté américain des héros puis le sujet un peu léger sur le départ sont à regretter
En gros sans le bourrinisme américain des héros qui font tomber l'interet le reste a un certain cachet
la fin reste un peu trop légère
ça reste divertissant et plutôt bien foutu pour les intégrations malgré quelques ratages spoiler: sur les bêtes
.
j'ai apprécié
Seul le coté américain des héros puis le sujet un peu léger sur le départ sont à regretter
En gros sans le bourrinisme américain des héros qui font tomber l'interet le reste a un certain cachet
la fin reste un peu trop légère
ça reste divertissant et plutôt bien foutu pour les intégrations malgré quelques ratages spoiler: sur les bêtes
.
j'ai apprécié
J'ai une liste avec des films passés que je n'ai pas encore regardé mais que la bande annonce m'avait interpellée. La grande muraille m'aura fait tenir 15 minutes. Peut être rend-il mieux sur grand écran mais là, je n'ai pas réussi à résister à l'envie d'arrêter le massacre. Déjà, j'ai du mal avec les quelques premières minutes, au moment où le groupe se retrouve dans la grotte.
Et puis, arrive la découverte de la Grande Muraille et de ses commandants. Et là, les armures colorées et les dialogues ont eu raison de moi.
Au suivant.
Et puis, arrive la découverte de la Grande Muraille et de ses commandants. Et là, les armures colorées et les dialogues ont eu raison de moi.
Au suivant.
Pour se développer à l'international, les chinois ont eu l'idée de grassement payer une star US (en l'occurrence Matt Damon) pour avoir le droit d'être diffusé dans les cinémas occidentaux. Ainsi la Grande Muraille est un ovni cinématographique car l'œuvre reprend tous les codes du cinéma asiatique avec ses monstres, ses jeux de couleurs et son coté chevaleresque tout en les transposant au gout du public américain. Le rendu est loin d'être exceptionnel, d'une durée très courte, les combats s'enchainent sans véritable temps morts dans une incompréhension totale avec un fil conducteur sans queue ni tête. Le combat contre ces créatures extraterrestres fantastiques virent même souvent au ridicule lorsque l'on voit le faible travail réalisé par les équipes d'effets spéciaux pour incorporer les bestioles à leur environnement. Effectivement aucun jeux d'ombres ou de lumières, pas de détails qui différencie les monstres entre eux, cela fait très cartoon et montre à quel point les chinois sont encore loin de rivaliser avec le pays de l'oncle Sam.
Bof....... trop long, je m’attendais à mieux. Le début est prometteur mais il y a beaucoup trop de longueurs.
Jerem69tt
Un film d’action réussie avec une petite histoire hollywoodienne mais une culture totalement différente qui fait qu’on prend plaisir à suivre ce film. Il s’agit d’un film entièrement fantastique, couplé à des airs de romance. L’ensemble se laisse voir venir, mais l’action est plaisante, les effets spéciaux réussis et les plans larges impressionnant. Très sympa.
Audrey L
Sous couvert de nous faire découvrir une légende chinoise sur la Grande Muraille de Chine, ce film a trouvé le bon prétexte pour n'être qu'un fade blockbuster fait par un ordinateur. Des décors et créatures en numérique sur fond vert, pendant deux heures. Ni plus ni moins. Et Matt Damon qui (avec sa bouille de bon américain sympathique) fait complètement tache dans le décor chinois malgré sa bonne humeur habituelle affichée. L'intrigue abracadabrante se sert de la légende chinoise comme excuse pour nous faire gober n'importe quelle bestiole et autres incohérences (Matt Damon qui attrape d'une main une lance où pend la guerrière chinoise et la tire en l'air sans trop forcer... Cinquante kilos à bout de bras, sur une prise incertaine qu'est la lance, il faut donner des leçons à Mister Univers !). Sans parler des acrobaties improbables qui s'accompagnent de lancers et tirs de flèches au ralenti toutes les deux secondes... Simplement du grand spectacle, et l'on voit bien que le film a été fait pour être vu avec des lunettes 3D, certains plans sont ridicules en 2D (tout nous arrive dessus sans aucune raison). Le design des créatures n'est pas très esthétique, et pour finir avec "La Grande Muraille", sa musique est balourde et calibrée pour les films à gros budgets. Un blockbuster sur fond vert constant avec d'énormes incohérences juste pour le spectacle, à réserver aux amateurs de ce genre de cinéma, ou à la limite aux fanatiques de Matt Damon (mais voyez plutôt ses autres films, si vous voulez une once de performance).
MaCultureGeek
Depuis à peine plus de deux ans, l'on observe une nouvelle mouvance dans l'ensemble des blockbusters actuels : désormais dénués de talent, ils assument complètement, pour une grande partie d'entre eux, leur aspect purement mercantile et le jette à la gueule d'un spectateur international interloqué. Et si l'on ne s'intéressera pas aux films gâchés par les patrons des maisons de production (Ant-Man, Justice League, Fantastic Four, Suicide Squad), parlons plutôt de ceux qui, d'une nouvelle espèce en voie d'éclosion, se basent sur l'exploitation d'un marché occidental et chinois, ce dernier ayant rattrapé par le passé nombre de flops en Amérique ou dans le monde (on se souviendra d'Expendables 3 et de Terminator Genisys).
Ici, la bâtardisation des codes se concrétise sur le plan visuel : plans larges à l'américaine avec un soupçon de shaky cam dans les moments de combats, et couleurs vives et diverses pour plaire aux pupilles asiatiques formeront un tout hétérogène, prétendument esthétique mais seulement artificiel, superficiel. Il n'y a rien derrière, rien d'autre qu'un éclairage certes réussi mais sans personnalité, qui se perd plus du côté des comics que des animés, parodiant presque la beauté resplendissante des habituels décors de films chinois/japonais pour la travestir en un film dénué d'âme à l'américaine, qui ne trouve de seule prétention que celle d'attirer l'oeil par sa myriade d'effets spéciaux incessants.
Certes réussis, les CGI se bousculent les uns les autres en démontrant le réalisme de leurs détails, plombant trop souvent l'efficacité de leur venue par l'évident plagiat à la mise en scène et aux passages marquants d'un certain Starship Troopers. Bouillis numérique insoutenable tout autant qu'elle jouit d'un rythme soutenu, budget plaqué dans une attaque incessante full cgi aux forts relents de séries z à la Power Rangers, les mécha et autres fusions de méga-zord en moins.
La Grande Muraille, c'est un peu l'objet de la diversité qui pouvait inaugurer de bons mélanges cinématographiques et culturels à la Tsui Hark, John Woo et j'en passe, mais qui préfère se vautrer lamentablement dans un mauvais goût évident, n'évitant évidemment jamais les blagues américaines et bien lourdes que l'on doit se coltiner dans chaque blockbuster post-Avengers. Et vas y qu'on te prend une blague et qu'on l'étire en longueur, jusqu'à plus soif ou avoir envie de vomir.
Et vas y que les personnages n'auront aucun développement de leur psyché, qu'ils ne seront caractérisés par rien d'autre que, pour Damon et Tian, l'évidente love-story qui se lancera petit à petit, et pour Dafoe, l'étrange mais commune impression qu'il joue, pour une fois, le rôle du gentil pour ensuite revenir à une interprétation plus habituelle.
On ne se concentrera pas sur les défauts d'écriture inhérents au style du film; incohérences et inepties, comportements stupides et blagues pataudes, caractérisation des personnalités minimes et réflexions peu poussées sur les thèmes brièvement abordés. Si l'on va voir la Grande Muraille, c'est pour son action et son visuel, mais les deux étant rendu mollement par une mise en scène dénaturée, ne reste finalement plus que l'ennui et l'impression de se trouver devant un terrible nanar, potentiel gâché sur l'autel des artistes sans talent. On repassera pour voir un bon film.
Ici, la bâtardisation des codes se concrétise sur le plan visuel : plans larges à l'américaine avec un soupçon de shaky cam dans les moments de combats, et couleurs vives et diverses pour plaire aux pupilles asiatiques formeront un tout hétérogène, prétendument esthétique mais seulement artificiel, superficiel. Il n'y a rien derrière, rien d'autre qu'un éclairage certes réussi mais sans personnalité, qui se perd plus du côté des comics que des animés, parodiant presque la beauté resplendissante des habituels décors de films chinois/japonais pour la travestir en un film dénué d'âme à l'américaine, qui ne trouve de seule prétention que celle d'attirer l'oeil par sa myriade d'effets spéciaux incessants.
Certes réussis, les CGI se bousculent les uns les autres en démontrant le réalisme de leurs détails, plombant trop souvent l'efficacité de leur venue par l'évident plagiat à la mise en scène et aux passages marquants d'un certain Starship Troopers. Bouillis numérique insoutenable tout autant qu'elle jouit d'un rythme soutenu, budget plaqué dans une attaque incessante full cgi aux forts relents de séries z à la Power Rangers, les mécha et autres fusions de méga-zord en moins.
La Grande Muraille, c'est un peu l'objet de la diversité qui pouvait inaugurer de bons mélanges cinématographiques et culturels à la Tsui Hark, John Woo et j'en passe, mais qui préfère se vautrer lamentablement dans un mauvais goût évident, n'évitant évidemment jamais les blagues américaines et bien lourdes que l'on doit se coltiner dans chaque blockbuster post-Avengers. Et vas y qu'on te prend une blague et qu'on l'étire en longueur, jusqu'à plus soif ou avoir envie de vomir.
Et vas y que les personnages n'auront aucun développement de leur psyché, qu'ils ne seront caractérisés par rien d'autre que, pour Damon et Tian, l'évidente love-story qui se lancera petit à petit, et pour Dafoe, l'étrange mais commune impression qu'il joue, pour une fois, le rôle du gentil pour ensuite revenir à une interprétation plus habituelle.
On ne se concentrera pas sur les défauts d'écriture inhérents au style du film; incohérences et inepties, comportements stupides et blagues pataudes, caractérisation des personnalités minimes et réflexions peu poussées sur les thèmes brièvement abordés. Si l'on va voir la Grande Muraille, c'est pour son action et son visuel, mais les deux étant rendu mollement par une mise en scène dénaturée, ne reste finalement plus que l'ennui et l'impression de se trouver devant un terrible nanar, potentiel gâché sur l'autel des artistes sans talent. On repassera pour voir un bon film.
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