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Un visiteur
3,5
Publiée le 2 février 2014
Vraiment pas mal du tout, en fait j'étais très scéptique a l'idée de regarder un film réalisé par celui qui a fait Le Projet Blair Witch, que j'avais vraiment détesté, et je ne comprenais pas ce qui le classifiait en tant que "chef d'oeuvre". Bref, donc Lovely Molly, parle d'une jeune femme, fraichement mariée, qui enménage avec son mari dans sa maison d'enfance, sauf qu'une présence la hante, mais il est difficile de différencier le vrai du faux, car étant une ancienne toxicomane, Molly subit des evenements de plus en plus durs,inexplicables, et horribles. Donc, l'histoire ne me tentais pas trop, en vérité, ce film n'est pas une révolution en soi, mais il y'a un élément qui le rend très plaisant, et BIEN réalisé cette fois ci (pas comme dans blair witch si vous pouvez m'excuser..) en effet, la "présence" est quasi-invisible, vous ne l'appercevrez qu'un bref moment dans le film, sinon durant tout le long, vous ne pourrez que l'imaginer a quoi celui ci peut ressembler, et ce grace aux éléments disposés un peu partout, et c'est vraiment ça le point très fort de ce film, l'abstrait, votre imagination est un outil clé dans ce film, qui ajoute une touche de mystère et d'horreur. Pas un chef d'oeuvre, mais une idée bien exploitée, et un bon passe temps, malgré les quelques longueurs.
Artistiquement, tout est correct pour ce genre. Techniquement, la réalisation est excellente. On voit que celui qui tient la caméra est un virtuose. Mention spéciale pour la bande son, du beau boulot ! Les scènes s enchaînent bien, on ne s ennuie pas du tout. Les scènes ne sont pas assez gores, dommage. Quelques questions subsistent à la fin. Mystères...
Un film d'epouvante qui utilise un registre déjà bien éculé mais qui réserve son lot de frisson et d'emotion forte. Eduardo Sanchez montre qu'il maîtise le genre et transforme son essai. 12/20
Agréablement surpris par cette production qui mélange les genres. Molly est fragile, blessures indélebiles de son enfance meurtrie. On assiste à sa descente aux enfers mais je suis surpris que personne ne fait mention de la démonologie présente dans ce film. Orobas est omniprésent du début à la fin. Son symbole sur l'affiche du film, dans la cave où l'on voit distinctement son blason, la puanteur que Tim ressent à plusieurs fois et spoiler: l'album photo où Molly remplace la tête de son père par le cheval ( image de la representation du démon Orobas)
J'ai aimé le côté underground, glauque et authentique de ce film où la post production a envoyé des box contenant des énigmes à certains bloggers
J'ai tenu jusqu'à la fin parce que l'ennui fait place doucement à une ambiance ambigüe et vicelarde. On se demande où est passé le budget d'1 million de dollar tellement ça semble rachitique. On dirait une production du tiers monde cinématographique tellement c'est filmé avec les doigts de pied !!! Presque une purge.
Long pour pas grand chose... c'est raté pour moi pourtant il y avait tout les éléments pour faire un bon film. Je n'ai rien contre les films assez lent mais là il n'y a presque pas de suspense, puis son trouble est assez mal exposé. Étant donné qu'on nous suggère le mal pour ne pas nous le montrer, autant susciter notre curiosité avec des petits indices, mais là presque rien. Et je ne parle même pas de la fin presque incompréhensible...
Plutôt angoissant dans l'ensemble même si le rythme du film qui se veut assez lent fait souvent retomber le stress. Beaucoup de longs plans assez esthétiques ou alors plutôt dépouillés pour rester proche de l'ambiance établie mais cela n'est pas toujours efficace pour captiver l'attention de façon équilibrée. La tension est assez bien rendu que ce soit pas une atmosphère très épurée qui glace facilement le sang mais aussi par la performance de la jeune actrice qui sais rendre l'angoisse visible et crève l'écran par sa prestance de délurée à la fois troublante et puissante. De plus, toute l'intrigue est amené à son rythme certes mais tout à sachant être original, stressant à souhait et surtout captivante par l'ambiance installée. Puis on ne peut pas nier que l'ambiguïté quant au genre réel développé ici donné beaucoup de force au film et cela jusqu'à la fin, sans parler du final qui réussit à porter l'angoisse à son comble par des apparitions inopinées, des bruits stressants sans oublier des événements qui transcrivent parfaitement la folie qui couvre tout le film. Finalement on peut noter une utilisation originale de la caméra à la main qui ici viens offrir quelques bouts visuels sympathiques sans jamais exceller dans ce qui est montré mais au moins cela a le mérite de se vouloir correctement assemblé aux images cinéma. Pas toujours passionnant et même frustrant à certains égard si l'on est pas un public initié, mais on apprécie tout de même cette atmosphère malsaine et stressante pour l'ensemble.
Molly, belle jeune femme qui devient soit possédée, soit folle ou le libre arbitre est notre point de vu. De ce cotè j'ai trouvé le sujet très intéressant mais j'ai eu du mal à être dans le film. J'ai trouvé ça long avec une camera embarquée qui film des trucs sans que l'on comprenne à quoi ça sert. Une musique qui ma saoulé, des acteurs peut convaincants. On veux jouer avec nos nerfs sans grande réussite. J'ai failli stopper le film mais j'ai continué jusqu'à une fin aussi débile que paranormal activity.........Bref le projet Blair witch ma surpris dans le bon sens celui ci est plein de bon sentiments mais sans, pour ma part, me transporter . Dommage no love "Lovely Molly"
A aucun moments je n'ai ressenti de frissons et encore moins de l'angoisse ou autre dans ce film navrant rempli de clichés avec une actrice principale nullissime, bref passer votre chemin et fuyé Molly.
Film intéressant qui change des autres à propos de la possession. Pas nécessairement flippant mais laisse son petit suspens tout-de-même et faisant son chemin progressivement.
Ce dernier développement d'une loooonggue crise détenue à dos par Sánchez nous permet de rejoindre les jeunes mariés Tim et Molly ( Johnny Lewis et Gretchen Lodge ) peu de temps après qu'ils ont emménagé dans la maison familiale isolée, vide depuis la mort de son père. Tim, un routier longue distance, est souvent absent, et Molly, laissé seul, est entraînée par son esprit par une combinaison de souvenirs exhumés . Grâce à ce qui s'apparente à un détour narratif élaboré pour justifier le style caméscope à la première personne , la course entre le POV de Molly de la hantise et un point de vue externe, qui "cinématographique" n'est pas abouti et il ne peut pas soutenir l'intérêt dans le dénouement sans fin de la psyché de Molly, qui, comme manipulé par Sánchez, nous laisse regarder une plaie inexplicablement non traitée s'envenimer .2.5/5