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Un visiteur
4,5
Publiée le 19 septembre 2017
drôle et touchant à la fois, on a envie de faire partie de cette belle bande de potes. des acteurs formidables et de bons rebondissements pour un excellent moment plein de tendresse
Au choix. Version simplissime : un petit raté sympathique. Version rallongée : le film s’appuit sur tous les ressorts connus et reconnus afin d’être sûr de ne pas rater la cible. Charlie, la clé de voûte de trois connaissances/amis/copains (et fort différents forcément). Son départ prématuré de ce monde et son dernier souhait : les trois mousquetaires inter-générationnelles doivent se rendre en Corse pour un pélérinage (initiatique évidemment, et la lumière apparaîtra). Un road movie destiné à nous faire vivre des histoires « incroyables ». L’amitié, l’amour, le respect, la mansuétude. Des flash-backs (à profusion) pour que le téléspactateur ne se perde pas en cours de route. Un zeste de cliché religieux (un ingrédient dont ne peuvent se passer les réalisateurs français). Résultat : le premier long métrage de Hugo Gélin ne tient vraiment pas la route. Seule mérite du film hormis un capital sympathie qu’il parvient à dégager malgré tout (ce qui permet d'aller jusqu'au bout) : la bande son. Un Revolver excellent!
Je partais plutôt avec un à priori favorable, le film disposait d'un casting sympa et même si le scénario n'était pas très neuf son panachage arraché à divers films à succès pouvait encore faire de l'effet. Pourtant le doute s'installe dès le début du film, c'est simple les dialogues ne fonctionnent pas. On a beaucoup de mal à les suivre. D'une part on a du mal à s'y intéresser, il tombe presque toujours à plat et sont sans consistance. D'autre part les comédiens ne semblent pas très convaincus, ils parlent souvent pour eux mêmes et il faut souvent tendre l'oreille pour les comprendre. Bref il s'installe comme une barrière entre les images qui défilent et les voix qu'on entend.
Voici une comédie à priori moyenne mais avec un gros supplément d'âme et qui rafraîchit. On se laisse emmener par une mélancolie aigre-douce, une ambiance légèrement planante, et une pointe d'humour, facile mais agréable. On reste un peu sur sa fin (?) ceci dit... Mention spéciale pour Pierre Niney et Mélanie Thierry, tous les deux très convaincants et dans un ton parfaitement juste.
Comme des rêves est un road movie ensoleillé à la fois triste et joyeux où les trois très bons comédiens nous emmènent dans leur périple avec calme et joie ! Accompagné d une très bonne bande son, ce film de potes rendra nostalgique la plupart des téléspectateurs et donnera envie de revoir ses amis pour de nouvelles aventures et nous fera comprendre qu il faut vivre à fond l instant présent.
Je ne comprends pas... Comment un navet pareil peut avoir d'aussi bonnes notes??? Il ne se passe rien!! C'est une succession de péripéties plus ou moins crédibles, de flashbacks inutiles et de "gags" qui ne m'ont pas décroché un sourire! Rajoutez à ça une réalisation soporifique et d'un jeu d'acteur au delà de la nullité (Big up Mélanie Thierry!) et vous aurez fait le tour de ce film! Et je ne sais pas si c'est moi mais j'ai du revenir en arrière à plusieurs reprises et monter le son car je ne comprenais pas un mot de ce qu'ils disaient!!! Alors soit ils faisaient grève de l'articulation, soit le perchiste avait oublié son micro mais y'a un gros soucis niveau sonore! Bref, à fuir!!!
Une histoire drôle et touchante à la fois. 3 personnes que tout oppose et pourtant complémentaires vont faire un road trip pour leur "amie" commune qui vient de décéder. Les musiques sont touchantes et renforcent l'ambiance.
Un "road trip" à la française qui emmène 3 personnages très différents vers le même but. La performance de Nicolas Duvauchelle est un peu en demi-teinte à côté de ses 2 compères qui crèvent l'écran : François-Xavier Demaison et surtout Pierre Niney, qui signe là son premier rôle d'envergure. On sillonne la France avec eux, en passant du rire aux larmes, le tout emmené par la bande son réussie du groupe français Revolver.
Pourquoi ce thème ? Ça n'a pas un grand intérêt je trouve et ça ressemble en moins drôle aux 3 frères. Il y a quelques passages comiques par ci par là et l'évolution entre les trois personnages est positive mais on ne voit pas bien le but de l'histoire si tant est qu'il y en a un. A part que j'apprécie Duvauchelle pour son côté mauvais gars nonchalant et parfois sans émotion (découvert dans Braquo), il n'y a pas de coup d'éclat d'acteur.
Comme des frères et un excellente film, émouvant drôle nostalgique et qui fait quand même réfléchir . L'histoire est quand même super intéressante , trois mecs de générations différente ce retrouvent à être pote grâce à Charlie , leur pote , amour de sa vie et sœur , qui décède et qui devaient ensemble, partir chez Charlie en Corse . Mais , comme une dernière volonté nos trois amis vont partir ensemble et revivre les instant de bonheur et de tristesse qu'il ont eu tous ensemble. A VOIRE
Un beau casting avec une mention spéciale pour le moins connu des 3 « frères » : Pierre Niney. Je l’avais entrevu dans « Les Emotifs anonymes » (2010) dans un petit rôle, j’avais loupé l’année dernière le premier film, « J’aime regarder les filles », dans lequel il avait un premier rôle et je dois dire que j’ai été bluffé par sa prestation dans « Comme des frères ». « Comme des frères » est un premier film de Hugo Gélin sympa mais sans plus. J’ai été déçu car j’y étais allé avec une attente forte due aux critiques élogieuses que j’avais lues sur le film. Peut-être aussi que ma déception vient du fait que je me rappelle d’un bon road-movie bâti sur une situation analogue (une virée entre amis après la mort de l’un des leurs) sorti il y a une dizaine d’année (pour info, il s’agissait de « Mille Bornes » (1999) avec Emma De Caunes d’Alain Beigel – dont c’était aussi le premier long-métrage –) ?