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Yves G.
1 457 abonnés
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1,5
Publiée le 7 février 2017
Deux mercenaires à la recherche du secret de la poudre noire arrivent sur la Grande muraille de Chine au moment où celle-ci reçoit l’assaut d’une horde de bêtes monstrueuses.
« La Grande muraille » est un drôle de mélange. Mélange de genres : comme si la bataille du gouffre de Helm du « Seigneur des Anneaux » se déroulait au pied du Mur du Nord de « Game of Thrones ». Mélange des cultures : si le rôle principal est tenu par la star hollywoodienne Matt Damon, si on aperçoit Pedro Pascal (pour séduire le public latino ?) et Willem Dafoe, les autres personnages sont tous chinois et le film reprend quelques uns des codes des wu xia pan, les films de sabre chinois.
« La Grande muraille » est particulièrement intéressant du point de vue géopolitique à l’heure où on s’interroge sur la capacité de la Chine, super-puissance en devenir, à se doter des atouts du « soft power ». Ce film constitue une tentative du cinéma chinois de partir à la conquête du box-office mondial. Pékin n’a pas lésiné sur les moyens en réalisant la superproduction la plus coûteuse jamais tournée sur le sol chinois.
Son arrière-plan idéologique est double. Premièrement la mythification de la Grande muraille, une attraction touristique dont la renommée repose sur un double mensonge : elle n’a jamais protégée la Chine des invasions barbares … et elle n’est pas visible de l’espace. Mais le mythe de la Grande Muraille permet d’exalter l’esprit de sacrifice des guerriers chinois prêts à donner leur vie pour défendre la mère patrie – tandis que les mercenaires occidentaux vendraient leur mère pour un sac d’or. Deuxièmement, une main tendue vers les États-Unis, conforme à l’idéologie de l’émergence pacifique (Zhonghuo heping jueqi) prônée par Hu Jintao et par son successeur. L’histoire de « La Grande muraille » est celle de la rencontre d’un mercenaire anglais (sic !) et d’une guerrière chinoise que tout semble a priori opposer mais qui, face à un ennemi commun, uniront leur force – à défaut de faire sauvagement l’amour car le film est évidemment classé G.
Et le cinéma dans tout ça ? « La Grande muraille » est un blockbuster insipide, anormalement court (1h44 seulement), sans l’humour irrévérencieux, qui émaille désormais les productions américaines mais auquel le public chinois semble encore trop allergique, et avec une tonne de lézards baveux grossièrement dessinés à la palette graphique. Si Matt Damon a l’air de s’ennuyer ferme, la révélation Jing Tian en revanche crève l’écran.
Nouveau film de Yimou Zhang, qui est ni plus ni moins, l'un des plus grand réalisateur Chinois, à qui l'on doit "Qiu Ju une femme chinoise", " Happy Time" et surtout plus connu pour "Hero" en 2003 avec Jet Li et Maggie Cheung puis en 2004 avec "Les Secret des poignards volants" arrive en 2007 "La Cité Interdite". En 2014, on découvrait à Cannes, hors-compétition "Coming Home", avec la sublime
Hello everybody (Chris Singleton dans le texte). Ce film marquera (mot fort pour l'action en question) mon renouveau sur ALLO CINE et ma première critique depuis des lustres. Merci le taf sans intérêt. Bref, retournons à notre Grande muraille. J'y suis allé avec mon fils craignant le pire, alors forcément le pire n'étant pas arrivé, je "sur-note" le film. Que dire, si ce n'est qu'on assiste au mariage raté entre les cinématographies hollywoodienne et chinoise. De beaux costumes, de l'humour, Matt Damon se prend pour Légolas et surtout se demande ce qu'il fout là. Les monstres sont ratés surtout quand la production décide d'en mettre des dizaines de milliards à l'écran et la fin est nullissime. Reste donc quelques belles séquences made in Pékin, des scènes sympas entre les deux mercenaires made in Los Angeles et c'est à peu près tout. Vide vu, vite digéré et vite oublié. Au moins on s'ennuie pas et on a évité la leçon de morale de bas étage qui aurait finit de plomber l'ensemble.
De très beaux décors et des magnifiques costumes ne suffisent pas à rendre le film palpitant, malgré de belles chorégraphies de batailles comme seules savent en faire les productions asiatiques. On a aussi un peu de mal avec les acteurs américains au milieu de ces hordes de combattants chinois et de monstres numériques bien agressifs. Mais on peut se laisser tenter, sachant que l'on fait face à un film disons hybride, de par la production et le casting sino-américain...
Pas mal sans plus, "La Grande Muraille" manque du souffle épique et de l'intensité qui font les grands films d'époque. À cela se rajoute le côté fantastique, très sympathique au demeurant. Pas de vérité historique, mais une légende racontée avec peu de mystère, surtout à partir du moment où les monstres apparaissent. À partir de là, c'est un festival d'action et d'humour, faisant de ce film un petit divertissement passable et sans grande envergure, malgré de belles scènes et de larges moyens.
J'ai été très étonné du choix de Matt Damon de faire ce film, mais pourquoi pas ? On est loin de ses rôles habituels en même temps.
Le scénario est relativement simple : un mercenaire et son acolyte sont emprisonnés par une armée qui garde la grande muraille de Chine contre l'invasion de milliers de monstres en tout genre. Bien évidement ils vont finir par unir leurs forces pour tenter de les vaincre.
Matt Damon joue le mercenaire William Garin. Cet acteur oscille entre le très bon (Interstellar, Seul sur Mars) et le bien mauvais comme le dernier Jason Bourne, et....ici....car oui il est pas du tout en phase avec ce rôle. A aucun moment il ne fait preuve de charisme et de bravoure.
Pedro Pascal joue Pero Tovar, l'acolyte de Garin. L'acteur Chilien est surtout connu pour son rôle d'Oberyn dans la saison 4 de Game of Thrones. Il est franchement pas terrible non plus à l'image de Damon. Bref le duo est totalement raté.
Non la grosse surprise du casting est la partie Chinoise, notamment la superbe Jing Tian qui joue le commandant Lin Mae. Alors elle est carrément badass en armure, elle a plus de charisme que le duo de garçon ! A noter encore un rôle ridicule pour Willem Dafoe, qui est en train de sombrer petit à petit, dommage.
Pour la suite de cette critique c'est ici que ça se passe :
Spectacle correct sans plus, inventif sur certaines techniques liées à la défense de la muraille, avec néanmoins de jolis visuels et des scènes de combat très fluides.-
Le mercenaire William Garin se retrouve emprisonné dans les geôles de la Grande Muraille de Chine. Devant les attaques incessantes de créatures monstrueuses, lui et son compagnon de fortune rejoignent l’armée chinoise afin de sauver l’humanité.
Alors disons le tout de suite le film est très spectaculaire mais en vaut-il la peine ?
La réponse : Non ! Passez votre chemin ! D’autres films méritent amplement d’être vus en ce début d’année (Nocturnal Animals par exemple). Alors oui, les décors sont grandioses, les costumes sont superbes, il y a de jolies couleurs, de belles chorégraphies mais tout ceci est assez superficiel en fin de compte.
Le scénario est simpliste et les dialogues caricaturaux, heureusement que les acteurs ne sont pas mauvais. Bien qu’il est à se demander dans quelle galère s’est fourré Matt Damon, un plaisir coupable peut-être ? Après le décevant Jason Bourne, Matt Damon ferait bien de reconsidérer ses choix de films ! De même, Willem Dafoe semble s’être égaré et ne sert strictement à rien dans l’histoire.
Le film est très court pour ce genre de fresque (1h44), et tant mieux, comme ça le générique de fin arrive plus vite et on peut passer à autre chose. Les scènes sont expéditives, les enjeux sont balayés à la « va comme je te pousse », très peu de tension et aucune émotion palpable. Les incohérences et les situations grotesques sont nombreuses et le design des bestioles surexcitées est assez médiocre.
La musique de Ramin Djawadi (Game of Thrones, Westworld) est plaisante et enrobe bien le produit. Mais cela ne suffit pas à relever le niveau de cette grosse production sino-américaine.
Bref, Zhang Yimou livre un film pop-corn qui en met plein la vue mais complètement dénué d’intérêt et vite oubliable !
Un navet .. Je n'ai pas d'autre mot ..Malgré de belles images,on subit un jeu d'acteur vraiment moyen,voir mauvais ; bon j'imagine qu'avec une histoire et des dialogues aussi bêtes,ça ne doit pas être facile de faire une performance d'acteur..Le scénario,digne d'un mauvais shoot them up des années 80, s'enlise dans la platitude et le déjà vu absolu..Si vous voulez voir des images bouger,un peu comme on regarderait un aquarium,régalez vous ! Par contre si voulez voir un film,allez voir ailleurs... Même pour un blockbuster,c'est mauvais .. 0,5/10
Cette histoire n 'est malheureusement pas crédible, pour exemple le taille des monstres qui différent, une fois impressionnant une fois ridiculement petit.La difficulté à les abattre 150 flèches peine à les tuer mais le héros en 1 flèche et 2 coup de hachette les mets au tapis. Bref c 'est totalement disproportionné, et c 'est pareil avec le comportement des "héros" et leur motivation. Décors et effets spéciaux ne sont ni bon ni mauvais. Au final aussitôt vu, aussitôt oublié.
Que vient donc faire Matt Damon dans cette galère ? La légende est un peu tchip. On a beaucoup de mal rentrer dans cette bouillie. Un film aux grands moyens mais qui donne un résultat très moyen.
Partant d'une bonne idée d'alliance orient-occident, le film a tout le souffle épique d'une aventure comme seuls les chinois savent le faire. Grandiose au niveau de l'esthétique et des effets spéciaux.
Magnifique tant esthetiquement que visuellement . un des plus beaux que j'ai vu depuis des années chaque image nous montre ou sont les 135 millions d'euros j'ai 52a j'ai pris mon pied tellement c'est beau et palpitant MATT Damon est top tout comme l'heroine ce film mérite de faire un carton. 5/5 VU CE JOUR 02/02
J'ai toujours du mal quand je vois 150 soldats se faire démonter par une bete et paf un mec arrive et les démonte tous. sinon le film se laisse regarder, à des moments ça traine un peu y a des abérations mais un peu comme tout blockbuster