Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
30 critiques presse
Elle
par Florence Ben Sadoun
"12 years a slave", de Steve McQueen, est un film cinq étoiles magistralement mis en scène par le cinéaste britannique, dont c'est seulement la troisième réalisation après "Hunger" et "Shame".
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Humanité
par Jean Roy
L’histoire est magnifique, haute de dignité, donnant foi en l’homme tout en n’en cachant pas les penchants les plus sordides. Dans ce récit qui prend le temps de respirer, on appréciera aussi la qualité de l’interprétation des protagonistes comme une composition qui laisse au format large sa pleine justification.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Arnaud Schwartz
Une fois de plus, Steve McQueen montre qu’il a des choses à dire, et il les formule sans détour. Comme les précédents, son dernier film empoigne sans faire semblant les questions profondes que le sujet appelle.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaroscope
par Etienne Sorin
Le Britannique Steve McQueen raconte l’histoire incroyable mais vraie du noir Salomon Northup, homme libre, père de famille et violoniste dans l’État de New York, enlevé en 1841 à l’âge de 33 ans et vendu comme esclave en Louisiane. Douze ans de calvaire filmés sans concession. 12 years a slave est l'un des grands favoris dans la course aux Oscars.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Point
par Florence Colombani
Tout au long de ce film admirable, nous, le public, sommes vraiment, intensément, Solomon Northup, et l'on sort de l'expérience hébété par un double choc, historique et émotionnel (...). ce qui se produit, grâce à ce film-là, n'est pas banal : c'est autant une grande émotion artistique qu'un indispensable travail sur la mémoire.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Fiches du Cinéma
par Cyrille Latour
S'emparant de l'autobiographie de Solomon Northup, Steve McQueen prolonge la veine de “Hunger” et “Shame”, tout en signant le brûlot qui permet à l'Amérique de regarder son histoire en face.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Marianne
par Danièle Heymann
Pas de mélodrame, pas de tire-larmes, l'émotion à l'état brut, dans la mousseuse torture des champs de coton de la Louisiane.
Ouest France
par La Rédaction
Rude moment de cinéma qui laisse des traces.
Positif
par Alain Masson
"12 Years a Slave" n'a rien d'une jérémiade ni d'un constat kafkaïen de déréliction, c'est une étude de la résistance à l'injustice la plus intolérable, l'épopée modeste d'une liberté reconquise.
Première
par Christophe Narbonne
Cousin américain de "Venus Noire" par son objectivité relative, "12 Years a Slave" regarde le passé droit dans les yeux et les lui fait baisser.
Transfuge
par Damien Aubel
Une jouissance d'esthète.
La critique complète est disponible sur le site Transfuge
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Ici, la violence n'a rien de spectaculaire, le show n'est pas de mise. Seule l'autopsie au scalpel de ce système totalitaire importe. Elle fait froid dans le dos et laisse la gorge serrée.
aVoir-aLire.com
par François Leduc
"12 Years A Slave" est l’un des premiers grands films sur l’esclavage.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
20 Minutes
par Caroline Vié
"12 Years a Slave" de Steve McQueen bouleverse en montrant l'eslavage de façon réaliste.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
"12 Years a Slave" est un mélange stupéfiant de sophistication et de pragmatisme, un film qui met chacun face à l’horreur de la nature humaine…
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Critikat.com
par Louis Blanchot
Davantage qu’un film sur l’affranchissement d’un seul, "12 Years a Slave" radiographie un délitement collectif et quasi consanguin, sondant les derniers souffles d’une cathédrale expirante.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Simon Riaux
Un anti-rêve américain, traversé d’éclairs de grâce et d’horreur, un chemin de croix sans salut, une prière maudite.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Steve McQueen parvient à transmettre toute l’horreur de la condition noire dans les Etats du Sud au XIXe siècle, à travers un cas d’école, inspiré de faits réels.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Plus ouvert, moins concentré sur lui-même que les deux premiers films de McQueen, "12 years a Slave" (...) prend par moments l'apparence d'une production hollywoodienne d'autrefois, mais c'est pour très vite, par la stylisation et la durée de certains plans, s'en détourner (...).
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Le film est la chronique pointilleuse d'une survie en milieu hostile. Steve McQueen [...] aura voulu montrer au plus près les stigmates de ce crime et de son absence de réparation.
Metro
par Mehdi Omaïs
Au final, il est difficile de parler d'un beau film tant le résultat vendange les entrailles par son réalisme criant et son refus constant de la sensiblerie.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Paris Match
par Alain Spira
En adaptant le roman autobiographique de Solomon Northup (éd. Michel Lafon), le cinéaste anglais nous livre une œuvre forte et pleinement maîtrisée où il utilise avec efficacité son talent pour retranscrire la souffrance humaine.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Voir le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Télérama
par Pierre Murat
Avec ce grand spectacle typiquement hollywoodien (les oscars vont pleuvoir !), le cinéaste réussit l'osmose délicate entre le film commercial et le cinéma d'auteur.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Il arrive encore de nos jours qu'une star hollywoodienne s'intéresse à un projet ambitieux. L'événement est suffisamment rare pour mériter la mention. Plus encore lorsque le film est réussi, à l'image de "12 Years a Slave", la troisième réalisation de Steve McQueen (après "Hunger" et "Shame").
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Libération
par Bruno Icher
(...) McQueen a pris le parti de faire de cette addition d’horreurs l’exclusif argument de son réquisitoire. Cette virulence rageuse finit par occulter involontairement une dimension essentielle. L’ignominie de l’esclavage est tout entière contenue dans son caractère institutionnel, dans le fait qu’il répondait à des besoins économiques précis.
La critique complète est disponible sur le site Libération
TF1 News
par Romain Le Vern
La mise en scène de Steve McQueen se révèle aussi virtuose que discutable [...]. McQueen obtient sur la durée un vrai malaise. Tout circule, tout y est montré, dénoncé. Le passé regarde le présent, en lambeaux.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
TéléCinéObs
par Nicolas Schaller
Etrange objet naviguant entre l'expérience physique et doloriste (chère au réalisateur de "Hunger") et le manichéisme facile des pires machines à oscars, son film est aussi déroutant que complaisant.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Cahiers du Cinéma
par Nicholas Elliott
Le filmage est si conventionnel qu’on s’attend à trouver le nom d’un artisan hollywoodien au générique.
L'Express
par Eric Libiot
Voir le site de l'Express.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Elle
"12 years a slave", de Steve McQueen, est un film cinq étoiles magistralement mis en scène par le cinéaste britannique, dont c'est seulement la troisième réalisation après "Hunger" et "Shame".
L'Humanité
L’histoire est magnifique, haute de dignité, donnant foi en l’homme tout en n’en cachant pas les penchants les plus sordides. Dans ce récit qui prend le temps de respirer, on appréciera aussi la qualité de l’interprétation des protagonistes comme une composition qui laisse au format large sa pleine justification.
La Croix
Une fois de plus, Steve McQueen montre qu’il a des choses à dire, et il les formule sans détour. Comme les précédents, son dernier film empoigne sans faire semblant les questions profondes que le sujet appelle.
Le Figaroscope
Le Britannique Steve McQueen raconte l’histoire incroyable mais vraie du noir Salomon Northup, homme libre, père de famille et violoniste dans l’État de New York, enlevé en 1841 à l’âge de 33 ans et vendu comme esclave en Louisiane. Douze ans de calvaire filmés sans concession. 12 years a slave est l'un des grands favoris dans la course aux Oscars.
Le Point
Tout au long de ce film admirable, nous, le public, sommes vraiment, intensément, Solomon Northup, et l'on sort de l'expérience hébété par un double choc, historique et émotionnel (...). ce qui se produit, grâce à ce film-là, n'est pas banal : c'est autant une grande émotion artistique qu'un indispensable travail sur la mémoire.
Les Fiches du Cinéma
S'emparant de l'autobiographie de Solomon Northup, Steve McQueen prolonge la veine de “Hunger” et “Shame”, tout en signant le brûlot qui permet à l'Amérique de regarder son histoire en face.
Marianne
Pas de mélodrame, pas de tire-larmes, l'émotion à l'état brut, dans la mousseuse torture des champs de coton de la Louisiane.
Ouest France
Rude moment de cinéma qui laisse des traces.
Positif
"12 Years a Slave" n'a rien d'une jérémiade ni d'un constat kafkaïen de déréliction, c'est une étude de la résistance à l'injustice la plus intolérable, l'épopée modeste d'une liberté reconquise.
Première
Cousin américain de "Venus Noire" par son objectivité relative, "12 Years a Slave" regarde le passé droit dans les yeux et les lui fait baisser.
Transfuge
Une jouissance d'esthète.
Télé 7 Jours
Ici, la violence n'a rien de spectaculaire, le show n'est pas de mise. Seule l'autopsie au scalpel de ce système totalitaire importe. Elle fait froid dans le dos et laisse la gorge serrée.
aVoir-aLire.com
"12 Years A Slave" est l’un des premiers grands films sur l’esclavage.
20 Minutes
"12 Years a Slave" de Steve McQueen bouleverse en montrant l'eslavage de façon réaliste.
CinemaTeaser
"12 Years a Slave" est un mélange stupéfiant de sophistication et de pragmatisme, un film qui met chacun face à l’horreur de la nature humaine…
Critikat.com
Davantage qu’un film sur l’affranchissement d’un seul, "12 Years a Slave" radiographie un délitement collectif et quasi consanguin, sondant les derniers souffles d’une cathédrale expirante.
Ecran Large
Un anti-rêve américain, traversé d’éclairs de grâce et d’horreur, un chemin de croix sans salut, une prière maudite.
Franceinfo Culture
Steve McQueen parvient à transmettre toute l’horreur de la condition noire dans les Etats du Sud au XIXe siècle, à travers un cas d’école, inspiré de faits réels.
L'Obs
Plus ouvert, moins concentré sur lui-même que les deux premiers films de McQueen, "12 years a Slave" (...) prend par moments l'apparence d'une production hollywoodienne d'autrefois, mais c'est pour très vite, par la stylisation et la durée de certains plans, s'en détourner (...).
Le Monde
Le film est la chronique pointilleuse d'une survie en milieu hostile. Steve McQueen [...] aura voulu montrer au plus près les stigmates de ce crime et de son absence de réparation.
Metro
Au final, il est difficile de parler d'un beau film tant le résultat vendange les entrailles par son réalisme criant et son refus constant de la sensiblerie.
Paris Match
En adaptant le roman autobiographique de Solomon Northup (éd. Michel Lafon), le cinéaste anglais nous livre une œuvre forte et pleinement maîtrisée où il utilise avec efficacité son talent pour retranscrire la souffrance humaine.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
Télérama
Avec ce grand spectacle typiquement hollywoodien (les oscars vont pleuvoir !), le cinéaste réussit l'osmose délicate entre le film commercial et le cinéma d'auteur.
L'Obs
Il arrive encore de nos jours qu'une star hollywoodienne s'intéresse à un projet ambitieux. L'événement est suffisamment rare pour mériter la mention. Plus encore lorsque le film est réussi, à l'image de "12 Years a Slave", la troisième réalisation de Steve McQueen (après "Hunger" et "Shame").
Libération
(...) McQueen a pris le parti de faire de cette addition d’horreurs l’exclusif argument de son réquisitoire. Cette virulence rageuse finit par occulter involontairement une dimension essentielle. L’ignominie de l’esclavage est tout entière contenue dans son caractère institutionnel, dans le fait qu’il répondait à des besoins économiques précis.
TF1 News
La mise en scène de Steve McQueen se révèle aussi virtuose que discutable [...]. McQueen obtient sur la durée un vrai malaise. Tout circule, tout y est montré, dénoncé. Le passé regarde le présent, en lambeaux.
TéléCinéObs
Etrange objet naviguant entre l'expérience physique et doloriste (chère au réalisateur de "Hunger") et le manichéisme facile des pires machines à oscars, son film est aussi déroutant que complaisant.
Cahiers du Cinéma
Le filmage est si conventionnel qu’on s’attend à trouver le nom d’un artisan hollywoodien au générique.
L'Express
Voir le site de l'Express.