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    Song To Song
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    124 critiques spectateurs

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    cinono1
    cinono1

    311 abonnés 2 069 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 5 août 2017
    S'il reste quelques éclats dans son cinéma, son film est presque inquiétant de vacuité. Lieux communs défilent sous la caméra de Terrence Mallick, tout est survolé, aucune épaisseur ne se dessine de personnages se regardant dans le blanc des yeux (la relation Gosling-Fassbender est ridicule), ses précédents films dégageaient une certaine transcendance. Je reconnais sans peine que Mallick a du génie mais ici...probablement un nanar.
    Barry.L
    Barry.L

    33 abonnés 136 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 août 2017
    Il y a véritablement deux Terrence Malick. D’abord, il y a le Malick d’autrefois, celui des ‘’Moissons du ciel’’ (1978) et de ‘’La ligne rouge’’ (1998). Apologie de la nature et de Dieu (les deux étant reliés), ce Malick adoptait toutefois une narration assez classique et, surtout, nous racontait une histoire. Ce Malick-là, autant dire qu’il était acclamé par le public et les critiques: les deux oeuvres citées précédemment sont considérées comme de grands films. Et puis il y a le Malick des années 2010. Toujours les mêmes thèmes explorés mais cette fois-ci avec une narration complètement fragmentée et une absence totale d’histoire. Cette cassure remonte à ‘’The Tree of Life’’ (2011, Palme d’or). C’est à partir de ce moment-là (et peut-être même un peu avant avec ‘’Le nouveau monde’’ en 2005) que les spectateurs (public comme critiques) se divisèrent. Génie métaphysique ou pseudo philosophie gonflée d’emphase? Poème visuel ou arnaque totale? Une chose est sûre: ‘’Song to song’’ est l’aboutissement de ce style certes difficile d’accès. Reconnaissons-le : ‘’Song to song’’ ne plaira probablement qu’à une infime partie du public. Il faut donc admettre que les arguments des détracteurs sont tout à fait admissibles et il est évident que ce film est déjà la cible de nombreuses personnes. En fait, c’est très simple : soit on rentre, soit on ne rentre pas dans cette oeuvre.

    L’histoire? Ne cherchez pas, il n’y en a pas. Malick nous plonge essentiellement dans les pensées d’une poignée de personnages vivant à Austin parmi lesquels deux chanteurs, Faye et BV (Rooney Mara, protagoniste central et Ryan Gosling), un magnat de l’industrie musical, Cook (Michael Fassbender) et une serveuse, Rhonda (Natalie Portman). Des protagonistes qui se cherchent, s’attirent, se rejoignent, se séparent…

    Les partis pris de Malick sont extrêmes. L’absence absolue d’histoire n’a d’égale que la rareté des dialogues. Le but de Malick est de nous faire entrer dans l’esprit des personnages. D’où un recours systématique à la voix off. Alors oui, ce procédé est ici peut-être excessif. Oui, Malick use d’aphorismes un peu lourd. Oui, le vide du scénario peut surprendre. Mais depuis combien de temps un film n’avait-il pas exploré autant l’intériorité de ses protagonistes? Cette voix off est celle de la mémoire et du souvenir. Ainsi, le film peut aller droit au coeur, tant les personnages existent et tant les personnages sont présents, physiquement et mentalement. Mentalement grâce au travail fait sur le son, et en particulier sur l’utilisation abondante de la voix off. Mais aussi physiquement grâce au corps des acteurs. En ce sens, le casting de Malick est, en toute simplicité, parfait. Le physique est le premier élément qui permet de reconnaître ces nombreux protagonistes (car il y a, en plus des principaux, pas mal de personnages ‘’annexes’’). Que ce soit avec la grâce des femmes (Mara et Portman, mais aussi Cate Blanchett et Bérénice Marlohe dans de jolies petits rôles) ou avec l’aspect félin des hommes (Ryan Gosling et Michael Fassbender), Malick organise une véritable chorégraphie des corps, en plus bien entendu de la chorégraphie des âmes. On notera en effet une grande attention accordé à la manière dont les protagonistes évoluent et se déplacent à l’intérieur du cadre. La direction scénique, le son, la voix off, la photo de l’incontournable Emmanuel Lubezki… une fois de plus, Malick préfère compter sur la perception et les sentiments du spectateurs. De toute façon, ce genre de cinéma est, depuis toujours, rejeté par une grande majorité du public, car jugé comme étant trop élitiste et ennuyeux. Normal, ‘’Song to song’’ n’est pas un film qu’on va voir comme ça, pour passer le temps : il faut être dans de bonnes conditions pour apprécier ce film.

    Pour autant, le film de Malick n’est pas le plus… extravagant de sa filmographie (pour les détracteurs de Malick, remplacez le mot ‘’extravagant’’ par ‘’abscons’’). Au contraire, avec cette oeuvre-ci, Malick redescend sur terre après le faux documentaire ‘’Voyage of time’’(2016) et se pose. Fini la création de l’univers, fini (surtout) l’appel à Dieu. Désormais, les hommes sont livrés à eux-mêmes et ne peuvent nouer des relations qu’entre eux. Et cela est inédit pour le cinéaste, qui explorait avant tout les rapports de l’homme vis-à-vis de Dieu. Dans ‘’The Tree of Life’’, une mère (Jessica Chastain) parvenait à faire le deuil d’un de ses fils, offrant celui-ci à Dieu. Que les anti-religieux s’apaisent : dans ‘’Song to song’’, la mort d’un des personnages centraux ne provoque que la plus profonde désolation (il n’est pas révélé dans cette critique l’identité du mort, donc ce n’est pas vraiment du spoil) Enfin, Malick est, encore plus que d’habitude, très attentif et soucieux pour ses protagonistes. Comme si l’absence de Dieu dans ‘’Song to song’’ oblige le cinéaste à s’intéresser d’avantage aux humains. Un point que les détracteurs ne contesteront jamais, encore moins dans ce film-ci : c’est l’amour que porte Malick pour ses héros. Et là ou Dieu était partout dans les films précédents, Malick s’adresse dans ‘’Song to song’’ aux hommes. Le voilà donc au plus près de l’espèce humaine. Et qu’est-ce que cela donne? Sans doute le film le plus intimiste mais curieusement aussi le plus universel de son metteur en scène. La beauté de ‘’Song to song’’ est d’explorer le moindre personnage, de voir comment celui-ci évolue, de voir comment il disparaît etc… Ce sont tous de poignantes personnes en quête d’amour, qui parfois s’effondrent comme dans les films de Wong Kar-Wai (on a d’ailleurs la même impression concernant le temps qui passe, comme si tout ce qui se déroule à l’écran est issu du passé, du souvenir…). Des humains dont certains sont odieux mais toujours profondément aimé par leur créateur. C’est le cas par exemple de Cook, égocentrique et carnassier qui finit, dans son immense demeure désormais vide, à être émouvant. Son vide est d’ailleurs sa punition. C’est d’ailleurs le vide que veulent éviter les personnages : amour (sexuel et sentimental), fête, musique, tout est bon pour donner un sens à leur vie. Pourtant, et malgré leurs divergences, tous les protagonistes finissent par ne former qu’une seule voix. A la fin de ‘’The Tree of Life’’, on voyait sur une étendue glacée, toutes les personnes qui peuplaient ce film. On s’attendrait presque (on le sent) à ce que ce plan se répète ici avec cette fois-ci ceux qui peuplent ‘’Song to song’’. C’est ainsi que le recours à la voix off se justifie doublement : elle donne de l’importance à n’importe quel personnage et nous fait comprendre que ce ne sont que les pensées évanescentes qui nous sont transmises.

    Nous voilà donc dans les songes de toute cette ribambelle de protagonistes. Si le film diffuse une beauté incontestable, il n’atteint pas les sommets que les vies rêvées peuvent procurer. Sommet occupé, pour l’instant, par ‘’Millenium Mambo’’ (Hou Hsiao-hsien, 2001). Il n’en reste pas moins un grand film grâce à sa plongée dans l’esprit et l’âme de ses héros. Malick gagne en abstraction de film en film de même qu’il perd (hélas) du soutien de film en film. Cependant, le prochain film du réalisateur, ‘’Radegund’’ semblera, être plus classique.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 3 août 2017
    Je suis stupéfait [quoi que…] par les critiques plus que négatives à l’encontre du long-métrage Song to Song de Terrence Malick.

    Je prends donc l’initiative de laisser la mienne que je considère plus objective que la majorité ici présente.

    Song to Song est dans l’air du temps, voire avant-gardiste.

    Song to Song, c’est le récit d’une âme en peine, qui cherche à donner un relief à sa vie. Cette quête du bonheur, inaccessible, conduira la sublime Rooney Mara à faire de multiples rencontres / expériences.

    En parallèle de cette trame narrative déjà très complète vient s’ajouter les tourments d’autres protagonistes aussi charismatiques qu’accomplis (Ryan Gosling, Michael Fassenbender, Natalie Portman, Cate Blanchett, Lykke Li…). Casting cinq étoiles.

    Sans doute trop complexe pour le spectateur moderne de suivre plusieurs récits raffinés en l’espace de 128 minutes ?

    Song to Song, c’est aussi de sublimes plans, de la poésie, une atmosphère enivrante…

    La bande originale n’est pas en reste. Séquences sur Geoffrey Oryema - Makambo, ou encore Lykke Li - Love Out of Lust…

    Pauvre septième art… les spectateurs modernes te délaissent au détriment de navets purement commerciaux, sans âme.

    Lorsque j’observe autant de « demi étoile » dans la notation du long-métrage, alors que les Valérian et énièmes Planète des Singes / Spider-Man [3D] sont choyés par le public, je crains pour le devenir de l’Art dans son ensemble.

    Merci à Terrence Malick et aux talentueux acteurs de Song to Song de m’avoir permis de vivre un excellent moment de cinéma.
    Bertie Quincampoix
    Bertie Quincampoix

    111 abonnés 1 830 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 août 2017
    Dans la droite lignée de ses œuvres post-Tree of life, Terrence Malick réalise ici un long-métrage où les sensations, les souvenirs, l'intériorité des personnages priment sur la linéarité du scénario. Si la partie centrale centrale de Song to song, qui aborde les thématiques de l'amour, de la mainmise de l'argent dans l'art et des rapports dominés-dominants dans la société, est captivante, force est de constater que son film est trop long, et mériterait d'être amputé d'une trentaine de minutes. Se déroulant autour de la scène musicale d'Austin au Texas, celui-ci bénéficie d'un casting de haut vol (Ryan Gosling, Rooney Mara, Michael Fassbinder, Natalie Portman, Cate Blanchett,...) et se paye le luxe de faire participer quelques stars du rock, tels Iggy Pop ou Patti Smith, pour notre plus grand plaisir.
    PaulGe G
    PaulGe G

    113 abonnés 607 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 2 août 2017
    des scesne filmées a la va vite souvent mal cardées, des lieux qui n'ont aucun rapports entre eux, pas de mise en scène mais des "gestuels" navrantes pas de dialogues, mais une voix of nulle, le réalisateur a mis tout ça dans un chapeau et les a mis bout a bout sans chercher a savoir ce que cela donnerait. et bien voila : un super navet incompréhensible d'un snobisme et d'une prétention délirante - quel est le but de cette chose ? gâcher le plaisir d'un vrai cinéma.
    hagendemerack
    hagendemerack

    1 abonné 197 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 1 août 2017
    Une demi étoile parce qu'il semblerait qu'on ne puisse pas mettre moins lol.
    Sorti de la salle après 40 minutes d'indigestion, La seule question que je me pose est de savoir comment des acteurs de grands talents peuvent décider d'aller se perdre dans une daube pareil... peut-être avoir un film du très surcoté Mallick, sur leur CV, je ne vois que ça!
    Arnaud K
    Arnaud K

    19 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 août 2017
    Un film puissant, une nouvelle envolée lyrique de Terrence Malick. Un casting au sommet, un rythme volontairement haché, décousu, nous plonge dans un univers de déchéance déraisonné incarné avec brio par Michael Fassbender. Cet univers se heurte avec celui de Ryan Gosling en rêveur qui découvre la dure vérité et Rooney Mara incarne quant à elle un pont entre ces deux mondes. On peut noter la grande qualité de la bande son et la virtuosité des plans omniprésents tout au long du film. Une romance complexe, une autre dramatique, de quoi tenir en haleine le public pendant deux heures d'un spectacle langoureux et sublime.
    andika
    andika

    107 abonnés 320 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 juillet 2017
    Avant de parler du film à proprement parler, il est indispensable d'introduire cette critique par une petite présentation de la Deuxième Symphonie de Gustav Mahler intitulée Résurrection. On en entend le scherzo à deux reprises pendant Song To Song et cela a un sens.

    Ce scherzo, noté sur la partition In Ruhig fliessender Bewegung (dans un mouvement tranquille et coulant) s'inspire d'un Lied dans lequel Saint Antoine fait un prêche aux poissons qui ne comprennent rien et qui le regardent avec des yeux stupides. Mahler indique lui même que ce mouvement évoque un "monde déformé." Personnellement, j'y vois une sorte de bal avec des convives qui ne savent pas danser.

    Lorsqu'on connait cette musique et qu'on l'entend à deux reprises dans ce film, on ne peut que mieux comprendre ce qui se passe à l'écran. Terrence Malick est au cinéma ce que Gustav Mahler est à la musique. Mahler voulait créer tout un monde à chaque fois qu'il composait une nouvelle symphonie. L'ambition de Malick est similaire lorsqu'il réalise un nouveau film. Mais cela a parfois pour résultat l'incompréhension du public. Song To Song, soit on déteste, soit on adore. Il ne peut pas y avoir de demi mesure. Ne venez pas chercher ici un scénario, une histoire cousue de fil blanc, vous ne les trouverez pas. En revanche, vous éveillerez vos sens, presque tous hormis l'odorat qui est encore la limite du cinéma. L'ouïe bien entendu avec cette musique enivrante qui ne se limite pas à Mahler. La vue avec des images sublimes que Malick fait défiler devant nous, en filmant souvent caméra à l'épaule, parfois en cadrant en biais, en laissant ses comédiens hors champ pour mieux nous laisser contempler la nature, souvent de l'eau d'ailleurs pour en revenir au prêche aux poissons. Le toucher également est à l'honneur, cela passe par les acteurs qui se touchent constamment, avec douceur, lenteur, sensualité. Enfin le goût, ce sont encore les acteurs qui se goûtent, qui goûtent la musique, la vie, l'amour.

    Cette histoire n'est pas compliquée. On a un premier couple Fassbender Mara, puis survient Gosling qui séduit Mara, on entre dans une sorte de triangle amoureux un peu plus complexe. Puis Portman arrive et est séduite par Fassbender qui ne chôme pas. On voit bien comment les couples se font et se défont au milieu d'un songe élégiaque baigné de musique et de nature. Fassbender nous refait un peu le même rôle que dans Shame, il est une sorte d'ombre qui emporte les autres personnages dans le fond, un spectre néfaste. Gosling nous refait du La La Land, toujours aussi lumineux. Mara me rappelle son rôle dans Effets Secondaires. En revanche, Portman est inclassable en blonde bien que sublime dans son jeu. Impossible de douter que Malick ait vu tous ces acteurs dans certains de ces films avant de les recruter.

    Dans la dissolution de ces couples, on contemple également la dissolution du cinéma qui devient réduit à sa portion congrue. Malick ne s'intéresse qu'aux sensations, qu'aux émotions. Il cadre souvent ses acteurs de près, ne les lâche pas quand il est sur eux avec des plans très serrés. Mais à contrario, il semble également les négliger, il fait venir Igy Pop pour cinq minutes, nous montre un Val Kilmer totalement fou, une Cate Blanchet distante mais chacun apporte quelque chose sans toutefois être indispensable. Il se passe quelque chose, il est parfois difficile de définir quoi mais il se passe quelque chose. Pendant deux heures, on ne s'ennuie pas, on est emporté par le flot de la poésie de Malick. Malick, Mahler, une syllabe de différence mais tellement en commun dans leur art respectif. Ma dernière expérience de Malick au cinéma était Le Nouveau Monde, titre prophétique pour ce réalisateur qui crée effectivement des mondes dans ses films.
    missfanfan
    missfanfan

    93 abonnés 851 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 juillet 2017
    Bof bof j'avais pas fait gaffe au metteur en scène sinon je n'y serais pas aller je n'aime pas du tout Terence Mallick voilà un film qui n'a ni queue ni tête et bien vide , pour une fois Ryan Gosling ne s'en sort pas trop mal , Rooney Mara n'a rien pour elle et de plus pas très bonne actrice , en fait j'ai je pensais à une toute autre histoire et me suis bien ennuyée heureusement il y a avait de sublimes photos et paysages mais ce n'est pas assez pour sauver ce film grande déception
    btravis1
    btravis1

    113 abonnés 529 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 28 juillet 2017
    Même si je ne remets pas en cause la qualité de réalisation de Terence Malick, ses derniers films se ressemblent étrangement et n'ont pas grand chose à raconter. Le scénario de celui-ci a une trame de fond, un fil conducteur, mais trop pauvre pour intéresser pleinement le spectateur. Et comme ses plans finissent par ne plus se renouveler d'un film à l'autre, malgré quelques qualités, on ne comprend pas trop l'intérêt de ce nouveau film !
    ffred
    ffred

    1 739 abonnés 4 028 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 28 juillet 2017
    On avait déjà définitivement perdu Terrence Malick depuis The Tree of life. Après un exécrable To the wonder j’avais pourtant eu quelques espoirs avec Knights of cup. Mais non. Ce Song to song est bien le pire du réalisateur. Enfin pour ce que j’en ai vu, ça m’a gonflé au bout de cinq minutes. Ou comment autant de talents d’acteurs dans un clip publicitaire pour parfum ou appartement de luxe. Comment un tel casting peut-il venir se perdre ici en étant aussi mal mis en valeur ? C’est assez incompréhensible. Tout comme la grâce disparue du metteur en scène qui nous a donné de si grands chefs d’oeuvre jusqu’à Le nouveau monde. Je ne comprends pas que des producteurs aient encore envie de monter ce genre de projet. C’est lourd, pompeux, prétentieux, sans âme, totalement incohérent. Et ces dialogues et ces voix-off encore plus insupportables que d’habitude. Je ne vois vraiment rien de positif à dire, ah si : la photo est toujours sublime (normal, elle est d’Emmanuel Lubezki, oscarisé trois ans de suite). Bref, il faudrait que Malick arrête maintenant, ça commence à devenir très gênant là...
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 26 juillet 2017
    Très mauvais film. Ennui total. Histoire incompréhensible. Image atroce, ca bouge tout le temps... je suis partie avant la fin ce qui ne m'arrive jamais!
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 26 juillet 2017
    Une demi étoile.
    Rien que ça pour la beauté de la photographie. Quant au reste, je ne me suis jamais sentie autant oppressée lors d'un film. Et l'envie pour la première fois de partir de la salle de cinéma passé 40 min.

    Rien, ce film essaye de dégager quelque chose mais ne dégage rien.

    Et où es la musique ??
    C'est chouette de voir apparaître Patti Smith, les Red Hot, Iggy Pop, Lykke Li, mais pour quoi ?
    Pour n'entendre que 2 minutes de leurs titres jouer au total cumuler ?

    Je travaille dans ce milieu je suis photographe de concert, je passe moi-même mon temps dernière en coulisse ou devant la scène. Je vois, j'entends, je reste discrète.
    J'ai photographié Patti, Iggy & co.
    Et je m'attendais vraiment à voir un film sur la scène, sur l'arrière scène et non sur la partie malsaine et oppressante sur la vie d'une nana qui ne sait pas quoi faire de ses fesses....
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 23 juillet 2017
    De belles images et un beau casting mais le scénario est vide, décousu. J'ai été dans l'attente d'un début d'histoire tout le long du film, qui n'est jamais venu. La bande-annonce m'avait donné envie mais j'ai été très très déçue...
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 23 juillet 2017
    Apres Tree of life qui etait nul Song to song malgre casting de reve est 1 navet:pas d'histoire images sans intéret montrant des chambres des lits des maisons voix off penibles et la musique qui est le sujet du film inexistante
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