Derniers Avis : Comme des frères - Page 22

J'ai adoré, je m'attendais à rire et pleurer mais pas à ce que me remue autant, j'ai souvent pleurer et ris devant des films, les deux en même temps jamais. Je le conseille vraiment. Les acteurs sont très doués et la façon dont est construit le film avec ses play-back c'est merveilleux. Bravo à toute l'équipe qui a participé a ce film.

un vrai bon moment en compagnie de ces trois compagnons d'infortune. bien écrit, et très bien joué.

film emouvant, drole, et aussi sur l'amitier .... on se sent concerné. des acteurs qui jouent bien leurs rôles

Drôle, émouvant, touchant. Un des film de cette fin d'année.

J'ai bien aimée... le trio est pas mal.. on passe un bon moment... j'aime bien nicolas duvauchelle...

Une merveilleuse surprise. Le film est à l'image de Charlie, dans une harmonie magique. Scénario, distribution, mise en scène

Comment est-il possible de pleurer à la dixième minute d'un film? C'est la question que je me suis posée alors que j'avais déjà les yeux tout humides et c'est la leçon que m'a donnée cette équipe de fous furieux. "On passe du rire aux larmes" j'ai beaucoup lu, j'ai pensé ça très cliché mais en définitive, c'est exactement ce qu'il se passe.
Et c'est cette capacité a m'avoir fait rire alors que mes joues portaient encore les traces de pleurs que je n'ai pas pu retenir que je salue. C'est ces séries de punchlines, cet humour toujours présent même dans les scènes les plus délicates, c'est leur sincérité a tous qui m'a touchée. J'en ai le cœur tordu, et j'y retournerai bien volontiers. On passe 1h45 avec des personnages attachants, divinement bien portés par des comédiens authentiques, dont on entend clairement pas assez parler. Un dernier mot sur la bande son: on connaissait Revolver, on les redécouvre, en osmose parfaite avec ce film. Des petites balades folk qui donnent de la puissance a un film qui était déjà bien au dessus. A tout ceux qui y
ont participé de près ou de loin: Merci.

Comme des frères nous raconte l'histoire de trois garçons tous lié à une fille : Charlie. Meilleur ami, ex voici leur lien. Trois générations. Le film part des le début avec quelque chose de touchant, sa mort. Je ne m'attendais pas à un film exceptionnel, mais pas non plus à éprouver de la déception. Le film est long, long et traîne en longueur. C'est pas un défaut loin de la mais quand c'est bien maîtriser. La je me suis ennuyé et à plusieurs reprise. J'ai pensé plus d'une fois à partir de la salle. Les blagues sont pratiquement inexistantes, quand elles sont la c'est déjà vu, pas marrant. La prestation des acteurs, oh my God. Je me suis rappelé soudainement pourquoi je n'aimais pas particulièrement les films français. J'ai pensé au début que je regardais un des ces feuilletons qui passe sur la deux vers 20h. Ce que j'ai bien aimé néanmoins, c'est de faire des flash-back et de voir au final comment les trois garçons se sont connus. Et en fait c'est la seule chose que j'ai aimé. Je n'ai même pas la conviction pour citer les choses illogiques.

Un joli film émouvant, sensible, qui nous fait passer du rire aux larmes en une fraction de secondes. Une très agréable surprise et un bon moment à passer pour oublier notre quotidien...

Un très bon "Road Movie" et en même temps "film de potes" sur un thème au départ pas très réjouissant : suite à la mort de Charlie, celle qui, à divers titres, occupait une très grande place dans leurs vie, trois copains de trois générations différentes décident de faire à trois le voyage en Corse qu'ils avaient envisagé de faire avec elle lorsqu'elle était encore vivante. Mais au lieu de donner lieu à un truc macabre ou morbide autour du deuil cruel qu'ils viennent de subir, le film nous promène au fil de ce voyage, avec quelques mésaventures et des gags assez drôles, le tout assaisonné de dialogues vraiment très amusants ou touchants. Une belle histoire d'amitié qui nous fait réfléchir sur le sens de la vie, de la relation à l'autre, éventuellement amoureuse. La construction du film est assez originale, avec des "flashbacks" remontant de plus en plus loin dans le temps, jusqu'au moment où on assiste à la première rencontre des trois potes. Vraiment bien fait et assez intelligent. Les acteurs sont magnifiques, avec un bonus évident à Pierre Niney, un jeune comédien inconnu de moi jusqu'ici et qui nous incarne un "Maxime" irrésistible.

Véritable ascenseur émotionnel pendant tout le film. Ce film est à la fois drôle et émouvant ! À ne pas manquer !

un excellent moment, film émouvant et très drôle du début à la fin !! à ne pas manquer ;)

Que c'est mauvais ! Cahier des charges : faire un "mix" entre le road movie et le buddy movie, genres fédérateurs, avec comme liant le fantôme de l'amoureuse commune qui vient de disparaître, "des suites d'une longue maladie" (prière de compléter la pathologie, qui reste ici imprécise, selon convenance). Résultat : une équipée suivant rapidement la RN 7, cap sur l'embarquement pour la Corse promis à la défunte (après abandon de l'autoroute pour diverses raisons scénaristiquement brouillonnes - faites votre choix), avec changement de véhicule ("rebondissement" en ce sens absolument pitoyable), "péripéties" (dont plusieurs séances de vomissement du benjamin) au hasard des étapes (nombreuses, le véhicule de remplacement est vénérable et bloqué à 60 km/h) et fil rouge explicatif et nostalgique à base de flashbacks saupoudrés de ci, de là, avec (astuce !) remontée dans le temps par plages (jusqu'à 2 ans et demi plus tôt - précis, précis). Humour laborieux (mais je dois à la vérité de dire que la salle où je m'étais égarée s'esclaffait souvent, alors que je m'assoupissais, remplie sans doute de personnes au rire facile, ou pleines de bonne humeur à la perspective du week-end commençant), guimauve sentimentale calibrée, camaraderie allant crescendo : voilà pour les "émotions" de ce pauvre "Comme des frères", réalisé (sur un scénario coécrit) sans style par un (double) petit-fils, fils, neveu etc de, lequel (Hugo Gélin, 32 ans) serait avisé d'apprendre un peu plus avant un métier dans lequel le talent n'est pas simplement génétique. A noter : l'étalage publicitaire complaisant (avec marques en gros plan, et même quelques longues secondes où la caméra s'attarde sur un opportun dépassement de la voiture-escargot des 3 loustics par un camion, Andros de bas en haut !). Les "frères" (Demaison, Duvauchelle et Niney), et "Charlie" (Mélanie Thierry, toussotant façon Marguerite Gautier de temps à autre pour indiquer au spectateur la progression du mal, mais plutôt fraîche d'allure) font ce qu'ils peuvent (enfin les deux derniers), mais sans réussir à donner épaisseur et intérêt à leurs personnages respectifs.

Comme des frères est un film sympathique, non exempt de défauts mais qui parvient à amuser et parfois à émouvoir.
Je comprend la frustration du Comte le long du film. La construction a de quoi choquer. On commence à l'enterrement de Charlie. Les trois compères partent en road trip et en parallèle on découvre à rebours leur histoire avec Charlie. Au départ ça m'a un peu décontenancé. Revenir en flashbacks ainsi sur les relations passées entre les personnages peut sembler trop facile, c'est une sorte de manque scénaristique. Mais finalement, les informations délivrées dans le passé sont utilisées avec parcimonie dans le présent.
Certaines occurrences et jolis mots sont un peu trop appuyés pour vraiment faire sourire, mais parfois de vrais moments de comédie ont lieu. Pierre Niney en est le principal instigateur. Le personnage est-il très bien écrit ? Sans doute. Le comédien est-il excellent ? Oui. Peu importe où se situe le génie, toujours est-il que ce personnage complètement décalé et fragile est drôle et touchant : il apporte vraiment la bouffée d'air frais dont le film a besoin. Le scénariste a tellement placé de blagues, vannes et autres gags dans ce film, qu'il y en a un paquet qui manquent leur effet. Mais celles de Pierre Niney tombent souvent dans le mille, pour notre plus grand plaisir. Nicolas Duvauchelle se débrouille assez bien dans le registre malgré la lourdeur occasionnelle de son personnage un peu cliché, et François-Xavier Demaison s'inscrit assez bien dans le film sans faire néanmoins d'étincelles.
Comme des frères n'est pas un road trip haletant ni la comédie de l'année. Mais il est néanmoins assez amusant et il réussit parfois à nous intéresser à ce trio improbable, dans cette aventure improbable, avec un humour parfois lui aussi improbable.

Source : Plog Magazine, les critiques des ours
http://lescritiquesdesours.blogspot.fr/2012/11/comme-des-freres.html

"Comme des frères" me laisse complètement sidéré ! Comment presse et spectateurs confondus peuvent-ils encenser un "film" pareil ? That is the question ??? Alors qu'on trouve pelle-mêle, des clichés bien épais à en avoir la nausée et à en être indécent, un scénario creux, vide cousu de fils blancs, un jeu d'acteurs mauvais comme ce n'est pas permis et des situations grotesques et lourdes qui laissent rêveur !!! Et quelle histoire ! Trois copains décident de quitter les funérailles en habits de deuil tout en subtilisant les cendres de leur amie décédée pour réaliser des vacances qu'ils devaient prendre tous les quatre ! Ceci, sans être gênés par leur boulot ou par des contraintes personnelles, en partant au volant d'une grosse Porsche Cayenne rutilante qui sera volée pour ensuite continuer leur périple dans une superbe Renault Caravelle de collection prêtée par le grand-père d'un des trois, pour retrouver enfin une adorable petite maison ouverte à tous les vents et nichée dans une crique en Corse, toute prête à accueillir nos trois compères jusqu'au Mac blanc flambant neuf qui les attend à l'intérieur avec l'ultime vidéo de l'anniversaire de la copine disparue ! Rien que ça, s'il vous plait ! Sans doute pour que le spectateur lambda puisse ainsi s'identifier à un de ces personnages libres comme l'air, puisque l'on sait bien que tout un chacun vit de cette façon ! Et le tout est ponctué de flash-back gratuits, injustifiés et donc inintéressants qui nous font remonter le temps de plus en plus loin sans savoir pourquoi !
Sérieusement, comment peut-on être satisfait ou même indulgent face à ce flot d'inepties ? N'y aurait-il pas anguille sous roche ?