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Michel Gondry est définitivement l'homme qu'il fallait au roman de Boris Vian : "L’Écume des Jours" est un bijou onirique, aux accents amers et à la profonde mélancolie.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
Gondry réussit admirablement le défi qu'il s'était lui-même imposé en signant une oeuvre magnifique à la fois tendre, drôle et douloureuse imprégnée d'un lyrisme visuel et émotionnel sur fond d'existentialisme où chaque scène devient un véritable ravissement des sens...
Bien secoué, le cocktail cinématographique onirico-poético-foldingue est délicieusement frappé. Quel voyage extraordinaire il nous offre ! (...) A regarder plusieurs fois si l'on veut tout voir sans modération.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
L’univers perpétuellement fantasque du livre peut donner le vertige, notamment dans la première partie. La seconde, plus calme, plus tragique, dans un superbe noir et blanc, est d’une infinie beauté.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
[POUR] Ce cinéma de visions est d'autant plus troublant qu'il est orchestré avec une apparente simplicité. (...) C'est cette magie furtive, souterraine, qui séduit.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Déclinant de la couleur à la grisaille en passant par le sépia, le film accompagne à la fois volontairement et malgré lui le destin de Chloé et Colin, pour finir par ressembler à une décharge où s'accumulent fleurs fanées, membres déboîtés, moisissures, objets tordus.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
S'il ["L'Ecume des jours"], n'est pas exempt de défauts, il rend palpables sur grand écran la poésie, l'humour et le romantisme de l'oeuvre de Boris Vian.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
(...) Gondry laisse pendant deux heures les effets spéciaux et ses incroyables bricolages prendre le pouvoir sur la dramaturgie et les émotions. (...). "L'Écume des jours" reste un film qui flotte au-dessus de la mêlée. À voir pour la magie du début.
Placé sous le signe du pléonasme et de la commande, “L'Écume des jours”, sans créer de miracle, parvient à étonner par sa noirceur et une forme de radicalité sous-jacente.
(...) Si Gondry trouve des traductions bricolées aux images de Vian, s'il sature chaque plan d'idées, d'astuces, de surprises, de gadgets et de changements d'échelle, il ne peut jamais surmonter l'écueil d'un casting problématique, (...) blindage absurde du moindre recoin du film par des têtes d'affiche que plus grand monde n'a spécialement envie de voir en peinture. Difficile de fabriquer de l'idéal avec ce genre d'ingrédients.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Dans "L'Ecume des jours", Gondry a tellement perfectionné son dispositif scénographique qu'il a instauré une distance émotionnelle quasi infranchissable entre lui et nous.
La critique complète est disponible sur le site Positif
(...) Il y a quatre films en un seul dans "L'écume des jours" (...). Séparément, toutes ces parties sont passionnantes. Assemblées, leur interaction ne fonctionne pas comme prévu. [Mais il y a] suffisamment d'éclats de cinéma pour compenser le manque d'unité.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Après l’insouciante euphorie du premier tiers, le film patine pour nous rattraper par le col dans sa dernière partie, sommet de mélancolie où les couleurs de l’image se fanent et le silence se fait à mesure que la maladie emporte Chloé. "L’Ecume des jours" est un feel-sad movie grand public.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Un film harassant dont le récit est sans cesse parasité par une course effrénée, celle qui pousse Gondry à vouloir se mesurer à l'exubérante imagination de Boris Vian.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Michel Gondry a tiré un film qui est d'abord un tsunami d'images, de clips de pubs qui séduisent et enchantent puis finissent par noyer le spectateur. Dommage (...).
La critique complète est disponible sur le site Elle
Tout cela sent l'effort et le réchauffé, (...) mais pour ne pas trouver ça niais, peut-être convient-il de n'avoir pas atteint encore les 13 ou 14 ans, bref d'avoir l'âge des lecteurs de "L'Ecume des Jours", qui est aussi celui qu'il plaît à Gondry de donner à croire qu'il ne l'a pas dépassé.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
"L'Ecume des jours" (...) lit le roman de Vian avec un enthousiasme qui n'est pas toujours communicatif. (...) On dirait que le film épuise toute son énergie à la construction d'un monde qui ne fait plus beaucoup de place à ses habitants.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Retenant certes du livre ses réflexions sociales (...), le film trahit littéralement sa démarche tragique : embourbé dans une poésie forcée, un mauvais goût assumé et des effets de style trop ostentatoires pour être honnêtes, "L'Ecume des Jours" n'affiche strictement aucune affection vis-à-vis de ses personnages.
La critique complète est disponible sur le site Mad Movies
Entre fidélité incontournable et liberté revendiquée, c'est l'art et la manière de faire du Gondry tout en respectant le Vian. Mais, tout attaché à la confection de son décor, le metteur en scène s'est quelque peu laissé envahir et étouffer par cette accumulation de détails.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
L’orgie visuelle déployée par Gondry n’est pas une écume mais une vague, un puissant rouleau qui engloutit tout (acteurs, personnages, émotions, spectateurs…) et nous laisse sur le sable, étourdi et hagard.
[CONTRE] La signature de Gondry vampirise tout. Son art des petits mécanismes merveilleux sombre dans un systématisme qui tue la poésie en la produisant à la chaîne.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Filmsactu
Michel Gondry est définitivement l'homme qu'il fallait au roman de Boris Vian : "L’Écume des Jours" est un bijou onirique, aux accents amers et à la profonde mélancolie.
L'Ecran Fantastique
Gondry réussit admirablement le défi qu'il s'était lui-même imposé en signant une oeuvre magnifique à la fois tendre, drôle et douloureuse imprégnée d'un lyrisme visuel et émotionnel sur fond d'existentialisme où chaque scène devient un véritable ravissement des sens...
Paris Match
Bien secoué, le cocktail cinématographique onirico-poético-foldingue est délicieusement frappé. Quel voyage extraordinaire il nous offre ! (...) A regarder plusieurs fois si l'on veut tout voir sans modération.
20 Minutes
Le film est éblouissant visuellement et transporte le spectateur dans un univers loufoque et fascinant.
CinemaTeaser
Un très grand film aussi exigeant que profond.
Ecran Large
D’une inventivité visuelle et narrative folle au service d’une adaptation que seul Gondry pouvait être assez fou d’envisager.
Le Parisien
L’univers perpétuellement fantasque du livre peut donner le vertige, notamment dans la première partie. La seconde, plus calme, plus tragique, dans un superbe noir et blanc, est d’une infinie beauté.
Le Point
Voir la critique sur le site du Point.
Première
Sans rien retrancher à Vian, (...) Gondry impose son imaginaire au matériau d'origine. (...) L'opération était délicate. La greffe est très réussie.
Télérama
[POUR] Ce cinéma de visions est d'autant plus troublant qu'il est orchestré avec une apparente simplicité. (...) C'est cette magie furtive, souterraine, qui séduit.
Cahiers du Cinéma
La force du film, schizophrène, mal aimable et fascinant, est de se tenir encore plus près de Vian qu’on aurait pu l’imaginer.
Chronic'art.com
Déclinant de la couleur à la grisaille en passant par le sépia, le film accompagne à la fois volontairement et malgré lui le destin de Chloé et Colin, pour finir par ressembler à une décharge où s'accumulent fleurs fanées, membres déboîtés, moisissures, objets tordus.
L'Express
Voir le site de L'Express
La Croix
S'il ["L'Ecume des jours"], n'est pas exempt de défauts, il rend palpables sur grand écran la poésie, l'humour et le romantisme de l'oeuvre de Boris Vian.
Le Journal du Dimanche
(...) Gondry laisse pendant deux heures les effets spéciaux et ses incroyables bricolages prendre le pouvoir sur la dramaturgie et les émotions. (...). "L'Écume des jours" reste un film qui flotte au-dessus de la mêlée. À voir pour la magie du début.
Les Fiches du Cinéma
Placé sous le signe du pléonasme et de la commande, “L'Écume des jours”, sans créer de miracle, parvient à étonner par sa noirceur et une forme de radicalité sous-jacente.
Libération
(...) Si Gondry trouve des traductions bricolées aux images de Vian, s'il sature chaque plan d'idées, d'astuces, de surprises, de gadgets et de changements d'échelle, il ne peut jamais surmonter l'écueil d'un casting problématique, (...) blindage absurde du moindre recoin du film par des têtes d'affiche que plus grand monde n'a spécialement envie de voir en peinture. Difficile de fabriquer de l'idéal avec ce genre d'ingrédients.
Metro
(...) Michel Gondry livre une oeuvre sublime qui manque un peu d'émotion.
Positif
Dans "L'Ecume des jours", Gondry a tellement perfectionné son dispositif scénographique qu'il a instauré une distance émotionnelle quasi infranchissable entre lui et nous.
TF1 News
(...) Il y a quatre films en un seul dans "L'écume des jours" (...). Séparément, toutes ces parties sont passionnantes. Assemblées, leur interaction ne fonctionne pas comme prévu. [Mais il y a] suffisamment d'éclats de cinéma pour compenser le manque d'unité.
Transfuge
L'adaptation du roman de Boris Vian est un succès, mais probablement pas celui qu'on attendait.
Télé 7 Jours
Chaque plan regorge de trouvailles, au point que l'on se surprend à y porter plus d'attention qu'à l'histoire et à ses interprètes au talent sûr.
TéléCinéObs
Après l’insouciante euphorie du premier tiers, le film patine pour nous rattraper par le col dans sa dernière partie, sommet de mélancolie où les couleurs de l’image se fanent et le silence se fait à mesure que la maladie emporte Chloé. "L’Ecume des jours" est un feel-sad movie grand public.
aVoir-aLire.com
(…) Une adaptation de bric et de broc pleine d’inventivité mais vide d’audace, perdue dans la froide pantomime d’un amour presque sans émotion.
Critikat.com
Un film harassant dont le récit est sans cesse parasité par une course effrénée, celle qui pousse Gondry à vouloir se mesurer à l'exubérante imagination de Boris Vian.
Elle
Michel Gondry a tiré un film qui est d'abord un tsunami d'images, de clips de pubs qui séduisent et enchantent puis finissent par noyer le spectateur. Dommage (...).
L'Obs
Tout cela sent l'effort et le réchauffé, (...) mais pour ne pas trouver ça niais, peut-être convient-il de n'avoir pas atteint encore les 13 ou 14 ans, bref d'avoir l'âge des lecteurs de "L'Ecume des Jours", qui est aussi celui qu'il plaît à Gondry de donner à croire qu'il ne l'a pas dépassé.
Le Monde
"L'Ecume des jours" (...) lit le roman de Vian avec un enthousiasme qui n'est pas toujours communicatif. (...) On dirait que le film épuise toute son énergie à la construction d'un monde qui ne fait plus beaucoup de place à ses habitants.
Mad Movies
Retenant certes du livre ses réflexions sociales (...), le film trahit littéralement sa démarche tragique : embourbé dans une poésie forcée, un mauvais goût assumé et des effets de style trop ostentatoires pour être honnêtes, "L'Ecume des Jours" n'affiche strictement aucune affection vis-à-vis de ses personnages.
Marianne
Il faut se rendre à l'évidence, dans la version Gondry du livre que nous avons tant aimé ne demeure que l'écume...
Ouest France
Entre fidélité incontournable et liberté revendiquée, c'est l'art et la manière de faire du Gondry tout en respectant le Vian. Mais, tout attaché à la confection de son décor, le metteur en scène s'est quelque peu laissé envahir et étouffer par cette accumulation de détails.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Les Inrockuptibles
L’orgie visuelle déployée par Gondry n’est pas une écume mais une vague, un puissant rouleau qui engloutit tout (acteurs, personnages, émotions, spectateurs…) et nous laisse sur le sable, étourdi et hagard.
Télérama
[CONTRE] La signature de Gondry vampirise tout. Son art des petits mécanismes merveilleux sombre dans un systématisme qui tue la poésie en la produisant à la chaîne.