Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
7 critiques presse
Critikat.com
par Benoît Smith
La mise en scène épurée et frontale du travail de recherche et d'enregistrement dans sa durée fait signe de l'honnêteté du devoir de mémoire derrière les dispositifs de circonstance, tout en rendant plus prégnant ce que les personnages mettent au jour.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
par Jean Roy
Signalons que les moments les plus marquants à l'appui de ce discours seront chuchotés sur fond d'obscurité, c'est assez dire la pudeur généralisée dans laquelle suinte l'oeuvre.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Thomas Sotinel
La forme convenue, élégamment moderniste, de ce film ne suffit pas à en diluer la force politique. (...) Le courage et la lucidité du geste suffisent à conférer une beauté certaine au film.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par David Nathanson
Quand "Le Temps dure longtemps" laisse de côté son aspect politique pour s'abandonner à une vision plus contemplative, il offre de très beaux moments de cinéma et fait de Öscan Alper un cinéaste à suivre.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Voir le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Mise en scène mélodique et mélancolique pour cette fiction du deuil à double mémoire : celle d'un cinéma poétique et politique (...), et celle de l'âme et de la culture d'un peuple dont la tragédie est toujours niée.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Jacques Morice
L'amplitude des paysages, le sens de l'existence comme suspendu, tout cela rappelle, en mineur, le cinéma de Nuri Bilge Ceylan, de Wim Wenders et de Theo Angelopoulos (...). Ozcan Alper, qui signe son second long métrage, ne dissocie pas la contemplation et l'engagement. Rien que pour cela, il est précieux.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
La mise en scène épurée et frontale du travail de recherche et d'enregistrement dans sa durée fait signe de l'honnêteté du devoir de mémoire derrière les dispositifs de circonstance, tout en rendant plus prégnant ce que les personnages mettent au jour.
L'Humanité
Signalons que les moments les plus marquants à l'appui de ce discours seront chuchotés sur fond d'obscurité, c'est assez dire la pudeur généralisée dans laquelle suinte l'oeuvre.
Le Monde
La forme convenue, élégamment moderniste, de ce film ne suffit pas à en diluer la force politique. (...) Le courage et la lucidité du geste suffisent à conférer une beauté certaine au film.
Les Fiches du Cinéma
Quand "Le Temps dure longtemps" laisse de côté son aspect politique pour s'abandonner à une vision plus contemplative, il offre de très beaux moments de cinéma et fait de Öscan Alper un cinéaste à suivre.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
TéléCinéObs
Mise en scène mélodique et mélancolique pour cette fiction du deuil à double mémoire : celle d'un cinéma poétique et politique (...), et celle de l'âme et de la culture d'un peuple dont la tragédie est toujours niée.
Télérama
L'amplitude des paysages, le sens de l'existence comme suspendu, tout cela rappelle, en mineur, le cinéma de Nuri Bilge Ceylan, de Wim Wenders et de Theo Angelopoulos (...). Ozcan Alper, qui signe son second long métrage, ne dissocie pas la contemplation et l'engagement. Rien que pour cela, il est précieux.