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Ykarpathakis157
4 546 abonnés
18 103 critiques
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1,5
Publiée le 27 juillet 2020
Regarder ce film c'est comme manger des pâtes sans sauce. C'est un beau film mais sans drame ni intérêt convaincant. Lily James joue le rôle principal mais sans crédibilité et malheureusement il n'y avait aucune profondeur à ce personnage. Lily James est généralement une bonne actrice mais je suppose ici que le réalisateur Mike Newell s'est involontairement concentré sur sa beauté plutôt que sur ses capacités d'actrice. Dans une scène nous regardons Lily papillonner consciencieusement ses paupières à la perfection alors qu'elle regarde un ballon flotter au plafond ??? Il y a trop de scènes comme celle-ci une en particulier quand un personnage offre de manière douteuse un évanouissement pathétique et Lily feint l'embarras. Je me suis tortillé d'embarras moi-même en regardant leur performance dans cette scène. J'aurais préféré me concentrer sur la véritable histoire du film qui est celle sur laquelle Lily fait des recherches. L'histoire d'amour ? Il n'y a pas de chimie à l'écran entre Lily James et Michiel Huisman et leur histoire est mécaniquement orchestrée plutôt qu’authentique. Dans l'ensemble j'ai trouvé que toute les performances étaient plutôt amateur et que l'histoire manquait d'intrigue ou d'humour pour me garder engagé...
Un joli film élégant, so british, émouvant, porté par un bon casting malgré la légère fadeur de sa principale interprète. Une critique plus détaillée et d'autres sur le-blog-d-elisabeth-g.blogspot.fr
1946, Londres commence à renaître de ses cendres La jeune auteure Juliet Ashton reçoit une lettre de Dawsey Adams vivant à Guernesey. Il a trouvé un livre lui appartenant. Commence alors une correspondance dans laquelle Dawsey parle d’un cercle littéraire né à Guernesey pendant l’occupation allemande suite à une arrestation arbitraire. Piquée par la curiosité, Juliet, fraichement fiancée, se rend sur l’île de Guernesey pour faire la connaissance de ces amateurs de littérature. Tout en apprivoisant les insulaires, Juliet découvre des secrets liés à l’occupation allemande quelques années plus tôt.
Si l’occupation allemande est un sujet récurrent au cinéma, l’histoire du cercle des mangeurs de tourte aux épluchures de patates est très originale et se déroule dans de merveilleux paysages. Les acteurs jouent avec grâce et donnent un supplément d’âme à une histoire par certains aspects prévisible.
J’ai beaucoup aimé ce film et n’ai pas vu passer les 2 heures. Du très bon romanesque où l’on retrouve des acteurs de la série culte « Downton abbey ».
En 1994, Mike Newell nous avait heureusement surprises avec son film "Quatre mariage et un enterrement" unanimement bien accueilli, presque "culte". "Le cercle littéraire de Guernesey" est inspiré du roman : "Le Cercle littéraire des amateurs d'épluchures de patates", une fiction historique épistolaire, écrite par Mary Ann Shaffer et Annie Barrows. Nous avions lu ce livre dont l'idée de départ nous avait paru originale. De plus, nous sommes allés récemment sur Jersey , une île voisine. Plusieurs arguments donc qui nous ont incitées à aller voir cette nouvelle œuvre de Newell. Nous retrouvons comme dans "Quatre mariages et un enterrement" le ton de comédie qui cède la place à un événement tragique. Ici c'est la disparition d'une jeune femme pendant l'occupation allemande. La maîtrise de l'image, l'humour anglais et la distribution de qualité en font un film agréable à regarder. Avec quelques reproches cependant. Des clichés sur la guerre qui donnent une impression de déjà vu, l'histoire d'amour trop prévisible, presque improbable. Elle, trop belle, trop bien habillée et maquillée dans Londres en partie détruite par les bombardements. Quant à lui, nous rêvons toutes d'un tel éleveur de cochon... la romance frôle trop souvent la mièvrerie. Restons indulgentes, c'est l'été, la photo est très belle, nous sommes contentes de retrouver quelques acteurs. Retenons l'humanité de cette comédie romantique pour tout public...
En toute sincérité, je n’avais pas détesté le bouquin, quand bien même il se rapprochait dangereusement de ce que j’appelle la “littérature à mémères”, catégorie qui regroupe ces mélos sentimentaux dont le contexte plus ou moins passéiste permet à leur auteur(e) de s’adonner à une forme figée et inoffensive de marivaudage amoureux sans craindre le décalage avec les normes du présent. Celui-ci, majoritairement épistolaire, se déployait dans l’immédiate après-guerre entre une romancière en devenir, son soupirant américain et l’un des membres d’un cercle littéraire formé sur Guernesey quelques années plus tôt pour se réunir en dépit du couvre-feu imposé par l’occupant : une femme moderne (pour les années 40), un butor friqué qui lui offre des régiments de fleur et des bagues ostentatoires et un humble fermier qui aime les livres et les balades le long des falaises battues par la brise marine...est-ce que quelqu’un nourrit le moindre doute sur la matière dont les choses pourraient bien se terminer ? Reste qu’un livre, c’est généreux, foisonnant, multidimensionnel et que du coup, si le tempérament n’est pas adaptable au-delà d’une certaine limite, il restait la possibilité de ne pas accorder plus d’importance que ça à la romance et de plutôt s’intéresser à la chronique des années sombres dans le seul territoire britannique occupé par la Wehrmacht, ou bien de profiter de la description de cet île atypique perdue dans les brumes de la Manche ou même d’apprécier la suggestion que la lecture/littérature est le confluent de la vie et de la rencontre entre les êtres. Son adaptation au cinéma, elle, a fait son choix : ce sera le mélo et il faudra user de sa connaissance préalable du roman pour savourer réellement les autres possibilités, présentes mais très en retrait. Au cinéma, il existe une “qualité anglaise”, comme il existait autrefois une “qualité française”, et on y trouve fréquemment des chapeaux, des ombrelles, des falaises et des landes de genêts ou de bruyère. Ici, on peut y ajouter de petits intérieurs traditionnels loués au musée de la vie rurale locale et, heureusement, quelques bons acteurs récupérés de ‘Downton abbey’ et d’autres séries britanniques. Même si la partie tragique de l’histoire échoue complètement à convaincre, ‘Le cercle littéraire…’ demeure d’une relative fidélité à sa source littéraire, et peut être apprécié en toute simplicité comme un produit de consommation courante, une adaptation soignée en surface mais sans grande profondeur d’un ouvrage déjà destiné au grand-public...du moins, jusqu’à ce qu’on découvre que ces adorables paysages maritimes qui donnent envie de filer sur booking.com, ne sont même pas ceux de Guernesey…!
Un film d'un romantisme convenu, mais délicieusement charmant. Certes, le début est ... très laborieux. Puis, étrangement, l'histoire devient par petites touches rayonnante d'émotions pures et simples. Elle nous expose une humanité qui, malgré ses blessures, émeut par sa sincérité affective et son cocooning bucolique. Oui, oui ... la ficelle scénaristique est grosse ... mais l'émotion est là, simple et belle comme une rêverie. Bref, malgré ses défauts, ce film est doucettement plaisant.
Un film touchant, au souffle épique, qui raconte un épisode méconnu de la deuxième guerre mondiale, l’occupation allemande des îles anglo-normandes, et le drame vécu par les habitants. Une belle histoire, au rythme lent, peut-être un peu trop. Le film met vraiment du temps à démarrer, avant de prendre un rythme de croisière presque contemplatif. Il faut passer presque une demi-heure pour pouvoir s’installer dans le film et se laisser prendre au jeu. Les personnages sont touchants, l’histoire est dramatique, et se révèle au fur et à mesure. La reconstitution d’historique est parfaite, le Londres bombardé d’après-guerre est impressionnant. L’île de Guernesey est un personnage à part entière du film, et est magnifiquement filmée. Les paysages sont à couper le souffle, et la pauvreté et les conditions difficiles des gens de cette époque dont poignantes. C’est très bien joué, l’exaltation de la jeune romancière contraste avec la retenue des habitants de l’ile qui cachent un secret qu’elle cherche à découvrir. Et en dépit de ce qui les sépare en apparence, elle va trouver une nouvelle famille et redonner du sens à sa vie. Malgré les horreurs de la guerre et les drames malheureusement trop communs à cette époque, ce film est une ode au courage à l’espoir et à l’amour. Un très beau film
Rien à sauver dans ce film dont j'ai arrêté le visionnage au bout d'une demi-heure. * * * * * * * * Post-scriptum. La naÏveté des cinéphiles est donc sans limite, pour qui il était évident que le film avait été tourné… à Guernesey. Exemples extraits de diverses critiques : « Fasciné par l’extraordinaire beauté des îles anglo-normandes », « magnifiques paysages et l’ambiance cosy de la magnifique île de Guernesey », « somptueux paysages de Guernesey filmés sous tous las angles ! », « Beauté de la nature à Guernesey » , « extraordinaire beauté des îles anglo-normandes », « paysages vallonnés de Guernesey », « superbes images de l'île de Guernesey », « Beauté à couper le souffle des îles de Guernesey que le réalisateur a su avec brio capturer dans sa caméra » , « Nous donnons même envie de venir les découvrir en vrai pourquoi pas pour nos prochaines vacances », « des décors naturels de Guernesey qui donnent envie d'y aller séance tenante », « Les décors donnent envie de découvrir cet endroit qu'est Guernesey située à 50km de la France », « L’île de Guernesey est un personnage à part entière du film, et est magnifiquement filmée », « cette côte de Guernesey sublime ! », « Magnifique décor naturel de l’île anglo-normande » (Rolling Stones)
Un film touchant et une histoire prenante où les acteurs sont tous très convaincants. Les images sont magnifiques et le fond historique sur la seconde guerre mondiale rend tout l'histoire très poignante.
De bons et beaux acteurs, un déroulement bien conduit, des paysages magnifiques, un atmosphère très campagne anglo-normande mais, il manque le "je ne sais quoi" qui donnait au livre une subtilité, une élégance. Au début du film des aller-retours temporels un peu brouillons, ensuite quelques situations un peu trop appuyées, le "jeu" dans le parc à cochons, le romantisme sur le quai etc... Mais ça reste un bon moment de cinéma.
Je fais partie des lecteurs ayant adoré le livre et j'avais hâte de le voir. Cette adaptation ne m'a pas déçue, les acteurs sont très bons dans leur rôle et les paysages magnifiques. Comme dans le livre, beaucoup d'émotions!!
Ce film, entre l'histoire de la vie des personnages pendant et après l'occupation allemande et des rôles joués avec un talent absolu, est une chef d'oeuvre du cinéma.
On passe un très bon moment, il y a un côté un peu téléfilm mais qui reste plaisant. Un joli film anglais haut en couleurs, avec de l'humour, mais aussi beaucoup de tendresse.