AlloCiné
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Votre avis sur Samsara ?
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Attention OVNI du cinéma. Le documentariste nous balance des images époustouflantes, filmées pendant son tournage long de 5 ans, pour une fable philosophique parfois un peu lourde mais qui prend vraiment son sens dans la deuxième partie. La vie étant au centre même du film. Plus humaine et moins contemplative d'un monde, d'une nature, de décors fabuleux. Le coup de maître est de raconter quelque chose sans parole et sans mise en scène (il apeut être triché quelques fois). J'ai ressenti une puissance universel émaner des images photographiées par ses soins et maîtrisées parfaitement.
Superbe film/docu a voir absolument surtout au Max linder
Images sublimes filmees en 70mm bande son envoûtante une réflexion décapante de notre monde ubuesque
Images sublimes filmees en 70mm bande son envoûtante une réflexion décapante de notre monde ubuesque
Rien à rajouter sur ce qui a été dit précédemment... je suis entièrement d'accord. Bien des années après son premier opus contemplatif Baraka (avec du splendide Dead Can Dance en musique de fond, et Lisa Gerrard ici également), le réalisateur nous revient avec un film/fresque dans la même veine, sorte d'énorme cliché en mouvement du monde à cet instant T... avec tout ce que ça comporte de beau, de grandiose, de violent, de choquant de laid et de méditatif.
C'est un peu comme si le "No comments" d'Euronews faisait de l'Art.
Et ça fait un bien fou aux yeux mais aussi à l'âme. Comme se ressentir faisant partie d'un tout, d'une seule Humanité, d'une Terre...
Bien sûr, quelques effets faciles, une musique parfois un peu trop appuyée, un peu trop vocale, mais dans l'ensemble, une vraie claque visuelle... en 70mm, ici projetée dans une qualité irréprochable sur tout grand écran... Wow!
Enfin une vraie alternative aux pompeux Home et autres films de sieur Arthus, mais, heureusement, sans son laïus gonflant.
A voir donc, mais sur (très) grand écran, et aux premiers rangs...pour une immersion totale!
C'est un peu comme si le "No comments" d'Euronews faisait de l'Art.
Et ça fait un bien fou aux yeux mais aussi à l'âme. Comme se ressentir faisant partie d'un tout, d'une seule Humanité, d'une Terre...
Bien sûr, quelques effets faciles, une musique parfois un peu trop appuyée, un peu trop vocale, mais dans l'ensemble, une vraie claque visuelle... en 70mm, ici projetée dans une qualité irréprochable sur tout grand écran... Wow!
Enfin une vraie alternative aux pompeux Home et autres films de sieur Arthus, mais, heureusement, sans son laïus gonflant.
A voir donc, mais sur (très) grand écran, et aux premiers rangs...pour une immersion totale!
dominique P.
C'est un documentaire vraiment exceptionnel. On est complètement sidérés par ce qui nous est présenté : des images superbes de la nature, de l'humanité mais aussi des choses atroces qui sont très dérangeantes.
Ce documentaire m'a bouleversée en bien mais aussi en mal.
On se rend bien compte de la beauté de la nature mais aussi des comportements humains absurdes et nocifs.
Jamais une projection cinématographique ne m'avait autant scotchée à mon siège.
Ce documentaire m'a bouleversée en bien mais aussi en mal.
On se rend bien compte de la beauté de la nature mais aussi des comportements humains absurdes et nocifs.
Jamais une projection cinématographique ne m'avait autant scotchée à mon siège.
La quintessence du film contemplatif de notre fourmilière,
le film se déroule sous la forme d'un mandala
chaque image peut explique l'image précédente
ceci explique le cause de la souffrance par le Samsara
"il s'agit du cycle des existences conditionnées, c'est-à-dire les états de l'existence sous l'emprise de la souffrance, de l'attachement et de l'ignorance. Ces états sont conditionnés par le karma."wikipédia
Si le Karma existe vraiment alors imaginer les tonnes de merde qui se déversent sur les âmes humaines.
Si le réalisateur pouvait filmer le Nirvana plutôt il l'aurait déjà fait.
le film se déroule sous la forme d'un mandala
chaque image peut explique l'image précédente
ceci explique le cause de la souffrance par le Samsara
"il s'agit du cycle des existences conditionnées, c'est-à-dire les états de l'existence sous l'emprise de la souffrance, de l'attachement et de l'ignorance. Ces états sont conditionnés par le karma."wikipédia
Si le Karma existe vraiment alors imaginer les tonnes de merde qui se déversent sur les âmes humaines.
Si le réalisateur pouvait filmer le Nirvana plutôt il l'aurait déjà fait.
Très beau documentaire, dommage que celui-ci n'est pas eu plus de projections dans les salles obscures. Très peu de salles le propose alors que le film est très beau. J'espère que le bouche à oreille fera l'affaire.
Pour information, le film est sans narrateur. Il y a juste de nombreuses séquences vidéos démontrant différents paysages grandioses, fantastiques mais aussi écœurant ... Au final, Samsara nous montre juste la réalité et les réalisations humaines (belles et moins belles à voir)
Pour information, le film est sans narrateur. Il y a juste de nombreuses séquences vidéos démontrant différents paysages grandioses, fantastiques mais aussi écœurant ... Au final, Samsara nous montre juste la réalité et les réalisations humaines (belles et moins belles à voir)
Même si la démarche reste la même que le sublime Baraka, Ron Fricke révolutionne encore une fois le documentaire avec cette sublime oeuvre qu'est Samsara. Des images sublimes montrant la beauté de la nature, les ravages de la société, les différences culturelles présentes sur notre planète etc... C'est un magnifique voyage à travers le monde, avec une bande originale magique...
Des images fortes : juste superbes ou superbement dérangeantes qui montrent tout ce que le monde a de plus beau ou de plus laid ... J'ai tout de même regretté l'air de déjà-vu que l'on a souvent : l'impression récurrente de juste voir s'animer des photos d'Andreas Gursky (parfois à la limite du plagiat d'ailleurs ...) et l'absence totale de commentaires, pas forcément en voix off mais au moins quelques "sous-titres" pour savoir où on est : on reconnait souvent les endroits bien sûr mais pour ma part, pas toujours ...
Ron Fricke attaque fort : grâce plastique et harmonies colorées flashy des danseuses asiatiques, magnifiques fresques poudrées de moines bouddhistes décorant le sol de leurs temples, puis paysages naturels grandioses, indigènes silencieux filmés aux 4 coins de la planète préservée, il commence par nous en mettre plein la vue des merveilles du monde un peu habité par l'homme premier. Le Fricke c'est chic, comme dit l'autre. Mais pernicieusement, sans que jamais la beauté ne déclare forfait, sur une bande son qui dépote, le message se précise et s'accélère, et pas dans le sens de l'optimisme. Seule, sans aucun commentaire ni dialogue ni aucune voix off, cette bande son souligne le propos et enfonce les clous, s'il en était besoin. Les moines éveillés effacent rituellement leurs fresques éphémères sans regret, eux seuls savent peut-être pourquoi. Mais l'homme moderne inconscient détruit la beauté au moins aussi efficacement qu'il a pu la créer. Gare à nous, pauvres fourmis dérisoires qui tentons d'organiser l'esthétique du chaos ! Magnifique mais flippant...
Une expérience cinématographique qui ne pourra être vécue pleinement qu'en salle, sur grand écran, pour apprécier la beauté et la majesté des images proposées. On oscille entre différentes émotions: ébahissement, humour, dégoût,... devant la richesse de ces images venues du monde entier. Entre trésors méconnus, sociétés de surconsommation et violence: on a à faire à un tableau assez complet de l'humanité. Et cela se termine juste quand on commence à sentir l'ennui, devant ce défilement d'images qui a le bon goût de ne pas avoir imposé de voix-off, mais juste une bande-son tout à fait à propos.
J'ai énormément apprécié ce film au cinéma, au point d'en ressortir sans voix. C'est un film que je trouve bienveillant dans sa manière de dénoncer : taquin avec nos sociétés sans blâmer méchamment. Il fait écho aux obsessions du 21ème siècle, et nous confronte à nos propres limites avec amour. L'expérience ne sera pas lisible pour tout le monde, certains prendront ça à la légère, tant pis. Comme l'évoque si bien le film : tout n'est que perception. Voyez vous une femme à 15 bras ou une femme à 15 têtes ?
J'attends avec impatience ce film qui outre atlantique a bougé les consciences...
Des images à couper le souffle
A voir surtout en ces temps où la quête du sens est plus important que jamais
Des images à couper le souffle
A voir surtout en ces temps où la quête du sens est plus important que jamais
Bon alors voili voilou, peut être la 1ère fois que je rédige une critique de film sur allociné. Pour dire que ce film me parait extraordinaire. Magnifiquement beau au delà de la simple qualité d'images qui celà soit dit en passant est extra ordinaire. Touts les séquences ont leur importance et surtout l'ordre chronologique. Selon ce que vous comprendrez, il y aura des passages à faire couler les larmes comme des passages pouvant paraitre haissables aux premiers abords. Il faut vraiment s'intéresser au sens profond des images. Je ne donnerais pas mes propres critiques tant je me rend compte que les interprétations peuvent être très diverses et je ne souhaite pas troubler les émotions générées par le visionnage du film.
Magnifique, à regarder en HD absolument pour pouvoir profiter pleinement de la beauté des images.
Dans la lignée de la trilogie des Qatsi et de Baraka, Ron Fricke (Chef op de Koyaanisqatsi) nous réalise le sublime Samsara. Cinq étoiles sans trop d'hesitations. Ce film mérite cinq étoiles juste pour son coté merveilleux en ce qui concerne l'image. Certes, la naration, le(s) sujet(s) traité(s), et le(s) message(s) laissés sont bien loin du boulversant Koyaanisqatsi. Samsara est un beau film, un très beau film, mais dommage que le fond ne soit pas mieux traité pour ne pas laisser suite au visionnage qu'un sentiment de plaisir visuel. C'est ce qui manque (selon moi) chez Ron Fricke, qui nous réalisé de très beaux films (beau au sens visuel) mais jamais assez profond pour pouvoir marquer les esprits. C'est un cinq étoile a tord en quelque sorte, car je trouve qu'il manque une chose pour élever ce film au grad de chef d'oeuvre, mais je ne peut pas pour autant concevoir de lui metre une note plus faible. A noter en parallèle l'evolution du time lapse chez cet artiste, qui de film en film, d'oeuvre en oeuvre, parvient a se surpasser, et a nous époustoufler toujours un peu plus.
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