Ce film est pour moi un véritable chef d’œuvre, le travail fait sur les graphismes est absolument énorme, l'histoire est magnifique, beaucoup de moments sont drôles...difficile de faire mieux, vraiment. J'adore.
C'est un très bon film d'animation. La qualité et la recherche des moindres petits détails en font sa beauté. L'intrigue ressemble en quelque sorte au Minimoys, néanmoins celle-ci est plus élargie aux problèmes de notre époque. Au début de l'histoire une jeune femme noire remplie d'une grande beauté aussi bien physique qu'intérieure du nom de Tara meurt. Ce décès montre au public qu'il ne faut pas avoir peur de révéler ses sentiment aux autres et ne pas oublier de dire à son amour : JE T'AIME. Elle partageait un amour platonique avec un de ses protecteurs. Enfin bref. L'histoire tourne bien sûr autour du sauvetage de la forêt, une guerre sans merci entre les hommes feuilles et les méchants qui ne pensent qu'à la décomposition des lieux ainsi qu'à sa destruction. La nature et les animaux sont magnifiques rien que pour cela le film d'être vu !!!! Pour conclure je suis sûr qu'il y aura un deuxième épisode car il manque une fin, bien sûr comme dans presque tous les films les deux protagonistes tombent amoureux l'un de l'autre, rapprochés par des événements forts qui les ont marqués..... Je ne vous raconte quand même pas l'histoire. Mais la fin est bizarre, à cause de l'histoire d'amour entre les deux héros. Je vous conseille fortement de le voir
EXCELLENT!!! JE VOUS RECOMMANDE VRAIMENT CE DESSIN ANIMÉ CAR LES EFFETS 3D SONT SOMPTUEUX, L'HISTOIRE EST GÉNIALE ON NE S'ENNUIE PAS DU TOUT.ÇA PLAIRA AUTANT AUX PETITS QU'AUX GRANDS
Un naturaliste hurlerait au scandale et Myazaki ferait un procès en plagiat ! Le scénario est cousu de fil blanc, les gamins auront du mal à trouver de l'originalité et les adlutes s'ennuieront.
Très beau dessin, histoire super efficace et beaucoup de fantaisie. Tous les ingrédients pour passer un bon moment devant un film d'animation. A voir seul ou en famille
Des clichés maintes fois revue, mal combiné avec une histoire vide de sens et d’émotion. On a un mix d'Avatar, le Seigneur des anneaux, Willow, mais mal intégré. Cette guerre dans la forêt est ridicule OK, c'est pour les enfants, mais ce n'est pas une raison pour faire n'importe quoi. Ce film use bêtement des codes Disney sans jamais surprendre. L'animation est parfois trop rapide. Le personnage du père est insupportable. Point positif, le personnage la limace et de l'escargot qui sont très bien, drôle et sympa, mais c'est pas suffisant pour rattraper le reste.
(...) Conclusion : Epic est bien trop lisse pour que le spectateur s’implique réellement dans cette aventure sans humanité, sans âme. Entre une technicité sans faille et l’essence même d’une bonne histoire, les studios semblent avoir fait leur choix. Manque de bol, ils ont fait le mauvais.
Comme la plupart des films d'animations, je suis admiratif devant la beauté visuelle. C'est super bien fait, y'a rien à dire la dessus. Dans le cas d'Epic, j'ai trouvé que la ressemblance du film avec Arthur et les Minimoys était un peu trop importante. J'ai parfois eu l'impression de voir le même film. Scénario très proche et certains personnages quasi identiques. L'histoire reste sympathique et très divertissante.
Créateur de la franchise à succès « L'Âge de glace », Chris Wedge est également l'homme derrière le succès (en demi-teinte) de 2005, « Robots ». Aujourd'hui, le réalisateur américain propose dans les salles sa nouvelle mouture dans le domaine de l’animation, « Epic : la bataille du royaume secret », distribué par la société de production qu'il a contribué à fonder, « Blue Sky Studios ».
Synopsis Allociné : L'histoire d'une guerre insoupçonnable qui fait rage autour de nous. Lorsqu'une adolescente se retrouve plongée par magie dans cet univers caché, elle doit s'allier à un groupe improbable de personnages singuliers et pleins d'humour afin de sauver leur monde … et le nôtre.
Histoire commune prétexte à un message écolo banal que ne renierait pas Greenpeace, héros peu charismatique, personnages secondaires familiers (l’escargot et la limace (side-kicks) Mug & Grub rappellent étrangement les célèbres Timon & Pumba du « Roi lion »), « Epic : la bataille du royaume secret » ne marquera sans doute pas les mémoires. Une forêt, des êtres minuscules, des méchants destructeurs et des humains paumés, voilà en gros le résumé d’ « Epic ». Un récit très conventionnel en somme !
Tissé comme une fable naturaliste façon Hayao Miyazaki (« Princesse Mononoké »), ou parfois en forme d'hommage au très Amblin « Chérie, j'ai rétréci les gosses », « Epic » carbure heureusement à un rythme de folie, enchaînant les séquences d'action de façon détonante.
Mais si, côté mise en scène, Chris Wedge prouve qu'il est bien à l'aise et assure le spectacle, avec des scènes fluides et maîtrisées au sein d'un univers coloré (bravo la 3D au passage avec une belle profondeur de champs) – la course-poursuite contre la reine en témoigne – le réalisateur pêche sur le plan de l’humour avec des vannes pas très poilantes et assez téléphonées. Le conglomérat de bambins – spectateurs, avides de drôleries en tout genre, s’en trouvera certainement lésé.
Comme le veut la coutume au sein de l'animation, « Epic » bénéficie d'un casting vocal de luxe : Amanda Seyfried est l'intrépide Mary Katherine, Josh Hutcherson (« Hunger Games ») double l'homme – feuille Nod, Colin Farrell s'occupe du leader Ronin, Steven Tyler incarne le bad guy Nim Galuu, et enfin Christoph Waltz double Mandrake, tout ce petit monde s'en tire comme il peut sans réellement forcer.
Bilan : Grosse déception pour « Epic », nouveau produit des studios « Blue Sky », qui peine à fleurir décidément, en dehors de la saga « L'Âge de glace », après le semi-échec de « Rio » il y a 2 ans.
Mais jusqu'où vont-ils aller ?! Les films d'animation américains deviennent chaque jour de plus en plus spectaculaires, de plus en plus emplis d'une virtuosité à couper le souffle !
C'est particulièrement notable dans la séance d'ouverture de EPIC où à peine le film vient-il de commencer que vous vous retrouvez cloué à votre fauteuil, les yeux ouverts comme des soucoupes pour tâcher de ne pas en perdre une miette ! Ça va vite, très vite ! Dans l'action proprement dite, virevoltante, trépidante, ébouriffante, mais aussi dans la présentation des personnages, de ce qui les lie entre eux, de leurs objectifs, et où tout ça risque de nous mener.
Si vite que l'on se demande si le film va pouvoir tenir un tel rythme tout du long… auquel cas on s'en régale d'avance car pour pulser… ça pulse !
Quand un peu plus tard, on se retrouve au beau milieu de l'histoire, et qu'on se régale effectivement, on se dit que les créateurs de EPIC sont quand même de sacrés petits malins qui vont sans doute très souvent au cinéma car ils ont mis dans leur film… le meilleur d'au moins 6 films ! A savoir : "L'homme qui rétrécit", "Microcosmos", "Chérie j'ai rétréci les gosses", "Arthur", "Horton", et "Avatar" !
Le récit qui consiste à rapetisser le héros (et emporter le spectateur dans son sillage) pour vivre des aventures dans un monde fascinant et effrayant, est une "figure imposée" du langage cinématographique. Et ce n'est donc pas évident de se renouveler… C'est pourtant ce qu'arrive à faire Chris Wedge (réalisateur / producteur de L'Age de Glace") dans ce bouillonnant EPIC, en s'étant inspiré de plusieurs films plutôt récents (histoire de leur rendre hommage sans doute) tout en donnant sa propre lecture, rythmée et intelligente, de ce mythe fantastique.
Donc, si l'on ajoute à cet incroyable sens du spectacle quelques beaux messages sur la nécessité de protéger la nature, on se dit que EPIC, malgré son petit air de "déjà vu", est un film d'une très grande qualité, palpitant à suivre de bout en bout et qu'il mérite amplement son titre de "P'tit Bonheur de Film" !
Un film familiale d'ecolo-fantasy qui sur la même trame qu'Arthur et les Minimoys ravira sans doute les plus petits, mais laissera sur la fin les plus grands. L'animation fluide et les scènes d'action convaincantes sont les seuls atouts du film. Epic n'est pas un mauvais film, mais il est joliment oubliable.
Encore une fois, et ceux depuis un moment déjà. Chaque nouveau film d'animation est une pure merveille niveau technique et arrive à être du plus en plus impression et presque photo-réaliste.. Epic et donc une vraie merveille. C'est beau, coloré et impressionnant. Rarement une foret en animation vous aura paru aussi réel. Chaque feuille, herbes et d'une précision incroyable et peu largement ce venter de faire aussi bien que Rebelle pour le coup. Les personnages sont magnifiques et le travail fournit sur le design général et un plaisir de chaque instant. Mais Epic n'est pas seulement une prouesse technique. C'est aussi un grand film épique qui ravira aussi bien les enfants (car il y a beaucoup d'humour n’est certains personne sont juste énorme, comme l'escargot et la limace) mais aussi les grands, car histoire est plus mature qu'a sont habitude est parle de problème dur comme la perte d'un être cher. Certes, tout est par parfait et il est dommage que le héros (qui ressemble quand même étrangement à celui de raiponce) manque cependant un peu de charisme, car il est totalement effacé par LE personnage du film : Ronin sorte de grand maitre zen totalement invincible. Et que certains passages sonnent un peu creux.. Mais ça reste des détails comparés à tout le reste. Voilà une bonne surprise que l'on peut voir facilement en famille. Donc pour moi, ce film est Epic :)
Dans la famille de l’animation, je demande le studio Blue Sky. Les créateurs de la quadrilogie préhistorique L’Age de Glace délaissent un peu leur mascotte Scrat pour s’attaquer à un tout nouvel univers, celui de la forêt et de ses petits habitants. N’espérez pas y rencontrer des fées et des lutins mais des hommes feuilles, sortes de mousquetaires version miniature chargés de protéger le cycle de renouvellement de la nature. Mary Kate, jeune adolescente en deuil, va se retrouver malgré elle au cœur de cette bataille mythique entre le bien et le mal.
Premier constat, Epic est un vrai film d’aventures avec des rebondissements soignés et des personnages de caractère et attachants (le jeune Nod a des faux airs du Han Solo de Star Wars et le père de Mary Kate est un savant mélange entre le Doc de Retour vers le futur et le Wayne Szalinski de Chérie, j’ai rétréci les gosses ). Le monde développé par les artistes du studio Blue Sky est un émerveillement pour les mirettes. Fleurs, champignons et autres escargots anthropomorphes constituent un véritable bestiaire du merveilleux crédible et touchant.