"Sea,no sex and sun" est une comédie très légère,jouant sur les souvenirs de vacances et l'éternelle insatisfaction des hommes,quel que soit leur âge. Avec les plages de Carnac pour décorum,le film confronte 3 hommes(un de 20 ans,l'autre de 35 ans,le troisième de 50 ans)à des femmes qui ne savent pas forcément ce qu'elles veulent. Platitude et humour gênant au programme. Dans le même genre,"Le Skylab" est bien plus drôle et sympa.
Sympathique ces trois générations d'hommes en quête de sensations d'exister, par contre en tant que femme il est difficile d'accepter certains choix, doit-on céder à ses pulsions masculines ??
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1,5
Publiée le 19 février 2016
On s'attendait à mieux! Pourtant, le scènario de "Sea, No Sex and Sun" n'est pas plus bête que celui de nombreuses comèdies de moeurs des 70's (comme "L'hôtel de la plage" par exemple ou certains film de Pascal Thomas) qui, dans le passè et aujourd'hui encore, nous ont enchantès! Sauf qu'ici, la distribution manque d'èpaisseur et on ne s'attache jamais aux personnages! Côtè acteur, Antoine Dulèry (il s'essaye au skate sur l'eau le temps d'une scène) joue un peu la même chose qu'à l'habitude, Fred Testot manque de naturel et le jeune Arthur Mazet, de charisme! Côtè actrice, Armelle Deutsch nous sort la meilleure rèplique du film (« En fait quand on fait l'amour, il dègage une odeur de petits pois »), Alma Jodorowsky se contente d'être belle, Julie Ferrier et Anouk Grinberg sont sous exploitèes! Une comèdie de moeurs qui se laisse voir facilement durant les vacances d'ètè mais peu intèressante (en dèpit de ce que pourrait laisser supposer le sujet et l'affiche du film) sur l’acceptation de soi et le renoncement! Reste les dècors naturels de Carnac-Plage dans le dèpartement du Morbihan...
D'un côté, on apprécie que Christophe Turpin nous offre une vision un peu désenchantée des vacances, évoquées ici principalement sous l'angle de la frustration sexuelle, et ce à tout âge. De l'autre, certains moments ont beau être justes et même assez drôles (notamment avec le personnage d'Alex), les différents « héros » sont tellement pathétiques qu'on a beaucoup de mal à les apprécier, voire à s'y intéresser. Qu'on ne les idéalise pas, très bien, mais à ce point ! D'ailleurs, il est quasiment impossible de croire à certaines situations tant elles sont parfois caricaturales et forcées, comme si recycler les clichés sur le démon de midi était suffisant pour nous troubler... Heureusement, ce n'est pas trop mal joué et certains seconds rôles (surtout ceux d'Armelle Deutsch et Anouk Grinberg) sont plutôt réussis, mais il aurait fallu un traitement autrement plus subtil pour traiter ce sujet par ailleurs intéressant. Dommage.
Pour son premier film en tant que réalisateur, le scénariste Christophe Turpin rassemble ses souvenirs de jeunesse. Classique pour un premier long métrage. Malheureusement, son film n'a pas la verve, l'ironie, les bons mots et le second degré de ceux qu'il a pu écrire jusqu'à présent. Un peut trop frileux au moment de se lancer. Tout cela est un peu mou, un peu insignifiant, un peu plan-plan, il n'y a aucune intensité dramatique. Cela manque cruellement de rythme. Alors oui, le petit côté doux amer donne un petit sentiment mélancolique pas désagréable. Du coup, ça se laisse regarder... La suite sur : http://lecinedefred2.over-blog.fr/article-sea-no-sex-and-sun-105157013.html
Rêveries, souvenirs, erreurs, flirts, baisers volés, nostalgie, pleurs, vacances, conneries... Tout les ingrédients d'une période de vacances à des âges différents, ado, couple avec jeune enfant, père célibataires et ses grands enfants, jeune couple séparé. Rien d'extraordinaire non mais on à le sourire aux lèvres, un candeur et une douceur se dégage de ce film. Un bon moment, simplement.
Petite comédie qui ne paye pas de mine où les souvenirs nostalgiques des vacances construisent le scénario. La référence ici étant l'adaptation cinéma de la BD "Les beaux-gosses". Le découpage, l'humour rappellent fortement l'esprit du film de Riad Satouf, sans toutefois atteindre son niveau de réussite. Ce n'est pas désagréable à regarder, assez marrant à certains moments, même si trop souvent prévisible. Mention aux comédiens, plutôt drôles, et très crédibles dans leurs rôles respectifs. Le film n'a en tout cas rien à voir avec son affiche racoleuse, ni avec sa bande annonce.
Que c’est long, que c’est ennuyeux, les personnages manquent tellement de profondeur, le scénario est tellement bancal, que l’on passe la fin du film à regarder sa montre. Encore une comédie française estivale sans âme, même pas drôle mais comme beaucoup excellemment médiocre.
Sea, no sex and sud est un agréable film à regarder un soir d été et qui parlera plus à un public masculin que féminin. Le thème du film est justement l homme et ses envies et regrets, ses désirs et ses frustrations à partir de trois personnages d âges distincts. On voit donc ces personnages très bien interprétés vivrent leurs moments de doute où finalement tout tourne autour de l amour et du sexe. Peu d humour dans ce film mais un jolie casting dans une belle Bretagne, ç est du cinéma calme et attendrissant, idéal pour un moment de détente.
Un ratage, pas la moindre touche d'humour ni de crédibilité. Le jeu d'acteur est niais, chiant et sans conviction et l'affiche est faussement attirante. On s'attend à une comédie drôle et sexy et on tombe sur un film plat niais qui nous captive tout juste. Un film à mettre au oubliette. Fred Testot m'a tellement déçu, je ne le reconnaissais même pas. Un daube ...
« Sea no sex and sun » reprend deux sous genres du cinéma français: la chronique estivale et le film transgénérationnel. On suit trois hommes, respectivement la vingtaine, la trentaine et un quinquagénaire, qui passent leurs vacances sur les plages de Carnac et qui vont se confronter au problème (universel et intemporel) des relations avec les femmes. On suit les péripéties que cela génère selon les attentes de ces messieurs en fonction de leur âge. Un premier flirt, une nostalgie des vacances de sa jeunesse et une attaque du démon de midi. Le film ne fait en rien dans l’inédit et passe par tous les chemins déjà emprunter par tous les films qui ont traité de ces sujets avant lui. Il offre cependant un regard sympathique sur ces trois hommes et leurs désirs qui se confrontent à des désirs féminin pas toujours en adéquation. Les péripéties sont crédibles et les dialogues sonnent vraiment juste, comme la vision de ces hommes par le prisme de leur génération. Le réalisateur se permet même de faire une mise en abyme discrète du destin de ces trois hommes en glissant des indices sur la similarité de leurs aventures, une autre façon de montrer l’universalisme de ces comportements masculins. Les trois acteurs sont convaincants chacun dans leurs parties, tout comme les femmes qui leur donnent la réplique. Un film assez conventionnel, mais qui reste d’une bonne qualité dans son intrigue, ses dialogues et ses personnages et qui permet de passer un moment vraiment agréable. À voir durant l’hiver pour se bercer de la nostalgie de la chaleur et des amours estivaux.