Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
25 critiques presse
Ouest France
par Nicolas Rioult
Un poème de cinéma qu'on jurerait inspiré des romans de chevalerie.
Positif
par Pierre Berthomieu
Ce n'est pas seulement une éclatante leçon de lyrisme : il y va de l'amour qui peut ainsi s'incarner à la fois comme passion inquiète et comme idéal serein.
Culturopoing.com
par Lucien Halflants
Se fier au rythme, au son, à l’image. Exploiter le cinéma jusque dans ses tréfonds primitifs et ramener le terreau à la surface pour atteindre un point aussi exigeant que parfois hermétique où ne peuvent subsister que le sens profond et la patronne émotion. Il y va, ici, d’un acte d’amour…
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Ecran Large
par Simon Riaux
Plus narratif que "To the Wonder" et "Knight of Cups", "Song to Song" en prolonge et sublime les thématiques, à l'occasion d'une rêverie rock, emprunte d'un romantisme mystique.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Terrence Malik tel qu’en lui-même, entre formalisme exacerbé et philosophie mysticonaturo-zen. Ce qu’il raconte pas d’une originalité folle : mais voilà, même s’il en abuse un peu, il a l’art et la manière de le dire.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Un casting prestigieux pour un récit qui sidère une fois de plus par sa mise en scène exceptionnelle, sa puissance émotionnelle et sa vision sans concession du milieu de la musique.
Le Parisien
par Catherine Balle
C'est déroutant, mais d'une beauté et d'une sensualité inouïes.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Astrid Jansen
Le nouveau film de Terrence Malick narre les errances de son héroïne, dans une forme décousue et éblouissante, au fil de ses rencontres dans la scène musicale d’Austin.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Nicolas Rioult
"Song to Song" donne l’impression d’être un remix de dix films d’où Terrence Malick extrairait les moments les plus saillants pour les compiler dans une mixtape furieuse et désordonnée. Cette compression a pour conséquence de décupler le pouvoir des gestes, comme si la vie entière en dépendait.
Rolling Stone
par Louise-Camille Bouttier
En présentant les guerres intestines de deux amants chez qui la haine et l'amour se mêlent, le cinéaste américain tisse une véritable tragédie antique autour de personnages aux destins trop vrais pour être beaux.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Télérama
par Louis Guichard
Dans ce laboratoire de cinéma, où la fiction prolifère sans limites (...), la fin a tout d'une concession (la seule) aux lois de la narration classique. De fait, elle paraît simpliste. Mais après le documentaire "Voyage of time" (...), cosmogonie fumeuse, "Song to song" redonne sa place à Terrence Malick, entre inquiétude morale et exaltation des sens.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Bande à part
par Olivier Pélisson
Neuvième tome « malickien » à gagner les écrans, Song to Song assume le style abondant et élégiaque du cinéaste, en faisant de la musique sa toile de fond, sa caisse de résonance, le révélateur des âmes fragiles de ses personnages, et un hymne à l’éclat.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
La Croix
par Arnaud Schwartz
En dépit de l’intérêt de cette réflexion, Terrence Malick semble hélas se répéter. Ce qui passait il y a cinq ans pour un courant d’air frais vire à la recette fonctionnant à vide.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Septième Obsession
par Adrien Valgalier
A travers cette abstraction, ce lâcher-prise dans tout ce qui régit habituellement le récit filmique, Malick trouve une cohérence indéniable dans son obsession constante à aller à l’essentiel.
Paris Match
par Yannick Vely
«Song to Song» ne risque pas d'arranger le cas du cinéaste acclamé de «La Ligne rouge» et c'est tant mieux, les artistes les plus en avance sur leur temps sont souvent les plus clivants.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Voici
par Jérôme Saunier
Filmés au grand angle, de beaux acteurs chics débitent de la poésie en déambulant dans un festival de musique folk, à Austin, Texas. Pendant plus de deux heures... Le dernier film plus ou moins insortable de Terrence Malick.
Critikat.com
par Josué Morel
Le montage frénétique de Malick ne suit plus l’évolution d’une dynamique ou le fil d’une pensée, il tourne en rond, ressasse de manière parfois harassante une recherche qui piétine, bute sur les mêmes étapes, et pourtant parvient à se relancer, à l’image des protagonistes qui vont « d’une chanson à l’autre », d’un bout de félicité à l’autre, d’un amant à l’autre, pour trouver des réponses.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Murielle Joudet
Malgré un beau casting, le nouveau film de Terrence Malick ressert la même recette formelle que dans ses films précédents, cette fois au service d’une histoire de souffrance et de rédemption.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
C’est peu dire qu’en l’espace de trois films, le cinéma de Terrence Malick s’est littéralement effondré sur lui-même. (…) Qu’un si grand cinéaste soit à ce point perdu fait de la peine. Reste l’espoir que ces trois films forment une parenthèse refermée.
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
"Song to Song" s'aimerait touché par la grâce. Il n'est que lourdeur.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
L'Obs
par François Forestier
Les scènes sont disjointes, le récit est incohérent, les acteurs s’ennuient, et la voix off est poétique. Je cite : "Je ne savais pas que j’avais une âme. Le monde m’embarrassait." Ou bien : "Les oiseaux dans le ciel ont dit qu’on s’aimerait toujours."
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Quelle tristesse! Comment se réjouir d'assister au déclin d'un génie? Malick est devenu ce raseur qui pérore, accoudé au manteau de la cheminée.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Ça dure deux heures, pourrait en durer trois, ou une, on ne voit pas bien la différence tant ce film a des allures de long interlude chic. Le casting est énormissime (…), mais une fois de plus, les stars ne sont pas à leur avantage dans l’univers flottant et désincarné de Malick.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Plutôt chic et toc. Un chemin de croix douloureux pour le spectateur amoureux de son cinéma.
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
De belles gueules hollywoodiennes, toutes formidables ailleurs, mais ici au jeu désincarné, devenues poupées sous l’emprise d’un tyran de l’esthétique.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Ouest France
Un poème de cinéma qu'on jurerait inspiré des romans de chevalerie.
Positif
Ce n'est pas seulement une éclatante leçon de lyrisme : il y va de l'amour qui peut ainsi s'incarner à la fois comme passion inquiète et comme idéal serein.
Culturopoing.com
Se fier au rythme, au son, à l’image. Exploiter le cinéma jusque dans ses tréfonds primitifs et ramener le terreau à la surface pour atteindre un point aussi exigeant que parfois hermétique où ne peuvent subsister que le sens profond et la patronne émotion. Il y va, ici, d’un acte d’amour…
Ecran Large
Plus narratif que "To the Wonder" et "Knight of Cups", "Song to Song" en prolonge et sublime les thématiques, à l'occasion d'une rêverie rock, emprunte d'un romantisme mystique.
Le Dauphiné Libéré
Terrence Malik tel qu’en lui-même, entre formalisme exacerbé et philosophie mysticonaturo-zen. Ce qu’il raconte pas d’une originalité folle : mais voilà, même s’il en abuse un peu, il a l’art et la manière de le dire.
Le Journal du Dimanche
Un casting prestigieux pour un récit qui sidère une fois de plus par sa mise en scène exceptionnelle, sa puissance émotionnelle et sa vision sans concession du milieu de la musique.
Le Parisien
C'est déroutant, mais d'une beauté et d'une sensualité inouïes.
Les Fiches du Cinéma
Le nouveau film de Terrence Malick narre les errances de son héroïne, dans une forme décousue et éblouissante, au fil de ses rencontres dans la scène musicale d’Austin.
Première
"Song to Song" donne l’impression d’être un remix de dix films d’où Terrence Malick extrairait les moments les plus saillants pour les compiler dans une mixtape furieuse et désordonnée. Cette compression a pour conséquence de décupler le pouvoir des gestes, comme si la vie entière en dépendait.
Rolling Stone
En présentant les guerres intestines de deux amants chez qui la haine et l'amour se mêlent, le cinéaste américain tisse une véritable tragédie antique autour de personnages aux destins trop vrais pour être beaux.
Télérama
Dans ce laboratoire de cinéma, où la fiction prolifère sans limites (...), la fin a tout d'une concession (la seule) aux lois de la narration classique. De fait, elle paraît simpliste. Mais après le documentaire "Voyage of time" (...), cosmogonie fumeuse, "Song to song" redonne sa place à Terrence Malick, entre inquiétude morale et exaltation des sens.
Bande à part
Neuvième tome « malickien » à gagner les écrans, Song to Song assume le style abondant et élégiaque du cinéaste, en faisant de la musique sa toile de fond, sa caisse de résonance, le révélateur des âmes fragiles de ses personnages, et un hymne à l’éclat.
La Croix
En dépit de l’intérêt de cette réflexion, Terrence Malick semble hélas se répéter. Ce qui passait il y a cinq ans pour un courant d’air frais vire à la recette fonctionnant à vide.
La Septième Obsession
A travers cette abstraction, ce lâcher-prise dans tout ce qui régit habituellement le récit filmique, Malick trouve une cohérence indéniable dans son obsession constante à aller à l’essentiel.
Paris Match
«Song to Song» ne risque pas d'arranger le cas du cinéaste acclamé de «La Ligne rouge» et c'est tant mieux, les artistes les plus en avance sur leur temps sont souvent les plus clivants.
Voici
Filmés au grand angle, de beaux acteurs chics débitent de la poésie en déambulant dans un festival de musique folk, à Austin, Texas. Pendant plus de deux heures... Le dernier film plus ou moins insortable de Terrence Malick.
Critikat.com
Le montage frénétique de Malick ne suit plus l’évolution d’une dynamique ou le fil d’une pensée, il tourne en rond, ressasse de manière parfois harassante une recherche qui piétine, bute sur les mêmes étapes, et pourtant parvient à se relancer, à l’image des protagonistes qui vont « d’une chanson à l’autre », d’un bout de félicité à l’autre, d’un amant à l’autre, pour trouver des réponses.
Le Monde
Malgré un beau casting, le nouveau film de Terrence Malick ressert la même recette formelle que dans ses films précédents, cette fois au service d’une histoire de souffrance et de rédemption.
Cahiers du Cinéma
C’est peu dire qu’en l’espace de trois films, le cinéma de Terrence Malick s’est littéralement effondré sur lui-même. (…) Qu’un si grand cinéaste soit à ce point perdu fait de la peine. Reste l’espoir que ces trois films forment une parenthèse refermée.
CinemaTeaser
"Song to Song" s'aimerait touché par la grâce. Il n'est que lourdeur.
L'Obs
Les scènes sont disjointes, le récit est incohérent, les acteurs s’ennuient, et la voix off est poétique. Je cite : "Je ne savais pas que j’avais une âme. Le monde m’embarrassait." Ou bien : "Les oiseaux dans le ciel ont dit qu’on s’aimerait toujours."
Le Figaro
Quelle tristesse! Comment se réjouir d'assister au déclin d'un génie? Malick est devenu ce raseur qui pérore, accoudé au manteau de la cheminée.
Les Inrockuptibles
Ça dure deux heures, pourrait en durer trois, ou une, on ne voit pas bien la différence tant ce film a des allures de long interlude chic. Le casting est énormissime (…), mais une fois de plus, les stars ne sont pas à leur avantage dans l’univers flottant et désincarné de Malick.
Studio Ciné Live
Plutôt chic et toc. Un chemin de croix douloureux pour le spectateur amoureux de son cinéma.
aVoir-aLire.com
De belles gueules hollywoodiennes, toutes formidables ailleurs, mais ici au jeu désincarné, devenues poupées sous l’emprise d’un tyran de l’esthétique.