Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
Metro
par Jérôme Vermelin
Grand prix du festival de Gérardmer, "Babycall" est un nouveau petit bijou d'effroi nordique.
La critique complète est disponible sur le site Metro
20 Minutes
par Caroline Vié
Pal Sletaune prend [Noomi Rapace] dans une toile d'araignée soigneusement tissée où chaque coin de rue et chaque couloir devient délicieusement menaçant.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Critikat.com
par Carole Millerili
Avec "Babycall", Pål Sletaune parvient à trouver une forme stylistique adaptée aux thèmes qui lui sont chers (l'isolement, la confusion, la paranoïa) et construit une tension latente dans un environnement au naturalisme confondant.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Excessif
par Romain Le Vern
"Babycall" est d'une simplicité trompeuse, d'autant que les motifs sont éprouvés, que l'atmosphère a tendance à prendre le pas sur la narration et que le doute n'est pas nécessairement entretenu par la composition de l'actrice des "Millenium" (...). Pour autant, les amateurs de puzzle tortueux au cinéma devraient plonger avec plaisir dans ce climat déstabilisant.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
L'Ecran Fantastique
par Alain Gauthier
Si le film repose en grande partie sur les épaules de Noomi Rapace, les surprises que réservent son scénario s'avèrent son atout majeur. (...) il est rafraîchissant de trouver de l'originalité dans ce registre en provenance des pays scandinaves.
La critique complète est disponible sur le site L'Ecran Fantastique
Le Figaroscope
par Olivier Delcroix
Film fantastique norvégien, "Babycall" distille un suspense constant et brouille les pistes narratives avec habileté.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
On est envoûté par l'atmosphère intrigante et l'intensité graduelle de cette tragédie familiale.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Positif
par Adrien Gombeaud
(...) l'un des rares films fantastiques essentiellement diurne (...), "Babycall" travaille autant la peur que la peine, l'enfermement et l'isolement.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Charlie Hebdo
par Jean-Baptiste Thoret
[Noomi Rapace] incarne à merveille le souffle physique du récit, jusqu'à devenir l'unique point d'ancrage et d'intérêt d'un scénario qui, malheureusement, finit par partir en vrille.
La critique complète est disponible sur le site Charlie Hebdo
CinemaTeaser
par Franz Miceli
De "Babycall", on retiendra la performance de Noomi Rapace, formidable mère apeurée. Le reste importe peu.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Ecran Large
par Laurent Pécha
Noomi Rapace est l'interprète magnifique d'une oeuvre au spleen mélancolique des plus touchants.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Humanité
par Vincent Ostria
Un bel exercice de style qui a le défaut de tourner à vide.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Jean-François Rauger
L'ennui et la solitude urbaine, la maltraitance sont ainsi les moteurs d'un film qui repose sur l'interprétation de Noomi Rapace. Celle-ci construit un personnage particulièrement émouvant dont la vérité est la condition même de ce récit où monde réel et monde mental se confondent.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Astrid Jansen
Malgré quelques maladresses, "Babycall" happe habilement le spectateur dans un univers chimérique et noir.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Mad Movies
par Laurent Duroche
Un cas d'école dans le domaine de la difficile conciliation entre structure dramatique classique et désir de montrer l'invisible.
La critique complète est disponible sur le site Mad Movies
Marianne
par Elodie Emery
Il faut accepter de se perdre dans les méandres d'un scénario qui brouille sans cesse les pistes du réel.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Ouest France
par La rédaction
Le scénario est habilement travaillé pour installer un climat d'angoisse et de paranoïa dans le style du Polanski des belles années. (...) Mais le suspense ne tient pas jusqu'au bout.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Première
par Frédéric Foubert
Petit thriller psychologique au dispositif plutôt malin (...). Mais [l'acharnement du réalisateur] à ne prendre le genre qu'avec des pincettes finit par désamorcer une à une toutes les bombes à retardement minutieusement installées au début du film.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Laurent Dijan
Voir le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
par Guillaume Loison
Le film (...) construit une belle atmosphère oppressante et triste, cocktail de sinistrose sociale à la Dardenne (une barre d'immeuble plantée dans une ZAC grisouille) et de portrait paranoïaque à la Polanski.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Aurélien Ferenczi
Pal Sletaune concentre l'action sur une poignée de personnages, privilégie le drame psy minimaliste au lieu de jouer franchement la carte du film de genre - davantage de suspense et d'horreur n'auraient pas nui. Reste la belle intensité de son héroïne.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Express
par Christophe Carrière
Le film a le mérite de tenir en haleine et d'être servi par une Noomi Rapace dont le magnétisme révélé dans "Millénium" est ici confirmé. Mais le dénouement déballonne ce thriller, qui n'est rien d'autre qu'une baudruche.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Point
par Florence Colombani
Voir le site du Point.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Un thriller psychologique qui tourne à l'embrouillamini gratuit et aléatoire. (...) Au départ, "Babycall", qui brode sur un thème remuant (les enfants battus), exhale un certain charme exotique, lié au contexte norvégien. Mais peu à peu on se perd dans les tours de passe-passe narratifs.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Metro
Grand prix du festival de Gérardmer, "Babycall" est un nouveau petit bijou d'effroi nordique.
20 Minutes
Pal Sletaune prend [Noomi Rapace] dans une toile d'araignée soigneusement tissée où chaque coin de rue et chaque couloir devient délicieusement menaçant.
Critikat.com
Avec "Babycall", Pål Sletaune parvient à trouver une forme stylistique adaptée aux thèmes qui lui sont chers (l'isolement, la confusion, la paranoïa) et construit une tension latente dans un environnement au naturalisme confondant.
Excessif
"Babycall" est d'une simplicité trompeuse, d'autant que les motifs sont éprouvés, que l'atmosphère a tendance à prendre le pas sur la narration et que le doute n'est pas nécessairement entretenu par la composition de l'actrice des "Millenium" (...). Pour autant, les amateurs de puzzle tortueux au cinéma devraient plonger avec plaisir dans ce climat déstabilisant.
L'Ecran Fantastique
Si le film repose en grande partie sur les épaules de Noomi Rapace, les surprises que réservent son scénario s'avèrent son atout majeur. (...) il est rafraîchissant de trouver de l'originalité dans ce registre en provenance des pays scandinaves.
Le Figaroscope
Film fantastique norvégien, "Babycall" distille un suspense constant et brouille les pistes narratives avec habileté.
Le Journal du Dimanche
On est envoûté par l'atmosphère intrigante et l'intensité graduelle de cette tragédie familiale.
Positif
(...) l'un des rares films fantastiques essentiellement diurne (...), "Babycall" travaille autant la peur que la peine, l'enfermement et l'isolement.
Charlie Hebdo
[Noomi Rapace] incarne à merveille le souffle physique du récit, jusqu'à devenir l'unique point d'ancrage et d'intérêt d'un scénario qui, malheureusement, finit par partir en vrille.
CinemaTeaser
De "Babycall", on retiendra la performance de Noomi Rapace, formidable mère apeurée. Le reste importe peu.
Ecran Large
Noomi Rapace est l'interprète magnifique d'une oeuvre au spleen mélancolique des plus touchants.
L'Humanité
Un bel exercice de style qui a le défaut de tourner à vide.
Le Monde
L'ennui et la solitude urbaine, la maltraitance sont ainsi les moteurs d'un film qui repose sur l'interprétation de Noomi Rapace. Celle-ci construit un personnage particulièrement émouvant dont la vérité est la condition même de ce récit où monde réel et monde mental se confondent.
Les Fiches du Cinéma
Malgré quelques maladresses, "Babycall" happe habilement le spectateur dans un univers chimérique et noir.
Mad Movies
Un cas d'école dans le domaine de la difficile conciliation entre structure dramatique classique et désir de montrer l'invisible.
Marianne
Il faut accepter de se perdre dans les méandres d'un scénario qui brouille sans cesse les pistes du réel.
Ouest France
Le scénario est habilement travaillé pour installer un climat d'angoisse et de paranoïa dans le style du Polanski des belles années. (...) Mais le suspense ne tient pas jusqu'au bout.
Première
Petit thriller psychologique au dispositif plutôt malin (...). Mais [l'acharnement du réalisateur] à ne prendre le genre qu'avec des pincettes finit par désamorcer une à une toutes les bombes à retardement minutieusement installées au début du film.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
TéléCinéObs
Le film (...) construit une belle atmosphère oppressante et triste, cocktail de sinistrose sociale à la Dardenne (une barre d'immeuble plantée dans une ZAC grisouille) et de portrait paranoïaque à la Polanski.
Télérama
Pal Sletaune concentre l'action sur une poignée de personnages, privilégie le drame psy minimaliste au lieu de jouer franchement la carte du film de genre - davantage de suspense et d'horreur n'auraient pas nui. Reste la belle intensité de son héroïne.
L'Express
Le film a le mérite de tenir en haleine et d'être servi par une Noomi Rapace dont le magnétisme révélé dans "Millénium" est ici confirmé. Mais le dénouement déballonne ce thriller, qui n'est rien d'autre qu'une baudruche.
Le Point
Voir le site du Point.
Les Inrockuptibles
Un thriller psychologique qui tourne à l'embrouillamini gratuit et aléatoire. (...) Au départ, "Babycall", qui brode sur un thème remuant (les enfants battus), exhale un certain charme exotique, lié au contexte norvégien. Mais peu à peu on se perd dans les tours de passe-passe narratifs.