Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
paule1984
3 abonnés
29 critiques
Suivre son activité
4,5
Publiée le 8 septembre 2023
J'ai adoré ce film et en particulier l'histoire qui se joue entre les deux personnages avec l'un qui est sous l'emprise de l'autre. L'adolescent est en quête d'amour et de reconnaissance et il va accepter de suivre cet homme qui devient comme un père pour lui. C'est très intéressant de voir comment quelqu'un peut réussir à manipuler quelqu'un d'autre.
Inspiré des événements réels mais les auteurs ne savent pas vraiment comment pensaient les tueurs. C'est la partie importante. Je crois qu'il s'agit de psychopathie et que personne ne les mettait sur la bonne voie.
Film qui donnait super envie sur le papier mais alors quel calvaire devant l'écran !! Rarement vu un film si lent, si inintéressant et si pénible !! Adapter un fait divers sanglant et terrifiant ne suffit pas pour faire un bon film ! On ne comprend pas la psychologie des personnages, l'acteur principal est aussi expressif qu'une huître et vraiment j'ai eu beaucoup de mal à ne pas m'endormir !! Un film que j'aimerais oublier...
Le réalisateur s’est inspiré d’une histoire vraie qui a défrayé la chronique aux Etats-Unis il y a quelques années : des personnes sont tuées au hasard par balle dans le district de Columbia. Les responsables sont 2 personnes noires, le plus vieux (joué par Isaiah Washington) conduisant la voiture (couleur bleu caprice, d’où le titre), le plus jeune, caché dans le coffre, est le tireur. La grande qualité du film est d’avoir imaginé les mois qui ont précédé le passage à l’acte : spoiler: ressentiment de l’adulte à qui la justice a enlevé la garde de ses 4 enfants, soumission de l’adolescent, abandonné par sa mère et en quête d’un père.
Blue Caprice du nom de la voiture, une Chevrolet Caprice bleue, dans laquelle les "tueurs de Washington" abattaient leurs cibles. Le film retrace la route des deux tueurs, troublants sous les traits d'Isiah Washington et du jeune Tequan Richmond. L'un en gourou désabusé aux tendances révolutionnaires et l'autre, sans repères ni but, d'un mutisme glaçant, les deux acteurs brillent dans la folie des personnages qu'ils incarnent. Pourtant, malgré cela, malgré certaines scènes d'une violence brutale et ponctuelle, les liens que le réalisateur Alexandre Moors tente de mettre en avant entre ce "père" et son "fils" ne suffisent pas à faire décoller le film. Toujours en sous régime, on se déconnecte peu à peu de l'histoire à cause d'un manque de profondeur tant de le discours que dans les liens qui semblent unir les deux hommes et pour une telle histoire, il est dommage qu'on ne soit jamais pris aux tripes.
Blue caprice nous expose l'itinéraire d'un genre de gourou serial killer. Le film expose bien les cassures du système occidental qui accouche de gars totalement perdu et trouve une raison de vivre d'une façon terriblement particulière. Ça résonne drolement avec l'embrigadement islamique. Le film propose un traitement en surface et manque de punch quant à la mise en scène et au rythme. Globalement pas mal quand même.
Lee Boyd Malvo né le 18 février 1985 à Kingston en Jamaïque, a été le complice de John Allen Muhammad, surnommé le « sniper de Washington », impliqué dans plusieurs meurtres gratuits aux États-Unis en octobre un peu lent parfois mais assez captivant.
Vous vous souvenez sûrement des tueries qui ont ensanglantées les états-unis il y a quelques années. Des victimes semblant être prisent au hasard, tuées au milieu des autres. La panique qui s'en suivi à été mémorable. Le film, lui, ne l'est pas. Si la photo est plutôt belle et les acteurs très bon, le rythme lent fait que nous n'entrons pas dans l'histoire de cet homme brisé par un divorce qui lui a retire ses enfants et ce jeune adolescent abandonné par sa mère. Le cheminement des personnage vers l'horreur est finalement pas si bien compris que ça au final et on a tendance à un peu s'endormir. Bref, si le sujet était en or, le traitement n'a pas été à la hauteur des espérances.